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n° 17425Fiche technique30345 caractères30345
Temps de lecture estimé : 16 mn
13/06/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Pierre invite Hélène chez lui pour le week-end. Après une soirée ardente, Hélène prend l'initiative. Puis les deux amants complètent l'assortiment de dessous d'Hélène. Mais que s'est-il passé dans la cabine d'essayage ?
Critères:  fh hagé fagée couple essayage douche amour lingerie fellation anulingus fdanus init
Auteur : Bruno, le conteur  (Bruno)

Série : Hélène

Chapitre 02 / 06
Hélène 1.2 Lingerie

Résumé de l’épisode précédent :

Hélène quinqua divorcée se laisse aller, mais un invraisemblable concours de circonstances la met en contact avec Pierre, lui aussi quinquagénaire séparé.

Ils sympathisent, et Pierre improvise une soirée au restaurant.

Quand il la dépose devant son immeuble, ils sentent le besoin de rester ensemble. Hélène l’entraîne dans son appartement, mais après une communion sensuelle et pleine de tendresse, Pierre disparaît, et laisse sa conquête désespérée.

Une semaine après, il réapparaît et lui offre une splendide parure rouge pour lui montrer toute l’attention qu’elle lui inspire.



Récit d’Hélène


Depuis cette deuxième nuit, nous prenons des habitudes charmantes, et petit à petit, je me sens de plus à l’aise, presque impudique avec Pierre. Je me promène nue dans l’appartement, heureuse de sentir son regard, et son désir sur mes formes. Je ne lui cache plus rien de moi.


Un mercredi soir, après l’étreinte, couchés en petite cuillère, l’un dans l’autre, sa main sur mon sein. Il me fait cette invitation.



Le samedi, vers dix-neuf heures trente, Pierre passe à la boutique. Mon petit baise-en-ville est prêt, avec les fameux dessous rouges.

Le trajet est court, jusqu’à la maison. Pierre ouvre la porte.



La maison est grande, mais classique, un grand salon, une belle cuisine au rez-de-chaussée, une salle de bain et l’ancienne salle de jeu des enfants reconvertie en chambre d’amis. Puis Pierre m’invite à monter au premier, et me laisse passer devant pour profiter du spectacle de mon cul roulant sous la jupe. Il me rattrape sur le palier, et me précède dans le corridor.



Il m’ouvre une autre porte et me laisse le précéder.



En fait, il s’agit plutôt d’une suite, La pièce occupe la moitié de l’étage. Au milieu, la chambre, avec deux fenêtres entourant une commode supportant la télévision. En face, un grand lit du même bois rouge que le parquet avec deux tables de chevet assorties.

Il me guide vers le dressing, les rangements sont seulement occupés par des vêtements d‘hommes, ou vides. Un fugitif instant, j’imagine les portants avec mes robes et les tiroirs renfermant mes dessous. Pierre s’est placé derrière moi, il saisit mes hanches et pose son menton dans le creux de ma clavicule.



Je me retourne, en l’attrapant par la main, et je me dirige vers la salle de bain, aussi grande que le dressing. Rien que du classique, lavabo, sèche-serviettes et une baignoire. Mais quelle baignoire ! On y tient facilement à deux, peut-être à trois. Je repère le tableau de contrôle digital, sur fond bleu.



Pierre pianote sur le clavier, et les deux buses remplissent la vasque.



J’appuie sur un bouton, des lampes s’allument et l’eau se colore, en rose, en vert puis bleu et enfin jaune. J’essaye le contacteur suivant, des bulles et des remous percent la surface de l’eau.



Je me retourne et je le débarrasse de sa chemise pendant qu’il déboutonne mon chemisier et me l’enlève. Il glisse ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. J’en profite pour frotter mes tétons contre sa poitrine. Il pose ses lèvres sur les miennes et me prodigue un baiser tout en douceur.


Puis je l’écarte et je m’agenouille, je fais glisser ensemble le pantalon et le boxer. Sa verge s’érige superbe, j’approche ma bouche.



Il me relève, et m’entraîne dans la baignoire. Depuis notre deuxième nuit, j’adore la douche à deux. Alors le bain en amoureux, avec les bulles, les remous, et la luminothérapie, quel bonheur !

Pierre me savonne en jouant, massant et pinçant mes rondeurs, mon cul et mes seins. Il en profite pour me mordre la nuque et parfois même un bout de sein ou une fesse. De mon côté, je lui savonne les bourses, puis son beau membre.


