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n° 17382Fiche technique43337 caractères43337
Temps de lecture estimé : 26 mn
18/05/16
Résumé:  Une rencontre avec un contact de ma compagne va changer notre vie de couple et permettre la realisation de plusieurs fantasmes.
Critères:  f h fh fhh couple amour voir exhib fellation cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio double sandwich fdanus fsodo confession
Auteur : Soft4you      Envoi mini-message
Stephane

Cet épisode de ma relation avec Katia fait suite au récit 17306 mais ne nécessite pas forcément d’avoir lu «Accueil torride » pour la compréhension.




Katia me téléphone, je la sens perturbée. Après les banalités habituelles qui font les petites attentions nécessaires à la relation de couple, elle se lance :



La conversation se poursuit sur d’autres sujets plus terre à terre avant que nous ne nous souhaitions une bonne nuit.

Quelques minutes plus tard, Katia m’envoie un SMS pour me dire que c’est OK, mais à condition que nous puissions le loger vendredi soir. Donc elle a déjà dit oui et me demande de ne pas rentrer trop tard si possible pour ne pas être seule avec lui trop longtemps. Elle me fait part aussi qu’il a bien un peu essayé de la convaincre de se voir en tête-à-tête dans la semaine, mais Katia a tenu bon.

Je réponds à Katia par une question :



Je suis à la fois anxieux et excité à l’idée de ce qui peut se passer. Le vendredi soir arrive enfin. Je suis pressé de rentrer, mais comme souvent, je suis retardé par une circulation abondante. J’arrive enfin à la maison vers 20 h, je salue Stéphane et embrasse Katia qui s’est faite toute belle avec une petite robe sexy comme j’aime. Je lui trouve un air bizarre, mais je ne lui pose pas de question.


Nous prenons l’apéro pour nous détendre un peu et nous faisons un peu mieux connaissance avec notre invité. Il est plus jeune que nous, il n’a que vingt et un ans et termine ses études. C’est la raison de sa présence dans notre région, il effectue un stage dans une entreprise pour la validation de son cursus. Cette semaine il était dans une succursale qui se trouvait à quelques kilomètres de notre domicile, sinon il habite à 100 km environ.


Ensuite Katia est allée en cuisine pour préparer le repas. Elle m’appelle pour que je vienne l’aider à apporter les plats. Je lui demande si ça va…

Pour toute réponse, elle m’embrasse puis me tend un plat, et au moment où je vais franchir la porte, elle me lance :



Je retourne donc auprès de notre invité, mais la petite conversation avec Katia m’a troublé. Katia me suit de peu. Nous dînons calmement. J’ai bien essayé une ou deux fois de savoir si elle lui avait montré autre chose que sa poitrine, mais elle est restée évasive.

Katia nous propose de prendre le dessert au salon. Nous nous installons dans le canapé. Katia nous amène une petite tarte au chocolat, mais ce que nous admirons, c’est le décolleté que nous offre Katia en se penchant plus que de nécessaire. Stéphane ne la quitte pas des yeux. Une fois le service exécuté. Ma compagne est venue s’installer entre nous en se lovant contre moi. Nous dégustons la tarte en silence. L’ambiance est électrique. C’est Stéphane qui rompt le silence :



Stéphane commence alors à ouvrir son pantalon, puis rajoute :



Katia, qui devient à son tour toute rouge, se tourne vers moi pour avoir mon approbation ou ma réprobation. Je lui donne mon point de vue :



Alors que Stéphane extirpe son membre de son pantalon, Katia se relève pour faire glisser les bretelles de sa robe, nous dévoilant son magnifique soutien-gorge rouge en dentelle. Puis vient se rasseoir entre nous. Je lui dis qu’elle aurait pu aussi nous montrer le bas. Stéphane qui se masturbe lentement acquiesce.

Katia se relève, hésite, puis m’avoue qu’elle n’a plus de tanga, car elle l’a donné à notre invité pour le faire patienter avant mon arrivée. Je comprends mieux son silence de tout à l’heure, mais l’encourage tout de même à continuer.


Elle fait alors glisser sa robe au sol, nous dévoilant tout d’abord son ventre puis peu à peu son pubis qu’elle avait visiblement épilé pour cette occasion. Elle apparaît enfin quasi nue juste avec son soutien-gorge et ses bas autofixants couleur chair.

