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n° 17430Fiche technique26423 caractères26423
Temps de lecture estimé : 15 mn
16/06/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Le week-end en amoureux continue. Hélène décide de donner sa dernière virginité à Pierre. Mais rien n'est si simple et il faut toute la douceur et le doigté de Pierre pour qu'Hélène apprécie cette pénétration.
Critères:  fh hagé fagée couple magasin cinéma amour fsoumise noculotte lingerie fellation anulingus fdanus fsodo jouet
Auteur : Bruno, le conteur

Série : Hélène

Chapitre 03 / 06
Hélène 1.3 - Week-end chez Pierre (fin)

Résumé des épisodes précédents :

Hélène, quinqua divorcée, est séduite par Pierre au cours d’un invraisemblable concours de circonstances. Quant à Pierre, il devine sous cette timidité une sensualité cachée et il entreprend de la lui révéler.

Après avoir cru perdre Pierre, Hélène est rassurée sur les sentiments de son amoureux. Elle entame avec lui une ronde des plaisirs de l’amour où se mêlent jeux de soumission, instants de tendresse et opportunités sensuelles.

Nous retrouvons Hélène et son sultan au restaurant après une séance d’essayage de dessous.



Récit de Pierre


Nous attaquons notre dessert quand Hélène me fait cette demande étrange :



Arrivé à Belle-Épine, je laisse Hélène choisir le film, une comédie pétillante et tendre. Quand nous entrons dans la salle, les publicités se terminent. Je guide ma chérie vers deux places contiguës, sans accoudoir les séparant, un vrai petit divan pour amoureux.


La lumière s’éteint, le film commence. Hélène pose sa tête sur mon épaule, attrape ma main gauche et glisse ses doigts entre les miens. Après dix minutes, elle lâche ma main, s’agite, puis repose sa tête sur mon épaule. Doucement, elle soulève sa robe, et dépose ma main à l’intérieur de sa cuisse, à cheval sur le bas et la peau satinée, puis elle rabat le tissu sur ma main. Elle m’embrasse dans le cou, repose sa tête, et reprend mon bras. Une ou deux scènes plus tard, elle déplace doucement ma main vers son pubis.



Ma main gauche commence à fouiller son intimité, je glisse mes doigts dans sa fente déjà humide, je chiffonne ses lèvres. Elle soupire de plus en plus fréquemment. Elle se crispe sur mon bras, m’embrasse dans le cou.

Je dégage le clitoris. Je pose mon index dessus et je le frictionne doucement.

Elle avance son bassin, son anus devient accessible.



Je fais glisser mes doigts pour atteindre chacune des clés du plaisir. Mon index pénètre sans peine son œillet lubrifié par son propre suc. Mon majeur s’agite dans son vagin et mon annulaire et mon petit doigt stimulent son bourgeon. Hélène étouffe ses gémissements, entrecoupés de « Chéri, mon amour, encore. » Puis elle se crispe dans un spasme violent, étouffant son cri en me mordant le biceps. Puis elle s’apaise, se redresse dans le fauteuil, et repose sa tête sur mon épaule.



Nous profitons sagement du film, puis prenons le chemin de la sortie et du parking en nous tenant par la taille.



Puis, elle ajoute :



Je m’arrête, et je lui fais face.



Et elle me pose un délicat baiser-papillon sur les lèvres.



Je ne suis pas pressé de rentrer, nous prenons l’autoroute. Hélène laisse sa robe remonter et que ses cuisses charnues se découvrent jusqu’au-dessus de la lisière des bas. J’ai un œil sur la route et un autre œil ailleurs.



Et provocatrice, elle remonte l’ourlet de sa robe.



Un grand coup de klaxon nous répond. Éclat de rire général. Ma sultane relève la tête et envoie un grand sourire à notre routier sympa et voyeur. J’accélère pour finir de doubler le camion accompagné du rire de ma compagne et des tut-tut désespérés du 38 tonnes.


