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n° 17413Fiche technique33907 caractères33907
Temps de lecture estimé : 21 mn
06/06/16
Résumé:  Je suis ingénieur et mon épouse travaille dans la même boîte que moi. Je viens de me rendre compte que lors de mes déplacements professionnels, Isabelle me trompe en allant dans un club libertin avec une amie.
Critères:  ff fhh fhhh fbi danser intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio partouze gangbang champagne -extraconj
Auteur : Izoumi  (Ingénieur civil, marié, cocu pas à peu près.)

Série : Cocu, je ne lui pardonne pas, par contre je l'aime

Chapitre 01 / 05
Cocu, mais pas à peu près

Un peu d’info sur moi et ma conjointe. Mon prénom est Sébastien, mais tout le monde m’appelle Seb. J’avais 30 ans lorsque cette histoire a débuté. Je mesure 1,81 m et je pèse 80 kg. J’ai fait mes études au Québec et j’ai été gradué comme ingénieur civil à l’âge de 20 ans et je me suis spécialisé dans la construction de routes et de ponts. À 22 ans, j’avais ma maîtrise en architecture de l’ordinateur. Je suis un peu en avance sur mon temps.


J’ai immigré en France, car un chasseur de têtes m’a trouvé un boulot payant dans une grosse boîte française. Je suis marié à Isabelle qui est française et que j’ai rencontrée dans la même boîte où je travaille. Elle avait 28 ans à l’époque, pesait 61 kg et mesurait 1,70 m. Elle est blonde naturelle et fait du 90 C et a les seins en forme de poires. Elle est d’une beauté rare. En la voyant, je suis tombé amoureux fou d’elle. Nous travaillons tous les deux pour une boîte de génie-conseil qui a des contrats de construction de routes et de ponts partout dans le monde. Elle s’occupe de la facturation avec les fournisseurs. Elle s’assure que le matériel nécessaire arrive à temps et au bon endroit pour réaliser le contrat.


Elle travaille 4 ½ jours par semaine. Elle termine à 12 h le vendredi. Je n’ai jamais eu l’occasion de voyager à l’extérieur de l’Europe pour réaliser un contrat. Ici, je suis la personne qu’on envoie sur un chantier afin de réparer les pots cassés. Mon dada est l’informatique et je suis très bon dans ce domaine, comme un vrai pirate.


Tout a commencé un vendredi matin. Robert, qui est l’homme de confiance du grand patron Serge, m’appelle pour me demander de me rendre sur un chantier à Bordeaux, car il y a un problème de machinerie et celui-ci doit être réglé pour lundi matin sinon on devra payer les hommes à ne rien faire.


J’étais au bureau et il était environ 11 h 30. Sachant qu’Isabelle finissait à 12 h, je me suis rendu à son bureau afin de l’informer de mon départ pour Bordeaux cet après-midi. Elle a fait un peu la moue, mais elle comprenait la situation. Ma voiture étant dans le parking, je lui ai demandé de partir immédiatement pour se rendre à la maison. De mon côté j’avais rendez-vous le samedi matin sur le chantier, donc j’avais le temps de me rendre à la maison, manger un morceau, faire l’amour et partir après, afin d’arriver à l’hôtel dans la soirée.


Une chose que je n’ai pas mentionnée encore, c’est qu’Isabelle aime le sexe, elle aime beaucoup le sexe. Sa vulve est composée de magnifiques grandes lèvres avec de petites lèvres à l’entrée de son vagin. Elle a un clitoris, qui malgré le fait qu’il est caché par un joli capuchon, a quand même un bout de tête de sorti et il est très sensible. Même sa culotte lui titille le bouton lorsqu’elle marche. Lorsqu’elle est nue devant moi seulement en string, celui-ci lui moule parfaitement la foufoune. Presque tous les matins, on baise avant de venir travailler et lorsque je suis en déplacement, on baise deux, trois fois facilement avant mon départ. Nous avons essayé d’avoir un enfant, mais après de nombreux tests, le verdict est tombé : Isabelle ne peut pas avoir d’enfant, en raison d’une malformation congénitale. Donc pour nous, l’usage de préservatifs est terminé. Depuis notre mariage, je ne l’ai jamais trompée, ça, j’en suis certain. Par contre, m’a-t-elle déjà trompé ? Elle seule le sait. Je lui fais confiance.


