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Temps de lecture estimé : 19 mn
17/01/17
Résumé:  Après avoir découvert le plaisir de la jouissance anale avec un gode-ceinture, Eric se déguise en infirmière pour une soirée qui sera instructive
Critères:  fff hh hhh fbi hbi extracon cocus copains hépilé fête travesti fellation anulingus hdanus hsodo partouze init
Auteur : Oli Mart 1977            Envoi mini-message

Série : Déguisement fatal

Chapitre 02 / 02
Soirée déguisée instructive

Résumé de l’épisode précédent : « Première étape »


En vue d’une soirée déguisée, un groupe d’amis tire au sort des déguisements. Mon épouse tchèque, Iva, tire Catwoman ; quant à moi, Éric, je tombe sur l’infirmière sexy. Après une épilation intégrale, j’essaie mon déguisement et Iva trouve ça tellement excitant qu’elle en profite pour déflorer mon anus avec un gode-ceinture alors que j’ai les yeux bandés…



______________________________________________




Ça y est, nous sommes samedi. Ce soir je dois me présenter devant nos amis et tout un tas de gens inconnus en infirmière sexy… Le test d’hier a été concluant si j’en juge par l’excitation d’Iva et notre échange de rôles.


Je savais que l’anus et la prostate pouvaient donner des orgasmes phénoménaux, mais je ne l’avais jamais vécu moi-même jusque-là. Quelle sensation incroyable d’éjaculer sans contact avec son sexe et de sentir les ondes de plaisir partir de son cul pour remonter jusqu’au cerveau…


Fin d’après-midi, il faut se mettre en branle, pour ainsi dire. Nous prîmes une belle douche à tour de rôle. Iva commença. Lorsque je sortis de la douche, elle était déjà habillée en Catwoman avec son costume noir en latex. Elle était à tomber par terre, hyper sexy. Une fois séché, j’étais debout en contemplant de loin mon déguisement pendu à la porte de l’armoire… J’avais une « demi-molle » en repensant à notre expérience de la veille… Iva me regardait avec un sourire de côté, s’approcha, s’agenouilla devant moi, et sans prévenir me prit directement en bouche. Sa bouche était bouillante et bien humide ; c’était irrésistible, et je me mis à bander fort et dur très vite. Elle me léchait la tige de bas en haut avec des gros coups de langue, puis me prit les boules en bouche délicatement. Elle avait des gestes sensuels et diaboliquement précis. Elle me reprit en bouche et commença des va-et-vient en me caressant très délicatement les bourses – presque un chatouillement – et le périnée. Je sentais qu’elle voulait me faire jouir, et vite !


Pourquoi lui refuser cette satisfaction ? Mon plaisir montait à la vitesse grand V, sa langue se concentrait sur mon frein et mon gland, c’était divin… Pas de place pour les fioritures. J’explosai rapidement dans sa bouche dans un bel orgasme puissant, et elle avala sans mot dire. Elle se leva et m’embrassa à pleine bouche avec un peu de mon sperme, une autre première… Elle était décidément très cochonne ces jours-ci, ma petite Tchèque… Quant à moi, j’étais vidé et j’avais les jambes en coton. Iva rit et me dit :



Ce n’était pas bête, et ce n’est pas mon genre de me plaindre lorsqu’on me fait une magnifique pipe « sans contrepartie » comme on dit…


Reprenant mes esprits et après m’être lavé à nouveau le sexe, je m’habillai en infirmière sexy tout en blanc : tanga contenant avec difficulté mon membre et mes testicules fraîchement épilés, bas autofixants, microjupe laissant apparaître un tout petit peu de peau entre le haut des bas et le bas de la jupe, fausse poitrine et vrai soutien-gorge, petit débardeur, blouse, perruque blonde et chapeau avec croix rouge… Avec une grosse seringue et un stéthoscope en plastique d’un jouet-kit de docteur de mes enfants, c’était parfait. Les escarpins, je ne les mettrai qu’en arrivant à la soirée pour ne pas avoir mal aux pieds avant même d’arriver et ne pas me casser la gueule avant d’arriver non plus. Je me regardai dans le miroir. De dos j’étais sexy en diable, un fessier de rêve (je confesse que j’avais fait quelques exercices dans la journée !). De face, sans maquillage je ressemblais à un vieux trav’… ce qui fit beaucoup rire Iva. Qui du coup s’occupa de moi, car elle me voulait sexy jusqu’au bout et pas seulement de dos…


