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Temps de lecture estimé : 41 mn
06/09/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Nous avons évolué. Mais je pense que Martine ne sera pleinement heureuse que si elle connaît un autre homme que moi.
Critères:  fh cadeau cocus vacances amour nudisme fellation cunnilingu 69 pénétratio fsodo hsodo confession
Auteur : ViolaFleur      

Série : Double "effet papillon"

Chapitre 02 / 02
Le Monarque : Danaus plexippus

Résumé de l’épisode précédent :


« L’Aurore : Anthocharis cardamines  »

Deux évènements biens anodins, mais avec un "effet papillon" évident, nous ont amenés à vivre notre sexualité différemment. Terminé les baises conjugales. À nous la lingerie coquine, les sextoys et leur utilisation sans tabous. Mais aussi une liberté d’esprit. Martine comme moi sommes plus audacieux. Même le naturisme qu’il y a un an nous aurions condamné est devenu un plaisir pour nous. Rémy, un voisin, bel homme, naturiste également, me donne une idée : celle que ma femme doit connaître un autre homme que moi. J’en parle à Rémy.


_________________




Le soir même, je comprends que Rémy va tenter sa chance car, lorsque nous rentrons, il annonce qu’il ira faire un tour à la piscine.


Je pars avec mon vélo, fais le tour du pâté de maisons. J’attache mon vélo à un poteau. Un coup d’œil à la piscine me confirme que Martine – mais aussi Rémy – y sont. Je rentre chez moi et attends. Je me cache dans le jardin. Comme un con – ou plutôt comme un mari inexpérimenté dans ce genre de projet – j’ai oublié de demander à Rémy où ils iraient.

Bien que je voie mal Martine l’amener chez nous, je me dissimule.


Je commence à fatiguer et penser qu’il n’a pas réussi lorsque j’entends des pas sur le gravillon du chemin qui va chez mon voisin. Une voix connue :



Il est malin, le Rémy : il entraîne ma femme chez lui sous un prétexte d’Histoire. Mais c’est tout. Pas le moindre signe de complicité. « Merde, s’il ferme son portillon, comment je vais faire ? Vraiment je ne suis pas à la hauteur de l’enjeu ! » Ouf, il n’a pas fermé. J’entre. Ils sont à l’intérieur. La baie vitrée est ouverte en grand, mais le rideau rassemblé dans un angle me fournit une cachette.



C’est Martine qui parle. Elle tient un livre à la main. Rémy est juste derrière elle.



Il doit être appuyé contre elle. Je devine qu’il l’embrasse dans le cou.



Elle questionne mais ne bouge pas.



Il reprend ses baisers dans le cou et monte vers l’oreille. Martine est très sensible derrière l’oreille. Il ne le sait pas, mais j’imagine qu’elle n’est pas la seule.



Elle ne répond pas, mais penche la tête pour dégager sa nuque.

Un long moment, Rémy la caresse doucement de cette façon. Nul doute que maintenant Martine ne sente sa verge tendue contre ses fesses. Elle ne refuse pas le contact.


Voilà, c’est parti. Je peux m’en aller. J’ai fait à ma femme le plus beau des cadeaux : celui que seul un mari éperdument amoureux puisse offrir.

Partir… Mais pourquoi ? Non, je dois vérifier que tout se passe bien, que Rémy se comporte en gentleman. C’est ma responsabilité. Et puis je bande déjà. Mari généreux, mais qui veut aussi en tirer profit.


Le haut du maillot tombe. Rémy fait tourner ma femme. Elle est face à lui. Elle est face à cet homme qui n’est pas son mari. Il l’embrasse. Elle répond à son baiser. Avec fougue. Je suis un peu jaloux de cette facilité. Tout en l’embrassant, il tire sur son slip, puis celui de Martine. J’entrevois la verge en érection. Longue tige avec sa boule rose. Elle se tient bien droite. Rémy bande dur, et sa queue est pressée par les deux corps.


Et puis il pousse ma femme contre la table. Il la soulève et aussitôt la fait asseoir et se penche pour la lécher : le coquin a retenu ce que je lui ai raconté de notre expérience dans le bois. Martine se laisse faire. Elle regarde cette tête qui est entre ses cuisses. Bien sûr, elle ne reconnaît pas la chevelure, mais pourrait-elle faire la différence entre la langue de son amant et la mienne ? Je ne sais pas, mais en tout cas elle gémit. Je vois aussi qu’elle dirige ses mains vers sa poitrine. Son amant est tout occupé à lui maintenir les cuisses largement écartées pour l’ouvrir un peu plus.


