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n° 17791Fiche technique54106 caractères54106
Temps de lecture estimé : 33 mn
17/02/17
Résumé:  Je quitte pour mon boulot à Bordeaux et je laisse Isabelle seule à la maison. Mon patron m'appelle pour m'informer que le problème a été réglé. À mon retour, la maison est vide. Je retrouve Isabelle dans un club libertin. Je prends action.
Critères:  ff fff ffh 2couples fbi jeunes grossexe
Auteur : Izoumi  (Marié depuis peu, j'apprends le côté caché de mon épouse)

Série : Cocu, je ne lui pardonne pas, par contre je l'aime

Chapitre 02 / 05
Isabelle en remet

Résumé de l’épisode précédent : Cocu mais pas à peu près


Parti pour mon boulot à Bordeaux, je laisse Isabelle seule à la maison pour quelques jours seulement. En direction de Bordeaux, mon patron m’appelle pour m’informer que le problème a été réglé et que je pouvais revenir sur Paris. À mon retour, Isabelle n’est pas à la maison, mais avec le traceur je la trouve dans un club libertin avec sa copine et deux amants. À la fin de la soirée ils décident de finir la nuit chez moi. Je vais mettre mon plan à exécution.


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Isabelle en remet




Note : le nom du pays et les prénoms ont été modifiés pour ne pas nuire à qui que ce soit.




Arrivé à la maison, j’ai ouvert mon ordinateur portable ; je suis allé dans mon casier informatique et j’ai récupéré deux webcams bluetooth (sans fil) du genre que j’utilise dans l’entrepôt de la société pour surveiller le vol de matériel et quelquefois sur les chantiers. Je suis allé en placer une dans la chambre à coucher et l’autre dans la bibliothèque, entre les livres. Ces webcams coûtent très cher mais elles sont efficaces, se confondent bien avec l’environnement et sont très difficile à repérer. J’ai démarré mon programme informatique me permettant de voir ce que voyaient les webcams. J’ai installé un booster de signal de façon à ce que je puisse voir même si je m’éloignais à plus de 10 mètres des caméras. J’ai nettoyé de façon à ne laisser aucune trace de ma venue et j’ai garé ma voiture de façon à ne pas me faire voir lors de son arrivée. Sachant qu’elle arriverait de telle rue, je me suis stationné à l’opposé. Tout ce que je souhaitais, c’est qu’elle n’écoute pas ses messages sur son cellulaire.


J’attendis avec mon portable dans le noir, puis quelques minutes plus tard elle arriva avec sa voiture. Elle descendit, et les trois autres la suivirent dans la maison. J’ai regardé mon portable ; je voyais le salon, mais personne en vue. Par contre j’entendais des voix. Isabelle leur dit d’aller s’asseoir au salon, se mettre à l’aise et qu’elle apportait quelque chose à boire.


Elle monta à la chambre avec Julie, et arrivées dans la chambre je les vis sur mon écran. Elle fouilla dans un de ses tiroirs et en sortit deux chemises de nuit transparentes et deux J-strings avec de la dentelle. Toutes les deux se sont déshabillées puis ont revêtu ces vêtements de nuit très sexy. Elles descendirent au salon, puis Isabelle alla chercher une bouteille de champagne avec quatre coupes. Elle fit sauter le bouchon, versa le liquide dans les coupes, puis tous ont levé leur coupe pour souligner cette fin de soirée.


Isabelle leva son verre et leur souhaita une bonne baise cette nuit grâce à son mari. J’avais une boule dans la gorge et l’impression d’avoir reçu un coup de poignard dans le dos.


Après avoir bu toute leur coupe, Isabelle enleva ses vêtements, demanda à Julie de s’étendre sur le tapis et se plaça par-dessus elle en position de 69. Les deux jeunes avaient déjà enlevé leurs vêtements et se tenaient la queue tout en se masturbant. Sur mon écran, j’avais une bonne vue sur les deux gouines car je pouvais faire un zoom et déplacer l’angle de vue. Isabelle avait la langue sortie et fouillait entre les grandes lèvres de Julie. Elle triturait son clitoris d’une main et de l’autre lui frottait la rosette, puis elle y inséra un doigt. De son côté, Julie devait bien travailler car Isabelle se tortillait de tous les côtés et émettait des sons de femme qui jouit. Isabelle avait un, puis plusieurs doigts insérés dans le vagin de Julie.


Elle entrait et sortait ses doigts qui devenaient de plus en plus visqueux. Je voyais la cyprine couler du vagin de Julie, et Isabelle s’abreuvait à la source tout en lapant la vulve de Julie. De son côté, Julie avait introduit sa langue au plus profond du vagin d’Isabelle et s’en servait comme un gode tournant. Isabelle frottait ses seins sur ceux de Julie et de sa main droite tenait un mamelon entre son pouce et son index tout en tournant et tirant dessus pour le faire grandir.