Incroyable comme le maquillage peut transformer un visage… Quarante bonnes minutes plus tard, j’étais méconnaissable. Iva me parfuma abondamment avec son parfum le plus féminin possible et nous partîmes en taxi. Le chauffeur me zieutait avec envie, jusqu’à ce que je lui donne l’adresse de la soirée avec ma voix normale… ce qui apparemment tua toute forme d’attraction sexuelle…


Lorsque nous arrivâmes devant la porte, je mis mes escarpins, Iva me fit un raccord de rouge à lèvres et nous sonnâmes. La tête de mon pote lorsqu’il vint ouvrir aurait mérité une belle photo. Ses yeux passaient d’Iva qui était monstrueusement sexy à moi qui étais apparemment monstrueusement sexy aussi. Il était déguisé en Tarzan, et je m’attendais à voir son pagne se relever d’excitation à tout instant… Je me dis qu’il avait de la chance d’avoir pioché non seulement un déguisement masculin, mais qui en plus lui convenait parfaitement avec ses pas loin de deux mètres et son physique athlétique… La surprise passée, il rigola et nous fit entrer. Il fut très galant en nous disant de passer devant lui… Je fis un truc que toutes les jolies filles savent parfaitement faire : marcher mine de rien, et d’un coup tourner la tête pour voir ce que l’homme derrière eux regarde. Et là, c’était MON cul, pas celui d’Iva qui est pourtant beau à damner un saint. J’espérais que le tanga n’était pas visible par transparence, mais vu le regard concentré de mon pote, je n’avais pas beaucoup de doutes…


En arrivant dans le salon, je jurai intérieurement parce que j’espérais une lumière faible et des sons et lumières qui auraient atténué vaguement l’impact de mon déguisement… Manque de pot, mon arrivée et celle d’Iva firent fureur de par le côté provocateur de nos déguisements respectifs.


Par chance, Hulk arriva rapidement après nous et attira l’attention dans un autre style : il était carrément chétif, ce qui rendait son déguisement totalement ridicule. Ouf, je dois dire que j’étais méchamment gêné ; décidément, je n’assumais pas…


La soirée démarra ; musique, lumière plus basse ; un peu coincé du cul, je n’osais pas trop aller danser avec mes escarpins et ma tenue de fille, ne sachant pas danser comme une fille, ne sachant pas trop danser tout court ! C’est Hulk qui vint me chercher ; apparemment, nous étions dans la même situation et pensions chacun que l’autre attirerait plus l’attention…


En dansant, je me rendis compte qu’effectivement il attirait pas mal l’attention des filles… qui se marraient. Mais que moi j’attirais l’attention des hommes… qui me mataient. Une partie d’entre eux ne me connaissaient pas, donc ce n’était pas illogique…


Iva se faisait bien draguer sur la piste de danse, ce qui n’était pas étonnant pour le coup… Cela m’excitait assez, bizarrement… mais m’inquiétait aussi, vu son comportement cochon de ces dernières vingt-quatre heures…


Au premier slow, Iva vint me voir et nous dansâmes ensemble ; elle m’embrassa fougueusement, et en ouvrant les yeux je remarquai de l’excitation dans de nombreux yeux, surtout masculins, mais pas seulement… Iva était très excitée, je le sentais à sa façon d’embrasser. Elle était dans la provoc’ et ça marchait. De l’extérieur nous devions ressembler à deux filles sexy en train de se rouler des pelles en public. Moi aussi ça m’aurait excité de voir ça, je crois. Je commençais à avoir une bonne érection d’ailleurs, et je pensais à la pipe dont elle m’avait gratifié soi-disant pour éviter pile cette situation, qu’elle provoquait elle-même maintenant… Bon…


Fin du slow, je bois un bon gros whisky sec pour décompresser… Iva venait d’être invitée pour un slow par une fille déguisée en déesse grecque apparemment, une jolie blonde avec une toge bien courte et légèrement transparente laissant voir des jambes longues, fines et bien dessinées, et un diadème sur la tête. Minimaliste, mais efficace. Elle parlait doucement à l’oreille d’Iva qui souriait. Je vérifiais si je n’avais pas vidé mon verre trop vite quand je vis la déesse grecque embrasser Iva dans le cou puis remonter en lui faisant des petits bisous sur le menton, sur la joue, puis sur la moitié des lèvres, puis sur la bouche. On voyait maintenant clairement qu’elles échangeaient un baiser profond ; leurs langues se mélangeaient, et c’était tout simplement magnifique à voir. Spectacle électrisant…