Nous avons conscience qu’en réalisant cet acte, nous franchissons un point de non-retour, une barrière que nous n’avons encore jamais osé franchir, rien n’est acté, mais notre accord est tacite. Jusqu’où Katia est prête à aller ? Je ne le sais pas ou du moins, je n’en suis pas sûr, mais je pense qu’elle est prête à nous surprendre. Ses yeux brillent de mille feux. Autant elle est intimidée par la situation, ce que je peux constater à ses pommettes toutes rouges, autant je la sens excitée.


Nous pouvons voir malgré son soutien-gorge, ses seins se dresser, ses mamelons tout érigés. Je n’ai pas besoin de la toucher pour constater son état. Rien qu’en regardant son minou, j’aperçois ses grandes lèvres s’entrouvrir, je suis sûr que son petit bouton commence à pointer hors de son capuchon. Je la connais bien. Stéphane reste hypnotisé par le spectacle, ses yeux vont de la poitrine à la chatte de Katia. Sa main à accéléré sur son membre. Et moi j’admire le spectacle que m’offrent les deux protagonistes. C’est Katia qui me sort de mes rêveries :



Pour toute réponse, après un léger temps de réaction, j’ôte mon pantalon, puis je fais glisser mon caleçon le long de mes jambes, dévoilant mon sexe en érection. Je me décide aussi à enlever mon polo, me retrouvant le premier intégralement nu.

Ensuite je passe derrière Katia et lui dégrafe son soutien-gorge qu’elle laisse glisser au sol.



Nous remercions Stéphane de son compliment et je l’invite à se mettre dans la même tenue que nous. Il acquiesce, joignant le geste à la parole. Katia observe notre invité qui ne perd pas de temps pour se mettre à nu. Elle le félicite sur sa plastique. Notre complice la remercie pour ses compliments, mais reste comme pétrifié, debout, alors que moi et Katia nous installons dans le canapé. Katia se blottit contre moi, j’en profite pour lui délivrer quelques caresses sur le ventre et les seins.


Stéphane retrouvant l’usage de la parole et se décidant à s’asseoir nous demande s’il peut nous regarder faire l’amour avec toute la candeur de sa jeunesse. Je l’invite à un peu de patience, et qu’il ne sera pas déçu. Il ne faut pas précipiter les choses, plus le désir est intense et meilleur est l’aboutissement du plaisir ! Katia rajoute :



Je ne relève pas, mais sa phrase me confirme l’idée qu’elle souhaite réaliser son fantasme de pluralité masculine. Je suis à peu près sûr que nous allons ce soir dépasser le stade de l’exhibitionnisme. J’en profite pour glisser ma main entre ses cuisses où je trouve son fruit juteux à souhait, comme je le pensais. Stéphane regarde le ballet de mes doigts sur et dans cette appétissante petite chatte. Les clapotis émis par mes attouchements ne peuvent que trahir l’excitation dont est victime ma compagne.

Katia tend sa main vers moi et se saisit de mon bâton de chair. À son tour elle me caresse, faisant coulisser ses doigts sur toute la longueur de ma hampe. De son côté, Stéphane en profite pour reprendre sa masturbation sans nous quitter des yeux.

Après quelques minutes de ces caresses mutuelles, Katia se met à genoux pour me prodiguer une douce et délicieuse fellation. J’adore sentir ses lèvres coulisser sur mon membre qui n’a jamais été aussi tendu. Elle alterne les phases de succion et les jeux de langue qui vont du périnée au gland. Parfois elle gobe mes testicules et les fait rouler sous sa langue.


Si elle continue comme ça, je ne tiendrai pas longtemps, heureusement elle s’interrompt parfois pour reprendre son souffle tout en me fixant dans les yeux. Ces échanges sont d’une intensité rare. Je prends alors l’initiative de la basculer sur le canapé, l’installant confortablement afin que Stéphane ne loupe rien du spectacle. Je lape ses sucs qui coulent à flots, je m’en enivre. Je fais pénétrer ma langue entre ses grandes lèvres à la rencontre de son petit bouton d’amour que je débusque et que j’agace.


Je la sens très réceptive à mes caresses. Je plonge ma langue dans son antre, au plus profond que je puisse y accéder. J’ai le visage plein de sa mouille, mais j’adore et je continue jusqu’à ce qu’elle m’implore de la prendre. Je ne cède pas et la fais jouir de ma langue et de mes doigts. Elle se tortille dans tous les sens. Elle se cambre, resserre ses cuisses sur ma tête, bloquant la progression de mes mains. Elle jouit fort. Stéphane a cessé ses caresses lors que je me dégage. Il est comme paralysé, au bord de l’orgasme.