Les deux amants ne sont pas demeurés inactifs car Alain s’est placé derrière Isabelle, lui a écarté les deux fesses et lui a fiché son chibre dans le vagin puis a commencé à la limer avec force. Après quelques minutes, la cyprine lui coulait sur les cuisses et un liquide blanchâtre restait collé au pénis de son amant. En rentrant son pénis, je voyais un cercle se former dans la vulve d’Isabelle et toute cette mousse blanchâtre formait un anneau comme le bord d’un condom que l’on voit lorsque le pénis est entré au maximum dans le vagin. Par contre, Isabelle n’utilisait pas de condom car elle ne pouvait avoir d’enfant. C’était encore plus dégradant pour moi. Ma femme souillée par du sperme provenant de plusieurs amants.


Probablement la bouche de Julie sur son clitoris, la pine de l’amant enfoncé jusqu’au fond qui devait probablement cogner sur sa matrice la faisait émettre des sons de jouissance.



Serge s’est placé face à Isabelle et lui enfonça sa monstrueuse bite dans la bouche, puis tout en tenant sa tête la fourra comme si c’était un vagin. Julie avait passé sa main et se frottait le clitoris délaissé par Isabelle tout en léchant les couilles d’Alain. Plusieurs minutes se sont écoulées, puis Alain s’est mis à beugler comme un veau puis a déchargé son foutre dans le vagin d’Isabelle et ce fut la réaction en chaîne. Isabelle s’est mis à crier comme lorsque je la mettais à fond, son amant de devant lui déchargea son sperme dans la bouche tout en mêlant ses cris aux deux autres. Isabelle avala tout le foutre tout en se léchant les lèvres avec des tremblements sur tout le corps.


Plusieurs minutes plus tard, ils se sont séparés et Julie s’est placée sur ses quatre membres et Isabelle lui a entré un puis deux puis trois doigts dans le vagin et a commencé à les faire aller comme le bras des roues motrices d’une locomotive. Elle demanda à un des deux jeunes de lui donner le pot d’huile qui était sur la table à côté de la bibliothèque. Le même flacon que j’utilise pour l’enculer. Elle s’en versa sur les doigts et sur la main, puis tranquillement elle réussit à introduire sa main au complet jusqu’au poignet dans le vagin de Julie et elle se remit à la pistonner de toutes ses forces.


Plusieurs minutes plus tard, Julie s’est mis à crier et à se débattre de tous les côtés. Elle criait « Arrête, arrête Isabelle je n’en peux plus c’est trop pour moi. » Isabelle fit la sourde oreille et continua de plus belle. Après plusieurs minutes de ce traitement, Julie s’effondra sur le tapis et son corps avait des soubresauts, signe de grande jouissance. Elle se releva puis pris la tête d’Isabelle et lui roula une pelle à n’en plus finir. La langue de Julie lui léchait le visage, se battait avec sa langue, lui suçait les lèvres et plein d’autres trucs dégueulasses à mes yeux lorsque c’était fait par quelqu’un autre que moi. Elle lui cria « Je t’aime, je t’aimmmme… » Les deux jeunes les regardaient avec leurs pénis flasques. Ils se masturbaient afin de faire remonter leur dard en position verticale. Je pense que les filles les avaient vidés.


Isabelle leur dit :



Elle alla chercher une autre bouteille de champagne et chacun monta sa coupe. Julie arriva la première et se coucha sur le dos avec les jambes en l’air afin de se faire fourrer le vagin.

Elle dit :



Isabelle arriva et donna la bouteille à Alain et lui demanda de l’ouvrir. Il fit sauter le bouchon puis remplit les quatre coupes. Isabelle entreprit de masturber la queue de son amant afin d’en profiter le plus vite possible.


Après avoir bu sa coupe, Isabelle alla dans la penderie et en sortit une boîte qui était cachée en arrière et en dessous d’une pile de vêtements. Elle en sortit quelques gadgets, referma la boîte puis elle s’installa sur le lit, le dos appuyé au mur.


Son premier gadget se composait d’un tube ressemblant à une éprouvette raccordée à un boyau et une boîte noire avec des boutons dessus. Elle plaça l’extrémité du tube sur le tunnel menant à son clitoris légèrement caché sous le capuchon. Je n’avais jamais vu ce sextoy. Elle le cachait bien. Elle demanda à son amant de le tenir appuyé sur le trou où son clitoris était caché et elle actionna le bouton de commande.


Un genre de pompe démarra. Le sextoy se mit en marche et celui-ci semblait pomper l’air contenu dans le tube et de ce fait créait un vide à l’intérieur permettant ainsi à son clitoris d’être expulsé de sa cachette par différence de pression. Je vis sortir tranquillement le clitoris et après une minute son clitoris était sorti d’une longueur égale à mon pouce. Honnêtement, du jamais vu. Je suis certain que son amant aurait aimé le sucer sur toute sa longueur, mais celui-ci était répandu dans le tube en vitre.