Après le repas et la baise, je me suis dirigé sur l’autoroute vers Bordeaux de façon à ne pas tomber dans les bouchons du vendredi soir. Après quelques heures de route monotone, mon cellulaire sonna. C’était Robert qui voulait m’informer de ne plus me rendre à Bordeaux, car le problème avait été résolu et qu’il n’était plus nécessaire de m’y rendre. Je ne l’ai pas laissé paraître, mais je parlais tout seul. Une chance, j’étais à mi-chemin de Bordeaux. Robert m’a dit de prendre une chambre d’hôtel si je le voulais et de revenir demain seulement. Malgré ce désagrément je me suis dit « pas de problème je vais retrouver Isabelle et nous passerons une fin de soirée ensemble à faire l’amour ».


J’ai donc fait demi-tour, je me suis arrêté pour mettre de l’essence, manger un morceau rapidement et j’ai repris la route pour Paris. Je me suis dit que je vais être en sens inverse du trafic et que je vais arriver plus rapidement à la maison. Malheureusement, arrivé dans la région de Paris, il y avait un bouchon de plusieurs kilomètres. À la radio, on nous informait qu’il y avait un accident sur la A10 et qu’on devait prendre notre mal en patience. On pouvait prendre une sortie, mais on tombait quand même dans le trafic.


J’ai pris mon cellulaire et j’ai appelé Isabelle pour l’informer que j’arriverai dans la soirée. J’aurais voulu lui faire une surprise en arrivant plus tôt, mais on doit faire avec. En prenant mon cellulaire, je m’aperçus que j’avais un message provenant du cellulaire d’Isabelle. Comment cela se faisait que je ne l’aie pas entendu. Probablement qu’il est entré lorsque j’ai dû payer l’essence que j’avais prise après l’appel de Robert. J’ai donc écouté mon message. C’était Isabelle qui me souhaite un bon voyage et voulait m’informer qu’elle sortait avec son amie Laura, qui travaille avec elle, dans le même bureau. Probablement qu’elles iraient au cinéma et que son cellulaire ne serait pas accessible de toute la soirée. Je l’ai donc appelé et effectivement je suis tombé sur son répondeur.


Le bouchon n’avait plus la même importance. Je suis arrivé à la maison vers les 21 h. J’ai pris un verre de vin rouge, en attendant Isabelle, je me suis assis sur le sofa et j’ai écouté la télévision. Vers les 22 h 30, j’ai essayé de rappeler Isabelle, mais encore sur son répondeur. J’ai pris le bottin téléphonique personnel à côté du téléphone et j’ai trouvé le numéro de Laura. J’ai appelé Laura et après quelques secondes Laura m’a répondu.



Il y a eu un temps d’arrêt puis elle me dit :



Laura a encore hésité et m’a répondu :



Oups ! Je me suis excusé pour l’avoir dérangée à cette heure et qu’effectivement elle m’avait dit qu’elle m’avait informée de sa sortie ce soir, mais je pensais que c’était avec toi. Excuse-moi encore, Laura. Après avoir raccroché le combiné, j’ai commencé à me poser des questions. J’ai repris mon cellulaire et j’ai réécouté mon message. C’était bien elle qui me disait qu’elle sortait avec Laura ce soir et que probablement qu’elles iraient au cinéma ce soir et bla-bla-bla.


Que vais-je faire ? Elle ne sait pas que je suis de retour tant et aussi longtemps qu’elle n’écoutera pas ses messages, elle ne le saura pas. Je me suis posé de drôles de questions. Pourquoi me mentir, elle n’avait aucune raison de me dire qu’elle irait au cinéma avec Laura et ne pas le faire. On se dit tout. Cela ne me dérange pas qu’elle sorte dans la soirée lorsque je suis en déplacement. Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Je fais quoi, je fais quoi. Puis je me suis décidé.


Nous avons deux voitures, la mienne est en bas dans la rue, mais celle d’Isabelle n’y est pas et ce n’est pas par manque de places de parking. Donc j’en conclus qu’elle a pris sa voiture et qu’elle est quelque part soit à Paris ou soit à l’extérieur. Si elle n’écoute pas ses messages, il se pourrait qu’elle découche chez des amis.


