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Temps de lecture estimé : 13 mn
03/07/16
Résumé:  La suite de la conquête.
Critères:  ffh hplusag gros(ses) portrait historique aventure
Auteur : Vopicek      Envoi mini-message

Série : Les débuts de l'Égypte

Chapitre 02
À la conquête de l'Égypte

Résumé du chapitre précédent : « Mamer et Jondlar »

Mamer a vu son clan complètement détruit par le clan du taureau. Il est le seul a s’être échappé. Par ruse, il a réussi avec son ami Jondlar à capturer le clan du Lion et a pris sa revanche avec le clan du Taureau où il a trouvé les survivants de son clan réduits en esclavage. Il y retrouve notamment sa mère et sa cousine. On le retrouve, dans la case du chef, le soir du premier soir de liberté pour ses deux parents.



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Mais il y avait encore le reste de l’Égypte à conquérir. Mamer savait que ce serait dur, les autres clans étaient avertis qu’ils auraient des difficultés. Les moins concernés étaient dans le clan de l’Éléphant, mais devant la dénatalité et les pertes pendant les différentes batailles, ces pachydermes ont préféré l’exil en remontant dans l’Afrique.


La campagne suivante a été bien facile, c’était la possession de la ville de Memphis, capitale du clan du chacal Anubis. Le chef de ce clan était très âgé, sans descendance mâle et il avait toujours eu de bons rapports avec le clan du delta. Mamer envoya sa mère pour négocier et elle obtint que Mamer prenne pour épouse sa fille unique Laferkiri. Ce fut une révélation pour Mamer qui trouva une fille chaude comme la braise, sa minette sentait le bois de santal, ses nichons avaient le goût du bonbon à la mente, sans parler de ses aisselles qui refoulaient le thym fraîchement coupé. Même si elle avait déjà servi, pour ne pas perdre la face, elle lui proposa une petite piqûre sur le bras pour remplacer le sang virginal sur le drap à afficher. Elle lui dit :



En sus, elle était dotée d’une intelligence supérieure. C’est à cette époque, qu’inspirée, elle a commencé à tracer les premières lettres divines. Ce qui facilitait les communications dans son empire qui s’agrandissait.


C’est à ce moment-là qu’arriva à la cour un sage venant de Mésopotamie qui fuyait son pays, car il s’était permis de faire trop plaisir à la reine qui était veuve, mais son fils le grand Kodonosor n’avait pas aimé que sa mère soit intime avec ce savant. Il a dû fuir pour ne pas être exécuté.

Il a très vite amélioré le niveau des connaissances des Égyptiens, notamment en leur enseignant comment faire des bateaux de grande taille avec les papyrus avec également des connaissances en mathématiques et en médecine.

Comme sa mère l’appréciait bien, Mamer lui dit :



C’est ainsi qu’à l’âge de trente ans, Mamer avait presque tous les clans réunis sous sa tutelle. Les gazelles avaient spontanément accepté sa suzeraineté et la chef avait volontairement intégré le harem. Il ne restait que le Clan de Sobek, le crocodile. Là encore le hasard fit bien fait les choses.

Les éclaireurs rapportèrent qu’une troupe disciplinée tirant un navire en bois à travers le désert était en train d’arriver.




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À travers la plaine qui sépare la mer rouge du Nil, une troupe disparate de soldats tirait un navire en bois, sur un système de plaques et de rouleaux de bois, la progression était lente, les officiers même commençaient à trouver la tâche insurmontable.



S’époumonant à tirer, la barque arriva enfin sur les bords du Nil et les membres de Crocodile applaudirent à cet exploit.





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Pendant ce temps, au palais de Mamer, on tint conseil, devant ce semblant d’envahissement et de la conjoncture avec Crocodile. Les bateaux en papyrus ne feront pas le poids contre ce navire tout en bois et ses hauts bords rendront difficile la prise d’assaut.

À ce moment-là, Laferkiri énonce une petite vérité :



Il fallut bien une semaine pour remonter du Delta, mais ils arrivent cependant avant que les Babyloniens n’y soient, car à droite et à gauche, ces derniers pillaient, massacraient, etc..


Avec Jondla et Juri qui est le chef des gens du Delta, fut établi un plan :



Tout marcha comme prévu et dès que le bateau fut pris, Jondlar se réfugia derrière les murs de la ville, laissant les Babyloniens sur leur faim. Dépités, ils prirent la direction du Delta, mais là, au milieu de l’entrelacs des bras d’eau et de la végétation, ils ne passèrent pas inaperçus. Tendre un piège est une tâche très facile, il suffit d’allumer des feux de nuit pour les attirer où l’on veut les piéger. Un grand filet de pêche est prêt pour leur tomber dessus, pour les empêtrer et pouvoir les flécher à bout portant dans une zone où ils seront à moitié dans la vase pour avancer.


Mission accomplie et en trophée, on rentra avec la tête du général vaincu. En la présentant à Sandar, il ne peut se retenir, c’était son cousin, mais qu’est-ce qu’il venait donc faire en Égypte ? Il se décida à aller trouver le solde des troupes babyloniennes pour s’enquérir et éventuellement les désarmer si amnistie, voire les retourner contre Sobek.


Il apprend que suite à sa fuite, un ordre de conquête et d’assassinat à son endroit avait été lancé et que Sinbad n’avait eu d’autres choix que d’accepter, sous peine d’être lui-même assassiné.

