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n° 17529Fiche technique15258 caractères15258
Temps de lecture estimé : 9 mn
19/08/16
Résumé:  Une robe ? Des chaussures ? Oui, et de délicieux essayages.
Critères:  jeunes freresoeur magasin essayage caférestau exhib noculotte lingerie
Auteur : Benoberna      Envoi mini-message

Collection : Manon et Fred, jumeaux
Essayages en magasin

Fred accompagne, avec plaisir, Manon acheter une robe puis des chaussures.


Manon était l’innocence même, on vient de le voir, belle comme le jour, blonde, mince, élancée, dotée d’une belle poitrine, et toujours habillée sexy, sur mes conseils, il est vrai ; j’étais toujours flatté du regard des hommes sur ma sœur. J’étais fier d’être vu à ses côtés et ces regards, quelques fois un peu trop appuyés, la rendaient plus belle à mes yeux, d’autant qu’elle ne les voyait même pas.

Manon n’aurait jamais acheté le moindre vêtement sans avoir mon avis ni le moindre sous-vêtement. Je devais l’accompagner pour choisir, l’accompagner pour l’essayage dans la cabine, donner mon avis sur l’aspect, mais aussi sur le maintien, m’assurer que ce soutien-gorge ne lui comprimait pas trop la poitrine ou que la ficelle de ce string ne la gênerait pas. Ceci rendait maman furieuse :



Aujourd’hui nous achetons une robe, une belle robe que nous avons repérée dans une vitrine, une robe fluide qui, j’en suis certain, est faite pour Manon. Nous voilà dans la cabine, les commerçants ne nous connaissant pas pensaient que j’étais simplement son petit ami.


Manon ayant quitté pantalon et tee-shirt était en culotte jaune paille et soutien-gorge assorti, un soutien-gorge permettant d’audacieux décolletés comme celui que la robe que nous venions de choisir le promettait. Posant mes deux mains sur sa poitrine, je lui dis :



Et je lui enfilai cette robe si fluide qu’on aurait cru qu’elle était liquide. Elle tomba, et se positionna sur le corps de Manon comme une seconde peau.

Le décolleté profond et très échancré mettait parfaitement en valeur ses seins, de manière très élégante. On l’aurait dit taillée sur elle, tant elle la portait magnifiquement. La longueur à mi-cuisses lui faisait des jambes sublimes.



Nous sortons de la cabine pour aller nous rendre compte de l’effet devant un miroir.



De retour dans la cabine, je pose à nouveau mes mains sur sa poitrine, soulignant à travers le tissu le contour de son soutien-gorge.



La cabine est petite et nous sommes quasiment collés l’un à l’autre. Ce contact me fait remonter très lentement les mains, caressant au passage ses fesses et son dos.



Après l’avoir dégrafé, mes mains glissent vers l’avant, mes pouces joints glissant sous le soutien-gorge et mes doigts écartés soulevant les bonnets pour recueillir les seins enfin libérés que je conserve un moment au creux de mes mains. Mais je ne peux finir de l’ôter, les bretelles m’en empêchant.

Je remonte donc totalement la robe, la lui enlève ainsi que le soutien-gorge. Ses seins face à moi semblent appeler mes mains qui ne résistent pas longtemps.



Et je me mets à embrasser ses seins, fermes, doux, les soulevant de la paume de mes mains, saisissant discrètement le bout dressé entre mes lèvres, multipliant les baisers sur cette peau qu’effectivement je sens, tendue, douloureuse.



Mais nous ne pouvons rester plus longtemps dans cette cabine. Je lui renfile donc sa robe, après qu’elle a levé les bras, celle-ci prenant automatiquement sa place. De mes mains, je reviens sur ses seins :



Et posant mes doigts sur ses tétons dressés :



Et mes mains, revenant dans son dos, refont sur la robe, le même chemin en descendant qu’elles avaient fait sous celle-ci en montant, caressant ce tissu soyeux du haut du dos jusqu’à ses fesses que j’ai du mal à lâcher, Manon m’ayant enlacé et se collant à moi.



Et nous ressortons de la cabine pour que Manon se regarde dans le miroir.



Une fois dans la rue nous ne passons pas inaperçus, car, à chaque pas, ses seins manquent de déborder du décolleté, car la robe est si bien coupée qu’il ne se produit aucune sortie intempestive. Aucun des hommes que nous croisons n’a regardé Manon dans les yeux. Posant ma main sur sa hanche, je sens la culotte et constate qu’elle est parfaitement visible et qu’elle gâche un peu la ligne fluide de ce tissu collé à la peau. Me laissant dépasser, je constate en effet que l’on peut en suivre du regard le dessin à travers le tissu.



Et je la vois se dandiner sur sa chaise, ses mains sur ses cuisses.



Ses mains ayant relevé, le plus discrètement possible tout de même, les côtés de sa robe jusqu’à la ceinture de la culotte, ses fesses se soulèvent puis se reposent.



Comme elle ne s’est pas baissée pour ramasser quoi que ce soit, un coup d’œil rapide me fait voir sa culotte sur ses chevilles.