Katia se remet peu à peu de sa petite mort. Je ne la laisse pas émerger complètement, mais la pénètre sous l’œil envieux de notre voyeur du soir. Je sais aux réactions de Katia qu’elle aura son deuxième orgasme très vite. Elle a gardé l’extrême sensibilité dont elle fait preuve juste après avoir joui. La tension ne redescend pas. Je sais à chaque fois que je m’enfonce dans son cratère que l’éruption se rapproche. De son côté Stéphane ne nous quitte pas des yeux, tout en ayant repris ses caresses. À sa respiration je devine qu’il a du mal à contrôler la montée du plaisir. Je me concentre sur le plaisir de Katia tout en observant par intermittence notre invité. Je me demande qui va jouir le premier. De mon côté, j’arrive encore à maîtriser, mais pour combien de temps ? L’atmosphère est si électrique que tout peut déraper rapidement.


Finalement. Stéphane ne tient plus, je le sentais très excité, mais il éjacule après seulement quelques secondes. Il s’en met partout. Les premiers jets étaient si concentrés et si puissants qu’il en a jusqu’au cou. À peu de chose près, il aurait pu boire sa semence directement.


Encore quelques va-et-vient et je sens Katia sur le point de partir à son tour. Elle me serre entre ses jambes comme pour m’attirer en elle. Elle vient au-devant de mes coups de boutoir. J’essaie de faire durer un peu, mais c’est peine perdue, elle est déjà partie. Elle gémit de plus en plus. Je sens ses muscles intimes me serrer par à-coups. Elle jouit, libérant toute la tension qu’elle n’avait pas encore réussi à évacuer. Ces dernières contractions ont raison de ma résistance et je me vide en elle, je pars à mon tour, donnant des grands coups de boutoir désordonnés. Je ne maîtrise plus rien. Ce qui prolonge l’orgasme de Katia qui n’arrive plus à redescendre sur terre.


Il nous faut de longues minutes pour reprendre pied. La tension nerveuse et la fatigue se faisant ressentir, il me faut une bonne douche pour me requinquer. Mais Katia va se rafraîchir en premier pour ne pas abandonner notre invité. Elle revient entièrement nue après avoir pris une douche rapide. Ensuite je propose à Stéphane de prendre la place, mais il est toujours dans la contemplation du corps de Katia donc finalement j’y vais. Je prends plus de temps que ma compagne, profitant pleinement des bienfaits de la douche.


Quand je ressors, je retrouve Katia assise à côté de Stéphane et j’ai la surprise de la trouver avec sa queue en main. Je m’arrête pour les observer. Ils ne m’ont pas encore vu.

Ça me fait une drôle de sensation de voir Katia avec un sexe qui n’est pas le mien en main. Ce n’est pas de la jalousie, mais je n’ai pas l’habitude. Soudain, Katia tourne la tête vers moi, elle ne peut que constater que ce que je regarde m’excite. Elle me fait signe d’approcher. Ce que je fais en venant l’embrasser tendrement. Elle se saisit de mon membre et synchronise ses caresses avec celles qu’elle prodigue à Stéphane. Pour la première fois, elle dispose de deux membres bien réels pour elle toute seule. Elle s’applique à faire monter le thermomètre. Les premières gouttes de liquide séminal perlent sur mon gland. En ce qui concerne celui de Stéphane, il est déjà bien lubrifié, luisant. Katia se penche vers moi tout en masturbant toujours Stéphane. Elle me prend en bouche, me déguste, fait coulisser délicieusement ses lèvres sur mon membre.



Stéphane reste muet, mais acquiesce du regard. Quant à Katia, elle me regarde droit dans les yeux, ma queue toujours en bouche. Elle me donne un dernier coup de langue, se lèche les lèvres puis se tourne vers Stéphane sans avoir prononcé le moindre mot.

Je vois sa langue envelopper le gland luisant puis celui-ci disparaît entre ses lèvres.

Katia prend tout son temps, ses lèvres se font douces et gourmandes, sa langue se fait câline, enchanteresse et diabolique à la fois. Elle passe de l’un à l’autre, scrutant la moindre de nos réactions elle fait durer le doux supplice peut-être un quart d’heure, peut-être vingt minutes, peut-être plus, le temps n’a plus d’importance. Elle fait juste relever Stéphane pour qu’il se positionne à côté de moi afin d’éviter des contorsions inutiles.