C’est ainsi que s’est terminée cette expédition babylonienne. Restait le problème Sobek qui sait qu’il aura fort à faire pour s’en sortir. Il faut le couper de ses ressources qui se situent dans les montagnes du sud. Ce travail est entrepris par Jondlar qui a pris de nombreux Babyloniens qui rêvaient que de se racheter. Là, à nouveau, il fallut jouer fin. On prit le grand bateau en bois et, à voile avec le vent du soir, on remonta le fleuve. Pas de problème avec les crocodiles qui ne peuvent entamer la coque, trop dure.


Là, ils décidèrent d’affamer les troupes de Sobek en leur prenant les récoltes et en les descendant à Memphis où, sur les conseils conjugués de la reine et de Sandar, ils construisirent à l’intérieur des murs les premiers silos à grains. Simultanément, ils conseillèrent aux paysans de descendre vers Memphis pour cultiver les terres. Ceux qui n’acceptèrent pas furent razziés et mis en esclavage.


Sobek tente une contre-attaque, mais grâce à ses espions, Sondlar fut prévenu que les troupes de Sobek sont en route vers Memphis. Il mobilisa la garde et le bataillon sacré.



À ce moment-là Laferkiri assistant au conseil (à la place de faire le ménage !) remarque :





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Dans le camp de Sobek, c’est la misère, il n’y a presque plus rien à manger et là Sobek prit une décision difficile à prendre : abandonner provisoirement son camp pour aller piller au nord. Il réunit son conseil de guerre :



Le lendemain, la troupe se met en marche et choisissant de suivre le Nil à la descente, il n’avait que de petits bateaux et il se méfiait que Mamer ait récupéré le bateau puissant des Babyloniens.


Au tiers du parcours, harassé de fatigue, ils voient le bateau faire pleine voile vers le sud, les rames sorties.



Effectivement les troupes de Jondlar remontent le fleuve jusqu’au camp de Sobek. Là, il se présente, sous le couvert d’un bouclier devant la porte.



Sans trop d’opposition, les habitants du camp ouvrent la porte et se dirigent vers le bateau. Cependant un doute :



C’est ainsi que la barque, grâce au vent fort qui souffle le matin et au courant, redescendit le Nil pour arriver quelques heures avant les troupes ennemies, Ils libèrent les membres restants de la tribu de Sobek et les répartirent dans la population. Jondlar évidemment fait conduire la femme de Sobek au harem et la confie à Laferkiri pour la préparer pour la nuit prochaine.



Il sait qu’avec Laferkiki, ce sera chaud et jouissif.



Le soir venu, Mamer rentre dans son palais et se dirige vers le harem, contrairement à l’habitude, il se faufile discrètement jusqu’à la porte de la chambre des amours. Là il entend le dialogue suivant :



À ce moment-là, la trompe sud résonna, Mamer s’éloigna en se disant elle est en de bonnes mains, il demande à son serviteur d’aller s’enquérir de la raison de sonner la trompe.



Finalement, les officiers de Sobeck se rebellèrent, lui coupèrent la tête et vinrent l’apporter en signe de reddition à Mamer.


Ceci ne plut pas du tout à Mamer, un roi ne peut être tué que par un autre roi. Il fit mettre aux arrêts tous les officiers Sobek et demanda que son vizir soit là à la première heure pour statuer. Sur ce, cette fois, il abandonna pour ce soir ses fonctions et se dirigea vers son harem pour une belle partie de plaisir.

À nouveau, il s’approcha discrètement de la chambre nuptiale et entend à nouveau Laferkiki :



Elle leva ses jambes bien en haut, dévoilant tout son attirail :



À ce moment arriva Mamer, à poil, avec une belle mentule bien érigée. Il s’allongea entre les deux femmes dont l’une est en train de passer un examen de la part d’un Dieu vivant. Elle était prête de perdre ses moyens et Mamer, voyant cela se dit, il faut la décomplexer. Je vais essayer de partir d’un terrain connu pour l’amener à plus de fantaisie par la suite. Sur ce, il planta son drapeau dans un conin bien préparé, prêt à l’accueillir. Lentement, il mit en marche le mouvement perpétuel des amoureux, en avant, en arrière, en avant, en arrière et ceci jusqu’à ce que coquette dégueule.

Cependant comme c’était un homme bien entraîné, il arriva à bien freiner ses pulsions et laissa Neith partir vers des cieux toujours plus hauts. C’est un concert de gémissements ponctués de moult points d’exclamation !!! Finalement d’un large mouvement balancé, il projeta sa purée dans la fosse du plaisir qu’il était en train de suborner.

Doucement Laferkiki amena Neith vers le sceptre royal et lui dit :





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L’Égypte est pacifiée. Les paysans peuvent remonter le fleuve et la prochaine crue s’annonce excellente.


Mais le sexe est latent partout, il fallait repeupler le pays. Après que Memphis eut reçu son enceinte de murs blancs, Mamer reçut encore 3 épouses qui furent éduquées pour le plaisir du lit par Laferkiri. Il avait souvent les traits tirés le matin quand il avait passé la nuit à essayer de repeupler l’Égypte.

Et Jondlar dans tout cela ? Lui aimait les jeunes soldats, sachant que les amitiés viriles sont ce qui est le plus important sur les champs de bataille. On peut toujours compter sur son amant pour te seconder ou te secourir.


Mamer mourut pas mal d’années plus tard et son nom est resté comme le premier pharaon (la lumière du peuple) à avoir uni les deux terres.


S’il y a un intérêt dans ce genre de discours, je continuerais avec un épisode trouble, l’invasion Hyskos qui survint de nombreux siècles plus tard. Je me pose la question s’il faut ajouter une nuance sexuelle ou l’éviter comme les ouvrages courants.