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Temps de lecture estimé : 16 mn
28/05/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Hélène, divorcée, rencontre un autre quinquagénaire. Au cours des récits, il l'entraîne dans des jeux et des expériences qu'elle n'imaginait pas. Malgré ça, la tendresse et le respect restent le moteur de leur relation.
Critères:  fh hagé fagée cadeau caférestau amour fsoumise hdomine noculotte lingerie fdanus jeu init
Auteur : Bruno, le conteur

Série : Hélène

Chapitre 01 / 06
La rencontre

La rencontre




Récit d’Hélène



On ne peut pas me qualifier de canon, mais je ne porte pas si mal ma cinquantaine.

Je ne suis pas grosse, mais je suis loin d’être une maigrichonne. Je suis de taille moyenne, un mètre soixante-dix, avec talons. J’ai un beau postérieur, mes culottes font au moins 46, si ce n’est 48. Mais ma taille est marquée. Ma poitrine est à l’unisson, opulente, sans être imposante, et malgré mon âge elle est restée ferme. Ma cuisse est charnue.

En résumé, j’ai les formes d’un violoncelle.


Mon visage est ovale, avec des traits doux, légèrement empâté, avec un petit début de double menton. Ma chevelure sombre descend aux épaules. J’ai des yeux bruns, soulignés par un début de poches, des sourcils réguliers, avec un regard doux. Ma bouche est petite, mais bien ourlée. J’accentue le dessin de ses lèvres avec un rouge léger.

Bref, ni belle, ni laide, comme tout le monde, sans charme particulier


Enfin c’est ce que je croyais.


Depuis mon divorce, je me consacre uniquement à ma mercerie.

Comme tous les mercredis, je suis en train de ranger mes racks de bobines de fils quand celui qui deviendra mon Pierre entre dans ma boutique.



Je me dirige vers le rayonnage. Mais au passage, ma hanche de dondon – comme disait mon mari – accroche un portant qui pousse une boîte en carton qui commence à glisser. Pour essayer de la retenir, je pivote, mais je trébuche. Mon client essaye de me rattraper, mais je le bouscule et je l’entraîne dans ma chute, ou plutôt sous ma chute. Et me voici à moitié étalée sur le dos, avec mon client comme coussin amortisseur.


En me relevant, mon mouvement m’amène contre lui, quasiment le nez dans son cou. Il sent si bon… Ce n’est pas du parfum ou du déodorisant, ni même un après-rasage. Non, c’est son odeur naturelle.

Un instant passe. Il se dégage doucement de mon anatomie et se relève.


Galamment, il se penche vers moi, me tend la main et m’aide à me redresser. L’espace entre les rayonnages est exigu, et je me retrouve collée contre lui, poitrine contre poitrine. Je l’observe de près. À vue de nez, il a cinquante ans, le visage un peu marqué, le crâne rasé, un joli sourire, et toujours cette odeur délicieuse. En me reculant, je fais tomber les plateaux de bobines et de boutons restés en équilibre instable.



Il met un genou au sol pour écarter les bobines autour de mes pieds. Et fugitivement, je sens une caresse, légère comme une plume, sur mon mollet.



Et, accroupi, il commence à ramasser les articles de mercerie.



Je lui tends une boîte, j’en prends une aussi, et je m’accroupis pour collecter ma mercerie. Le ramassage est presque fini ; je tends la main pour attraper la dernière bobine, mais il la récupère avant moi, et pendant un court instant je pose la main sur la sienne. Nous nous relevons de concert.



J’éclate de rire et lui aussi.



Pierre prend son ruban, paye, et je le raccompagne à la porte.



Ce vendredi soir, il fallait que j’aille à l’AG de l’association culturelle et musicale. J’arrive avec cinq minutes d’avance et je prends place sur une chaise pliante quand je sens l’odeur douce de mon gentleman.