Lorsque j’ai acheté les voitures, je les ai équipées d’un système de retraçage au cas où on se les ferait voler. De plus, j’ai dans mon ordinateur et mon cellulaire un programme qui me permet de localiser son cellulaire aussi. L’informatique va me servir à quelque chose. Je vais donc sur mon cellulaire et j’active le traceur. Après moins d’une minute, j’ai pu localiser sa voiture. Elle était à Paris garée depuis quelque temps au même endroit. Je suis allé sur mon ordinateur pour avoir une meilleure vue de l’endroit où elle était. J’ai utilisé un logiciel de rue, et j’ai pu voir les environs d’où elle était stationnée. Naturellement je ne voyais pas sa voiture. J’ai cherché un cinéma, mais que dalle, des restos, il y en avait tout près de sa voiture, mais ceux que j’ai trouvés n’était pas le genre de restos qu’Isabelle aimait fréquenter.


Alors que faisait-elle là ? J’ai continué mes recherches dans les alentours et je suis tombé sur un bar libertin. Quelle ne fut pas ma surprise. Que fait-elle dans un bar libertin, si elle y était. Je ne voulais pas la condamner avant d’avoir au moins une preuve. Je me suis reposé la question encore une fois : je fais quoi ? Après quelques minutes de réflexion, je me suis décidé à m’y rendre et vérifier par moi-même si elle y était ou pas. C’est un manque de confiance et de plus, si elle revient avant mon retour que va-t-elle penser ? Mon mari m’informe qu’il est sur le chemin du retour, nous sommes à la fin de la soirée et il n’est pas là. D’un autre côté, je voulais savoir.


Ma décision fut prise, j’y vais. Surtout ce n’était pas loin. Je pris donc mon cellulaire, car j’allais m’en servir pour localiser son cellulaire en arrivant à l’endroit où elle était stationnée. Tout à coup, elle a eu un malaise et elle est dans la voiture inconsciente ? Après moins de vingt minutes, j’étais rendu à côté de sa voiture. Elle n’y était pas. J’ai démarré le traceur de son cellulaire et je me suis dirigé selon le signal. Elle n’avait donc pas éteint son cellulaire, mais elle a probablement voulu filtrer ses appels ou le placer en mode vibrant pour ne pas être dérangée. Ayant relevé l’adresse du bar libertin avant de partir, je me dirigeai vers l’endroit et plus j’approchai, plus le signal s’amplifiait. Rendu devant la porte il n’y avait plus d’erreur, le cellulaire était bien dans ce bar. J’espérais qu’elle l’ait perdu et que quelqu’un l’ait trouvé et l’ait apporté avec lui ou elle au club.


J’ai sonné et un homme m’a ouvert. Je lui ai demandé si je pouvais entrer. Il m’a répondu que ce soir c’était une soirée de couples et qu’il fallait être accompagné pour entrer. Je suis désolé. Je lui dis :



Il m’a regardé avec un sourire et m’a répondu ce n’est pas la première fois qu’on me la fait celle-là. Il a voulu refermer la porte gentiment, mais, je lui ai dit, est-ce vous qui étiez à la porte toute la soirée. Il a répondu oui ; « alors voici la photo de mon épouse » et je sortis mon cellulaire, trouvai une photo sur laquelle nous étions tous les deux ensemble et je lui ai montré, je n’avais rien à perdre. Il l’a regardée puis après une seconde de réflexion il m’a dit qu’effectivement cette dame est bien là avec une amie. « Entrez ». J’ai payé les droits d’entrée et je me suis rendu au bar en faisant attention de ne pas me faire remarquer par mon épouse au cas où elle serait là.


J’ai commandé un verre de vin, puis j’ai commencé à regarder tout autour de la salle si je voyais mon épouse. J’étais certain que son cellulaire était là, car le signal visuel (j’avais fermé le son), était à son maximum. J’ai scruté la piste de danse où il y avait plusieurs couples qui dansaient, mais non, elle n’y était pas. Qui était son amie, me connaissait-elle ? J’ai continué en regardant dans les alcôves et un peu partout où je pouvais voir sans être vu.


La musique est passée de rapide à un slow, puis les gens ont commencé à se former en couples, autant homme/femme que femme/femme. Tout à coup, je vis arriver mon épouse avec son amie que je ne connaissais pas. Les lumières ont diminué d’intensité. Isabelle a passé ses mains autour de la taille de son amie tandis que son amie a inséré une main en dessous du chandail d’Isabelle et l’autre dans le devant de son jean.