Une fois arrivé à la maison, et la porte fermée, je glisse la main sous la robe de mon impudique, et avec un accent mal imité de Gabin dans La bête humaine, je balance :



Puis, elle me prend la main et me tire vers la cuisine.




Récit d’Hélène


Une fois sous le jet, je m’arrose abondamment, le dos et les fesses. Puis, je pose une noix de savon dans ma paume, et je me frictionne. Ensuite j’attaque l’entraînement, avec mon savon intime, je lubrifie mon petit trou, et je glisse un doigt dans mon cratère. Rien, pas de douleur, mais je ne retrouve pas la sensation agréable que me procure le majeur de Pierre. L’index rejoint son voisin, même pas mal, mais aussi aucun plaisir. J’essaye avec un troisième doigt, je réussis à le faire pénétrer, mais je sens comme une brûlure. En moi-même, je m’encourage : « Allez, ma fille, tu peux le faire, fais-le pour Pierre. » Peine perdue, mon troufignon me lance, j’ai mal, un mélange de brûlure et de frictions. En plus, cette douleur me crispe. Je renonce à mes essais d’autosodomie. « Pourvu que Pierre soit plus doué que moi. »


Pierre me rejoint. Je ne lui dis rien de mes tentatives. Je le savonne, sa belle verge se gonfle dans ma main. Mon sultan est vraiment très vigoureux, jamais il n’entrera en moi par-derrière. Ou il va me déchirer.


Je me retourne pour régler l’eau sur plus chaud. Le traître en profite pour me caresser les fesses, puis sa main se faufile dans ma raie, et dans la foulée, son index m’encule. Et ça marche, je ressens cette douce chaleur. Son majeur le rejoint dans mon œillet, et me pistonne. La bulle de douceur se forme et commence à monter. Mais Pierre interrompt son pistonnage et retire ses doigts. Je vais protester contre cet abandon, quand sa langue me pénètre.

C’est trop bon, j’en ai un spasme de plaisir. Pas un orgasme, mais une petite bouffée de bonheur.


Je relève mon Pierre, je me penche sur lui. Je veux lui rendre ce qu’il m’a donné, je l’embouche, il est énooooorme, il passe à peine entre mes lèvres. Comment va-t-il rentrer dans mon orifice le plus étroit ? Sa voix interrompt mes réflexions métaphysiques.



Essuyage, tripotage, peignoirs, puis nous nous vautrons sur un grand coussin rouge installé sur la terrasse et nous attaquons un mélange d’antipasti, de légumes crus, de charcuteries de Savoie et de Persillé de Tignes.

Une fois rassasiée, je m’installe dans les bras de mon chéri, je prends sa main gauche et la pose d’autorité sur mon sein, et nous profitons du soir qui tombe.



Je l’entraîne dans la chambre, je lui murmure à l’oreille :



Pierre m’allonge sur le ventre, avec un petit polochon pour me cambrer. Je pose ma tête sur l’oreiller de mon chéri, les bras sous le coussin. Je sens l’odeur merveilleuse de mon sultan. J’attends, heureuse et passive, tout ce que mon amant voudra me faire subir.


Une sensation de fraîcheur précède une douce pénétration anale. Pierre me lubrifie, cette sensation n’a rien à voir avec celle ressentie lors de mes essais précédents. Il introduit en moi un cylindre oblong dans ma dernière virginité, puis il le fait glisser d’avant en arrière. J’apprécie ce massage mais il ne me procure pas une volupté comparable à l’index et au majeur de Pierre.



Quelque chose pousse sur mon anneau, qui s’ouvre et se referme aussitôt qu’il est passé. Puis une seconde poussée, mon anus s’ouvre un peu plus et se referme.



À la troisième, je sens une délicate excitation, qui s’amplifie avec la quatrième…



J’émets un « oui » alangui. Mon anus est dilaté au-delà de ce qu’il a déjà subi. J’entre dans l’inconnu.



