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n° 17351Fiche technique21614 caractères21614
Temps de lecture estimé : 13 mn
26/04/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un homme, une femme et le plaisir de se découvrir et de se renouveler chaque jour, malgré l'usure du temps.
Critères:  f h fh couple cadeau piscine jardin telnet amour voir exhib photofilm hmast massage fellation cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo jouet confession
Auteur : Soft4you      Envoi mini-message
Katia

Ce récit se passe il y a quelques années, il débute vers la fin des années quatre-vingt-dix. À l’époque, je vivais en couple avec mon ex-compagne, Katia.

Si vous avez lu mon précédent récit (Accueil torride), cette histoire se passe avant et vous situe un peu mieux le contexte.



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Nous sommes en couple depuis quelques années, notre complicité est très bonne, nous faisons l’amour presque tous les jours. Nous n’avons pas beaucoup de tabous, il nous arrive même de parler échangisme sans oser franchir le pas, car Katia est très jalouse.

Toutes les pièces de la maison nous servent de théâtre pour nos ébats, même lorsqu’il fait bon, le jardin. Nous profitions aussi de notre piscine autoportée. Malheureusement, mon travail m’oblige à m’absenter souvent. Parfois, je ne rentre que le week-end, et vous pouvez comprendre que mon retour engendre des soirées assez intenses et des nuits assez courtes. Voici le récit de quelques souvenirs qui resteront longtemps encore gravés dans ma mémoire.


Parfois, à mon retour, il nous arrive de faire l’amour de manière sauvage tellement nous somme en manque, mais ce que nous préférons par-dessus tout, c’est de faire durer les préliminaires pour faire monter le désir à l’extrême. Rien de tel qu’un long cunnilingus en prenant soin de garder la victime au bord de l’orgasme de longues minutes pour exacerber ses sens à la limite du supportable surtout quand vous êtes déjà en manque de sexe.


Katia ne se prive pas pour me rendre la pareille, me léchant de longues minutes le sexe et les bourses, effleurant de sa langue tous les points les plus sensibles, me prenant de temps en temps en bouche, mais surveillant les moindres de mes réactions pour ne pas me faire jouir ainsi.


Quand nous n’en pouvons plus, elle adore venir s’empaler lentement sur moi. Dans cette position, une fois bien au fond, elle adore ne bouger que son bassin d’avant en arrière, massant ainsi son clitoris contre mon pubis, ce qui provoque pour elle une jouissance rapide et violente qui déclenche par ce fait la mienne. Ce plaisir simultané nous calme pour quelques minutes, histoire de reprendre des forces avant de recommencer.


Le deuxième round est en général plus sportif et plus imaginatif, nous permettant de visiter les différentes positions du kamasoutra.

Assez souvent, nos préliminaires commencent par des massages anodins et réparateurs. Rien de plus relaxant qu’un bon massage du dos et autres parties du corps, avec des huiles parfumées, ça permet de se détendre et de profiter pleinement d’un moment de douceur, de détente et de partage avec l’autre.

Difficile de ne pas se laisser tenter quand nous sommes peau contre peau, le désir monte indubitablement, les massages se transforment en caresses anodines, puis elles deviennent plus sensuelles, plus précises, orientées vers les zones érogènes, les frôler sans les toucher.


Quand c’était moi qui la masse, j’adore lui masser le dos, la queue blottie entre ses cuisses et, à chaque mouvement, mon sexe frotte son intimité, effet garanti pour tous les 2. Sa petite chatte s’humidifie en moins de temps qu’il faut pour le dire. De mon côté, pas besoin d’être devin pour imaginer l’état dans lequel je suis. Parfois, l’envie se faisant trop intense, c’est moi qui prends l’initiative de me reculer un peu faisant remonter mon gland juste à l’entrée de sa grotte, et en général, pas besoin d’aide tellement elle est lubrifiée, une simple poussée et je suis en elle.


Parfois, c’était elle qui prend l’initiative, je sens sa main venir saisir mon membre pour le guider en elle, et nous maîtrisons notre désir pour essayer de repousser le point de non-retour le plus possible. Celui-ci atteint, le plaisir de l’un déclenchait simultanément le plaisir de l’autre. Parfois, j’arrive à contrôler le mien pour ne pas lui laisser de répit et à peine remise de son orgasme, je la prends en missionnaire, les yeux dans les yeux où j’aime y lire tout le plaisir et le désir qui la submerge. C’est toujours si intense que l’explosion de ma jouissance lui procure à chaque fois un orgasme encore plus violent que le précédent.