Isabelle arrêta la pompe puis demanda à son amant de sucer à la base du tube. Celui-ci ne s’est pas fait prier et il a attaqué le tour du tube, avec deux doigts dans le vagin, puis après un certain temps Isabelle l’informa qu’elle allait ouvrir la valve pour laisser entrer l’air et qu’il avait peu de temps pour lui sucer le clitoris, car celui-ci allait retourner vite se cacher dans son tunnel. Elle ouvrit la valve, ôta le tube et rapidement son amant prit en bouche le clitoris qui avait, quand même, une longueur respectable à l’extérieur du tunnel. Il tirait avec ses lèvres le clitoris qui essayait de fuir dans sa cachette. Il l’aspirait avec sa bouche tout en appuyant ses lèvres sur son contour.


Pendant plusieurs minutes il réussit à le stimuler avec ses lèvres, mais surtout avec sa langue suffisamment pour qu’Isabelle se mette à crier comme je ne l’ai jamais entendue crier. Son corps se soulevait du lit, elle tirait sur ses tétons, masturbait son amant et cela a duré plusieurs minutes puis elle s’effondra exténuée avec une figure radieuse. Elle venait d’atteindre le nirvana, et ce, sans moi.

Julie avait les yeux quasiment sortis de leur orbite.



Isabelle prit le tube, le plaça sur le clitoris de son amie, actionna la pompe puis regarda le clitoris de Julie qui commençait à se répandre dans le tube en verre. Isabelle passa son doigt tout autour de la base du tube tandis qu’Alain lui fourrait sa bite dans le vagin tout en commençant à la limer sur un train d’enfer. Serge embrassait ses mamelons en allant de l’un à l’autre ou en roulant une pelle à Julie.


Isabelle demanda à Serge d’être prêt car elle se préparait à ouvrir la valve, ce qui donnait peu de temps à Serge pour sucer son clitoris. Isabelle ouvrit la valve, Serge se précipita sur le clitoris, du moins ce qui n’était pas encore retourné dans la caverne et débuta un lent suçage autour de son clitoris. Il tournait sa langue autour, tirait dessus avec ses lèvres, le masturbait avec ses doigts tout en ayant pris la place d’Alain dans son trou d’amour.


Julie se tordait de plaisir, ses mains prenaient ses mamelons en tirant dessus, son bassin s’élançait de bas en haut, c’était la folie furieuse. Je n’ai pas compté combien d’orgasmes elle a eu mais tout à coup elle s’est effondrée sur le lit en criant « Arrêtez, je ne suis plus capable, arrêtez, arrêtez ! » Tous les trois se mirent à la flatter comme on fait avec un chat. J’entendis Julie dire « Je n’ai jamais eu d’orgasme aussi puissant de toute ma vie. »



Isabelle demanda à Serge s’il pouvait lui mettre sa bite bien au fond car elle ne l’avait jamais essayée.


Je le vis approcher sa bouche de son vagin et laper ses sucs qui coulaient à flot, je bandais malgré la douleur que cette scène me donnait. Serge fit pénétrer sa langue entre ses grandes lèvres à la rencontre de son petit bouton d’amour qu’il débusqua et qu’il agaça. Puis Isabelle leva ses jambes bien écartées, prit sa queue dans sa main droite puis l’enligna directement au centre de ses grandes lèvres entourées de cyprine. Un coup centré, elle demanda à Serge de pousser fort et de la fourrer de toutes ses forces pour qu’elle jouisse au max. Serge fit ses va-et-vient pendant au moins dix minutes. Elle se tortillait dans tous les sens. Elle se cambrait, resserrait ses cuisses puis Isabelle a joui à son goût et en même temps qu’Isabelle jouissait, il déchargea son foutre en lui tapissant les parois du vagin.


À chaque fois qu’il entrait et sortait de son vagin, c’était comme un coup de poignard qui m’entrait dans le corps. J’avais la larme à l’œil. Cela a continué pendant encore une heure puis Isabelle ferma les lumières sans aller se nettoyer dans la salle d’eau.

Mon idée était faite : j’allais l’appeler tôt ce matin pour lui dire que je rentrerais d’ici peu, et je verrais ce qui allait arriver.


Je me suis réveillé vers les neuf heures, j’ai regardé mon ordinateur, personne ne bougeait, j’ai pris mon cellulaire et j’ai signalé le numéro de la maison et j’ai attendu tout en regardant l’écran. Isabelle se réveilla, prit le combiné sur la table de nuit puis d’une voix tout endormie répondit :



Puis j’ai regardé l’écran pour voir comment elle s’en sortirait.