La tête s’active. Les cuisses semblent de plus en plus ouvertes. Ma femme a les yeux fermés, concentrée sur son plaisir. Ses doigts sont des outils de torture pour ses tétons. Soudain elle les abandonne. Les mains vont se saisir de la tête pour la diriger.



C’est beau, même si les mains remplacent mon expérience de son intimité. Elle jouit. C’est la première fois que je la vois jouir sans en être l’auteur. C’est troublant, mais excitant. De plus loin, on a une vision différente. Les voir me donne des idées. « La prochaine fois, je ferai… et puis… La salope ! La garce ! Femme adultère ! Pute ! Cochonne ! Perverse ! » Tous ces mots se bousculent dans ma tête, mais ce sont des compliments pour moi : enfin, après toutes ces années, nous avons repoussé nos limites.


Ma coquine de femme jouit sous les léchages de son amant ; une langue en vaut une autre. Mais je suis fier de sa liberté : c’est grâce à moi que Martine n’a plus peur de dire son plaisir, d’affirmer sa jouissance, de reconnaître que le sexe a toute sa place.



L’écriture n’est pas capable de reproduire ce que les nuances de la voix annoncent. Le "Ahhhhhhhhhhh…" est le début. La suite n’est rien, comparée à ce qui sort de sa gorge. La joie. Le bonheur. Le plaisir. L’orgasme. Le suc qui se déverse et qui mouille la langue de celui qui la suce. Je suis le spectateur privilégié de la première jouissance de ma femme par un autre. Qui peut en dire autant après tant d’années de mariage, de disputes, de réconciliations, de fidélité ? Oui, de fidélité ! Le plaisir, pour elle comme pour moi, n’en est que meilleur.


Mais Rémy veut sa part. Je le comprends ; il y a un temps pour les agapes, les amuse-gueule ou préliminaires, si vous préférez, mais il y a un temps pour la possession. Il se redresse, passant d’adorateur à conquérant. Sa bite est fière. Bien plus fière que la mienne. « Et si… » D’un "Han !" il la possède. Il glisse tout au fond. Ma femme reçoit sa première queue extraconjugale, et j’ai bien fait les choses. La longue tige entre pourtant facilement. Les deux corps sont soudés. « Pourvu que ma femme ne remarque pas les similitudes avec notre escapade sur la table de pique-nique… » Non, elle n’en a pas le temps. Rémy, les mains sous les fesses, l’enlève de la table. Elle n’a que le temps de s’accrocher de ses bras et de ses jambes à l’homme qui la prive de son support. Il passe la baie vitrée avec son doux fardeau. Je n’ai que le temps de tourner autour du rideau. Ils arrivent en plein soleil. La banquette en osier les attend. Délicatement, sans quitter la chaleur de la grotte, il dépose Martine sur le divan, toujours chevillée à son amant. Je crois entendre qu’elle parle de capote. Il lui répond qu’il est clean et qu’il ne doute pas qu’elle aussi. Rassurée, ma femme se laisse aller. Je la trouve un peu légère, côté protection, mais elle n’a pas l’expérience des épouses infidèles.

Rémy la baise. Elle est allongée. Il la couvre, se retenant de ses bras musclés de part et d’autre de sa maîtresse.


Le soleil est mon complice. Je ne pouvais espérer mieux. Je sais aussi que la terrasse de Rémy n’a pas de vis-à-vis surplombant. Ils sont seuls au monde. Adam qui baise son Ève. Pour Adam, je ne sais pas ; mais ma femme pourrait faire figure d’Ève dans notre monde dévoyé.

C’est beau. Le mouvement des reins qui suffit pour entrer, posséder, avancer et puis ressortir, me montrant à la lumière cette queue brillante et longue comme un jour sans fin. Martine reçoit une queue qui doit découvrir des zones inconnues. Des zones certainement très sensibles, avides de ce qu’on leur propose. Il la bourre lentement. Il doit savoir, au vu de ma verge sur la plage, qu’il a des arguments pour lui plaire.

C’est encore plus beau, ce ventre qui avance à la rencontre de ce qui le possède.