Un soir, nous faisons l’amour dans la position de la cuillère, difficile d’oublier ce moment où chaque geste et chaque sensation restent gravés dans ma peau. Imaginez-vous la scène : Katia stoppe mes va-et-vient, puis me fait ressortir de son fourreau. Je pense qu’elle veut changer de position, mais non, en restant toujours collée à moi, elle prend les choses en main, si j’ose dire, me masturbant quelques secondes, puis se caresse toute la fente avec mon gland. Nos sucs coulent à flots, Katia est vraiment trempée. Elle s’immobilise soudain en me disant :



Je sens une pression grandissante. Elle positionne la pointe de ma lance, on ne peut plus dure, à l’entrée de son passage interdit. Je suis agréablement surpris par son initiative.

Katia respire fort, elle essaye de se détendre pour faciliter l’introduction. Je sens mon gland forcer son anneau. Je ne bouge pas d’un millimètre. Je la laisse aller au bout de son envie sans la moindre pression de ma part. Elle s’immobilise, son souffle s’intensifie encore.


Elle s’y reprend à plusieurs fois pour faire pénétrer mon gland dans son petit cul vierge jusqu’à ce jour. Elle y réussit tout de même, non sans mal, mais sans lubrifiant extérieur. Je sens ses sphincters me serrer comme je n’avais encore jamais connu. Cette voie est beaucoup plus étroite que la voie habituelle. Elle continue de respirer très fort, à la fois pour se détendre et apaiser la douleur qui est visiblement présente. Je lui propose d’arrêter, mais elle veut aller jusqu’au bout. Une fois ma queue bien au fond de son cul, elle reste immobile le temps de s’habituer à cette nouvelle présence en elle. Ensuite, elle me demande de prendre la relève. Je commence à aller et venir doucement en elle, et au fur et à mesure que la douleur s’estompe, je la sens se détendre. Son anneau se fait plus souple, plus accueillant. J’accélère progressivement la cadence.


Elle n’a pas réussi à jouir de cette façon, mais m’a apporté un souvenir impérissable. Pour la remercier de ce cadeau, je lui ai offert une jouissance plus conventionnelle, la caressant et l’embrassant longuement sur tout le corps, me laissant le temps de recharger les batteries pour être en mesure de l’honorer.


Un autre souvenir qui reste aussi gravé dans ma mémoire, c’est un soir où, à nouveau je rentre après plusieurs jours d’absence, Katia m’accueille dans une jolie tenue sexy toute noire, légèrement transparente, suffisamment pour laisser deviner ses formes et trésors cachés. Elle vient me faire un bisou en guise de bienvenue, puis sans me laisser le temps de réagir, elle s’agenouille et ouvre mon pantalon. Elle caresse alors mon sexe au travers de mon boxer. Je ne reste pas longtemps sans réaction et celui-ci se met rapidement au garde-à-vous. Quand elle estime qu’il est à point pour ses desseins, Katia l’extrait du boxer qui a un peu de mal à le contenir. Après deux ou trois allers et retours de sa main sur toute la longueur de mon membre, elle fait entrer mon gland entre ses lèvres, et je sens sa langue danser un vrai ballet tout autour. Elle m’aspire, me lèche, me suce et y met tout son cœur, si bien que je sens assez rapidement le plaisir me gagner. Il est toujours difficile de se contenir quand le manque se fait ressentir. Je veux me retirer de sa bouche, lui faisant part de l’état d’excitation extrême dans lequel je me trouve et que si elle continue ainsi, je ne pourrais plus répondre de rien malgré le fait qu’elle n’apprécie pas le goût de ma liqueur.