Katia est heureuse, elle a deux étendards levés juste pour elle et a bien l’intention d’en profiter. Mais pour l’instant, nous sommes à sa merci, pas question de la toucher, elle repousse nos mains. Elle souhaite rester maîtresse de notre plaisir et elle est experte dans cet art.


C’est Stéphane qui donne le premier des signes de faiblesse. Je vois qu’il fait de plus en plus d’efforts pour se retenir. C’est à nouveau l’inexpérience qui lui joue des tours. Katia aussi l’a bien remarqué, elle le laisse un peu redescendre pendant qu’elle s’occupe de moi. Je la sens plus motivée, je pense qu’elle souhaite nous amener à jouir ensemble, mais je n’ai pas l’intention de lui faciliter la tâche. La première manche me donne bien plus de résistance.


Quand elle reprend Stéphane en bouche après la petite pause qu’elle lui a accordée, elle constate qu’il ne tiendra pas. Il respire très vite, ses muscles sont tendus. Il a beau se retenir autant qu’il peut, la partie est perdue. J’attends avec intérêt, pour voir si elle le boira ou si elle le laissera se répandre sur ses seins. Connaissant son goût modéré pour cette liqueur, je pense plus pour la deuxième option.


Eh bien, elle me donne tort. Je vois le sexe de Stéphane se contracter à plusieurs reprises puis Katia déglutir. À la deuxième salve, un peu de crème s’écoule sur son menton qu’elle ne réussit pas à avaler. Je croise son regard. Il est chargé d’érotisme. Je la regarde, nue, en train de donner du plaisir à un autre homme et je la trouve très excitante. Je dois me maîtriser pour ne pas lui faire l’amour tout de suite.


Katia libère Stéphane, ne laissant aucune trace sur son membre. Il est sur un petit nuage, ses jambes ont du mal à le porter tellement le plaisir a été intense. Je romps le charme de cet instant en lui rappelant que la douche l’attend. Katia me rappelle qu’elle n’a pas eu le temps de terminer avec moi, mais je m’extirpe en lui répondant que je préfère garder quelques forces pour après. Pendant que nous échangeons, Stéphane s’éclipse pour une longue douche réparatrice.


Ce qui nous laisse le temps d’échanger nos impressions sur ce début de soirée. Nous sommes d’accord sur le fait que cette soirée se passe à merveille et que nous ne regrettons rien. Katia vient se lover contre moi, et nous restons sages jusqu’au retour de notre invité. Lorsqu’il se décide à sortir de la douche, son pavillon est baissé. Il vient se rasseoir à côté de nous. Je propose un petit rafraîchissement que je vais chercher en cuisine. Après s’être requinqué, Stéphane prend l’initiative, il nous demande s’il peut « goûter la chatte de Katia ». Pour ma part, je n’y vois aucun inconvénient. Katia encore moins. Elle s’installe confortablement pour lui donner accès à son fruit juteux.


Dans cet exercice, nous constatons encore la fougue de la jeunesse et l’inexpérience de notre invité. Katia le guide vers ses désirs, lui expliquant comment s’occuper de son petit bouton pour ne pas l’irriter, mais lui donner du plaisir, quand il doit s’occuper de son puits. Il est attentif aux conseils et il est volontaire. Pendant ce temps, je caresse les seins de ma compagne. Stéphane est bon élève, Katia gémit de plus en plus fort, elle calme parfois la fougue de notre complice, les caresses directes sur son clitoris devenu hypersensible peuvent vite devenir douloureuses.


Je change de position afin de faciliter l’attention que je porte à ses seins. Je peux maintenant les lécher en plus de les caresser. Ils deviennent plus fermes au fur et à mesure que la tension monte. Katia cherche à fuir nos langues. Stéphane la retient, il s’agrippe à ses cuisses. Elle fait un dernier effort pour nous repousser, mais rien y fait, elle ne fait pas le poids face à deux hommes qui profitent de ses charmes. Soudain elle soulève sa poitrine, ses tétons sont tendus à l’extrême. Ses gémissements se transforment en cris, je regarde Stéphane qui a la tête prise en étau entre ses cuisses. Katia est partie. Elle a fermé les yeux et profite de sa jouissance imposée. Son corps est tendu comme un arc. Elle met de longues minutes à se détendre et à pouvoir supporter le moindre contact.