Je m’adosse à lui, sa main se pose sur mon sein et agace mon sein, je me tourne mon visage vers lui et je pose mes lèvres dans son cou. Son autre main caresse mon mont de Vénus, puis glisse vers mon clitoris. Je halète doucement, et je me retourne vers lui. Il libère ma poitrine et glisse sa main vers mon cul. Il écarte mes fesses, son majeur masse mon petit trou et frappe à la porte de derrière.



Puis un deuxième visiteur veut rejoindre le premier. Je suis doublement élargie.

Les deux coquins s’avancent et reculent sans me forcer. Je suis étonnée, je ne ressens aucune douleur, juste une onde de chaleur qui irradie de mon anus et s’ajoute à celle produite par mon bouton d’amour.


Enveloppée par la douceur tiède de l’eau, prise par-derrière, masturbée par-devant, je prononce des mots sans suite, je gémis, puis je délire murmurant « Merci, mon chat, pistonne-moi, Chéri, branle-moi c‘est trop bon. »

Je saisis sa verge et la serre.


Un premier spasme me prend, la vague descend, puis remonte et j’explose dans un deuxième spasme. Je reprends mes esprits dans un océan de tendresse et de bulles colorées.



Il prend la pomme de la douche et nous rince. Nous sortons de la baignoire et nous nous épongeons l’un l’autre, encore une occasion de se tripoter.


Une fois sec, Pierre se dégage de mes mains et fouille dans un placard et me donne un paquet enveloppé de papier de soie avec un ruban. J’en sors un splendide kimono de soie orange, gris et vert, avec la ceinture assortie et une pièce du même tissu à nouer en turban. Je le passe, noue la ceinture, et dresse ma coiffure. Pierre me tend une paire de mules à talons. Ces talons me cambrent et la ceinture qui me serre la taille me fait un cul de jument. Mes tétons, frottant sur la soie, se sont érigés et durcis.



Et tout doucement, je le pousse en arrière dans la chambre, puis je le fais trébucher et tomber sur le dos dans le lit. Je monte sur le lit et je me mets à genoux, lui offrant le spectacle de ma poitrine pendant et ondulant en liberté. Il est nu, en érection, sur le dos. Il est à ma merci.



Je me penche et je décalotte son gland. N’y tenant plus, je l’embouche, il est délicieux. Je le suce, je le caresse avec ma langue et je l’engloutis.



Je lui obéis, et m’active de haut en bas. Je l’entends soupirer, son épieu durcissant et gonflant dans ma bouche. C’est la première fois que j’ai un amant aussi vigoureux entre mes lèvres. Il pose doucement ses deux mains sur mes joues et accompagne le mouvement de ma tête.


Je sens alors un premier spasme courir dans son membre, puis un deuxième. Je veux reculer ma bouche, mais sa main bloque ma nuque. Je ne résiste pas. Il éjacule dans un troisième spasme. Je garde sa semence dans ma bouche, c’est doux, léger, comme une crème chantilly légèrement salée.

Je lève le regard, et les yeux dans les yeux de mon amant, j’avale sa production, puis je passe ma langue sur mes lèvres comme une chatte gourmande. Je me couche à ses côtés.



Dans la cuisine, Pierre improvise une salade de tomates et d’avocats, équeute quelques fraises, met le tout dans un plateau, ajoute les couverts, deux flûtes et une bouteille de Vouvray, opportunément mise au frais.



Je passe devant, ondulant du croupion dans l’escalier, heureuse de mon impudeur. Nous nous asseyons en tailleur, le plateau entre nous.

Dans cette position, avec la complicité du kimono qui glisse sur mes cuisses, je découvre ma légère toison au naturel, ainsi que ma poitrine en liberté.

Pierre n’en perd pas une miette, et la dernière fraise dévorée, il dépose le plateau, dans le dressing, et revient m’assaillir.

Il m’allonge doucement, puis embrasse doucement mon mont de Vénus et entreprend de dévorer le minou, pénétrant ma fente de sa langue, mâchouillant mes lèvres, léchant mon clitoris.

Arrivée à la limite de l’explosion, il me retourne sur le ventre, remonte le kimono et dévoile mon cul, puis il écarte mes fesses et pose un baiser sur mon anus. Il dépose un peu de salive sur mon cratère et passe plusieurs fois sa langue râpeuse dessus. Puis il entreprend de forcer cette ouverture. Mon sphincter cède avec plaisir et il en profite pour introduire sa langue.

Mon anus stimulé par cette caresse, je commence à roucouler sous cette pénétration délicate. Puis il entreprend de manger mon œillet, je sens ses dents mordiller mon muscle anal. Il se redresse pour contempler son œuvre. Excité par ces caresses, mon œil de bronze ne se referme pas complètement.



Jamais on ne m’avait prodigué cette caresse si intime et si douce.