Pour toute réponse, ayant la bouche pleine, elle met ses mains derrière mes fesses pour me retenir et faire, de plus belle, coulisser ses lèvres le long de mon bâton tout en m’aspirant autant qu’elle le pouvait. Je sens toujours sa langue, mais maintenant, elle ne danse plus le ballet autour de mon gland, je la sens caresser ma hampe au gré des mouvements de sa bouche, et prête à recevoir ma semence. Je ne peux, dans ces conditions, que rendre les armes en gémissant de plaisir pour lui montrer ma gratitude. Une fois tout mon plaisir bu, elle remet l’outil en place dans son étui et referme mon pantalon avant de venir m’embrasser, me faisant partager les effluves de mon plaisir.

Vous devez bien vous douter que j’ai l’occasion de lui rendre le plaisir qu’elle vient de m’offrir, mais avant, je pose ma veste et nous nous restaurons. Mon dessert, c’est elle, que je déguste sur la table.


Malgré cette sexualité assumée et cette complicité entre nous, et surtout à cause de mes absences répétées pour mon travail, la passion s’étiole et le temps fait que la routine s’installe. La distance entre deux êtres, à cette époque, ne peut pas être compensée par le téléphone portable ou les messageries instantanées qui sont encore rares.

C’est justement l’arrivée de ces nouvelles technologies qui remet un peu de piquant dans notre couple, lors qu’au début des années 2000, nous avons l’occasion de nous équiper de téléphones mobiles, ainsi, nous pouvons plus facilement rester en contact lors de mes déplacements. Nous avons donc la possibilité de nous parler en permanence, le plus souvent par SMS, mais aussi nous pouvons entendre le son de nos voix. C’est important quand on ne se voit pas beaucoup, ça peut être un réel réconfort dans les moments de déprime. De nos jours, on ne s’en rend plus compte.


Un soir où nous sommes chacun dans un lit, éloignés de quelques centaines de kilomètres, Katia me fait part qu’elle a envie de moi, que je lui manque. Je lui réponds qu’elle aussi me manque. Et puis, son message m’a ému pour ne pas dire plus. Après quelques secondes d’hésitation, je lui demande de me décrire les symptômes de son désir. Sa réponse met quelques minutes à me revenir. Elle me dit qu’elle aimerait me serrer dans ses bras, m’embrasser et me faire l’amour. Moi aussi, je sens le désir monter, je souhaite qu’elle devienne plus explicite, qu’elle me dise ce qu’elle ressent, les symptômes physiologiques…


Je lui ai répondu alors qu’elle ne m’a pas donné ses symptômes, mais seulement ses désirs. Sa nouvelle réponse est beaucoup plus précise et explicite, m’indiquant l’état de « sa petite chatte toute mouillée » de ses propres termes. Elle me précise aussi que ses seins pointent et que son clitoris est hypersensible. Et pour conclure son SMS, elle m’avoue qu’elle a trop envie de se caresser pour résister.

Mon sang ne fait qu’un tour, impossible pour moi de rester de marbre bien que mon membre en a tout à coup la dureté. Je lui détaille les effets que son message a produits sur moi et mon anatomie.

C’est ainsi que nous avons découvert le sexe virtuel.


Cependant après quelque temps ainsi. Katia me fait le reproche que pour elle, même si ces moments sont forts agréables et atténuent le manque, elle ressent un manque en elle quand elle se fait jouir. La jouissance qu’elle se procure avec ses doigts n’est pas la même que quand je la prends. En somme, il lui faut aussi un orgasme vaginal pour se sentir comblée. Je comprends, mais je suis en manque d’idée pour combler ce vide, jusqu’au jour où, passant devant un sex-shop, je me décide à un y pénétrer. J’y découvre une multitude de vibromasseurs. Ne sachant quel modèle lui offrir, j’opte pour 2 modèles, un petit et un de taille plus respectable sans être surdimensionné. Ce sont des modèles classiques.


La surprise de Katia, lors qu’elle déballe ses deux cadeaux, est à la hauteur de ce que j’espérais. Je peux lire l’envie et la curiosité dans ses yeux. Je la laisse les manipuler, découvrir leur fonctionnement. Puis je lui propose de les essayer. Je la déshabille, puis l’invite à s’installer confortablement. Je prends alors tout mon temps, la caressant partout puis, je déguste son fruit qui a déjà un bon goût de cyprine. Dès que j’estime que son fourreau était suffisamment lubrifié, profitant quand même un peu de ma situation, je fais pénétrer le plus petit des deux jouets dans son antre. Après quelques minutes de ce traitement où je fais varier les vibrations et les pénétrations, je me décide à prendre le calibre supérieur. L’effet sur Katia est fulgurant, elle se cambre dès que je mets les vibrations en route. Je l’achève en utilisant le petit sur son clitoris. Son orgasme est violent, intense et complètement incontrôlé.


