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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/09/16
Résumé:  Invités à une soirée costumée, mon épouse et moi découvrons un nouvel aspect de notre vie sexuelle...
Critères:  fh hépilé hféminisé travesti hdanus hgode yeuxbandés
Auteur : Oli Mart 1977            Envoi mini-message

Série : Déguisement fatal

Chapitre 01 / 02
Première étape

Je m’appelle Éric. Avec mon épouse Iva, nous habitons en Europe de l’Est. Iva est Tchèque.


Dans la communauté internationale à l’étranger, de nombreuses soirées sont organisées ; et lorsqu’il s’agit d’une soirée organisée par un Français, elles sont souvent à thème ou déguisées.


Au début de l’été, nous avons ainsi été invités à une soirée déguisée chez des connaissances. Avec un groupe d’une dizaine d’amis proches, invités eux aussi, nous discutions de cette soirée et nous eûmes l’idée de tirer au sort les déguisements que chacun devrait porter. Chacun écrivit donc une idée sur un papier et chacun piocha ensuite un papier… Il y avait un pirate des Caraïbes, un fantôme, un Charlie Chaplin, une infirmière, un beauf, une Catwoman, un Hulk, un Tarzan et un militaire, pour ceux dont je me souviens…


Iva tomba sur Catwoman, ce qui ne pouvait pas mieux tomber, car c’est une belle brune d’un mètre soixante-dix, mince, avec de longues jambes bien dessinées, des fesses rondes et rebondies, et une poitrine assez généreuse. On vit d’ailleurs passer un regard de désir dans les yeux des hommes lorsqu’elle piocha son papier…

Quant à moi… je piochai l’infirmière ! Cela fit presque autant rire que lorsqu’un de nos amis, très maigre, piocha Hulk.


Il nous restait une semaine pour préparer la soirée, et notamment trouver les déguisements. Ma femme Iva est assez grande, même si je lui rends quinze centimètres. Mais elle est plus menue que moi ; mon physique est fin, mais assez athlétique. Je pus lui emprunter une jupe blanche, qui était une mini-jupe pour elle, une micro-jupe pour moi… Pour le haut, Iva me prêta un débardeur qui était assez ample sur elle, et moulant sur moi. Tant qu’à être déguisé en infirmière, autant se déguiser en infirmière sexy… Il me fallait donc des bas, des chaussures à talons à ma taille (42) et de quoi me faire une poitrine aussi généreuse que l’accepterait le débardeur d’Iva.

Le vendredi, nous fîmes donc les boutiques avec Iva, et ce fut très amusant… Acheter des vêtements de femme avec sa femme, c’est normal au final, sauf quand les vêtements sont pour le mari !


C’est en voulant essayer les bas que se présenta le premier obstacle : les poils. Je n’ai pas une pilosité débordante ; néanmoins, une infirmière sexy avec du poil aux pattes, ce n’est pas l’image qui vient spontanément à l’esprit, sauf pour certains fétichistes… Iva appela donc une copine esthéticienne qui avait de la place le jour même pour me mettre en état de marche. J’avoue que j’ai laissé Iva piloter tout ça, de manière très innocente. Lorsque nous fûmes chez l’esthéticienne, Iva m’abandonna pour aller faire quelques emplettes supplémentaires, et m’abandonna aux mains expertes de sa copine.


Bon, je fais une petite parenthèse pour les hommes qui n’ont pas l’expérience de l’épilation : c’est une horreur, une torture qui dure longtemps. Surtout qu’Iva n’avait pas fait les choses à moitié. J’eus droit à une épilation intégrale : aisselles, jambes complètes, poitrine, ventre, mais aussi pubis, fesses, maillot, bras, nez et un peu de sourcils. Et laissez-moi vous dire que certains endroits ne sont pas très douloureux (nez, poitrine, ventre, fesses, testicules), mais d’autres sont atroces : autour de l’anus, les jambes, en tout cas l’intérieur des cuisses, les avant-bras, mais surtout le pubis.

Rien d’érotique, croyez-moi, indépendamment de la beauté de l’esthéticienne…


Cette étape atroce étant passée, et après une petite douche, nous allâmes essayer les bas autofixants et un soutif.