Puis il se tait : l’allocution du président commence. Au bout d’une demi-heure, je commence à m’agiter sur mon siège, autant à cause de l’inconfort de la chaise que de l’ennui savamment distillé par chacune des interventions. Je me tourne vers Pierre ; lui-même croise mon regard.



Nous nous éclipsons sans presque nous faire remarquer.

Un coup de voiture et nous voici assis, face à face devant un assortiment de sashimi, de sushi et de california rolls. Entre deux bouchées, je lui raconte ma triste vie, mon mari qui me trouvait grosse, son départ avec une plus jeune, mon divorce.

Il est lui aussi séparé, mais visiblement il l’a pris mieux et il émaille le récit de son divorce d‘anecdotes qui me font pouffer.

Et le moment de quitter le restaurant et de nous séparer arrive.



Je veux prolonger ce petit moment de calme bonheur et j’accepte aussitôt. Il se gare en bas de mon petit immeuble, descend pour m’ouvrir la portière et me tend la main pour sortir de la voiture. Nous sommes là, tous les deux plantés sur le trottoir, aucun ne voulant quitter l’autre.



J’ouvre la porte de l’immeuble et lui prends la main. Je l’entraîne dans l’escalier, puis dans mon appartement. Dans l’entrée, je me retourne vers lui et, dans un accès de folie, comme on se lance à l’eau :



Je lui prends les lèvres ; je titube, je me raccroche à son cou, et toujours cette délicieuse odeur.



Et je le tire vers ma chambre. Il lève la main pour chercher l’interrupteur.



Il laisse retomber sa main et ajoute :



J’appuie mon dos sur sa poitrine ; il déboutonne mon chemisier. Se baissant, il dégrafe le gros grain de ma jupe et la fait glisser, découvrant pour la première fois mon fessier imposant. Il fait glisser le collant (le dernier que je porterai en sa présence), m’en débarrasse en même temps qu’il m’ôte ma culotte et me déchausse.


Ses mains remontent le long de mes mollets, puis de mes cuisses et s’arrêtent sous mes fesses. Il dépose alors un baiser sur chacune d’elle.

Il se relève, m’enlève mon chemiser, dégrafe mon soutien-gorge, l’écarte et soulève mes seins en posant un doigt sur chacun des tétons.

Je soupire.

Ça faisait si longtemps que je n’avais pas eu affaire à un homme délicat…


Je me retourne et je déboutonne sa chemise. Je découvre une poitrine et un ventre imberbes avec un léger bedon. Je m’agenouille, desserre sa ceinture et descends ensemble le pantalon et le caleçon.

Un beau membre – en fait le plus beau que j’ai connu de toute ma pauvre vie insipide de femme mariée et fidèle – jaillit sous mon nez. Je le prends en main, et j’apprécie sa taille. Je m’approche ; il sent aussi bon que son propriétaire. J’ouvre ma bouche et entoure son gland d’un long coup de langue. Quelle douceur !


Il me relève et m’entraîne vers le lit où il me fait tomber (exprès cette fois-ci). Nous nous enlaçons et nous embrassons passionnément. Puis il se dégage doucement et pose ses lèvres sur mes seins. Il fait rouler mes pointes, les faisant grossir et durcir. Sa main gauche fouille dans mon duvet et pénètre ma chatte. Je sens ses doigts écarter mes lèvres et pénétrer ma grotte. Je coule littéralement sous ses caresses.


Sa bouche abandonne mes seins pour glisser vers mon sexe. Pierre commence à lécher, puis brouter mon minou. J’attrape sa verge et entreprends de le branler quand sa main bloque la mienne.



Il revient à mon sexe et aspire mon suc. Sa langue descend vers mon anus, le flatte, puis remonte vers ma fente et s’agite dans ma chatte. Je perds pied, et je plaque sa tête sur mon sexe. Les ondes de plaisir irradient de mon bas-ventre.