Pierre s’exécute. Mon excitation croît, accompagnant les dilatations et rétractions successives. Mais la dixième et dernière est trop grosse, la pénétration est douloureuse, je me crispe et me bloque, ma bulle de plaisir s’effondre.



Pierre me cajole, puis tire sur le cordonnet. À chaque boule, je soupire de plaisir. Quant à lui, il se délecte du spectacle de mon anus forcé, s’ouvrant en rythme avec mes gémissements. J’expulse la dernière bille.




Il prend mes jambes et les pose sur ses épaules.



Et il présente son membre à mon petit œillet. Il pousse doucement sa verge lubrifiée contre mon anus. Celui-ci résiste. Je l’encourage.



Mon sphincter s’entrouvre, et Pierre en profite pour me pénétrer. Il est trop gros, je me mords la main et j’étouffe un cri. J’ai mal et malgré tout je veux aller jusqu’au bout.



Son épieu est quasiment entré en entier, je serre les dents, mais la douleur est telle que j’ai les larmes aux yeux, ma mâchoire est si serrée que je ne peux rien articuler. Je geins doucement, Pierre s’aperçoit de ma souffrance.




Il glisse hors de moi, mon anus est tellement crispé que même son retrait est une brûlure. Il est sorti, il s’allonge à côté de moi. Je me pelotonne contre lui.



J’éclate de rire. Et d’un coup toute la tension s’évanouit, j’ai toujours mal à mon petit (gros ?) derrière. Mais je me sens bien.

Cinq minutes se passent, collée à mon chéri, la douleur n’est plus qu’une sensation lointaine. J’ai posé la main sur le sexe de Pierre, qui s’est ramolli. Je me glisse vers son ventre et je prends sa verge entre mes lèvres et la lèche. Mon amoureux reprend de la vigueur, et écarte mes mâchoires.



Je lui obéis, une main soulève ma fesse, une sensation de fraîcheur sur mon petit trou. Et hop, monsieur m’enfonce une boule, puis une autre, et une troisième. Je ne proteste pas, je retrouve la sensation agréable de tout à l’heure.



Puis il me retourne, et m’adresse son sourire carnassier. Il me pénètre, mon vagin est rétréci par le chapelet. Son gland, puis le reste de sa queue appuient sur mes billes au travers de la membrane séparant mon rectum de mon vagin. Je ressens comme une petite décharge chaque fois que sa verge heurte puis repousse une boule.


Il est rentré en entier, ses allers-retours stimulent mon vagin mais aussi mon rectum. La bulle de chaleur se forme à la fois dans mon ventre mais aussi dans mon cul. Doucement, mon pervers préféré tire sur la ficelle et dilate mon anus pour sortir la première bille. Il m’arrache un « aaaah » de plaisir, il attend quelques secondes, puis il sort la deuxième, je me contracte autour de sa bite dans un spasme de jouissance je gémis sans arrêt.


Une par une, il retire les boules sans cesser de me pistonner. À chaque expulsion, je crie, et mon plaisir monte d’un cran. Encore une et j’explose. Je jouis convulsivement en même temps que Pierre. Son orgasme est tellement intense qu’il s’abat tremblant à côté de moi.


Nous reprenons notre souffle ensemble.

Je suis repue, rassasiée, je me roule contre mon chéri, et comme les fois précédentes je m’écroule comme une masse.


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Au matin, Pierre dort encore quand je me réveille. Il est sur le dos, paisible. Je fais glisser la couette, et j’observe attendrie son membre au repos. Je dépose un baiser sur son vit, ensuite un deuxième, puis n’y tenant plus j’embouche sa demi-molle qui aussitôt reprend de la vigueur.

Je commence à le sucer quand j’entends :



Sous la douche, pendant que nous nous adonnons au plaisir du savonnage mutuel, je lui demande :



Je m’habille rapidement, une robe jaune et rouge vaporeuse, à bretelles en tulle jusqu’aux chevilles, serrée sous les seins. Un décolleté qui me découvre une bonne moitié de la poitrine, et plus si je me penche. Un gilet assorti complète le tout. Je garde mes jambes nues, sans bas, ni collant.