Martine gémit à chaque possession. Ses mains sont posées sur les hanches de son amant comme un rappel permanent. Elle aime, c’est évident. Je la connais, et je sais que certaines mimiques, même muettes, parlent plus que la parole. Pourtant chacun sait que la parole est un catalyseur puissant.


Rémy fait bouger sa maîtresse. La voici sur le côté, toujours enfilée, mais la fente est prise différemment. Rémy accélère. Il s’est emparé des jambes de ma femme qui lui servent de point d’ancrage. La baise n’est plus délicate. Elle est plus forte, plus violente, plus profonde, et nul doute qu’ainsi la verge se fasse sentir encore mieux.


Martine le regarde. C’est comme si elle était étonnée de le voir. On dirait qu’elle va parler, mais Rémy accélère et l’emporte avec lui. Elle tend sa main vers son minou. Une autre vers un sein. Elle se caresse, complétant la possession qui la secoue. Si elle parle, la voix de Rémy la couvre. C’est lui qui gronde. Chacune de ses avancées est ponctuée par un "Han !", un peu comme certains tennismen qui accompagnent leur volée de ce cri.



Il s’est calé contre les fesses. Son engin doit balancer sa purée tout au fond, là-haut, directement dans la matrice. Ses messagers sont déjà à pied d’œuvre et pourraient engrosser ma femme si elle était fécondable.

Rémy reste un moment sur celle que je peux appeler "sa maîtresse". Il la cajole par quelques bisous et puis se relève. Martine aussi. Ils sont silencieux.



Rémy accompagne ses paroles en invitant ma femme à se pencher vers sa queue languissante. Martine accepte. Elle commence par la prendre en main, puis ce sont ses lèvres qui absorbent le gland. Elle lui fait ce qu’elle me fait depuis quelque temps, un nettoyage en règle. C’est délicieux à ressentir. C’est encore mieux de la voir sous un autre angle. Très vite, la tige souple retrouve sa vigueur, et c’est maintenant une bite bien formée. Martine cesse son ouvrage. Elle la regarde, puis croise le regard de Rémy.

Soudain elle se lève.



Et elle entre chercher son maillot, ne prend même pas le temps de le mettre, se couvre juste avec la serviette de bain, ressort, stoppe une seconde devant Rémy toujours assis, presque tétanisé par ce soudain revirement.



Quelques pas et, se retournant, elle ajoute « Merci ! » et elle part.

L’homme reste un moment sur la banquette. Petit à petit, sa verge retombe. Enfin il se lève et entre. Quelques secondes plus tard j’entends la douche. Je m’éclipse. Je retrouve mon vélo. Je ne vois pas le temps passer, perdu dans mes pensées, les images de ma femme et sa réaction.


Lorsque j’ouvre le portail, Martine est là, sur un transat. Manifestement, elle m’attend. Je ne lui laisse pas le temps de parler.



Et, abandonnant mon vélo, je me précipite à l’intérieur.

Mais à la sortie de la salle de bain, juste une serviette autour des reins, je retrouve ma femme qui m’attend.



Comme je m’installe sur le canapé, elle vient se mettre à côté de moi. Je passe un bras autour de son épaule tout en pensant que tout à l’heure c’est Rémy qui faisait pareil. Elle appuie sa tête contre mon cou comme elle le fait souvent dans nos moments de tendresse. Mais elle se redresse.



Martine s’est raidie. Je m’efforce de la recaler contre moi. Elle résiste.



Elle semble embarrassée. J’insiste.



Elle se raidit à nouveau, se détache de moi. Je crains d’avoir poussé le bouchon un peu loin. Mais elle sourit.



Ma question la perturbe. Comment avouer à son mari que…



Et je défais ma serviette qui révèle ma queue en demi-érection.



Et je montre ma queue qui gonfle encore. Il me suffit de penser à ce que j’ai vu ! Elle regarde, sourit.



Sa main se saisit de ma bite comme pour en vérifier la vigueur.



Il n’est pas nécessaire d’en dire plus. Elle aussi doit avoir en souvenir ce qu’elle vient de faire à Rémy. C’est toute la subtilité de cette situation. Elle se souvient. Moi, je la vois encore… se pencher… lécher la bite de son amant… gober le gland… avancer les lèvres… C’est sur ma bite qu’elle le fait maintenant. Elle me suce. Ses lèvres sont du velours. Putain, que c’est bon ! A-t-elle conscience qu’elle me bouffe plus de la moitié de la queue alors qu’avec Rémy on avait l’impression que seul le bout était en bouche ?