Comme je l’espère, elle y prend goût et les deux jouets remplacent volontairement mon vit lors de mes absences. Plus elle les utilise, plus sa libido est exacerbée à mon retour. Donc j’en profite doublement, dans nos échanges par SMS et pour nos retrouvailles. Je trouve que j’ai été bien inspiré d’acheter ces sextoys, d’autant plus qu’ils se joignent souvent à nos câlins réels.


Nous retrouvons la fantaisie et la fougue de nos premières années. Quoi de plus excitant d’être réveillé par un SMS enflammé ou de plus agréable de s’endormir en lisant le programme que Katia me réserve pour mon retour à la maison.


Un matin, je me réveille doucement lors qu’une notification retenti sur mon téléphone, je le prends en main, pour lire le message, quand je vois « ouverture en cours », je veux bien que le réseau ne soit pas terrible, on ne parle pas encore de 3G et encore moins de 4G, mais tout de même, les SMS fonctionnent en principe plutôt bien. Je réalise alors que ce n’est pas un SMS, mais un MMS, beaucoup plus rare du fait du coût d’envoi. Je n’ai pas encore réussi à voir la photo que contient le message que deux autres notifications retentissent.


Après de longues secondes d’attente, la photo s’affiche enfin. J’en reste bouche bée, Katia apparaît, nue sur notre lit, ses deux vibromasseurs posés à côté d’elle. Je vais pour lui envoyer un SMS et lui dire que j’aime beaucoup ce que je vois, mais un autre message me devance, c’est un SMS de Katia qui me demande si j’aime ses photos, me précisant que le désir qui brûlait en elle était trop fort pour patienter jusqu’à mon retour le soir même, mais elle avait eu envie de partager ce moment avec moi.


Le téléchargement de la nouvelle photo vient de se terminer, je l’ouvre et la photo que je découvre fait encore accroître mon désir. Je ne résiste pas à l’envie de me donner du plaisir, je baisse mon drap, puis mon boxer. Je prends ma queue plus dure que jamais au réveil et me branle en regardant le vibromasseur enfoncé à moitié dans le vagin de Katia.


La dernière photo s’affiche enfin. Je la regarde à deux fois, le vibro est toujours en place, mais juste le bout ressort de sa petite chatte, mais ce qui me rend dingue, c’est de découvrir son petit trou rempli par le petit gode. Je n’en peux plus, j’aimerais lui montrer l’état que ses photos ont produit sur moi, mais malheureusement mon GSM ne dispose pas d’appareil photo. Je continue mes caresses jusqu’au bout de mon plaisir ce qui ne prend pas longtemps vu l’excitation dans laquelle m’ont plongé ces clichés. Ensuite je lui renvoie un message pour lui expliquer ce que je viens de faire et mon désir de reproduire ce qu’elle m’a montré remplaçant un de ses jouets par le mien dès le soir même.


L’attente me paraît très longue. Je suis impatient de rentrer pour retrouver Katia. En arrivant, je ne lui laisse pas le temps de me raconter sa journée. À peine ma veste accrochée au portemanteau, je lui saisis la main et l’entraîne dans notre salon adjacent où je la prends sauvagement après lui avoir ôté son string et fait se positionner à genoux sur notre canapé, le torse appuyé sur le dossier. Elle est incontestablement aussi excitée que moi, car nous n’avons pas besoin de préliminaires, son intimité est aussi lubrifiée que j’étais dur. Je m’y enfonce d’un coup sans difficulté et je la chevauche ainsi jusqu’à ce que je me vide en elle. Il ne faut pas cinq minutes pour que la violence de cet acte nous libère des tensions accumulées.


Un repas frugal, une bonne douche réparatrice et nous voilà dans notre chambre où trônent les deux vibromasseurs sur le lit. Est-ce pour que je ne manque pas la promesse que je lui ai faite ce matin ou est-ce un oubli de la part de Katia, je m’en fiche. Je sais juste qu’ils vont servir d’ici peu.