Il remonte mes cuisses pour accéder à mon œillet, qu’il se mit à laper. J’halète, je soupire, je geins, mes mains se serrent convulsivement.


Puis, de deux doigts, tout doucement, il décapuchonne mon clitoris. En même temps, il enfonce doucement son index dans mon anus. Ce dernier, peu habitué à cette invasion, se crispe, mais cette zone est suffisamment lubrifiée pour qu’il perfore sans peine et sans douleur mon oignon. Alors il donne un coup de langue râpeuse sur mon clitoris décalotté.


C’en est trop. Je lâche prise dans un orgasme éblouissant.


Je reviens à moi, tout alanguie, la tête sur la poitrine de Pierre. Je me redresse sur un coude, je l’embrasse, et sa langue m’envahit. Nous échangeons un ardent baiser.


Je glisse légèrement le long de son corps et j’empoigne son vit, toujours dressé. Je donne un rapide coup de langue sur le gland et recueille le liquide suintant de son méat.



C’était la première fois que j’entends ce qualificatif pour mon sexe.



Son préservatif enfilé, il s’allonge sur moi. Son membre s’introduit dans ma grotte ; il commence à aller et venir doucement. Les vagues de chaleur remontent de mon vagin. J’approche son visage et je l’embrasse goulûment. Nos langues se nouent et se dénouent convulsivement.

Le tempo s’accélère, je lâche sa tête et je plante mes ongles dans son dos. Encore quelques allers et retours, il se raidit…

… et soudain, son et lumière, puis plus rien : la petite mort !


____________________



La sonnerie du réveil me tire de mon sommeil ; je m’étire comme une chatte repue. Je tends le bras vers le côté gauche du lit : personne.

Sur le plan de travail de la cuisine, un papier avec ces simples mots :


« Merci pour cette excellente soirée. »



Les larmes me montent aux yeux : ainsi je ne suis qu’une passade d’un soir, un coup vite fait.


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Rouge



Une semaine passe, sans nouvelles, triste comme un ciel de novembre. Avec tristesse, je me fais à l’idée que ce court moment hors du temps ne se renouvellera plus.


Arrive un deuxième vendredi sans signe de vie. Je suis dans l’arrière-boutique pour ranger ma commande quand la sonnerie de l’entrée du magasin retentit.



Je laisse tomber ma boîte et je cours dans la boutique.

Il est là ! Je manque de lui sauter au cou, mais je me bloque et lui tends la main.



Je m’approche de lui et, au moment de poser mes lèvres sur sa joue, je me colle à lui, le souffle court. Mes formes se moulent à son corps. Mes lèvres glissent de sa joue à sa bouche. Ma langue force ses lèvres et se noue à la sienne. Il m’enlace aussi ; sa main droite glisse doucement et s’arrête sur mon cul. Elle y reste une seconde, puis remonte.



Et pour être sûre d’être bien comprise, j’ajoute :



Deux anges passent… puis nos corps se désunissent.



Une cliente entre, mettant fin à cet instant hors du temps. Pierre passe la porte, se retourne.



Il s’éloigne, me laissant émue comme une midinette.


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Le samedi à dix-neuf heures trente, l’interphone sonne.



Sortant de la douche, je l’accueille en peignoir.



Il me tend une boîte plate, assez large, allongée. Avec un gros nœud en Bolduc : des chocolats ?


Je pose la boîte sur la table, ôte le ruban et soulève le couvercle. J’écarte le papier de soie. Je reste bouche bée. Je lève les yeux vers Pierre :



Je baisse à nouveau les yeux. La boîte contient une superbe parure rouge : un soutien-gorge à coque, avec un motif floral en dentelle, un serre-taille à jarretelles, et deux culottes : une très large et très enveloppante culotte italienne, puis une culotte de forme plus classique, toutes les deux en dentelle.

Pour accessoiriser le tout, deux paires de bas Cervinho à couture.