Elle me laisse. « Elle ne va quand même pas me faire le même plan qu’avec Rémy ? » Non, elle s’allonge. Elle s’installe comme j’aime, la tête au bord de la banquette, légèrement dans le vide, invitation suprême à ce que je baise sa gorge.


Que de progrès accomplis en quelques mois ! D’une sucette vite expédiée du temps d’avant, avant tout cela, avant nos fameux papillons, à la fellation déjà plus "travaillée", à genoux devant moi, pour atteindre le nirvana : Martine allongée offrant sa gorge à ma queue, me laissant maître de mon plaisir.


Je reconnais que ce n’est pas une position qui fait honneur à la libération de la femme, si on pense libération, libérée du sexe, de l’homme, de sa queue et des plaisirs partagés. Pourtant Martine n’est pas qu’une bouche offerte ; dès que j’avance vers elle, ses mains se plaquent contre mes fesses, chatouillent ma raie, jouent avec mon petit trou. C’est beau à voir. C’est délicieux de le faire. Ma bite s’engouffre entre les lèvres. Mes couilles servent de "carré blanc" devant ses yeux.



Le mouvement me dit oui ; le "Mummmmm…" est une ponctuation sur la bite.



Que c’est bon, ce grondement auquel on fait tout dire.



Un instant, elle arrive à se libérer de ma bite, reprendre son souffle et me dire, les yeux brillants, suppliants. Mais je sais que c’est ma baise qui la fait pleurer, réflexe d’une gorge trop prise.



Elle n’a pas le temps de vraiment protester. Je la comprends. Je ne suis plus moi-même. Cette idée me galvanise. L’imaginer est déjà une chose, mais mettre des mots sur les actes déclenche une pulsion irrépressible. Je sens mon plaisir venir. C’est trop rapide. Je voudrais lui bourrer la gorge et lui dire les pires horreurs, parler de ce que mes fantasmes construisent. Mais depuis que j’ai vu le couple tout à l’heure, je suis sous tension.



Martine n’aime pas recevoir mon sperme dans la bouche, et si cela arrive, tout de suite elle le chasse en le laissant couler. C’est excitant de voir les coulures blanchâtres sur ma queue, mais j’ai toujours rêvé qu’elle le garde. Encore moins dans cette position où elle ne peut pas vraiment le chasser. Aussi je la respecte en la prévenant et je me retire assez tôt afin de juter sur sa poitrine, évitant son visage. Mais ses mains sur mes fesses qui me caressaient en jouant avec mon cul se serrent pour me plaquer contre elle.


Ma semence monte. Il est trop tard, elle me garde prisonnier. Je m’abandonne. Je décharge mon foutre au fond de sa bouche. Elle tousse. Elle pleure mais me garde.


De longues secondes passent. Des secondes, témoins de mon bonheur. Martine me libère. Je sors doucement ma queue de son écrin. Elle entraîne des coulures, mais les lèvres font un barrage. C’est divin. Le visage est souillé de salive, de larmes, de foutre qui coule au coin des lèvres. Mais c’est une nature vivante. On devine la langue bouger. On voit la glotte s’activer. On imagine le jus d’amour suivre un chemin qu’il ne connaît pas.


Sa position est inconfortable. Un mari prévenant comme moi aide son épouse à se relever et s’asseoir à ses côtés.



Sa réponse est un cadeau. Un cadeau encore meilleur et plein de promesses :



J’allais faire une remarque "drôle" mais je m’abstiens.

La remarque sarcastique, où pointe la touche d’ironie qui en fait tout le sel, montre combien nous progressons encore. Rémy est certainement arrivé au bon moment. Ma femme, comme moi, devait sentir que nous allions bientôt nous heurter à un mur.

Bien sûr, de ce côté du mur, beaucoup de choses nous apportent le plaisir sexuel et le bonheur d’un couple qui a redécouvert l’amour, oublié avec les années. Que nous restait-il à expérimenter ? L’exhibition, le voyeurisme.