Avec une blouse blanche et un chapeau trouvés dans un magasin de déguisements, des escarpins blancs à talons et une belle perruque blonde, mon équipement était complet ; je piquerais des jouets des enfants pour compléter… Quant à Iva, elle trouva un costume en latex noir qui la moulait superbement, avec un masque pour les yeux et un serre-tête avec des oreilles de chat.


Le vendredi soir, alors que les enfants étaient couchés, Iva voulut faire un test grandeur nature. Je pris une douche et elle me maquilla, après quoi elle se prépara dans la salle de bain pendant que je m’habillais dans la chambre.


Je ne reconnaissais pas mon corps sans aucun poil, mais j’aimais beaucoup le contact de la peau glabre, en particulier au niveau du pubis et des bourses ; je trouvais cela assez érotique.

Lorsque je fus prêt, le résultat dans le miroir était incroyable. J’ai certes un physique fin, mais je ne fais pas du tout fille ou même androgyne, habituellement. Mais là, j’avais dans le miroir en face de moi une bombe atomique blonde de un mètre quatre-vingt-cinq avec des jambes magnifiques, musclées, mais à la forme parfaite grâce à mes chevilles très fines, un cul rebondi mis en valeur par les talons des escarpins, et bien entendu grâce à la fausse poitrine cachée dans le soutien-gorge. Quant à mon visage, il est fin ; les retouches aux sourcils et le maquillage fait par Iva avaient transformé ça en un visage de fille très crédible ; c’en était perturbant, presque.

D’ailleurs, lorsqu’Iva entra, elle en resta bouche bée, même si elle-même était sculpturale et sexy en Catwoman, surtout qu’elle a un visage qui exprime un caractère fort…


Elle me fit tourner sur moi-même et marcher un peu tout en me faisant des compliments qui me firent rougir, puis nous descendîmes dans le salon. Iva partit dans la cuisine et revint avec un grand sac, un seau à champagne et deux coupes. Je bus trois coupes rapidement. Iva avait tamisé la lumière.


Je finis par demander ce qu’il y avait dans le sac. Iva sourit mystérieusement et me dit :



Elle me fit mettre debout tout d’abord, et souleva ma jupe. Je portais en dessous un boxer blanc pour que cela ne se voie pas sous la jupe blanche.



Et elle sortit du sac un petit paquet-cadeau à ouvrir. Elle avait dû l’acheter pendant que je me faisais épiler. À l’intérieur, un tanga blanc en dentelle. Je restai con un instant avec ce truc en main, pas bien sûr de ce qu’elle attendait de moi… Elle rit et me dit :



Je m’exécutai sous son regard amusé et intrigué aussi. Ce n’était pas très commode à porter, mais pas désagréable non plus, la dentelle étant très douce. J’avais soulevé la jupe pour pouvoir enfiler le string et je tournais le dos à Iva. Elle fit ce commentaire :



Je ne rêvais pas : elle avait féminisé l’adjectif et sa voix n’était pas amusée, mais plutôt excitée…


Bref, une fois tout ça ajusté, je baissai la jupe et je fis quelques pas. Iva me suivait et matait mon cul ; la jupe était légèrement transparente et laissait donc deviner la lingerie en dessous, et le tanga était du coup encore plus remarquable qu’un string. Remarque : la jupe était tellement courte que le haut des bas et un peu de peau au-dessus étaient visibles, ce qui rendait le tout très sexy.


Iva m’arrêta, me prit par les épaules, me retourna et m’embrassa avec passion. Sa langue força le passage ; elle me dévorait littéralement. Ses mains commencèrent à se balader sur les seins, puis sur les fesses, puis sur la peau douce et épilée entre les cuisses sans toucher au paquet. Je commençais à avoir une érection intéressante, qui montrait clairement les limites du tanga : il valait mieux ne pas bander à la soirée de demain…


Iva était déchaînée, folle de désir, alors qu’elle n’avait selon ses dires aucune expérience avec les femmes et n’avait jamais voulu ne serait-ce qu’en parler lorsque j’avais tenté des approches pour l’y inciter. Peut-être qu’à partir de maintenant elle se laisserait tenter, finalement… Cette soirée déguisée serait peut-être le début de quelque chose de trèèès positif dans notre vie sexuelle…