Là j’étais sidéré. Isabelle gouinait avec une autre femme, j’aurais tout vu ! Les mains d’Isabelle ne sont pas demeurées inactives. Elle a pris les seins de son amie à pleines mains en les malaxant par-dessus le chandail. Après une minute, elle passa ses mains sous son chandail puis roula ses mamelons entre ses pouces et ses index, je voyais les bouts grossir et se durcir. Son amie n’avait pas de soutif, de même qu’Isabelle. Celle-ci se pencha vers les seins de son amie et, du bout des lèvres, se mit à les sucer. Sa langue en fit le tour puis ses lèvres recommencèrent à les sucer. Après plusieurs minutes, elle changea pour faire de même sur l’autre sein. J’avais le même problème que tantôt : je fais quoi ? Je ne pouvais pas faire de scandale, j’ai donc décidé d’attendre la fin du slow et j’irai voir Isabelle pour lui demander des explications. Au moins je n’étais pas cocu par rapport à un homme, mais tout de même cocu pareil.


Toutes les deux n’avaient plus de chandail et s’en donnaient à cœur joie. Je les regardai se frotter les seins les uns sur les autres. Je vis descendre les pantalons à mi-cuisse et son amie avait la main à l’intérieur de son string et avec un doigt enfoncé dans son vagin. Le pouce appuyé sur son clitoris. C’était l’endroit le plus sensible d’Isabelle. D’où j’étais, je l’entendais grogner avec des « ouuuii… continue, tu me fais du bien, plus profond, encorrrrr… comme tu frottes bien mon clitoris, prends-le entre tes doigts et masturbe-le ».


J’ai pris très discrètement mon cellulaire, car il est défendu de prendre des photos dans le club et, sans que personne ne me voie, j’ai pris des photos des deux en action. J’ai démarré la vidéo pour avoir une preuve vivante. Un coup, le slow terminé j’ai voulu me lever et me diriger vers Isabelle, mais un autre slow débuta. Je suis donc demeuré assis, commandai un autre verre de vin puis je me suis retourné vers la piste de danse. J’étais certain qu’Isabelle ne me voyait pas, occupée à tripoter son amie.


Tout à coup, deux jeunes hommes, dans le début de la vingtaine, se sont approchés par-derrière des deux femmes et ils ont placé leurs mains sur leurs épaules et tranquillement Alain (je l’ai appris après) qui était derrière ma femme les a descendues jusqu’à ses seins et il les a soupesés, malaxés, et les a gardés dans ses mains en appuyant dessus tout en lui donnant des bisous dans le cou. Il fit tourner ses mamelons entre ses pouces et index. L’autre (Serge) n’était pas en reste. Alain a retourné ma femme et lui a roulé une pelle. J’avais l’impression qu’ils se connaissaient déjà. Je voyais leurs langues se mêler, s’aspirer, se battre comme deux gladiateurs dans l’arène. Encore photos et vidéos.


Je ne savais pas si je devais aller sur la piste de danse ou demeurer assis en attendant que tout ça se termine et agir après. Oui, je bandais, mais ce n’était pas ce que je voulais. J’étais furieux, de la voir me tromper avec un autre homme et une autre femme. Avait-elle déjà couché avec Alain ou Julie (aussi appris après). Il a relevé la jupe d’Isabelle jusqu’à sa taille et il lui a mis la main dans sa culotte. Isabelle avait l’air d’apprécier. Il descendit sa culotte à mi-cuisse et il lui rentra son majeur dans le vagin puis se mis à la pistonner de plus en plus vite. Il n’y avait pas que moi qui les regardais. Le slow s’arrêta et Isabelle et son amie s’en allèrent vers une autre salle, suivis des deux lascars. Je fis de même. Les quatre sont entrés dans la salle avec des vitres teintées. On pouvait voir ce qui s’y passait, mais pas eux. Alain a verrouillé la porte par précaution pour être seuls.

Les deux femmes se sont déshabillées et Isabelle s’est mise sur le dos avec les jambes en l’air en invitant Alain à la fourrer. J’étais le seul à l’extérieur qui les regardait.