Isabelle cria très fort « Debout tout le monde ! Sébastien (c’est rare qu’elle m’appelle par mon prénom au complet) arrive dans vingt minutes. Tout le monde s’habille et vous foutez le camp. » Isabelle courait de tout bord tout côté, ramassait les coupes, les bouteilles et tout ce qui pouvait laisser une trace de son orgie de cette nuit. En moins de quinze minutes tout était clean. Avant de partir Alain demanda à Isabelle à quand leur prochaine rencontre. Elle lui répondit qu’à mon prochain déplacement elle sera au club libertin, et qu’elle lui donnera un coup de fil sur son cellulaire afin de le prévenir. « Maintenant file avant qu’il arrive. »


Je les ai vus sortir tous les trois, se diriger vers le métro un peu plus loin puis lorsqu’ils eurent disparu de ma vue, j’ai démarré ma voiture, attendu cinq minutes et je suis allé me stationner devant la maison à côté de la voiture d’Isabelle. J’ai tourné la poignée, elle n’était pas verrouillée puis je suis rentré. Isabelle m’attendait en chemise de nuit sans culotte.



Je fis une pause et j’ai regardé sa réaction.



Elle avait rougi et semblait nerveuse.



J’ai entendu comme un soupir de soulagement. Je l’ai embrassée tout en lui mettant la main au derrière et en glissant un doigt vers sa vulve. Elle a essayé de m’arrêter en disant qu’elle ne se sentait pas fraîche. J’ai continué et j’ai senti comme une moiteur gluante lorsque mon doigt est entré dans son vagin. Elle a pris ma main et m’a dit, encore une fois, qu’elle ne se sentait pas fraîche et qu’elle aimerait mieux prendre une douche avant de faire l’amour.



Je lui ai enlevé sa chemise de nuit tout en la complimentant sur son choix de vêtement. C’est la première fois que je la vois cette chemise-là.



Elle descendit vers mon bas-ventre, enleva mon pantalon, prit mon membre dans sa bouche et me pompa de façon à ce que je vienne le plus vite possible dans sa bouche. Elle ne voulait pas que je la pénètre et m’aperçoive que son vagin était plein de foutre. Je me serais posé des questions. Je l’ai laissée faire puis avant d’éjaculer dans sa bouche, je l’ai prise dans mes bras, je l’ai renversée sur le divan et je l’ai pénétrée d’un seul coup jusqu’à la garde.



Je l’ai regardée dans les yeux puis je lui ai demandé si elle s’était masturbée cette nuit en m’attendant ; elle sourit puis s’écria :



Elle poussa son bassin le plus qu’elle a pu, puis dans un élan d’amour elle cria sa jouissance avec des « Aaaahhhhh, ooohhhh, mmooommmm » et au final elle me dit :



S’était-elle rendu compte qu’elle avait prononcé le début du prénom de son amant de cette nuit ? De mon côté je pensais à tout ce qui venait de se passer depuis hier soir et cela ralentissait mon éjaculation. Je fis le vide dans ma tête, je ne pensais plus à faire l’amour, mais à baiser un trou comme n’importe quel trou de femme. Je n’avais pas de sentiments envers elle, je pensais seulement à me vider comme je l’aurais fait avec une pute, puis dans un soubresaut je déchargeai et mon sperme alla rejoindre les autres qui tapissaient déjà les parois de son vagin.


Je me suis relevé et je lui ai dit que je n’avais jamais baisé avec autant de facilité.



Elle sourit, se leva et me dit qu’il fallait qu’elle prenne une douche.


J’en profitai pour récupérer son cellulaire et j’ai effacé les messages que je lui avais laissés la veille. Je suis monté dans la chambre afin de ranger les vêtements que j’avais emportés à Bordeaux, du moins en route vers Bordeaux. En rangeant sur un cintre mon veston, j’aperçus la fameuse boîte contenant les jouets sexuels, mal rangée sous la pile de ses vêtements.


Isabelle n’avait pas pris encore sa douche et elle est venue me rejoindre dans la chambre la porte ouverte de la garde-robe et s’avança tranquillement afin de jeter un coup d’œil à l’intérieur afin de vérifier si tout avait été bien rangé. Elle vit un coin de la boîte dépasser, se pencha et remit quelques vêtements par-dessus afin de bien la camoufler.


Elle voulait vérifier si tout était placé avant de se doucher. Elle me demanda ce que je faisais de la journée et de la soirée. Je lui ai répondu que j’avais quelques travaux à terminer sur l’ordinateur relatif à mon déplacement à Bordeaux, mais que j’avais toute ma soirée de libre et que j’avais acheté un DVD d’un film érotique pour ce soir.



Quelques instants plus tard, je lui ai demandé de rapporter quelques bonnes bouteilles de rouge de Bordeaux et en même temps quelques bouteilles de champagne ; je lui ai dit que je ne me rappelais pas avoir bu autant de champagne récemment.

Elle me demanda comment s’était passée ma soirée à Bordeaux.



Elle m’a sorti un titre quelconque en hésitant fortement. Le cinéma était loin, est-ce que nous y étions allés déjà ? Elle ne se rappelait plus le nom du cinéma et où il était situé exactement, car c’est Laura qui avait choisi. Elle s’y est rendue avec son GPS, mais elle, la route, ce n’est pas son fort.