Il n’est plus l’heure de la brutalité, mais de la douceur, de l’abandon au plaisir des sens. Sortant de la douche, pas besoin de se déshabiller, nous sommes déjà nus. Je couvre Katia de baisers et de caresses de la tête aux pieds, évitant pour l’instant ses seins et son fruit que je devine déjà juteux. Je fais durer son supplice à tel point qu’elle me renverse pour mener les choses à son rythme. Elle me rend la monnaie de ma pièce en me faisant languir alors qu’elle frotte son entrejambe sur ma cuisse. À son tour, elle me soumet au supplice de tantale prenant soin de frôler sans jamais toucher la zone la plus sensible de mon corps. Katia sait très bien pousser le supplice à la limite du supportable.


À moi de la faire basculer et de prendre l’initiative. Un mini combat s’en suit entre nous, nous roulons dans tous les sens sur le lit. Nous sommes a plusieurs reprises à deux doigts de tomber par terre. Dans cette lutte acharnée, j’arrive à me saisir d’un sextoy, le plus petit, mais pour l’utiliser ce n’est pas si facile. J’arrive enfin à l’immobiliser quelques secondes. Dans un ultime effort, j’arrive à lui planter le gode dans sa grotte luisante. Je m’attends à une ruade de la part de Katia, mais c’est tout le contraire, elle rend les armes, elle m’abandonne son corps. J’en profite pour jouer avec le vibro, activant le petit moteur et le manipulant dans son antre quelques minutes avant de le remplacer par un autre jouet plus gros et plus chaud pour notre plaisir à tous les deux. Je suis bien en elle. Ça glisse tout seul tellement elle est excitée.


Je profite de ce moment de douceur, bien calé au fond de son écrin douillet. Je me saisis à nouveau du sextoy, je le lèche pour l’humidifier, puis le positionne sur sa petite étoile. Je me retire de son fourreau ne laissant que le gland à l’intérieur. J’active les vibrations au minimum, juste pour faciliter l’introduction. La pointe de l’objet disparaît peu à peu dans l’orifice. Katia me laisse faire, se concentrant sur les sensations qui l’envahissent.

Je m’enfonce en elle, entraînant par là même le gode dans son autre orifice. Je fais quelques allers-retours ainsi, mais ce n’était pas très agréable pour Katia. Je lui ai proposé de se mettre à quatre pattes pour voir si la position lui convenait mieux. Les vibrations de l’objet dans son petit trou lui sont plus désagréables qu’autre chose.


Je ressors notre jouet et je reprends une pénétration plus classique. J’avais une belle vue sur son œillet encore ouvert. Il m’appelle. Je me retire du fourreau tout doux pour me positionner un peu plus haut. Katia me laisse faire, cambrant ses reins pour me faciliter l’accès qui m’est rarement autorisé. L’intromission se fit beaucoup plus facilement que les précédentes fois. Je sens toutefois son anneau me serrer le bâton de chair. Je la pistonne doucement pour qu’elle s’habitue bien à ma présence dans son boyau.


Le gros vibromasseur qui se trouve devant Katia me donne des idées. Je lui demande de me le donner. Elle me regarde, hésite, puis le saisit et à ma grande surprise le prend en bouche avant de me le donner. J’arrête mes mouvements, restant au fond de son fondement, puis j’introduis le gros sextoy dans sa grotte intime. Il prend beaucoup de place et je sens le passage de l’objet tout du long de mon membre au travers de la mince paroi m’en sépare. Katia respire plus fort. Je reprends mes mouvements.

Lorsque je mets en route les vibrations, les sensations que je ressens sont très intenses. L’association entre l’étroitesse du conduit et la résonance des vibrations du sextoy est jouissive pour moi. Aux réactions de Katia, je remarque qu’elle apprécie aussi. Elle me prend même l’objet des mains pour se masturber à sa convenance pendant que je l’encule. Cette fois-ci, elle part dans un orgasme mémorable. Je sens son petit cul se serrer sur mon membre. Elle exulte sa jouissance. C’est la seule fois où elle réussit à jouir en se faisant prendre par son petit trou, mais quel orgasme !


Nous avons vécu d’autres expériences, mais ce sera peut-être pour un autre récit…