Mais de l’autre côté ? Les boîtes libertines. Le partage. La sexualité "sous contrainte", physique ou morale. Que sais-je encore ! C’est facile de lire ce que des couples totalement libérés peuvent faire ; les photos et les vidéos qui inondent le net en donnent une image de facilité et d’évidence, mais cela s’adresse à une autre génération ou bien à des couples qui n’ont pas été, comme nous, "bridés" par toutes sortes de choses.

À la rigueur, nous aurions pu assister en tant que témoins, mais certainement pas participer.


Oui, Rémy est arrivé au bon moment. La seule chose que je n’attendais pas, c’est mon plaisir de les avoir regardés. Je me faisais le film du mari si parfait qui cherche le bonheur de son épouse avant tout, même si ce bonheur c’est d’être cocu, mais pour une bonne cause. Et il est évident que je suis plus que troublé. J’aurais dû m’en douter l’autre nuit où, après les bruits de la chambre d’à côté, je m’étais mis à penser au plan de l’amant. J’avais bandé, mélangeant dans ma tête Armelle et Martine. Et si tout à l’heure en les épiant j’avais bandé, je ne m’en étais pas aperçu, sûrement stressé par la peur qu’on me surprenne. Mais sur le vélo, la tête envahie d’images, ma verge avait fait des siennes, et croyez-moi, ce n’est pas un sport que l’on peut pratiquer avec "la trique". Il faut bien que je me fasse une raison : cela me plaît.


Je crois que cela s’appelle le Candaulisme. Excusez mon ignorance, mais avant de vérifier sur Google l’existence de ce mot et surtout l’origine, je ne connaissais pas vraiment sa réelle signification. Bien entendu, j’avais lu des récits et savais que cela existait, mais je pensais que c’était un peu pervers. Moi, foncièrement, j’étais jaloux, et il m’est arrivé de penser que Martine me trompait et à la surveiller. Je n’en suis pas fier. Encore maintenant je me demande, elle si jolie et moi si odieux pendant des moments de notre vie commune, comment elle a fait.

Pourtant c’est moi qui l’ai mise dans les bras de Rémy. En plus, j’ai éprouvé un certain plaisir.

Mais, si là encore je me faisais un film ! D’accord, j’avais la trique, mais peut-être que c’est plus l’acte que les acteurs qui me l’a provoquée. Il existe une façon de savoir. Une façon plus confortable.


Le lendemain sur la plage, j’explique à Rémy que Martine m’a tout raconté. Qu’il ne doit pas s’en faire. Le pauvre croyait à une maladresse de sa part, ou pire, avoir été jugé "mauvais coup". Que maintenant les choses sont claires entre nous. Que c’est moi qui ai demandé de continuer.

Les deux amants discutent aussi. Je me suis éloigné. Si je suis un mari consentant et même entremetteur, je me vois mal parler de cela avec eux deux en même temps. Avant de partir faire mon tour de vélo, je demande juste à Martine de recevoir Rémy chez nous.



C’est toute "ma Martine" ! Audacieuse pour le sexe, mais encore empreinte de vieilles habitudes.



Je suis peut-être allé trop loin. Elle a raison. Non pas pour les voisins, mais que je m’occupe de ce genre de détail.



Car c’est cela, mon plan. En effet, j’ai les clés. Je suis même autorisé à entrer chez eux et aérer la veille de l’arrivée des locataires. C’est vrai qu’ils ont une vue plongeante sur notre jardin et notre véranda malgré les hautes haies ; mais comme c’est une chambre et que le volet est presque toujours fermé, il n’y a aucun dérangement.


Martine ramène bien Rémy chez nous. Mon petit discours a bien marché. Ma tendre épouse a écouté les conseils de son mari. Je vois le coup d’œil dans ma direction, plus exactement vers la fenêtre où j’épie pour l’instant à travers un interstice du bois. Mais dès que les amants sont en "mode séduction" je pousse le volet, assez pour me garantir une bonne vue.


Ma femme est une épouse obéissante, et tout de suite elle montre à Rémy combien elle regrette de l’avoir laissé en plan. À moins que ce soit ses propres envies. Peu importe, j’assiste à un magnifique spectacle. Très vite elle reprend la conversation là où elle l’avait laissée.