Je me réfugie dans ma chambre. J’enfile la grande culotte. Impeccable, c’est ma taille ; et quel confort ! Mais je l’ôte pour essayer le reste de la parure. J’ajuste le serre-taille, je glisse les bas sur mes jambes et les agrafe. Par-dessus, je passe la culotte classique.

Pour finir, j’emboîte mes seins dans le soutien-gorge. Maintenant, je dois sortir devant un homme, en petite tenue, pour la première fois depuis ?

Je pousse la porte et je m’avance.

Pierre pousse un « Oh ! » admiratif.



Juste à ma droite, il y a le placard à chaussures. Je me penche et farfouille à la recherche de mes escarpins. Je trouve enfin mes talons de huit centimètres.

Pendant cette recherche, Pierre n’a rien perdu du spectacle de ma croupe exposée à travers la dentelle de la culotte. Je me redresse, et je chausse mes talons.



Il met un genou au sol et réajuste la couture de mes bas au milieu de mes mollets. Cette caresse me rappelle celle, fugitive, de notre première rencontre. Et remontant ses mains sur mes cuisses, il procède au même ajustement. En plus de ses mains, je sens son souffle sur mes jambes, au-dessus de la lisière des bas. Je frissonne, mais pas de froid.

Il se relève, rompant le sortilège.



Je ne me reconnais pas dans l’image que me renvoie la glace. Est-ce moi, avec cette taille étranglée et ce cul cambré et rebondi, ces cuisses et ces mollets tendus ? Quant à ma poitrine, elle et magnifiée par les coques du soutien-gorge.

Je me tourne et me retourne devant le miroir, heureuse de retrouver ma pleine (très pleine) féminité.

Pierre sourit, n’en perdant pas une miette.



Je m’éclipse dans ma chambre et j’enfile l’ensemble que j’avais préparé : chemiser blanc, veste courte et jupe à quatre plis s’arrêtant au genou. Je laisse la culotte italienne au milieu du lit, à côté du collant inutile.

Je me présente à lui, dans le salon, superbe, sûre de mon charme et de ma sensualité. En effet, les dentelles rouges du soutien-gorge transparaissent à travers le chemisier. Il me fait tourner sur moi-même ; la jupe vole, dévoilant mes cuisses barrées par les jarretelles.

Il vaut mieux que je ne me penche pas.


En cinq minutes de 4x4, nous voici au restaurant. Je fais les quelques pas qui séparent notre véhicule du restaurant, accrochée des deux mains au bras de Pierre, et pas seulement parce que j’ai peur de trébucher sur mes talons.



Une fois installés, je me déchausse le pied droit et le pose sur le sien. J’attrape aussi sa main, sur la table. Je n’ai pas l’intention de le laisser jamais partir.

La commande est vite passée : antipasti, scampi, funghi, et surtout nous réservons un tiramisu double pour deux. Pierre hésite à commander une bouteille entière de Lambrusco, mais le sommelier le convainc en lui proposant de l’emporter.


Après les antipasti, je lui pose la question qui me taraude depuis une heure :



Silence.



Puis il enchaîne :



Nous nous interrompons ; les plats arrivent, et nous leur faisons honneur.



Le serveur présente le tiramisu géant et le partage entre nous deux.

Pierre me ressert un verre de Lambrusco.



Après une bouchée de tiramisu, Pierre reprend :



J’hésite, puis je me décide. Je dois être cinglée !

Je tire la nappe pour me cacher, je trousse ma robe et je glisse mes mains pour attraper ma lingerie, puis je la fais glisser sur mes cuisses. Elle passe mes genoux et tombe sur mes chevilles. Il se penche, regarde sous la nappe. Je tends ma jambe ; il récupère ma lingerie et la glisse dans sa poche.



Je suis rouge pivoine, mais finalement assez fière de mon audace.