Tarzan s’installa à côté de moi et me dit :



Bizarrement, au lieu de m’inquiéter, cela redoubla simplement mon érection. Il ajouta :



« Ah la la, s’il continue, je vais éclater le tanga ! » Je lui demandai si la copine en question est lesbienne, et il me répondit que lesbienne, non (il l’a connue avec différents mecs), mais apparemment bisexuelle, oui, ce qu’il ignorait jusque-là…


Il me dit que mon déguisement était très réussi et qu’il serait content de m’inviter pour le prochain slow… Je me sentis bête, mais je sentis que je rougissais et que je dandinais du cul sur mon tabouret. Je lui dis :



Tout en croisant les doigts pour qu’il y ait un bon rock après. Je n’ai jamais su dire non.


Chanson suivante : un rock. Ouf ! Iva et sa partenaire se séparèrent mais se mirent à danser ensemble. Tarzan me prit par la main et me tira sur la piste de danse quand même. Je ne sais pas bien danser le rock, mais lui oui, et il avait une force de titan, donc je me suis laissé juste guider. Marrant comme le rock tourne plus pour les filles. Il me faisait tourner dans tous les sens comme une toupie, avec une facilité déconcertante. Je me sentais totalement soumis à lui, il me faisait faire ce qu’il voulait. Et il le faisait bien, donc c’était cool. Fin de la chanson ; il m’attira à lui pour le dernier accord et je me retrouvai contre lui. Il était vraiment impressionnant de puissance. Je me sentais tout petit, ce qui n’est pas habituel vu ma taille. Mais c’était une telle armoire à glace…


Je retournai rapido prendre un autre whisky et je m’assis près de Hulk. Il me demanda si j’avais l’habitude de me travestir, ce qui me laissa pantois. Je lui demandai s’il avait beaucoup bu, mais il rigola en disant que j’étais naturel(le) et sexy, et que s’il ne le savait pas et que je ne chaussais pas du 42, il pourrait penser que je suis une fille, et plutôt sexe dans son genre.

Venant d’Hulk, je le pris plutôt comme un compliment sympa, je dois dire…


Tarzan vint s’asseoir avec nous en me disant que j’étais une partenaire très docile… Nouveau fard. Damned, j’espérais que ma gêne ne se voyait pas trop. Merde, un mec normal devrait juste se marrer quand on lui dit ça, et moi je réagissais comme une pucelle, une vierge effarouchée. Hulk en rajouta en disant qu’on formait un beau couple sur la piste, et bizarrement, là, ça me fit rigoler…


Au bout de quelques minutes et après un autre bon whisky, Tarzan me dit avec ironie :



Il ajouta après une pause :



Pas lourd du tout comme allusion… mais le whisky aidant, je le prenais plutôt à la cool. Il me dit :



Hulk ajouta que ça serait un beau spectacle…

Je répondis :



Nous partîmes sur la pointe des pieds à l’étage où se trouvent les chambres. Nous nous approchâmes de la chambre d’amis où Aphrodite avait ses quartiers ; trois oreilles collées à la porte. Nous entendions des gémissements. Nous ouvrîmes la porte aussi doucement que possible. Deux filles en train de faire l’amour. Mais si Aphrodite était bien là, entre les cuisses d’une autre femme et manifestement en train de la déguster avec beaucoup de savoir-faire, ce n’était pas Iva, mais une belle rousse complètement nue, avec les jambes très écartées et les tétons dressés d’excitation (on en note des détails, parfois…).


Iva était là elle aussi, et nue, mais elle était sur un fauteuil à regarder, jambes ouvertes en se caressant le clitoris. Elle nous vit tous les trois et nous fit signe d’entrer. Pas de pudeur, pas gênée de nous montrer son anatomie, peut-être à cause du masque qui était la seule pièce qu’elle avait conservée. La rousse gémissait nerveusement et semblait sur le point de jouir. C’était la seule à ne pas nous avoir remarqués d’ailleurs, car Aphrodite, au contraire, nous regardait avec des yeux provocants, la bouche sur le sexe de la rouquine, à genoux, le cul bien dressé presque en direction d’Iva. La vue devait être une pure invitation à la luxure, surtout qu’elle le remuait doucement.