Nous l’admirons tous les deux. Elle a un sourire qui en dit long sur ce qu’elle vient de ressentir. Nous nous rafraîchissons une nouvelle fois et profitons d’un temps de récupération bien nécessaire. J’en profite pour mettre un peu de musique d’ambiance. Ça me fait quand même une drôle d’impression d’être nu chez moi avec un invité dans la même tenue et Katia sans plus de vêtements. Je n’ai jamais côtoyé les plages ou camps naturistes, mais je me dis que ça ne me déplairait pas forcément d’essayer pour ressentir cette sensation de liberté.


Nous discutons de tout et de rien tout en dégustant un petit Vouvray moelleux que Katia avait mis au frais dans l’optique de la soirée. Nous échangeons sur nos passions et hobbies. Nous découvrons que Stéphane à deux passions en commun avec moi, en plus des belles femmes et du sport en chambre, ça va de soi, il adore le tennis et le billard. Katia est plus jeux de cartes, ce que je ne déteste pas non plus, mais qui est moins physique. À un moment, Katia se penche vers moi, je pense qu’elle veut m’embrasser, mais elle se rapproche de mon oreille pour me chuchoter :



Je ne rêve pas ! Elle me demande de la partager ! C’est le moment que j’attendais avec excitation et appréhension. Je lui donne le feu vert pour la réalisation de son fantasme et lui chuchote à mon tour :



Stéphane nous observe, je ne sais pas s’il a entendu notre échange, mais il a au moins dû constater que la déclaration de Katia m’a ému, mon sexe s’est redressé instantanément et s’il n’a pas encore compris, Katia se penche vers notre table basse où trônent nos verres et la bouteille, pour ouvrir un des tiroirs où elle se saisit d’une boîte de préservatifs. Ce geste nous permet un bref instant d’admirer son superbe fessier. Je constate surtout qu’elle avait tout prévu et je n’en suis pas fâché, bien au contraire.


Je commence à caresser le flanc droit de Katia, effleurant son sein. Je l’embrasse tendrement en commençant par son épaule, puis son dos. Stéphane fait de même de l’autre côté. Quatre mains et deux bouches gourmandes, que peut demander de plus Katia, à part les deux mâts qui n’attendent que leur moment pour rentrer en action.

Je fais glisser ma langue sur sa peau de son épaule à la naissance de sa fesse droite. Mes mains ne restent pas inactives, je caresse son sein, son ventre, et quand j’arrive à son abricot bien mûr, je rencontre d’autres doigts déjà bien actifs dans sa fente. Mon autre main effleure son dos, de son cou à la raie de ses fesses, en suivant sa colonne vertébrale. Je ne sais pas quels contacts la perturbent le plus, mais elle tremble sous nos caresses. Nos bouches se rejoignent sur chacun un sein. Stéphane se met à l’unisson de ce que je fais. Les deux seins subissent le même traitement. Je la connais, je sais ce qui la fait réagir, alors sur ses deux seins simultanément, qu’elle a très sensible surtout après les orgasmes qu’elle a déjà eus. Je suis sûr que nous pourrions la faire jouir comme ça, mais ce n’est pas ce qu’elle attend. Elle veut nous sentir en elle. Elle veut se rassasier de nos organes virils.


Je prends la direction des événements. Je la fais s’allonger dans le canapé et je fais signe à Stéphane de mettre un préservatif. Il ne se fait pas prier. Pendant ce temps je lèche la petite chatte de Katia pour l’apprêter, je sais que c’est inutile, mais ça me fait un prétexte pour en profiter. Quand notre invité est prêt, je m’écarte pour lui laisser la place. Il se positionne et rentre d’une seule poussée dans ce puits qui m’était jusqu’à présent réservé. Je caresse la poitrine de Katia et l’embrasse tendrement afin de partager ce moment inoubliable. Je regarde ce membre aller et venir tout en donnant du plaisir à ma compagne.


Stéphane se retire, me laissant la place toute chaude et trempée. Elle est bien ouverte, j’y suis comme un poisson dans l’eau. Je coulisse dans ce fourreau que je connais bien, mais ce soir c’est différent, un autre est passé avant moi avec ma bénédiction et je ne le regrette pas. Nous y prenons tous les deux beaucoup de plaisir. Je donne de grands coups de boutoir surprenant à chaque fois Katia. Je sais qu’au rythme où je vais, je ne tiendrai pas longtemps. Je ralentis, profitant pleinement de chaque centimètre en de longues et profondes pénétrations. Un dernier coup de reins rapide et je me retire, laissant à nouveau la place à Stéphane. Katia se retourne nous offrant la vision de son joli petit cul. Notre invité la prend selon son désir, en levrette. Il peut ainsi la pénétrer bien profondément, mais dans cette position sa queue est plus serrée dans cet agréable étui. Stéphane me laisse la place après seulement quelques va-et-vient.