Et me voilà me baissant pendant que Manon soulève l’un puis l’autre pied, me permettant de la récupérer. J’en fais une boule dont je ne sais trop quoi faire, le serveur étant arrivé prendre notre commande. Je finis par ne plus y penser et machinalement je la pose sur la table.

Le serveur manque tomber le plateau lorsqu’il aperçoit cet objet insolite sur cette table.



Le serveur manque de s’étouffer entendant ceci et regardant les cuisses de Manon, ouvertes, comme si elle était seule au monde, montrant à ce pauvre garçon ce que recouvrait, il y a quelques minutes encore, cette petite culotte.

Et, se levant, tournant sur elle-même :




**********



Quelques jours plus tard, Manon a décidé d’acheter des chaussures ; nous voilà donc léchant les vitrines à la recherche de sandales à hauts talons que nous avons vues dans une revue. Enfin ! Voici dans cette vitrine un modèle qui s’approche du modèle recherché. Nous entrons et Manon expose au vendeur son souhait d’essayer ce modèle. D’un coup, une crainte : Manon a-t-elle enfilé une culotte ?


Je n’étais pas avec elle lorsqu’elle s’est habillée ce matin. La naturiste qu’elle est, aidée de sa plus parfaite inconscience, font qu’il lui arrive souvent, aux beaux jours de n’en point porter, même sous ses minis les plus courtes, jupes ou pire, robes comme aujourd’hui qui, lorsqu’elle se baisse, remontent très haut. Qu’elle montre sa culotte, passe encore et j’y trouve même un certain plaisir, mais je ne suis pas tout à fait mûr pour qu’elle s’exhibe sans culotte. Parce qu’elle ne va pas se gêner pour les essayer, je la connais. Assise, elle lèvera son genou pour que son pied soit à portée de ses mains et là, tranquillement, elle ne se souciera pas de savoir si le vendeur ne regarde pas que ses chaussures.



Pourquoi me priverais-je de cette vue ?

Déjà le vendeur est à ses pieds avec plusieurs boîtes, n’ayant encore rien remarqué, ce qui ne tarde pas. Elle essaye, réessaye, me demandant mon avis, se levant, s’asseyant et réessayant.

Le vendeur avait un peu changé de couleur et, voulant profiter au maximum de ce que Manon lui montre, ne cesse de proposer de nouveaux essayages.

Je crois, lorsque Manon, ayant fait quelques pas dans le magasin, se penche, sans plier les genoux, pour arranger une bride, qu’il va suffoquer.


La robe était si courte qu’elle est remontée en haut des fesses et je dois constater que ma sœur ne porte pas de culotte, mais le mini string que nous avions acheté pour qu’il ne soit pas visible sous les pantalons de toile très moulants que Manon aime porter. Celui-ci a toutes les peines du monde à dissimuler son sexe que la ficelle partage tel un couteau dans un fruit mûr. Et, comme si elle le faisait exprès, elle reste ainsi un bon moment tant et si bien que le vendeur s’approche pour l’aider, mais restant derrière elle, il ne regarde absolument pas ses pieds.


Moi-même je ne peux détacher mes yeux de ce spectacle ; je voudrais qu’il dure.

Je ne vois absolument pas le sexe de ma sœur, mais un sexe anonyme, offert à la vue, mais sans obscénité, comme si cela est parfaitement naturel.



Et, prenant mon bras, elle m’entraîne voir d’autres boutiques. Je lui dis qu’elle avait eu tort, qu’elles étaient très belles, qu’elle aurait dû les acheter.


Une terrasse au soleil nous tente et nous nous asseyons un moment pour nous désaltérer, face à la rue. Manon, insouciante comme à son habitude, a calé son talon sur le barreau de la chaise.

Je ne tarde pas à voir des hommes, jeunes et moins jeunes, passer et repasser, car ils ont bien sûr repéré la culotte exposée. Habitué maintenant à ce manège, je joue la plus parfaite indifférence, car j’ai remarqué que les voyeurs n’aiment pas être repérés. Ils regardent quelque chose de beau et je suis flatté de ces regards. Pourquoi donc les déranger ?



Manon se lève d’un bond.

Se rasseyant, elle tenait une petite boule de tissu blanc dans sa main :



Et nous voilà repartis à la recherche de ces fameuses sandales à haut talon. Je garde, sans trop y penser, ma main dans ma poche, serrant son petit string et nous finissons par nous retrouver devant la vitrine du magasin qui avait beaucoup de choix.



Je m’assois près d’elle, et je ressors ma main de la poche sans penser à y laisser le string. Jambe relevée, Manon se chausse.

Le vendeur, de rouge devient blanc, ne pouvant détacher ses yeux de ces poils blonds et, lorsque ses yeux croisent les miens, je tiens, collé à mon nez, la petite culotte parfumée de ma sœur.

Je crois qu’il va défaillir.



Nous payons, sortons et laissons ce pauvre homme à ses rêves.

Sa femme en profitera ce soir, et c’était très bien ainsi.



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Voir aussi, avec les mêmes protagonistes : « Innocente mais impudique Manon »