Iva planta son regard dans le mien et s’approcha de ce beau cul fin ; à son tour elle s’agenouilla en enfouit son visage dans le sexe de sa partenaire. Je sentis tout à coup une main se glisser sous ma jupe et caresser mes fesses. C’était Tarzan, qui apparemment trouvait l’ambiance très chaude, très ouverte et très propice. Il voulait participer à l’action, semblait-il. De sa main libre, il prit mon visage qui se tourna vers lui et m’embrassa sur la bouche avec douceur. J’étais tellement abasourdi que je ne réagis même pas. Il prit ça pour un acquiescement et força le passage avec sa langue. Je me laissai complètement faire : j’ouvris la bouche et j’accueillis sa langue. Elle était plus grosse que celle d’Iva, mais elle était douce et avait bon goût. Je mis mes bras autour de son cou et notre baiser devint franchement passionné. Ses mains avaient soulevé ma jupe et caressaient mes fesses. Je ne réfléchissais pas, j’étais désinhibé ; merci le whisky et l’atmosphère !


Mes yeux étaient fermés et je profitais de ce moment extrêmement excitant. Il était si grand et si large… Je me sentais vraiment une fille dans ses bras, fragile. Tarzan interrompit le baiser, enleva ma blouse, me fit retourner, s’agenouilla et baissa d’un coup mon tanga sur mes chevilles. Il me fit agenouiller par terre près du lit où les trois filles continuaient à se lécher, mais en nous regardant maintenant. Iva avait les yeux qui sortaient des orbites, un air de mourir d’excitation en me voyant dans cette position devant un homme.


Tarzan se mit à me donner des grands coups de langue dans toute la raie, puis se concentra doucement sur la rondelle. Je n’étais même pas inquiet à l’idée de me faire enculer, l’excitation était si intense et sa langue me donnait tellement de plaisir maintenant. Cela me paraissait presque naturel, et je crois qu’à cet instant je désirais vraiment lui offrir mon cul. J’étais déguisé en femme, j’avais séduit un homme puissant et j’allais naturellement le laisser me pénétrer et me faire l’amour. J’avais envie d’être sa femme, sa femelle en chaleur ; je voulais qu’il prenne du plaisir avec moi et j’espérais que ce serait bon. Je voulais qu’il jouisse dans mon cul. J’étais impatient, il me rendait dingue avec sa langue qui dardait mon trou. La bonne chose quand on est excité ainsi, c’est qu’on est détendu et je sentais mon anus qui s’ouvrait comme une fleur sous sa langue. J’allais vite être prêt à prendre ma première vraie bite dans le cul. Je me demandais quelle taille sa bite faisait et si ce serait très différent du gode dont Iva m’avait honoré en me déflorant la veille.


Sa langue remonta dans ma raie puis je sentis sa tête sur mon dos, qui remontait doucement, puis son torse contre mon dos. Je sentais son sexe sur ma raie, chaud, tellement chaud. Il me teasait la raie et l’anus avec son sexe maintenant, passant, repassant. Il appuyait un peu sur mon petit trou avec son gland. Il devait sentir que celui-ci s’ouvrait doucement, un petit peu plus à chaque passage. Mais il faisait durer le plaisir. Je cambrai mes reins au maximum, je gémissais, je lui demandai d’entrer en moi, de faire de moi sa chose… Mon esprit était totalement embrumé par la luxure. Je le suppliais de me prendre, et les filles étaient subjuguées par cette scène qu’elles n’avaient sans doute jamais vécue avant : un homme – hétéro qui plus est – suppliant un autre homme de le sodomiser, de faire de lui sa chose. Pour Iva, son mari prêt à prendre une bite dans le cul devant elle.