Je la prends dans la même position, la pistonnant tel un métronome afin de faire monter lentement son plaisir. Tous les signes qu’elle m’envoie m’indiquent qu’il n’est pas très loin. Je m’applique à ne pas dépasser le point de non-retour.

Je laisse à nouveau la place à notre compère. Katia a changé de position à nouveau. Elle invite Stéphane à s’asseoir et c’est elle qui vient le chevaucher. J’ai une belle vue sur son joli postérieur qui monte et qui descend, guidé par le pivot qui taraude son écrin lubrifié comme jamais. Ça me donne des envies lubriques, mais je me retiens, me contentant d’admirer le spectacle qui s’offre à moi. Ça me permet aussi de faire redescendre un peu la pression, juste un peu dans de telles conditions, pour être plus endurant après.

Je suis dans mes pensées, je ne réalise pas que Katia me parle.



Je n’ai même pas remarqué qu’elle s’est immobilisée, fichée à fond sur le pieu qui l’investit. Je suis sur mon petit nuage. Je pense que c’est la fatigue accumulée qui fait que j’ai du mal à réagir. Je m’approche des deux corps soudés. Katia me sentant déconnecté, prend la direction des événements. Elle me saisit la queue, qui elle est heureusement toujours en forme, et la dirige vers son œillet. Je pousse alors doucement, lui laissant le temps de se détendre. Elle est toujours immobile, le con rempli et attend que je la pénètre. Je sens son anneau s’ouvrir. Mon gland commence à s’infiltrer. Je sens ses mains sur mes hanches. Je m’arrête de peur de lui faire mal. Je préfère lui laisser le temps de s’ouvrir, mais soudain elle m’attire à elle. Je l’encule jusqu’à la garde. Elle pousse un cri. Je ne sais pas si c’est de plaisir ou de douleur. Elle me demande de ne pas bouger. Je sens le sexe de Stéphane de l’autre côté de la fine paroi qui sépare ses deux orifices, c’est une nouvelle sensation, mais c’est très excitant. Je suis compressé dans ce boyau que je visite très rarement.

Katia se détend et nous dit :



Je suis surpris par son langage qui n’est pas habituel, mais je commence à bouger en elle et Stéphane en fait autant. Pas facile de se synchroniser, mais avec un peu d’entraînement on y arrive. Je demande à Katia si elle aime, elle me répond que oui. Je n’ai qu’un seul regret, c’est celui de ne pas pouvoir voir ses réactions dans ses yeux. Je suis si serré que je sens vite le plaisir arriver, trop vite à mon goût. Je me vide dans son joli petit cul.


Stéphane a, lui aussi, de plus en plus de mal à se retenir. Katia me demande de me retirer une fois que j’ai fini de lui remplir son boyau. Je sais qu’elle attend ce moment pour pouvoir être toute à sa jouissance. Je la regarde se démener sur le vit de notre acolyte. Celui-ci cède rapidement, trop rapidement pour laisser le temps à Katia de jouir.

Je dois m’absenter pour satisfaire un besoin naturel et me rafraîchir. Quand je reviens au salon, Katia se caresse, prête à jouir devant Stéphane qui a repris le rôle du voyeur, sa verge aussi flasque que la mienne.


Katia se cambre, se mord la lèvre, et finalement se libère dans un cri qui me transperce. Ses cuisses se sont refermées sur sa main, tous ses muscles sont bandés à l’extrême. Elle ferme les yeux, elle n’est plus avec nous. Plusieurs minutes plus tard, elle émerge, épuisée, mais visiblement heureuse et comblée.