Personne à l’horizon, j’ai pris mon cellulaire et rapidement j’ai pris une photo d’Isabelle avec la pine de son amant en plein dans son vagin, suivi d’une vidéo. Alain lui massait les seins d’une main et le clitoris de l’autre. Je voyais Isabelle s’arquer et se tortiller elle lâcha des cris de jouissance au fur et à mesure qu’Alain la pistonnait de plus en plus fort. Qu’avais-je fait à Isabelle pour mériter ça ? Je ne l’avais jamais trompée et elle me trompait devant moi. Depuis combien de temps cela durait-il ? Est-ce qu’à chaque fois que j’étais en déplacement elle venait prendre son pied ici, dans ce club libertin ? J’ai trouvé que le videur l’avait reconnue très rapidement. Était-elle une habituée de la place ? Combien d’hommes s’était-elle farcis ? Il allait y avoir une bonne discussion à la maison. Je me suis permis de prendre encore des photos et des vidéos, mais très discrètement.


Son amie se faisait prendre en levrette. Elle avait le cul en l’air afin de permettre à Serge de la pénétrer plus à fond. Serge lui écarta les fesses puis cracha dans son petit trou intime. Il sortit sa pine de son vagin, la frotta le long de ses lèvres toutes gluantes afin de bien la lubrifier et tranquillement, centimètre par centimètre il l’enfonça jusqu’à temps que ses couilles frappent l’entrée de son vagin puis il sortait, il entrait et Julie avait l’air d’apprécier, car elle tournait la tête dans tous les sens tout en criant « c’est booon… continuuue… bien au fond… caresse-moi le clitoris…plus fort…plus fort » et Serge entrait son pieu aussi loin qu’il le pouvait.


Après plus de trente minutes de va-et-vient et plusieurs orgasmes d’Isabelle, Alain finit par éjaculer dans la capote qu’il avait enfilée sur son pénis. Il se releva et sortit de la chambre avec son ami Serge, qui lui aussi avait éjaculé, à grands coups de canon, dans les entrailles de Julie, tandis que quelques mâles entaient pour prendre leurs places.

Est-ce qu’Isabelle en avait assez ? Un de ceux qui étaient entrés enfila une capote et sans préliminaire embrocha Isabelle, en levrette, jusqu’à la garde. J’entendis crier Isabelle et l’autre s’en donna à cœur joie. Son gourdin faisait une fois et demie ma longueur et presque le double en volume. Je savais qu’Isabelle devait jouir au max, car elle aimait les grosses bites. Elle ne m’a jamais reproché la grosseur de la mienne, mais je sais que lorsqu’on regardait des films pornos, elle tripait sur les bites longues et grosses. Je peux dire qu’elle était servie.


Le vagin d’Isabelle devait commencer à s’emplir de sperme. Isabelle se leva et prit Julie dans ses bras, elles s’embrassèrent tout en se prenant les seins, et au même moment deux hommes se placèrent derrière les deux femmes et réussirent à entrer leurs massues dans leurs vagins. Cette orgie, avec plusieurs hommes, a duré plus de deux heures. Combien d’hommes sont-ils passés ? J’ai arrêté de compter à un moment donné. Ce qui est le plus drôle c’est lorsqu’un de ses amants sortait, il arrivait que celui-ci me dise :



Une chance que nous mettions une capote, car avec le nombre d’hommes qui lui ont passé dessus, elle aurait suffisamment de sperme pour renflouer la banque de sperme de Paris. Je me posais la question, est-ce que chaque amant mettait une capote ? Je n’ai pas surveillé.


Alain et Serge entrèrent de nouveau et Isabelle et Julie prirent leurs sexes et elles commencèrent à leur faire une pipe. La langue d’Isabelle monta et descendit le long de la hampe d’Alain, plusieurs fois puis elle engouffra le gland pour le sucer tout en le masturbant avec sa main. Je vis Alain fermer les yeux, poussa sa bite au fond de la gorge d’Isabelle puis sans l’informer, il déchargea son foutre au fond de sa gorge. Isabelle avala tout et lui nettoya la bite avec sa bouche.