Elle me regarda d’un air étonné et me dit :



Elle prit sa douche et j’ai attendu qu’elle vienne se coucher puis je l’ai embrassée tout en mettant ma main sur un sein. Elle répondit à mon baiser, mais me dit qu’elle était tellement fatiguée qu’elle attendrait ce soir pour jouer à papa et maman.



Elle n’a sûrement pas saisi l’allusion. Je lui ai mis un doigt dans le vagin encore tout gluant puis j’ai éteint la lumière, je me suis retourné et dans ma tête je me suis dit que ce soir on verra. Si je suis cocu plusieurs fois, ce n’est pas nécessairement écrit « con » sur mon front. Ce soir ce sera différent et je vais mettre les points sur les i.


Je me suis levé vers les 14 heures pour faire ma vidéo spéciale à partir de ce que j’avais pris au club libertin et cette nuit puis j’ai tout associé à un film porno que j’ai trouvé sur le net. J’avais une idée de vengeance, car j’avais mal intérieurement. J’ai lu beaucoup d’histoires sur le web et je ne comprends pas les hommes qui disent à la fin de leur aventure « J’ai pris du plaisir à la voir se faire sauter par un autre homme et je ne lui en ai jamais parlé car je l’aime ».


J’avais des difficultés à comprendre comment elle pouvait me tromper depuis le premier soir de nos noces et demeurer imperturbable. J’ai donc assemblé les photos, vidéos et autres films de façon à faire un montage dont je voulais me servir ce soir après le repas.


La fin de journée s’est bien passée, mais jamais elle ne m’a parlé de sa virée en club libertin. De temps en temps je lui tendais la perche, mais sans réponse. Nous eûmes un excellent souper en tête-à tête avec deux bouteilles de vin. Isabelle était un peu pompette. J’en ai profité pour lui demander encore le titre du film tout à coup cela m’intéresserait ou quel genre de film, d’amour, d’action, de suspense, d’horreur. Non elle avait comme oublié dû au fait qu’elle avait pris quelques verres avant de se rendre au cinéma.


Après le repas, qui a quand même duré quelques heures, je lui ai suggéré de regarder le film trois X que j’avais acheté. Elle accepta d’emblée en me disant qu’elle avait retrouvé la forme et que le film allait lui donner le goût de faire l’amour. Nous nous sommes mis à l’aise, moi en bobette et elle en chemise de nuit légère laissant paraître deux aréoles au travers du vêtement transparent. Avant de débuter le film, je lui ai dit qu’elle était belle et sexy et que je l’aimais.



Elle m’a répondu que oui, mais elle n’avait jamais accepté, car elle m’aimait trop et qu’elle voulait me rester fidèle. Elle m’a dit ça avec l’air le plus sérieux du monde puis elle m’embrassa. Nous nous sommes assis sur le sofa et je l’ai prise sur mes genoux. Le film débuta. Le titre était Deux salopes en club libertin. Je ne pense pas qu’elle a fait une corrélation entre la soirée d’hier et le titre du film. J’avais laissé plusieurs minutes du film original de façon à la chauffer au max. Après 10 minutes, je lui ai mis la main entre les jambes et glissé un doigt entre les lèvres, puis dans le vagin. Je sais qu’Isabelle réagit rapidement à ces caresses. Pendant encore 10 minutes, je l’ai chauffé à blanc. Elle regardait avec attention le film tout en caressant la grosse bosse dans mon slip.


Je lui ai enlevé sa culotte, et j’ai tout fait pour qu’elle ait son premier orgasme. J’étais certain qu’elle ne se doutait pas que je savais tout de la soirée d’hier. Elle me collait, m’embrassait, me pompait et tout ce que vous pouvez imaginer. Une vraie chatte en chaleur. Avait-elle quelque chose à se faire pardonner ?


Je savais que le meilleur arriverait dans une minute, car j’avais tout planifié. Puis tout à coup on vit en gros plan une voiture stationnée près d’un club libertin. Elle n’a pas fait la relation même si la voiture était la sienne et que le club libertin était celui où elle était allée hier. Un peu de film porno puis des photos apparurent sur la TV. On la voyait de dos, mais encore là elle ne se vit pas. Ce n’était pas elle ni sa copine, car le titre l’influençait. Puis ce fut la vidéo que j’avais prise d’elle lorsqu’elle avait enlevé son chandail. Ses seins collés contre ceux de sa copine puis son amant qui les soupesait, les malaxait, les triturait et enfin les embrassait. Pour l’instant on ne pouvait distinguer aucune figure.


Encore là pas de réaction de sa part, car on ne voyait pas de figures de face dans la vidéo, mais je sentais son ventre bouger lorsque je lui faisais tournoyer les doigts à l’intérieur du vagin. Elle commençait à gémir, à se tortiller et des sons sortaient de sa bouche : « Oui chéri continue c’est bonnnn, j’aime ça, plus fort, plus profond, ah ouiiii. » Elle était sur le point d’avoir un orgasme.