Pierre m’attend, assis dans un fauteuil, je ne vois pas ce qu’il tient dans ses mains. Je me penche sur lui pour lui prendre les lèvres. Il en profite pour plonger son regard sur mes seins exposés. Il se lève.



Puis il trousse ma robe jusqu’aux épaules. Il fait glisser ma culotte jusqu’aux chevilles. Je l’envoie valser d’un coup de pied.



J’écarte mes fesses à deux mains, heureuse de mon impudeur, puis Pierre me masse l’anus avec du gel, je soupire, il introduit son majeur et je roucoule. Il appuie un objet ovoïde contre mon trou mignon. Il pousse à peine, et mon muscle anal cède. L’objet est gobé par mon rectum et la partie la plus épaisse se loge dans mon ampoule anale. Une tige fine le relie à une rosace qui l’empêche d’être avalé. Je me sens envahie.

Je me redresse. Je sens quelque chose qui pèse sur mon œillet, de l’intérieur.



Il prend ma main et écarte mon pouce et mon index. C’est à peu près le diamètre de ma verge préférée. Je veux me rendre compte par moi-même et je me place dos au miroir de l’entrée. D’une main, je me trousse, et de l’autre j’écarte une fesse. Je me tords pour regarder mon reflet dans la glace. Une pierre rouge est sertie au milieu de mes fesses. Je relâche ma fesse. Le volume de ma croupe camoufle mon bijou.

J’en profite pour vérifier si une transparence indiscrète ne révèle pas ma nudité. Malgré la doublure, il faudra faire attention aux éclairages trop révélateurs.


En tout cas, je suis heureuse d’avoir retrouvé cette robe. À cause de mon ex, je l’avais bannie au fond de mes placards. Sans culotte, et avec sa taille très haute, j’ai l’impression d’être nue de la poitrine aux pieds. Je ressens la délicieuse caresse du tissu sur mes fesses nues, j’en ai des frissons.



Pierre s’agenouille et attrape ma cheville gauche, et l’encercle avec une petite chaîne en or.



Je ne fais que quelques pas et je sens l’engin diabolique se manifester. Il bouge avec le même rythme que l’ondulation naturelle de mon croupion, mais il bat le contretemps, ce qui accentue encore plus le ressenti de sa présence. En revanche, une fois assise, je m’en aperçois à peine qu’il m’habite.

Pendant que Pierre conduit, à haute voix je débite la liste des achats :



Je m’arrête net, Pierre vient de passer sur un ralentisseur, presque sans freiner. Je jette un coup d’œil à mon chauffeur, un demi-sourire retrousse le coin droit de ses lèvres. Demi-sourire qui se transforme en un éclat de rire. Pour le punir de se moquer de moi, je lui lance un coup de poing dans le gras du biceps, son rire redouble.



Mais je ne fais pas attention à la route et au deuxième dos d’âne, la surprise me coupe le souffle. Mon pervers rit aux éclats. Je ne peux pas faire autrement que de me joindre à lui.



Pendant toutes les courses, l’intrus ne cesse de se manifester. D’abord son poids, qui appuie sur l’anus, comme s’il voulait sortir, et qui me prodigue une sorte de massage interne. Et aussi son mouvement, à la fois provoqué, et amplifié par mon ondulation naturelle et qui fait rouler mon beau cul sous ma robe flottante.

Cette stimulation physique, et ce fantasme de nudité en public m’excitent en permanence. Je suis pressée de rentrer. Pierre, qui doit le sentir, règle les achats sans bavarder avec les caissières.

Nous rentrons à toute vitesse, en ralentissant juste ce qu’il faut sur les dos d’âne.


À la maison, Pierre et moi nous déshabillons en courant à la chambre, ma robe vole dans l’escalier, j’arrache les vêtements de mon chéri.