La voyant se lever et se rhabiller, je me suis empressé de retourner dans la salle de danse et me placer de façon à ce qu’elle ne me voie pas. Elle arriva avec sa copine Julie et, au lieu de quitter le club, toutes les deux se mirent à danser dans une danse un peu plus rapide qu’un slow. Peu de temps après, les deux jeunes les rejoignirent et se mirent à danser avec elles. La danse suivante fut un slow avec les lumières tamisées. Une femme me demanda pour danser. J’ai accepté, car je voulais me rapprocher d’Isabelle et entendre ce qu’ils disaient. La femme s’est collée à moi et elle me fit des bisous dans le cou et se frotta les seins sur mon torse. Elle alla même à défaire les trois premiers boutons de sa blouse et fit de même avec ma chemise afin de se frotter sur ma peau. C’était la première fois depuis mon mariage qu’une femme m’excitait autant et si je n’avais pas été en mission, je pense que je l’aurais invitée à passer dans l’autre pièce et je l’aurais sautée.


Je me rapprochai d’Isabelle, sans me faire voir, et j’ai écouté leur conversation. J’entendis des bruits de baisers dans le cou, sur les lèvres, les seins, mais pas de conversation. Une chance que le slow ne fût pas près de se terminer, car je n’aurais pas été plus avancé et ma cavalière qui n’arrêtait pas de me rentrer dedans.


Puis Alain demanda à Isabelle s’ils allaient finir la nuit chez elle, comme d’habitude, ou aller dans un bar prendre un dernier verre et après, terminer chez Isabelle, avec une bonne partie de jambes en l’air comme ils aimaient bien le faire. Les deux jeunes étaient encore étudiants, et ils vivaient encore chez leurs parents. Elle lui répondit rapidement qu’elle aimerait finir ça à la maison avec lui, Serge et Julie. Il lui dit :




  • — Je m’excuse, je suis en retard, car j’arrive d’un long déplacement et je tenais à souligner l’événement de cette journée. Pour fêter l’événement, je vous ai apporté une demi-bouteille de champagne. Trop d’alcool avant la baise ce n’est pas bon, dit-il. Voici, c’est pour vous deux avec deux coupes.

Seb le remercia, mais il lui dit de rester nous pouvions boire cette bouteille à trois. Il accepta puis alla sur le comptoir récupérer un verre et déboucha la bouteille en faisant sauter le bouchon. Il versa le champagne dans les coupes et dans son verre. On fit un toast. Nous parlâmes quelques minutes puis Julien se leva pour partir. Je ne sais pas ce que Seb avait, mais il pencha la tête d’un côté comme de l’autre. Il dit qu’il ne se sentait pas bien en pensant qu’il avait pris un verre de trop dans la journée puis il s’effondra sur le divan.

J’ai demandé à Julien de m’aider à le déshabiller et l’étendre sur le divan. Je dis à Julien que cela commençait bien notre vie commune. Je lui ai demandé de demeurer avec moi, quelques instants, car je ne m’endormais pas. Par contre, j’avais la tête qui tournait, je n’étais pas comme d’habitude. Nous parlâmes pendant plusieurs minutes puis il se leva pour mettre de la musique afin de souligner cette soirée de noce. Il m’a prise par la taille et je me suis collée à lui. Ma tête était lourde Le champagne aidant, je me suis collée de plus en plus, et de son côté il a descendu ses mains sur mes fesses et il a commencé à me déshabiller. En peu de temps, j’étais nue, mon mari dormait à poings fermés, et Julien me parcourut le corps de ses deux mains.

Il me prit la vulve avec sa main tandis que de l’autre, il malaxait mes seins en tirant sur les bourgeons qui prenaient de l’ampleur. Je ne sais pas ce qui m’arrivait, mais j’avais l’impression de danser avec Seb et non pas avec Julien. Il m’a embrassée avec sa langue fichée au fond de ma bouche. Moi je l’encourageais en répliquant avec la mienne. Nos salives se mêlaient puis il a introduit un doigt dans mon vagin. Là j’ai perdu toute notion de qui, où on était, et je ne voulais que du sexe. Mon Seb (je ne savais pas que c’était Julien) me faisait jouir déjà. Il me coucha sur le lit et il a commencé à me lécher les grandes lèvres puis il introduisit sa langue bien au fond. Après plusieurs minutes de ce traitement, je hurlai, je me tortillai et je criai « …encore Seb…encore…je viens, je vieeeennns, je vais jouir, oui fais-moi jouir avec ta langue, oui c’est là qu’il faut sucer, ouuuuuuuiiiiiii… ».