Puis ce fut le départ pour la chambre privée avec vitres teintées. Encore quelques photos d’elle lorsque son amant la pistonnait dans le cul ou dans la chatte ou lorsqu’elle se faisait prendre par un nouveau mec par derrière ou dans la bouche. J’attendais ce moment avec impatience. Le moment où on verrait à l’écran seulement sa figure face à la caméra en train de jouir, car son ex-amant la prenait par le cul. Puis arriva son premier orgasme, qui lui déformait la figure, son corps tout tendu et les cris qui s’échappaient comme un cochon qu’on saigne. Elle m’embrassa puis me dit que ce fut très bon. Elle retourna à la vidéo et sans s’en rendre compte elle se regardait en train de se faire enculer, fourrer par de nombreuses bites et emboucher des bites de différentes grosseurs. Je n’avais pas enregistré ses cris, car j’étais de l’autre côté des vitres teintées, mais j’en ai trouvés sur Internet et je les ai intégrés à la vidéo. Je lui ai mis encore deux doigts dans le vagin et je l’ai pistonnée jusqu’au moment où elle était pour avoir un autre orgasme.


Enfin le moment attendu arriva. Elle vit apparaître en gros plan sa figure emplissant l’écran de 90 cm, et avec le son que j’avais ajouté, cela donnait l’image d’une pute qui se faisait mettre par une bite démesurée. J’ai arrêté de la pistonner.



Là tout a basculé. Elle se voyait entièrement nue, prise par un mec autre que son mari en train de hurler de plaisir tout en passant ses mains sur ses seins, sa chatte et j’en passe. Tout est arrivé lorsqu’elle était en train de jouir dans mes bras. Ça l’a refroidie plus vite qu’un seau d’eau glacée. Elle m’a regardé, elle a regardé la TV puis elle m’a regardé encore. Elle n’en croyait pas ses yeux. C’était elle en train de se faire enculer par deux hommes avec un autre qui lui aspergeait la gorge de son foutre. Un peu de sperme lui coulait de la bouche.

C’en était trop, elle se dégagea.



Je lui pris le bras, je l’ai assise sur mes genoux et je lui ai dit :



Je l’ai retenue et obligée à regarder le reste de la vidéo. Un coup fini, je l’ai relâchée et je lui ai demandé ce qu’elle avait à dire. Après une éternité elle me dit :



Elle a dit ça sans conviction.



Isabelle prit son temps avant de répondre, car elle se demandait quelle serait son avenir. Si elle raconte tout, ce sera peut-être pire, mais si elle ne dit pas la vérité, que fera Seb si, lui, connaît du moins en bonne partie de ses frasques sexuelles ?



Tout a commencé il y a environ un an. Nous étions mariés depuis un an et tout allait bien puis tu as commencé à te déplacer pour ton travail. Ton patron Robert te donnait de plus en plus de travail en dehors de Paris et des environs. Il t’arrivait de te déplacer pendant 4 à 5 jours. Souvent du jeudi au dimanche ou lundi. Je me sentais seule, je me suis donc décidée à sortir et à aller au cinéma ou prendre un verre ou deux, avec mon amie que tu as vue au club libertin hier. Nos sorties se limitaient à un resto, un cinéma, une discothèque ou à des endroits où nous pouvions nous éclater.


Un jour elle me demanda si j’avais déjà été dans un club libertin. Je lui dis que non et que je n’étais pas intéressée à tromper mon mari. Quelque temps après elle a insisté en me disant que les gens qui y allaient ne couchaient pas nécessairement avec d’autres personnes, mais seulement pour prendre un verre, danser, s’amuser et aussi jeter un œil sur ce qui s’y passait. Je me suis laissé convaincre et elle me dit que c’était moi qui décidais de ce que je voulais faire et j’établissais mes propres limites.


Donc un vendredi soir je me suis laissée entraîner vers ce bar libertin où tu es venu hier soir. Nous sommes entrées et j’ai dit à mon amie qu’il n’était pas question que je couche avec un homme, j’avais déjà un mari qui me rendait heureuse. Nous avons dansé toute la soirée. J’ai été sollicitée plusieurs fois par des hommes et même des femmes. J’ai toujours décliné leurs offres. Tout en dansant avec mon amie, lors d’un slow, après plusieurs verres, celle-ci a commencé à descendre ses mains sur mes fesses et a poussé sa poitrine sur la mienne. Tu connais ma poitrine et tu sais que mes mamelons sont très sensibles. Au fur et à mesure qu’elle frottait ses seins de plus en plus fort, mes tétons sont devenus de plus en plus gros et de plus en plus sensibles. J’ai commencé à ressentir dans mon bas-ventre des démangeaisons de plus en plus fortes et chaudes.


Voyant que je répondais à ses avances, elle m’a enlevé mon chandail et elle s’est mis à me malaxer les seins puis à les embrasser en suçant mes petits bouts qui durcissaient comme de petits pénis qu’on masturberait. Je n’en pouvais plus. J’aurais dû arrêter à ce moment, mais la sensation était plus forte que ma volonté. J’ai cédé à ses attouchements et je lui ai enlevé son chandail. Je lui ai plaqué ma bouche sur la sienne et je lui ai roulé une pelle.