Tarzan me demanda si vraiment je le voulais, et qu’est-ce que je voulais. Et je lui dis très exactement ce que je voulais :



Satisfait que sa domination et mon désir de lui soient complets, il exauça mon souhait : sa queue pointa mon trou et il poussa doucement, mais sûrement. Son sexe pénétra en moi facilement, après ce long préliminaire pour bien m’ouvrir. Quelle belle sensation… C’était chaud, doux, dur, et ça me remplissait le fondement, sensation très particulière que j’invite tous les mecs à éprouver au moins une fois. Iva était maintenant en train de se faire lécher par Aphrodite en me regardant, et elle couinait d’excitation. Je me demandais si j’étais en train de devenir homosexuel tellement j’avais du plaisir à chaque mouvement de la bite de Tarzan dans mon fondement lorsque Hulk, que nous avions tous oublié, vint se placer debout devant moi, avec son sexe en érection juste devant ma bouche. Iva fit un « Oh ! » de surprise en voyant ça et partit dans un orgasme dévastateur lorsqu’elle me vit emboucher sans une hésitation le sexe d’Hulk. Il était très dur et d’une taille inattendue pour un homme d’un gabarit plutôt chétif. Tout le gland était très lubrifié car il devait se branler en regardant les filles et Tarzan et moi. Quelle sensation incroyable de sucer ma première queue à genoux en me faisant sodomiser !


Je m’efforçais de reproduire les gestes dont Iva m’avait gratifié avant la soirée, et apparemment je me débrouillais bien car Hulk gémissait bien et je pouvais sentir son excitation. Il me disait que j’étais bonne et belle et que je suçais comme une reine. J’étais fier de ces compliments et heureux de donner du plaisir facilement avec ma bouche. Nous pratiquons beaucoup le cunnilingus avec Iva, et j’ai du talent pour la faire jouir. Apparemment ça marchait bien avec les hommes aussi. Comme Iva, je me concentrais sur le gland et le frein avec ma langue. Je n’arrivais pas à le faire jouir, car je sentais qu’il résistait autant qu’il pouvait pour prolonger le moment, et je me déconcentrais aussi à cause de Tarzan qui me limait le cul très profond, mais pas très vite. Il savait y faire avec un cul, et je ne pouvais faire autrement que de sortir la bite d’Hulk de ma bouche par moments pour gémir mon bonheur, remercier Tarzan de si bien me baiser et de le supplier de faire de moi sa femelle, encore et encore.


Iva s’était reprise maintenant, et pendant que la rouquine embrassait Aphrodite en échangeant leurs fluides respectifs, elle s’était approchée pour sucer la bite d’Hulk avec moi. Cette fois, Hulk ne put tenir longtemps et jouit sur mon visage. J’étais aux anges d’avoir donné tant de plaisir. Iva m’embrassa à pleine bouche ; nous échangions le sperme d’Hulk. Puis elle me regarda me faire enculer ; Tarzan ne bougeait plus, et c’était moi qui bougeais du cul pour faire aller et venir sa bite en moi. Suprême symbole que j’aimais la bite, que j’en voulais encore. Iva m’encourageait, me disait que j’étais beau en fille en train de se faire mettre. Je n’en pouvais plus et j’eus un orgasme très puissant. Mes sphincters se serrèrent autour de la queue qui m’honorait, ce qui provoqua la jouissance de Tarzan en moi. Je sentais les jets bouillants dans mon ventre et j’étais fier qu’un homme ait joui dans mon cul…


Nous nous écroulâmes avec Tarzan, qui décula. Nous nous mîmes tous sur le lit. J’étais sur le dos, et Tarzan sur le côté, contre moi, et m’embrassait sur la bouche. Il me dit que ça avait été une expérience magnifique et qu’il n’avait pas eu un orgasme pareil depuis très longtemps. J’étais épuisé, mais flatté.


Iva n’était pas encore arrivée à satiété. Elle vint se mettre à cheval sur moi avec le sexe au-dessus de ma bouche, et je commençai à la déguster en face-sitting, qui est une position excitante pour elle. Elle était trempée de mouille et de la salive d’Aphrodite, sans doute. Je profitai de cette belle lubrification pour lui faire pénétrer un doigt dans l’anus, ce qui la fait réagir au plus haut point d’habitude. Le spectacle devait inspirer Tarzan, car je sentis qu’il me relevait les jambes et les plaçait sur ses épaules. Cela ne pouvait vouloir dire qu’une chose… Il me pénétra très facilement et me baisa plus rudement que la première fois ; avec la pénétration précédente et son sperme dans mon cul, sa bite entra facilement ; la position lui permettait aussi une pénétration plus profonde, et j’avais l’impression que sa queue me pénétrait jusqu’aux yeux. Il grognait en disant qu’il était entré comme dans du beurre et que j’étais fait pour être enculé avec un cul aussi doux.