Je propose d’achever la soirée ainsi et d’aller nous coucher. En ce qui concerne Stéphane, nous n’avons qu’à déplier le canapé. Katia part à la douche et moi je m’écroule et je la sens à peine venir se coller à moi. J’entends dans le lointain « bonne nuit chéri ! Je t’aime ». Le matin, quand je me réveille, je constate que ma belle est déjà levée. Je m’étire, me prélasse un peu à la manière des chats. J’aime prendre mon temps pour poser le pied par terre. Mais je dois me lever, une envie pressante… la nature reprend ses droits. J’entends le rire de Katia, la curiosité me fait aller jeter un œil dans le salon. Katia a la main sous le drap qui recouvre notre invité. Je n’ai aucun doute sur son occupation. Je l’admire en silence, puis avant de rejoindre le coin toilettes. J’interviens :



Les deux acolytes me répondent en cœur « salut ! » avant que Katia ne réponde à ma question :



Notre complice intervient :



Je me rapproche du couple pour embrasser Katia et leur lance :



Quand je ressors de la douche, environ un quart d’heure plus tard, les 2 tourtereaux s’amusent toujours, mais ce n’est plus sa main qui est sous le drap. J’ai une magnifique vue sur son postérieur et sa fente dont la nuisette ne cache plus rien. Au mouvement du drap, j’en déduis que Katia a la bouche bien occupée.



La matinée est déjà pleine de promesses ! Une fois les commandes prises, je file à la boulangerie. Quand je reviens, la table du petit déjeuner m’attend. Le café est servi. Katia m’embrasse à pleine bouche me faisant partager le goût de son amant, ne me laissant plus aucun doute sur le fait qu’elle a bien eu la crème. Nous pouvons nous restaurer et reprendre des forces. J’en ai bien besoin, car le drapeau a du mal à se lever malgré les efforts de Katia. Et je constate que je vais en avoir à nouveau et très bientôt besoin, vu l’appétit de ma belle.


À peine mon café bu, Katia m’entraîne sur le canapé et me déshabille en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Stéphane nous regarde en finissant son croissant.

Je me retrouve allongé sur le canapé avec Katia sur moi. J’ai son abricot à portée de langue pour ne pas dire sur mon nez et ma verge qui n’a même pas eu le temps de se déployer, est dans sa bouche. Elle s’emploie à la faire grandir, difficile de ne pas lui donner raison. Elle sait s’y prendre, et a décidé de faire tout son récital. J’ai même le droit à son majeur dans mon conduit anal ce matin. Elle a vraiment décidé de ne me laisser aucun répit.


Je n’ai pas d’autre choix que de lécher sa petite chatte qui hume bon la marée, et il faut bien reconnaître que je n’ai aucune envie de lui refuser ce plaisir. Il m’est difficile d’ignorer son état d’excitation. À mon tour de glisser un doigt entre ses fesses, et elle m’encourage à continuer, à ce que je comprends. J’en glisse un dans son vagin accompagnant celui qui visite son petit trou. Je les fais coulisser simultanément pour le bonheur de Katia. J’essaie de respirer un peu. J’en profite pour essayer d’apercevoir Stéphane, mais sans succès. Il se trouve à l’opposé. Lui a donc une vue imprenable sur ce que me fait Katia. Katia me laisse un petit répit, se relevant un peu, elle délaisse ma queue puis s’adresse à moi en s’asseyant sur mon visage.



Je ne peux pas répondre, j’ai mon nez dans son cul et sa moule écrasée sur ma bouche. Je ne peux qu’émettre une espèce de borborygme incompréhensible. Elle se décide à se soulever un peu, juste pour me laisser respirer et lui répondre. Mais dans le même temps, elle se ressaisit de mon membre devenu bambou.



Je ne peux pas voir son sourire, mais au ton de sa voix, je suis sûr qu’elle avait prémédité tout ça et qu’elle me manipule pour notre plus grand bonheur à tous les trois. Stéphane s’est rapproché. Il se positionne pour bénéficier d’une vue imprenable sur ce joli cul qu’il aura bientôt le loisir de visiter. Il surveille aussi ma tâche dont je m’applique à réaliser avec beaucoup de précautions. Je recueille les sucs émis par son abricot avec mes doigts pour en badigeonner cette petite rose qui palpite sous mes attouchements. J’y enfonce un doigt, puis deux, histoire de vérifier la résistance de ses sphincters. Je trouve que son petit trou est déjà bien dilaté par rapport à ce qu’il est habituellement. J’en fais part à mes complices et je continue mon travail d’assouplissement de ce conduit si convoité.


Après mes doigts, j’y aventure ma langue. Je déguste en premier sa liqueur féminine puis je la fais tourner tout autour de cette petite étoile en me rapprochant à chaque fois du centre de mes attentions. Quand j’arrive à mon but, la pointe de ma langue se fait joueuse, taquinant par petits à-coups cette cible qui frémit à chaque contact. Puis elle se darde et force peu à peu l’anneau sous les gémissements de sa propriétaire.