J’ai pris ses deux seins dans mes mains et je les ai malaxés, soupesés, sautés et je les ai léchés avec ma langue qui a tourbillonné sur ses tétons et sur ses aréoles. Un vrai délice, je me suis prise à mon jeu. J’ai toujours eu une attirance envers les femmes. Tu le sais, car avant notre mariage je t’avais confié que j’avais déjà fait l’amour avec plusieurs femmes avant de te connaître, mais qu’après notre mariage j’avais cessé.


Nous nous sommes touchées pendant plusieurs slows et des hommes ont commencé à essayer de nous peloter les fesses à moi et mon amie qui est devenue mon amante et vice-versa. Pour ne pas être dérangées, nous sommes passées dans une chambre libre et nous avons verrouillé la porte. Nous nous sommes déshabillées puis nous nous sommes placées en 69. Pendant plus d’une heure nous avons baisé. Ce n’était pas de l’amour, mais de la baise, puis nous sommes rentrées à la maison et toutes les fois que tu te déplaçais nous en profitions pour nous rendre à ce club libertin. Nous commencions à être connues. Au fur et à mesure de nos visites nous avons laissé des hommes entrer dans notre cercle sexuel. Je me suis mis à baiser tout ce qui passait, hommes ou femmes. Par contre après le club libertin je retournais à la maison seule ou accompagnée de Julie.


Il y a quelques mois lors d’un de tes nombreux déplacements de week-end, nous nous sommes rendues au club et après plusieurs verres de rhum, nous avons entamé plusieurs slows de plus en plus collées. Nous avions enlevé nos chandails lorsque deux messieurs, jeunes étudiants, se sont placés derrière nous et ont suivi nos mouvements. Ils étaient corrects, ils se collaient à nos fesses sans aller plus loin. C’était agréable de se faire courtiser par un autre homme que son mari. Toi tu étais toujours occupé par ton travail et à part me baiser tous les matins et le soir lorsque tu étais là, bonjour la courtisanerie. Je ne savais plus ce qu’était un bouquet de fleurs. Je sais que tu m’aimes, mais tu n’étais pas trop démonstratif.


À la fin de la danse, nous fûmes invitées à prendre une coupe de champagne à leur table. Nous avons discuté de tout et de rien, mais nous avons consommé plusieurs coupes de champagne. Selon moi ils avaient l’intention de nous rendre plus que pompettes. Puis j’ai senti une main sur ma cuisse qui montait tranquillement vers le haut en direction des grandes lèvres. Je ne portais pas de slip. J’avais le choix de me lever puis de rentrer ou de laisser faire. Mon cerveau était au ralenti et avant que j’aie eu le temps de prendre une décision, un de ses doigts s’était inséré dans mon vagin. J’ai été prise par surprise. Il a commencé à me pistonner lentement tout en tournant son doigt et en frottant les côtés de mon vagin. Cela m’a rendue folle et je me suis laissée aller.


Plus rien ne comptait que mon plaisir. J’ai mis la main dans son pantalon, j’ai sorti sa pine qui était quand même respectable puis je me suis mis à le masturber. Après plusieurs minutes de ces traitements il m’a pris la tête dans ses mains puis il m’a poussée vers sa pine pour que je le suce. Je me suis donc penchée et j’ai gobé son chibre puis je l’ai sucé avec des va-et-vient de plus en plus prononcés. Sans crier gare il m’a foutu tout son sperme dans le fond de la gorge que j’ai avalé sans en perdre une goutte. J’étais rendue cochonne au max. Après avoir joui, il m’a dit qu’il voulait me rendre la pareille et nous nous sommes levés pour se diriger vers une chambre libre. Mon amie et son amant nous ont suivis et nous nous sommes enfermés à clé pour forniquer tous les quatre.


Mon amant m’a couchée sur le dos puis s’est mis en 69 et pendant plusieurs minutes nous nous sommes léchés jusqu’à obtenir un orgasme chacun. J’avais la bouche pleine de son foutre, mais je me régalais de cette situation. J’entendais mon amie hurler lorsque son amant, qui l’avait enculée, lui a tout foutu dans les entrailles. Je peux te dire que je ne pensais pas à toi en ce moment. Je voulais jouir encore et je lui ai demandé de me la mettre au fond du vagin. Il ne s’est pas fait prier et il me l’a mise d’un seul coup puis il m’a pistonnée jusqu’à ma jouissance. Je me débattais de tous les côtés non pas parce que je voulais qu’il sorte de moi, mais pour y rester et qu’il me fasse jouir encore.