Pierre replonge dans mon cratère, il m’encule avec sa langue, tournant fouillant, explorant chaque recoin de mon rectum. Je me cambre pour faciliter cette feuille de rose. Puis j’ouvre mes fesses à deux mains pour mieux m’offrir à cet envahissement. Du côté face, sa main agace mon bourgeon.

Sous ces deux assauts conjugués, j’ondule du cul, avec des gémissements entrecoupés de petits cris, et des « encore, mon chéri », « bouffe-moi, mon amour ». Lorsque la tension est au maximum, il me pince le clitoris et m’envoie dans un orgasme intense.


Quand je redescends sur terre, nous sommes emboîtés l’un dans l’autre, en petite cuillère. Je me cale, dos à lui, emboîtant mon cul dans son ventre et posant d’autorité sa main sur mon sein. Puis doucement, nous sombrons dans le sommeil.


Quand je me réveille, Pierre a quitté notre lit. Sa maison est beaucoup plus silencieuse que mon appartement. Je tends l’oreille, et j’entends quelques bruits au rez-de-chaussée. Je me lève, et chausse mes mules. Je descends silencieusement l’escalier, vêtue de mes formes et de ma seule nudité.


Pierre s’active dans la cuisine et range notre vaisselle de la veille dans la machine. Il ne porte que son boxer, et une chemise non boutonnée. Je me colle à son dos par surprise.



Et je lui remonte sa chemise pour qu’il sente les pointes de mes seins érigées contre son dos. J’ondule contre son dos, stimulant mes tétons contre sa peau. Débarrassé de sa chemise, je fais glisser son slip. Puis je m’emballe comme une jument folle.

D’une main je m’empare de ses couilles et de l’autre j’empoigne sa belle verge. Je me plaque contre lui, et je l’embrasse dans le cou, et lui fais un suçon. Ma main s’agite sur son beau membre, qui se raidit. C’est bon, il est à point. Je le retourne, le coince contre le mur de la cuisine. Je lui chuchote en délirant :



D’une main j’attire une chaise et je pose dessus mon pied gauche. Ma vulve s’ouvre, je glisse dedans le pénis de mon amant et j’entreprends de m’empaler, en allers et retours. Dans une tentative désespérée de reprendre l’initiative, Pierre m’introduit son majeur dans l’anus. Cela m’excite encore plus et j’accélère le rythme jusqu’à un orgasme si brutal que j’en ai les jambes tremblantes. Je m’accroche à mon chéri, sa verge toujours ancrée en moi. Et je reste silencieuse, juste mon souffle qui se mêle au sien. J’apprécie ce bonheur de sentir tout le corps de mon Pierre comme moulé dans le mien. Quel bonheur d’avoir des formes !



Tendre et doux silence, l’un contre l’autre ou plutôt l’un dans l’autre.



Je le libère à regret, et me dirige vers la salle de bain, en sentant sa semence glisser le long de mes cuisses. J’essaie maladroitement de limiter la fuite avec la main. Enfin, j’arrive au receveur de la douche. Je libère ma main et ouvre les robinets. Je cherche du regard un savon quand je vois entrer mon chéri, avec son petit sourire en coin.



Il ouvre un placard, sort un flacon rose et un autre orange, puis entre sous la douche. Il met une noix de liquide rose et commence à me savonner, d’abord les seins, les aisselles puis le ventre, et ma chatte, tout en échauffant mon petit clito. Il me fait pivoter et me lave le dos, puis les cuisses et mon valseur. Ensuite il écarte mes fesses et glisse un doigt lubrifié par le savon dans mon cratère intime.


Depuis notre première rencontre, j’apprécie cette intrusion. Mais un second doigt se joint à son voisin, testant l’élasticité de mon œillet.

Pierre les fait tourner comme s’il cherchait à ovaliser mon anneau plissé.



Pierre retire ses doigts, je me retourne vers lui.



Je me blottis contre lui.



Il me prend le visage.



Et il me roule « un patin d’enfer » tandis que je ventouse mon corps nu au sien. Un ange passe. Nous nous séparons. Je m’enroule dans un drap de bain et je me dirige vers l’escalier. J’ai le pied sur la deuxième marche quand je sens son regard sur moi. Sans me retourner, je défais le drap qui me cache, le laisse tomber. Puis je monte l’escalier en faisant rouler mon cul. J’entends un sifflement d’admiration qui me fait éclater de rire.

J’étais en train de revêtir mon ensemble rouge, quand il me rejoint dans la chambre.



Il met un genou sur le parquet, et agrafe les six fixations. Je me retourne, ma fourrure intime à hauteur de son visage.



Je m’assois pour enfiler mes bas à couture, il se place derrière moi et empaume mes seins.