La queue de Rémy est très vite en majesté. Une majesté soignée par une langue et des lèvres de velours. Elle va même jusqu’à lui lécher les couilles, et je me demande si la langue ne fait pas des excursions vers le petit trou. Une majesté bien vite engloutie par la cavalière qui vient s’empaler sur elle.


Au moins, la pelouse que j’ai plantée et arrosée chaque jour procure une couche à l’homme allongé. Une couche assez souple pour lui éviter d’avoir les fesses talées car ma douce épouse se transforme en furie, en Amazone. Heureusement, une Amazone qui ne s’est pas coupé un sein, mais qui chevauche un homme sélectionné dans une tribu voisine. Son plaisir est flagrant. Ses mains toujours actives et contribuant à sa jouissance. Lorsqu’elle se relève, sa fente laisse échapper un peu de ce foutre qui lui a balayé la matrice.


En bonne maîtresse de maison, elle offre à son amant un grand verre d’eau. Mais déjà la queue languissante donne des signes de vaillance. Martine lui fait une petite fellation, juste ce qu’il faut pour la rendre dure. Rémy a, de son côté, une envie. Il invite ma femme à se placer en levrette. Sa queue entre si facilement que déjà j’ai l’impression qu’elle a pris la dimension de l’engin. Pourtant Martine, en tournant la tête, parle à son amant. Je suis trop loin pour l’entendre, mais les gestes parlent. Elle ouvre ses fesses avec ses mains et offre son cul à son amant. L’image est obscène. Le visage dans le gazon, la croupe cambrée, c’est une salope qui se montre ainsi. C’est vrai que depuis quelque temps ma femme fait une sorte de fixation sur le cul. J’en devine la raison : les deux mecs qui s’enculaient dans le blockhaus. À moi aussi elle offre son cul. Mais aussi, elle joue de plus en plus souvent avec un jouet qu’elle utilise pour me prendre ainsi. C’est très chaud, mais ô combien bon… Elle me branle et m’encule. Je crache régulièrement ma purée avec une force inhabituelle. Il faut que je pense à acheter un gode-ceinture !


C’est une chienne qui s’offre. C’est une salope qui gémit déjà alors que Rémy, après avoir craché de la salive, ouvre l’œillet avec un puis deux doigts. Et puis il la couvre vraiment. Au-dessus d’elle, les jambes fléchies, la tige contrôlée par sa main, il la prend. La pose est bien plus forte qu’une simple levrette. Le mâle couvre la femelle. La queue "pointe" le cul et s’y engouffre sans difficulté. Les couilles tapent les fesses. Très vite, Rémy se laisse emporter par une envie que tout homme ressent dans ce genre de situation. Il l’encule fort et profond.


Malgré la distance, je crois entendre ma femme gronder. Pourtant Rémy donne des signes de faiblesse. Le sportif ne tient pas la distance et ses genoux doivent protester. Il se relève. Il l’aide à faire de même et la pousse pour se mettre à genoux sur un fauteuil et il la reprend.

La baise est impressionnante. La queue doit lui labourer les entrailles. Pourtant le couple ne s’arrête plus. « Que je suis con ! J’aurais dû prendre mon appareil photo… » Ma pute de femme se fait enculer par un voisin. Ma propre queue me fait si mal que je dois la sortir de ce short de cycliste si étroit. Et je me branle.


La voilà, la preuve irréfutable : ma femme non seulement fait l’amour avec un autre, mais en plus elle se comporte comme une salope. Et j’aime cela.

Combien je donnerais pour être juste à côté des amants pour pouvoir profiter du spectacle, bien sûr, mais aussi de tous ces petits bruits humides, ces gémissements, ces regards qui sont la chantilly sur le gâteau, le miel du loukoum, la crème du… Merde, je jute et mon foutre vient s’écraser sur le mur. Pour l’instant, le nettoyage n’est pas ma préoccupation principale. Non, ma préoccupation c’est de voir Rémy se vider les couilles dans le cul de ma femme. C’est de voir sa bite ressortir de cet espace si privé jusqu’à ce jour, entraînant avec elle de la liqueur qui suinte dans la raie et les cuisses. « Dieu, que c’est beau ! » Martine reste un moment "sonnée" dans cette position si vulgaire, et puis les amants reprennent contact avec la réalité. Je n’ai que le temps de refermer le volet. À moi le ménage ! Heureusement, c’est de la peinture, et cela ne tache pas si on nettoie tout de suite.