Après plusieurs éjaculations, il s’est couché sur le dos à côté de moi en me disant que je l’avais vidé et que ses couilles étaient à sec. Mon amie avait fait pareil avec son amant. Elle n’était pas entièrement satisfaite et moi non plus alors on s’est mis en 69, Julie et moi et nous nous sommes masturbées jusqu’à la jouissance et là ce fut l’apothéose. Nous nous sommes habillées et nous sommes revenues chacune à la maison.


Maintenant si tu veux que je te raconte toutes les autres fois que je t’ai trompé, tu entendras sensiblement la même chose. Le nombre de fois que je suis allé au club libertin correspond au nombre de fois que tu as été en déplacement depuis un an. Oui j’ai baisé avec mon amie, d’autres femmes et plusieurs hommes. Est-ce que je regrette de l’avoir fait ? Je pense que non, j’en avais le besoin. Est-ce que je regrette de t’avoir fait de la peine ? Oui. Je ne pensais pas que tu l’apprendrais, mais c’est fait, nous sommes devant le fait accompli. Maintenant je dois assumer mes actes et j’accepterai ta décision. Est-ce que je t’aime ? La réponse est oui, car lorsque je me faisais baiser ce n’était pas de l’amour, mais de la baise. La balle est maintenant dans ton camp.



Ouf, toute une histoire ; je ne m’attendais pas à entendre toutes ces orgies pratiquées dans mon dos. Moi qui travaillais afin de donner une qualité de vie à ma dulcinée et elle de son côté me cocufiait avec une ou des personnes. J’avais un chapeau de cornes.



Elle hésita pendant quelques secondes puis elle me répondit :



Je n’ai pas répondu.

Maintenant je fais quoi ? Je divorce, je fais chambre à part, je lui pardonne en lui faisant promettre de ne plus le faire, etc. ? Je l’ai regardée dans les yeux et je lui ai dit :



Le lendemain je me suis réveillé avec l’odeur du café et des rôties. Isabelle s’était levée plus tôt et m’a apporté le petit déjeuner au lit, fait assez rare. Elle me dit qu’elle avait eu des difficultés à dormir et que ma réponse déciderait de notre futur. Il était quand même 11 heures ; j’ai donc enfilé le café avec les rôties puis je me suis habillé et j’ai dit à Isabelle que oui, j’avais pris ma décision. Descendons et parlons. J’avais le choix entre divorcer ou parler de notre situation et de voir la suite des événements.


Rendus au salon nous nous sommes assis, je lui ai pris les mains, je l’ai regardée droit dans les yeux puis je lui ai dit que j’avais pris une décision. Elle attendait, anxieuse de ce qui allait changer notre avenir.



« Dring, dring. »


Bon le téléphone qui sonne. Qui peut m’appeler un dimanche à cette heure-ci ? Est-ce un amant à qui tu aurais donné notre numéro de téléphone de la maison en lui disant qu’il pouvait appeler, car j’étais en déplacement jusqu’à demain. Je me faisais des constructions mentales, je ne savais plus quoi penser.



Je suis demeuré bouche bée ! Ouf ! Cela venait de changer la donne. Je fais quoi ? Je propose à Isabelle de partir pour le Gabon et recommencer à neuf ou je lui dis que je veux divorcer ou je quitte seul, etc. Je l’aime comme un fou, mais elle me trompe et me ment régulièrement, j’avais mal, très mal. Au Gabon la vie va-t-elle changer ? J’avais moins de 30 secondes pour me décider, car j’avais dit à Isabelle que j’avais pris une décision.

Arrivé devant Isabelle je lui ai pris les deux mains, je l’ai regardée dans les yeux puis je lui ai dit :



Je lui ai expliqué tous les avantages qui venaient avec et qu’elle avait un job aussi très avantageux.



Elle n’a pas hésité une seconde et elle m’a dit :



Nous nous sommes jetés dans les bras l’un de l’autre puis nous avons fait l’amour comme des fous. Nous étions heureux, car nous allions débuter une nouvelle vie dans un pays étranger, au soleil et avec suffisamment d’argent à notre retour pour nous payer une nouvelle maison plus grande que celle que nous avons.


La vie nous souriait encore. Le soir nous nous sommes couchés en faisant l’amour dans toutes les positions et après deux heures de baise nous nous sommes embrassés et chacun de son côté nous nous sommes dirigés vers les bras de Morphée.


Le lendemain j’ai rencontré Robert et je lui ai fait part de notre décision. Il jubilait.



Le soir j’ai discuté avec Isabelle de ce que Robert m’avait dit comme informations et qu’elle pouvait préparer les valises, car elle tombait en vacances vendredi, aux frais de la société, et elle avait deux semaines pour tout préparer soit à emporter ou à stocker.


Une nouvelle vie nous attendait. Je serai de retour tous les soirs, à la maison, donc aucune excuse de tromperie. Je n’ai pas dormi immédiatement, car je me posais la question, à savoir : « Va-t-elle tenir sa promesse ? »

Juste avant de m’endormir, une phrase m’est revenue en tête : « Qui a bu boira… »


À suivre au Gabon.