Il me libère les seins et me place à quatre pattes sur le lit, il m’appuie sur le dos, entre les omoplates, pour que ma joue touche l’oreiller, et que je lui offre mon cul dans toute sa splendeur.


Une ou deux gouttes de gel entre la rosace et mon œillet et il commence à retirer mon bijou. Celui-ci dilate mon petit trou au passage de la partie renflée. Il le renfonce et le retire pour de bon. Mon anus reste ouvert, puis commence à se refermer. Je prends sa verge et la guide vers mon iris. Ses mains sont libres, et il en profite pour me saisir les seins et les pétrir. Je pousse mon derrière en arrière, et il me pénètre. Je m’encule moi-même. Mon œillet s’ouvre progressivement, se moulant autour du gland, puis c’est la tige qui coulisse dans mon rectum. Enfin je sens ses boules contre mon sexe, sa toison frotte contre ma raie. Voilà c’est fait. Je n’ai même pas mal. Je me sens remplie. Pierre amorce un mouvement. D’une pression de la main sur sa cuisse, je l’arrête. Je veux profiter de cet instant. Pierre m’a prise en douceur, je me suis donnée à lui sans douleur. Je suis bien.


Après quelques minutes, je lui donne le signal, d’un léger coup de cul en arrière. Il me prend en cadence, ses deux mains me pétrissent les seins ; puis il se saisit de mes mamelons. Il les tire, je m’avance, il les pince, je me recule. Je m’encule moi-même en répondant à la cadence imposée. Mes seins m’envoient comme des décharges électriques. Mon anus émet des vagues de plaisir. Tout ceci se mêle en moi, et un premier spasme me secoue, et je m’écroule à plat ventre.


Pierre est toujours en moi, il dégage ses mains et me pistonne d’avant en arrière. C’est trop bon, je mords l’oreiller pour ne pas crier. Sa cadence s’accélère, mon œillet, sollicité de plus en plus énergiquement, se transforme en organe à jouir, je halète, je geins, je gémis, je miaule.

Le deuxième spasme explose en moi et m’achève. Pierre se crispe et propulse sa semence qui percute mes membranes internes. Je chavire.


Je me pelotonne contre lui comme une chatte heureuse. Je me retourne et me mets sur le côté. En lui prenant la main, je l’entraîne dans mon mouvement. Je lui pose sa main sur mon sein gauche, un petit gigotage et je suis emboîtée dans lui. Il a son visage enfoui dans ma chevelure, je sens sur ma nuque le souffle de sa respiration. Dort-il, ou comme moi profite-t-il de ce moment ?

Nous passons une bonne partie de l’après-midi enlacés, jusqu’à ce qu’une petite faim nous ramène à des considérations plus prosaïques.


Nous passons la fin de la journée en amoureux : jardinage et pelotage.

Ce n’est que le soir, dans le lit, blottie contre lui que j’avoue :



Et sur cet aveu qui lui donne tout pouvoir sur mon corps, nous laissons la nuit nous étreindre.


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Au matin, Pierre est déjà parti. Je trouve un petit mot sur la table de la cuisine :


Ma Chérie, tu étais bien crevée, mes baisers n’ont pas réussi à te réveiller. Garde les clés de la maison. Ce sont les tiennes maintenant. Avec les clés de mon cœur, ça te fait un beau trousseau. Je passe ce soir à la boutique. Mille baisers. Pierre.


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« Qu’est-ce que je me fais… » pense Pierre pendant la réunion de stratégie de sa boîte au moment où une sonnerie discrète lui annonce un SMS.

C’est un selfie.

Hélène est penchée en avant, tournant le dos au smartphone, elle se tord pour sourire à l’objectif, elle a troussé sa jupe. La lisière dorée de ses bas met en valeur la peau blanche et satinée de sa croupe en liberté. Elle écarte ses fesses de ses deux mains pour montrer l’éclat rouge du rosebud planté dans son œillet.




À suivre