Pendant une petite semaine, le rituel de la plage se prolonge par un autre, celui de mon cocufiage. Je laisse les amants entre eux et me force à ne plus les regarder. C’est trop vicieux.

Personne ne parle du sujet, mais chaque soir Martine et moi faisons l’amour. Elle me fait ce que j’appelle "compensation de cocu" ou "cocu content" en me faisant jouir dans sa bouche. Nous baisons dans notre chambre, et je pense que Rémy nous entend. D’ailleurs, je n’ai pas besoin de pousser ma femme à crier son plaisir. Elle le fait, et moi aussi. Une façon de montrer à notre voisin qu’elle n’est que "de passage" avec lui.


Et puis, mon vice me reprend. Je reviens bien plus tôt que d’habitude. Martine est encore chez Rémy. D’ailleurs, je crois qu’ils ne sont venus qu’une fois à la maison. Lorsqu’elle passe la porte, elle me découvre nu avec ma verge en érection. D’abord surprise, elle pense que je l’attends pour un "cocu content" et, laissant tomber sa serviette, elle approche pour me sucer. Elle aussi est nue. Son maillot de bain, sorte de prétexte à leur rencontre, est dans sa main. Mais je l’arrête. Je veux autre chose. Une pensée malsaine ! Une déformation de l’amour ! Un geste obscène !

Je la pousse pour qu’elle s’appuie contre le dossier du fauteuil que je viens de quitter et qui est celui de ses exploits il y a quelques jours. Je flatte ses fesses et descends vers sa fente.



Bien sûr que je le sais. Et j’y découvre la preuve : des plages collantes, des restes du foutre de son amant. Et c’est justement ce qui m’attire. J’ai lu quelquefois des récits où des hommes aiment prendre leur femme après un autre. Je trouvais cette envie tout à fait indécente, mais depuis que j’ai vu le foutre Rémy suinter des orifices de mon épouse, cette pensée m’obsède.



Non, ce n’est pas bien. Mais depuis quelques jours, tout ce que je fais n’est pas bien. Jeter sa femme dans les bras d’un autre n’est pas si bien que cela. Les regarder baiser n’est pas bien. Bander à leur spectacle est encore pire. Alors, enfiler sa femme juste après le passage d’un autre… Un peu plus, un peu moins…

Je la possède. Ma queue glisse dans la semence de Rémy. Ce n’est plus une chatte mais une route de montagne enneigée et verglacée où les pneus n’adhèrent plus.



« Tu… quoi, ma chérie ? Tu me fais du bien ? Tu es un pervers ? Tu exagères ? Et si je m’agrippe à tes hanches pour mieux te posséder, pour compenser ma petite bite comparée à celle qui vient de se vider en toi, pour que mes couilles remplies de ma propre liqueur tapent ton clitoris ! Et si j’investis ton cul avec un pouce pour constater que ce chemin aussi a été profané par ton amant ! Excuse-moi, pas profané, mais honoré par ton amant ! Tu ne dis plus rien ! Tu as raison ! Mais je pense que tu constates que ma bite est d’une dureté de bois et que mon envie si particulière lui donne une force de conquérante. Tu penses peut-être aussi que je vais suivre ton amant à la trace et que bientôt c’est ton cul que je vais bourrer ? Tu ne dis plus rien, mais j’aime la façon dont tu gémis. La façon aussi de te tortiller sous mes assauts. De te cambrer encore plus. De te caresser le petit bouton… »



« Oui je sais : c’est bon. D’accord, c’est spécial, mais j’adore et je sais que toi aussi. Merde, ton cul attendra. Je sens ma jouissance monter. Déjà. C’est trop tôt. Mais que je suis con… J’aurais dû prévoir qu’excité comme j’étais, j’aurais dû me soulager avant pour tenir la distance. »

Heureusement, Martine jouit avant que je vienne ajouter ma contribution à celle de Rémy.


Aussitôt après, ma femme s’enfuit littéralement. J’entends la douche. Moi, je reste là, à la fois heureux et honteux de ce que je viens de faire.

Elle revient. Elle a juste passé un polo et un short. Pourtant elle est belle. C’est ma femme. Je l’aime. Chaque jour un peu plus, conscient de la chance que j’ai.



Je la regarde. Elle est sérieuse. Je sais qu’elle est libre, mais tout de même j’aimerais savoir.