Cafés, addition, pourboire, et nous voici dehors avec la bouteille dans un sac. Je m’accroche à son bras et nous retournons au 4x4. Comme à l’aller, il m’ouvre la portière. Comme je m’installe, il me murmure :



Sans hésiter, je me trousse et m’assois, les fesses directement au contact du cuir, en le regardant avec un air de défi.


En un instant, nous nous retrouvons dans l’escalier de mon immeuble. J’ai gravi les quatre premières marches quand je sens sa main sur mon mollet. Je m’arrête, comme pour l’inviter à monter plus haut.

Ce qu’il fait, dépassant la lisière du bas, caressant le gras de ma fesse et s’insinuant dans ma fente, déjà humide. Je soupire ; il insiste et câline mon anus du pouce. Je me fais doigter le sexe et l’anus dans l’escalier de mon immeuble : je suis devenue complètement folle !



Je relève ma jupe et lui offre le spectacle demandé en accentuant le roulis naturel de mes fesses.

Une fois dans l’appartement, je le plaque contre la porte, et avant de lui prendre les lèvres je lui murmure :



Il me rend mon baiser avec passion, ses mains se plaquent sur mon cul mis à nu.

Il me pousse dans ma chambre et me fait tomber sur le dos dans le lit, sans me déshabiller. Il entame un broutage de minou déchaîné. Puis, reprenant son souffle, il fait glisser ma jupe et passe mon chemisier au-dessus de ma tête, me laissant en sous-vêtements.


Je l’embrasse goulûment et le débarrasse de ses vêtements. Il me repousse doucement sur l’oreiller et retourne à mon minou. Un coup de langue sur le clitoris me fait disjoncter.


Sans pitié, il me retourne, me met à quatre pattes et introduit son vit dans mon sexe. Puis, m’attrapant les hanches, il entame une levrette frénétique. Au moment où je perds pied, il introduit son pouce dans mon anus. Cette intromission déclenche une vague nerveuse qui m’achève ; je m’écroule sous la puissance de cet orgasme.


Lorsque je reprends pied, je suis débarrassée de mes dessous, mais seule.

J’entends alors le bruit de la douche. J’entre dans la salle de bain et je me glisse sous l’eau avec lui. Pour la première fois, je le vois en entier, nu. Il est presque imberbe, avec un léger bedon, presque attendrissant. Je pose la main sur ses fesses ; elles sont dures et pommées, de même que ses cuisses (j’apprendrai plus tard qu’il pratique le ski depuis ses cinq ans).


Après cette douche, nous nous essuyons l’un l’autre et nous retournons dans la chambre. Au passage, il récupère le sac avec la bouteille et – ô surprise ! – le patron du restaurant y a ajouté deux flûtes. Il tamise la lumière, emplit les deux flûtes et nous trinquons, lui assis, moi allongée, la tête posée sur sa cuisse, sa queue à portée de bouche.

Puis il se coule contre moi et commence à me caresser en me suçotant les seins.



Sa queue reprend de la vigueur et il me pénètre doucement. Ses mouvements sont très lents, délicats, et me bercent dans une mer de sensations agréables. L’orgasme qui suit est très doux, presque paisible, et je sombre pour la deuxième fois dans une petite mort pleine de tendresse.


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Je suis réveillée par une sensation de vide à mes côtés. Je me retourne ; il est debout, en train de glisser sa chemise dans son pantalon.



Le temps s’arrête un instant.

Puis il se déshabille et se glisse dans mon lit. Il me tourne sur le côté droit et se colle contre mon dos, puis il soulève ma fesse gauche et glisse son sexe entre mes deux hémisphères, contre mon œillet. Il glisse son bras sous mon aisselle et saisit mon sein gauche.


Je m’endors comme ça, sa verge entre mes fesses, et sa main sur mon sein.

Et je connais ma première nuit de tendresse avec celui qui est devenu mon amant et qui deviendra mon sultan bien-aimé.


Mais ça, c’est une autre histoire…