L’atmosphère dans le salon était chaude ; moi aussi je caressais les meilleurs endroits chez Iva, mais le latex ne me facilitait pas la vie…

Iva ma lâcha après dix bonnes minutes de baisers torrides ; elle nous servit une nouvelle coupe de champagne, puis elle sortit du sac un deuxième objet : il s’agissait d’un masque pour les yeux, mais sans trous pour les yeux comme le sien. Elle me fit mettre le masque, m’embrassa à nouveau, et me mit une coupe remplie de champagne dans la main en me disant de ne pas enlever le masque, de siroter mon champagne et d’attendre cinq minutes son retour. Elle partit, avec le sac (je devinai ça au bruit).


J’étais là dans le salon, aveugle à cause du masque, à siroter du champagne en étant déjà un peu pompette, déguisé en infirmière sexy intégralement épilée… Étrange sensation, mais drôle, et je me marrais donc tout seul en attendant.


J’entendis le retour d’Iva. Elle me fit mettre debout, me poussa doucement l’épaule pour avancer jusqu’à ce que je bute contre l’accoudoir du canapé. Elle me saisit les fesses à pleines mains, puis prit la jupe et la retroussa au-dessus de mes fesses. Elle me caressait maintenant les fesses et faisait entrer sa main sous le tanga, très exactement comme j’aime le faire avec elle, d’ailleurs… Puis elle baissa mon tanga jusqu’aux genoux, se colla dans mon dos en me caressant les fesses, et entre les fesses. Elle me soufflait dans le cou. Sa respiration était forte, on sentait qu’elle était très excitée. Elle me parlait doucement à l’oreille :



J’étais moi aussi très excité ; j’avais une érection monstrueuse, et sa main qui faisait des allers-retours dans ma raie m’excitait aussi.

Je la sentis descendre dans mon dos doucement, en m’embrassant le cou, les épaules, puis se mit à embrasser mes fesses en se rapprochant petit à petit de la raie. Pour la première fois de notre vie sexuelle, elle commença à me lécher la raie, en descendant doucement. Elle me fit mettre plié en deux sur l’accoudoir du canapé, et elle commença à me lécher l’anus, de gros coups de langue mouillée en appuyant bien pour l’assouplir. C’était une caresse incroyable, chaude, humide, terriblement excitante… Je gémissais doucement, je me sentais bizarre de recevoir cette caresse.

Au bout de quelques minutes, Iva se releva. J’attendais dans cette position, offert, les fesses en l’air, bien écartées, et bien mouillées par sa salive.


Je sentis ses doigts et un liquide froid sur mon anus qui provoqua un mini-choc dans ma verge. Iva faisait des tours avec deux doigts en appuyant sur et autour de mon anus, exactement comme j’ai l’habitude de le faire lorsque je vais la sodomiser. Des voyants rouges s’allumaient dans ma tête, mais aussi des vapeurs de volupté… Je sentais que mon anus se réchauffait et s’ouvrait doucement, là aussi comme lorsque je la prépare pour la sodomie. Le mimétisme était parfait, elle reproduisait mes gestes habituels… mais moi aussi je reproduisais les siens, en particulier je commençais à gémir d’excitation et d’envie ; pire, je commençais à tortiller du cul pour l’inviter à continuer et à pénétrer.

Ce qu’elle fit, doucement, petit à petit.


Deux petits tours, et elle rentrait le bout des deux doigts, les ressortait ; trois petits tours, et les doigts entraient plus profondément, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’elle ait les deux doigts presque complètement entrés dans mon fondement. La caresse était électrisante. Elle faisait maintenant de petits va-et-vient en appuyant délicatement sur ma prostate ; c’était incroyable comme sensation. Je ressentais du plaisir bien que mon sexe avait presque complètement débandé. J’avais l’impression que mon cul et mon cerveau étaient connectés directement et que le reste de mon corps n’existait plus… Puis Iva sortit ses doigts, à mon grand regret.