Iva regardait derrière elle régulièrement, et à chaque fois son excitation montait en voyant Tarzan aller et venir en moi et ma queue dure comme de la roche en me faisant limer. Elle finit par exploser. Son clitoris était tellement sensible qu’elle s’enleva vite d’au-dessus de moi. Sa chatte fut instantanément remplacée par la bouche de Tarzan qui n’en finissait plus de vouloir m’embrasser. J’adore embrasser aussi, notamment quand j’encule Iva en missionnaire. Cette fois, c’était moi qui étais enculé en missionnaire et qui me faisais embrasser très tendrement. C’était divin d’être elle cette fois, et j’éjaculai avec une merveilleuse sensation dans mon cul. Tarzan jouit à nouveau, mais cette fois il resta en moi en m’embrassant encore et encore, sous les yeux attendris d’Iva.


Tarzan se doucha et il me fallut un bon raccord maquillage par Iva avant de pouvoir rejoindre la soirée qui battait son plein, et un bon whisky pour ôter le goût du sperme et de la cyprine que j’avais bus. Je n’avais plus de résistance pour danser après cette expérience ; je me sentais beaucoup plus femme et désirable désormais…


Je dansai donc de bon cœur avec beaucoup de gens, jusqu’à épuisement, surtout n’ayant pas l’habitude de porter des escarpins.


Tarzan en profita pour venir me voir et me demander en me plantant un regard ferme dans les yeux si j’étais partant pour une nouvelle séance, car il en mourait d’envie et pensait que plus jamais nous n’aurions une telle opportunité… Mon anus brûlait pas mal, même si la seule proposition me donna un frisson d’excitation. Je lui dis que ce ne serait pas sérieux et que je souhaitais pouvoir m’asseoir les jours prochains… Il me proposa alors juste qu’on s’isole pour quelques câlins… Comment refuser ? Je le suivis dans le jardin. La température était très douce. Invisibles aux yeux des autres, Tarzan me prit dans ses bras puissants, commença à m’embrasser à nouveau tout en me tripotant les fesses. Il avait décidément du savoir-faire avec sa langue et avec ses mains. J’étais très excité à nouveau et je compris que c’était le but… Qu’il cherchait à me faire atteindre un niveau d’excitation qui m’empêcherait de refuser ma troisième sodomie de la soirée… Il voulait non pas me mener par le bout du sexe, mais par mon petit trou fripé et bien épilé qui lui faisait tant envie. N’empêche que c’était bon et tentant…


Je quittai sa bouche et descendis pour lui administrer plutôt une bonne fellation qui devrait le satisfaire tout en ménageant ma petite chatte plissée… J’avais cédé à ses avances avec beaucoup de facilité, et maintenant je commençais sérieusement à penser au féminin ; fallait-il s’inquiéter ? Allais-je me convertir à la bite uniquement, moi qui ai toujours tant aimé le sexe féminin ?


Toujours est-il que très naturellement je lui avais baissé le slip sous le pagne, libéré son sexe qui était déjà bien dur, et l’avais pris en bouche avec délectation. J’y prenais beaucoup de plaisir ; il avait bon goût. Je léchais bien la hampe, passais le bout de ma langue tout le long de la couronne de son gland, m’arrêtais sur le frein, et là je léchais le frein avec la langue bien molle comme j’adore qu’Iva me fasse. Et puis je le reprenais en bouche aussi profondément que possible et je restais sans bouger, sentant les pulsations de son sexe. Sa respiration me guidait aussi pour comprendre son niveau d’excitation, et il était élevé.


Et puis je me mis à faire des va-et-vient doucement, avec la langue frottant abondamment sur le devant de son membre, en insistant sur le frein. Je sentais la mayonnaise monter ; il était prêt à exploser, et quant à moi j’étais tellement excité par la situation, à genoux devant mon pote en train de le sucer comme si ma vie en dépendait, dans le jardin où nous pouvions être surpris à tout moment. Je bandais tellement que mon liquide séminal trempait la jupe… Il me prit la tête délicatement et sortit son sexe de ma bouche. Il me fit remonter, m’embrassa, et baissa mon tanga sur mes cuisses. Il prit mon sexe en main et le branla un petit peu. Je me débarrassai du tanga et j’aimai la sensation d’être en jupe courte et sans sous-vêtements. C’était excitant. Être une fille offre des possibilités de provoc’ incroyables.