Après il a introduit sa bite tout au fond de mon vagin. Au début j’avais une sensation de grosseur. Comment Seb pouvait avoir une bite aussi grosse depuis peu, car Julien avait une bite très, très grosse et longue. Nous étions étendus sur le lit puis s’est mis entre mes jambes et m’a pistonnée pendant de nombreuses minutes. Combien d’orgasmes j’ai eus ? Je ne m’en souviens pas. Il a déchargé dans mon antre et il s’est retiré en me demandant de lui laver la bite avec ma bouche.

La bite propre, il a passé sa tête entre mes deux jambes et m’a fait un cunnilingus dont je vais me rappeler toute ma vie. Il m’a pénétrée à nouveau avec son gourdin de 30 centimètres et il m’a baisée une bonne partie de la nuit. Je n’en avais pas assez. Je ne sais pas si Seb m’aurait fait la même chose.

Nous nous sommes endormis, mais vers la fin de la nuit je me suis réveillée, car je sentais quelque chose bouger entre mes jambes. Il était là avec sa bite en train de la pousser au fond de mon vagin. Il s’y est pris à plusieurs fois, mais après quelques minutes elle était bien logée et remplissait mon vagin. Je trouvais ça bon et j’avais gardé les yeux fermés pour savourer chaque instant. Lorsqu’il eut terminé, il m’embrassa sur les lèvres puis me dit merci pour cette nuit de noces.

En entendant sa voix, j’ai ouvert les yeux pour l’embrasser et c’est là que j’ai reconnu Julien. Je pensais qu’il était déjà parti depuis hier soir, mais non c’est lui qui m’a baisée toute la nuit. J’ai regardé autour et j’ai vu Seb endormi sur le divan. Comment j’ai fait pour baiser avec lui sans m’en rendre compte ? J’avais l’impression d’avoir fait l’amour avec Seb et non pas avec Julien.

Il est parti aux w.c., il s’est rapidement lavé puis a lavé les coupes et s’est habillé. Il est venu tout près de moi et s’est penché pour m’embrasser sur les lèvres, mais j’ai tourné la tête. Il a déposé un bisou sur le front et tout en partant, il m’a dit :


  • — Ne gronde pas ton mari, il ne s’est pas endormi tout seul, j’ai versé un peu de somnifère dans sa coupe à champagne et un peu de liquide aphrodisiaque dans la tienne c’est pour ça que tu pensais faire l’amour avec Seb. Merci encore pour cette nuit de noces, je ne l’oublierai jamais… et toi non plus ».
  • — Fous le camp espèce de goujat, pervers, je te revaudrai bien ça un jour.

C’est comme ça que s’est passée ma nuit de noces. Je n’en ai pas parlé à Seb, car il aurait été capable de le tuer. J’ai rendu mon mari cocu le premier jour de nos noces en moins de douze heures.



Voilà mon histoire de baise. Maintenant j’en veux encore alors nous partirons dans une heure environ, car j’ai encore le goût de rendre visite à la chambre où il y a un lit central et qu’on peut se faire baiser par des hommes ou des femmes. Vous deux, on vous garde pour le dessert. Ça vous va ?



Le slow fini, je raccompagne ma cavalière à sa table en la remerciant et en m’excusant de ne pas pouvoir la satisfaire, car je devais rentrer immédiatement. Elle m’embrassa et me dit ce serait pour une autre fois tout en plaçant sa main sur la bosse que j’avais dans mon pantalon. Ce fut difficile de m’en aller, mais j’avais un projet en tête. Je l’ai embrassée sur la bouche longuement puis à regret je suis parti. Jamais je n’aurais fait ça si je n’avais pas vu Isabelle me tromper. J’avais un pincement au cœur. Ce qui m’a réconforté c’est lorsqu’Isabelle a dit à son amant qu’elle m’aimait.


Je suis sorti et j’ai regagné la maison. J’avais environ une heure avant son retour. Sachant qu’elles reviendraient avec leurs deux amants, je pensais à un plan diabolique afin qu’elle sache vraiment que maintenant j’étais au courant de ses tromperies depuis notre mariage, que cela me faisait mal et qu’on ne pouvait plus continuer comme ça. Je me posais la question à savoir est-ce qu’elle manquait de sexe ou de variété de bites ?



À suivre…