J’étais en petite tenue, et en porte-jarretelles.



Il me regarde du haut en bas.



J’enfile une robe beige, aux genoux, à larges plis. Son tissu suit l’ondulation de mes hanches quand je marche avec des talons. C’est aussi un choix tactique. Elle est assez longue pour cacher que je suis en porte-jarretelles.

Mais je peux aussi dévoiler la lisière de mes bas et la peau de mes cuisses si je la fais tourner, comme pour un essayage, ou quand je m’assois en voiture ou quand j’en sors.


Pierre me conduit chez un magasin de lingerie, à Nogent, dont il connaissait depuis longtemps la propriétaire. Mais je passe la plume à mon coquin pour la suite de cette nouvelle. Je la reprendrai plus tard pour vous conter ce que Pierre n’a pas vu.



Et elle me colle une bise sur la joue droite.



Sans attendre, elle lui claque deux baisers en aller-retour sur chaque joue.

Odile est grande et longiligne. Un visage triangulaire, des yeux clairs et des cils interminables. Hélène parcourt le magasin du regard, clair spacieux, des tiroirs partout.

Odile la sort de sa rêverie.



Odile virevolte de tiroir en tiroir et accumule les soutiens-gorge sur la table au milieu du magasin.



Odile sourit.



Odile farfouille dans les tiroirs. Elle m’interroge.



Odile prend les articles, et se rend devant la cabine.



Hélène est déjà en sous-vêtements. Odile l’apprécie de son œil d’experte.



Odile se retire, laissant la nouvelle parure sur un petit tabouret dans la cabine, et revient dans le magasin.



Odile glisse un doigt entre le cou et le col de chemise de Pierre et découvre le suçon.



La voix d’Hélène monte de la cabine d’essayage :



Odile s’approche de la cabine et en riant, et s’adresse à Hélène.



Et Odile pénètre dans la cabine. J’entends des chuchotements, des éclats de rire, puis Odile ressort.



Hélène sort de la cabine, juchée sur ses talons, le galbe-taille lui gommant son petit bedon et lui cambrant les fesses. La grande culotte camoufle le valseur incendiaire de ma belle.



Hélène pivote sur ses talons.



Les essayages continuent, un vrai défilé.

Hélène entre et sort et à chaque ensemble ajoute un commentaire.



Et ces rires et gloussements dans la cabine. Sans compter les ajustements qu’Odile effectue sur Hélène, sous mes yeux. Je n’en peux plus, les yeux me sortent de la tête. Encore une présentation, et j’ai une attaque cardiaque. Le stock est épuisé, et c’est l’heure du choix. Odile étale les modèles essayés. Hélène sélectionne trois modèles.



Pendant qu’Hélène se réajuste en cabine, Odile me prend à part.



Ma chérie sort de la cabine, toute pimpante avec sa robe évasée autour des hanches.



Nous suivons son conseil, nous commençons à nous gaver de mezzés.



Et Hélène reprend ce récit, à la troisième personne, au moment où elle entre dans la cabine.



Odile pénètre dans la cabine. Hélène s’est déjà déshabillée, ses seins se sont libérés du soutien-gorge, mais elle a gardé le reste de la parure rouge.



Hélène hésite puis se débarrasse de ses sous-vêtements. Elle est nue devant cette si belle femme. Elle a gardé ses talons, et ses bas qui glissent sur ses cuisses.



Odile lui passe le serre-taille et entreprend de l’agrafer.



Odile se penche pour fermer le galbe-taille. Son souffle effleure la croupe de sa cliente. Hélène est troublée. Odile pose un léger baiser sur la chair satinée.



Et Odile s’agenouille, puis elle prend Hélène aux hanches et la fait pivoter face à elle.



Odile remonte la culotte et s’arrête juste au-dessus du genou. Son visage est à la hauteur de la vulve de sa cliente. Sa respiration s’accélère.



Et posant sa main sur le mont de Vénus, elle ajoute :



Elle s’approche, son souffle agite légèrement la toison d’Hélène. Mais la belle l’arrête.



Et au passage, elle lui vole un baiser sur les lèvres. Je passe le soutien-gorge :



Odile passe derrière, dans le dos d’Hélène, et la place face au miroir, règle les bretelles.



Et dans un geste sensuel, elle glisse un doigt entre le sein et le tissu, chatouillant la pointe, et soulève les deux coques pour replacer les seins d’Hélène.



Hélène, surprise, éclate de rire, Odile aussi. D’un coup, la tension retombe.



En guise d’accord, la belle lingère l’embrasse.



Un silence complice. D’un coup, Hélène me fait cette demande :




À suivre