Il lâcha mon sexe, m’attrapa sous les fesses et me souleva. J’écartai par réflexe les jambes et les enroulai autour de lui. J’allais finalement quand même repasser à la casserole malgré ma stratégie d’esquive, et en fait j’en étais content. Son gland pointa sur mon anus qui était son complice car il s’écarta sans douleur et absorba sans difficulté tout son sexe. Il m’appuya le dos contre un gros arbre et put ainsi se rapprocher pour à nouveau mettre sa langue dans ma bouche. Il me soulevait et me faisait descendre à son rythme ; le frottement de son sexe me rendait dingue. J’étais en train de devenir un pur cul. Mon cerveau était empli d’endorphines d’excitation. Plus rien d’autre n’existait que cette queue dans mon fondement et cette langue dans ma bouche. Il accéléra le rythme et quitta ma bouche. Je sautais littéralement sur son sexe qui me ramonait encore et encore. Je serrais au maximum mes sphincters lorsqu’il me soulevait, comme pour l’empêcher de sortir de moi. À l’inverse je me laissais aller lorsqu’il me faisait redescendre. Puis je sentis sa bite s’élargir et son jus m’inonder l’intestin pour la troisième fois. Il me regarda dans les yeux et me lécha les lèvres amoureusement.


Nous nous couchâmes dans l’herbe et je me blottis dans ses bras. Il prit ma queue en main et se mit à me branler tout en jouant avec mon anus de son autre main. Il caressait doucement tout autour, presque comme un chatouillement. C’était bon, surtout qu’il avait pris cher en deux jours !


Il descendit et me prit en bouche. Il était maladroit, et j’avais l’impression qu’il faisait un effort important pour toucher mon sexe et maintenant pour le prendre en bouche. Il plongea son majeur dans mon anus et se mit à me masser la prostate. C’est une caresse merveilleuse qu’Iva pratique trop rarement sur moi, qui accélère et décuple ma jouissance. Il me fallut peu de temps pour exploser dans sa bouche, après quoi il vint échanger un long baiser plein de sperme avec moi alors que je serrais mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses fesses.


Tarzan est devenu mon amant attitré. Je suis comme une petite fille devant lui quand nous allons faire l’amour. Dès que je le vois, mon cul réagit et j’ai envie de lui. Nous nous voyons en général au moins deux fois par semaine. Parfois nous réussissons à organiser des déplacements professionnels dans la même ville le même jour. Nous nous coordonnons pour réserver le même hôtel : nous pouvons ainsi passer la nuit ensemble, et souvent nous faisons l’amour plusieurs fois. Je continue à m’épiler intégralement et j’ai maintenant un peu de lingerie fine pour quand nous nous voyons. Il m’a offert des bijoux intimes pour mon cul et des chaînes pour la taille et les chevilles. Je ne me travestis pas, mais je suis en général en string ou tanga avec des bijoux féminins. Je suis vraiment sa meuf, et je crois qu’il est sérieusement amoureux de moi maintenant…


Cela ne m’empêche pas d’honorer Iva, et cela a même contribué à revitaliser notre vie sexuelle, surtout que « Tarzan » aime ma bouche et mon cul mais ne profite de ma queue qu’exceptionnellement, seulement dans la bouche et uniquement pour me faire plaisir, ce qui m’attendrit car en fait je ne demande rien, et il me fait tellement jouir du cul que je ne ressens même pas le besoin qu’il s’occupe de ma queue…


De temps en temps nous nous voyons aussi en famille, avec nos femmes respectives qui ignorent notre relation, même si Iva était présente à nos ébats. Nous avions parlé de ce qui s’était passé à la soirée et convenu tous les trois que cela devait rester un secret. C’est toujours amusant de se voir dans ce contexte et de faire semblant qu’on ne s’est pas vu depuis quelque temps alors que parfois j’ai encore son sperme dans mon cul lorsque nous nous voyons…


Quant à Iva, nous avons pas mal échangé sur notre expérience à la soirée : nous avons tous deux adoré nos expériences homosexuelles, mais aussi beaucoup voir l’autre dans une expérience sexuelle avec d’autres, qui plus est homosexuelle ; je crois qu’elle est maintenant presque prête à renouveler activement ce genre d’expérience. Pourquoi pas un club échangiste, un de ces jours… qui sait ?