J’y dépose toute la salive que mes glandes arrivent à produire. Je replonge mes doigts qui s’y engouffrent encore plus facilement que la première fois. J’y glisse un troisième doigt, la résistance n’est pas la même, mais à force de douceur et de coups de langue sur son clitoris, le passage se dilate pour les accueillir au plus profond de son conduit. Je vois Stéphane se rapprocher, il a déjà enfilé un préservatif et j’ai ses couilles qui ballottent au-dessus de moi. Katia s’affaire à nouveau sur mon chibre, l’engloutissant comme une affamée. Je l’interromps quand j’invite notre invité à se positionner sur sa petite porte.



Il faut juste préciser que j’ai eu l’occasion de goûter à ses dents qu’elle avait serrées involontairement lors d’un essai de sodomie avec un gode très réaliste donc je ne suis pas tenté pour un nouvel essai.

Katia étouffe un petit rire et me répond :



À la surprise de Stéphane, je le prends en bouche pour bien le couvrir de salive. Je fais coulisser mes lèvres quelques fois au maximum de mes possibilités pendant que Katia n’en perd pas une miette. Je satisfais peut-être un petit fantasme homosexuel… à ce qu’il paraît, on en a tous et toutes un !


Je le positionne à nouveau sur sa petite étoile qui palpite d’impatience, (OK, j’en rajoute un peu, mais il est quand même offert volontairement). Je le guide dans ce conduit à la découverte de nouvelles sensations pour lui. Son sexe entre peu à peu. Je le retiens, le fais se retirer pour mieux reprendre possession du terrain conquis. Ça y est, le gland est entré. L’anneau culier enveloppe le membre de notre complice. Il découvre ce plaisir nouveau de sentir les sphincters le serrer telle une bague qui coulisse sur son bâton. Pendant ce temps, je déguste le clitoris de ma compagne. J’ai tout le loisir de voir son membre coulisser dans le conduit de Katia. Je le vois disparaître puis réapparaître progressivement, tout d’abord très lentement puis progressivement, il accélère. J’accompagne ses coups de reins de ma langue sur le clitoris de notre victime consentante.


Malgré sa première jouissance, notre ami ne tient pas longtemps et explose dans le ventre offert remplissant le préservatif après 3 ou 4 minutes seulement. Katia lui demande de se retirer avant d’avoir perdu sa rigidité, car une présence dans son conduit la dérange plus qu’elle ne la comble.


Je veux la prendre, lui donner du plaisir pour la remercier du cadeau qu’elle nous a offert, mais elle n’en a pas décidé ainsi. Elle me maintient dans la position où elle veut déguster sa deuxième banane. Et elle ne me lâche pas avant d’avoir ma crème qu’elle boit avec gourmandise contrairement à son habitude. Toutefois, me tenant ainsi à sa merci, elle s’offre aussi à la gourmandise de ma bouche. Elle ne peut pas résister bien longtemps à l’orgasme qui monte. Je reçois avec plaisir le jus de sa jouissance et le bois moi aussi jusqu’à la dernière goutte.


Une bonne douche s’impose pour tout le monde avant de partir en promenade pour la journée. Pas de fantaisie, mais des moments vraiment agréables de détente et de découverte du paysage culturel local. On a beau habiter une région depuis son enfance, on ne prend pas souvent le temps de visiter les monuments et sites qui font la richesse du terroir. On profite, en général, d’avoir des invités pour cela. Nous en profitons aussi pour faire découvrir à notre invité la cuisine traditionnelle, dans un petit restaurant que nous avons déjà eu la chance d’essayer.


Malheureusement, Stéphane souhaite repartir le soir même, car il est attendu tôt le dimanche matin dans sa famille et donc il préfère rentrer dormir chez lui. Nous offrons, avant son départ, une dernière partie de jambes en l’air à Katia. Je laisse à Stéphane, le loisir de visiter la grotte de ma belle en premier, puis nous nous relayons pour l’emmener au sommet de son plaisir de nombreuses fois. Elle a crié grâce après plus de trois quarts d’heure de jouissance non-stop ou presque. J’ai eu le privilège de jouir en elle le premier et Stéphane a pu découvrir le plaisir de pénétrer une chatte déjà bien remplie du sperme d’un autre.


Stéphane est bien rentré chez lui. Et pour nous, le dimanche a été nécessaire pour récupérer et pour échanger sur nos impressions qui sont plus que positives.



La suite de nos aventures dans un nouveau récit, si cela vous intéresse…