Trente secondes plus tard, je sentis quelque chose de dur et froid… Choc : j’allais être proprement et simplement enculé. Pire : j’en avais terriblement envie maintenant. Je le désirais, je sentais que mon anus était bien ouvert et n’avait pas entièrement été satisfait par les doigts d’Iva. Je voulais me sentir pris bien profond.


Elle m’écarta bien les fesses, positionna le gland de son gode sur l’anus, me saisit les hanches et commença à pousser tout doucement. La préparation avait été parfaite, et le gode bien lubrifié sans doute, car la progression était douce et continue, sans provoquer de douleur. Je sentais mes entrailles se remplir petit à petit de cet objet un peu froid ; j’avais l’impression que ça ne finirait jamais. Je me dis à cet instant qu’elle avait dû acheter le gode pendant mon épilation, signant donc sa préméditation : le masque, le gode, le lubrifiant…


Comme je sentais ses deux mains sur mes hanches, j’en déduisis qu’il s’agissait d’un gode-ceinture, et bien qu’aveugle à cause du masque, j’imaginais la scène : moi plié en deux, les fesses bien en l’air dans une position indécente, Iva derrière moi avec son harnais, son gode-ceinture en train de me pénétrer. Je me remis à bander.


Iva avait achevé sa progression. Je sentais la chaleur de son pubis sur mes fesses maintenant ; mon cul avait complètement avalé ce sexe factice : j’étais dépucelé du cul par un engin qui ne devait pas être petit, et des explosions d’excitation faisaient des étincelles dans ma tête.

Iva aussi était ultra-excitée, faisant de petits « oh » en regardant son œuvre, puis elle reprit le contrôle et entama le mouvement. Des va-et-vient très doux et très lents au début, sans sortir complètement, mais me faisant bien sentir le gland au niveau des sphincters, puis repartant à l’assaut aussi profondément que possible. Je n’en pouvais plus de ces sensations lorsqu’Iva me monta dessus et commença à me limer doucement, puis plus rapidement, en exprimant son excitation par des petits « ho… » cette fois.


Au bout de quelques minutes, elle décula et me fit retourner ; j’avais le bas du dos sur l’accoudoir du canapé, le dos sur le canapé. Iva prit mes jambes et les mit sur ses épaules ; elle positionna le gode sur mon anus et pénétra rapidement jusqu’au fond. La sensation était différente maintenant ; je sentais le gland sur la prostate lorsqu’elle faisait les va-et-vient, ce qui me faisait gémir de plus en plus fort.


Iva m’enleva le masque, se mit sur moi, m’obligeant à rouler le dos, et se mit à nouveau à me limer bien profond tout en m’embrassant à pleine bouche. Je bandais comme un cerf, maintenant ; c’était incroyable : je me faisais défoncer exactement comme j’aimais faire avec elle. Les rôles étaient inversés. Iva était forte et sans pitié, me ramonant les entrailles avec « son » sexe, et moi je me sentais une femelle en chaleur qui jouissait du cul par le membre de sa partenaire tout en se faisant manger la langue.

Iva me regardait ; ses yeux exprimaient la volupté et le désir, mais avec beaucoup de force, pas comme d’habitude où elle est plus en demande et en attente de la suite…


Je fus terrassé par un orgasme incroyable, une éjaculation énorme sans même toucher mon sexe, qui m’inonda la poitrine et gicla jusque sur ma bouche. Iva partit aussi dans un orgasme, mais avec un léger décalage, le sien semblant déclenché par la vision du plaisir qu’elle avait su faire exploser chez moi, tout en léchant mon sperme et en m’embrassant pour me faire boire ma propre semence…

À la fin de son long orgasme, elle s’écroula sur moi, le gode toujours fiché dans mon fondement…


Notre vie sexuelle avait bien été impactée par la préparation de cette soirée, mais pas exactement comme je le pensais… Cela dit, quel plaisir incroyable et quelle sensation de ressentir ce qu’Iva doit ressentir lorsque nous faisons l’amour !


Le moins que l’on puisse dire, c’est que j’étais bien rentré dans mon rôle de femme sexy, et que j’étais prêt pour la soirée déguisée désormais… Mais je vous la raconterai une autre fois.