Fondamentaux ! Moi, je n’aurais pas appelé nos baises ainsi. Mais Martine continue, un sourire aux lèvres.



Je souris à cette plaisanterie. Mais d’une certaine façon le sujet est clos.


L’explication entre les amants a lieu le lendemain, sur la plage. Rémy est déçu. Je le comprends. Avoir une maîtresse à portée de main, c’est plus que confortable. Et je ne doute pas que de savoir combien le mari est consentant doit lui gonfler la queue comme moi la mienne.


Moi, je respecte la décision de ma femme. Pourtant, j’aimerais que nous marquions le coup. Après tout, c’était sa première fois avec un autre. Je décide de l’inviter au restaurant. Et puis, au fil de ma réflexion, je me dis que nous pourrions inviter Rémy. Une sorte de rupture amiable, mari, maîtresse, amant. Demain, Rémy redeviendra un voisin, et j’espère que nous continuerons à nous retrouver ensemble sur la plage ou ailleurs.


Martine accepte. Rémy aussi, à la condition de payer sa part. Il a raison : ne pas payer pourrait être interprété comme un dédommagement, ou pire, un salaire pour avoir baisé ma femme. Bien qu’un repas, fût-il bon, est bien peu au regard de ce qu’il a accompli.


Le restaurant que j’ai réservé est à moins de 15 minutes à pied de la résidence. Martine s’est faite belle. Rien d’ostentatoire ; la présence de l’océan permet une décontraction bien agréable. Rémy et moi aussi, bien que pour nous une chemise et un pantalon, en remplacement du polo et du short, soient suffisants pour être "propre sur soi".

Le repas est très agréable. Martine a deux chevaliers servants, et l’Amazone que j’ai vue aiguillonner sa monture est redevenue une épouse fidèle.


Je sais qu’annoncer que le repas fut très arrosé est un cliché dans les récits sur le site. Mais je ne vois pas pourquoi je mentirais pour sortir de ce schéma. Je crois que c’est surtout le champagne que Rémy a voulu nous offrir en apéritif, alors que juste des amuse-gueule épongeaient l’alcool, qui a détendu cette atmosphère un peu particulière. Bien entendu, je n’ai pas pu rester en retrait, et les deux bouteilles de blanc que j’ai proposées se sont bues comme du petit lait, mais qu’importe : nous étions à pied, et si pour rejoindre la résidence il faut monter un peu, l’épreuve n’était pas insurmontable.


À cette période de l’année, la petite station balnéaire propose presque chaque soir des animations. En sortant du resto, la musique nous a attirés. Un orchestre faisait danser. Martine nous a évidemment entraînés. Finalement, c’est très bien d’avoir un aide à portée de main. Moi, je suis plutôt slows. Rémy s’est révélé un rock’n’roller d’enfer faisant tourbillonner sa cavalière. C’est seulement pendant ce que nous appelions de notre temps le "jerk" que nous nous retrouvons tous les trois sur la piste de danse. Danse à trois avec ma femme au centre, une sorte de rappel de ce que nous avons vécu pendant quelques jours.


Pour remonter à la maison, Martine fait l’enfant. Gamine de près de soixante ans que l’alcool – mais surtout les danses endiablées – ont rendue légèrement hystérique. Rémy et moi, chacun par une main, traînons ce fardeau qui minaude, qui veut danser encore, forçant le trait pour nous attendrir.

Devant la porte de notre maison, je me dis que c’est dommage de nous quitter ainsi.



Rémy n’hésite pas, il nous suit.



Je mets bien dix minutes à la retrouver, enfouie dans ce placard qui nous sert de débarras. Lorsque je reviens, la bouteille et trois verres à la main, je retrouve ma femme et Rémy enlacés, dansant d’un pas langoureux sur Strangers in the night, un tube qui vient de sortir. Enfin, je veux dire sortir du fichier mp3 et de la compilation de nos airs favoris d’une époque où… Oui, je sais : c’est vieux. C’est ringard. C’est off. Mais c’est notre jeunesse.


Ils sont mignons tous les deux. Martine est tendrement lovée contre l’épaule de Rémy. Elle se laisse aller. Un instant, cela me fait mal de la voir ainsi. Baiser, oui ; mais cette tendresse, non ! Et si… et si cette attitude était l’expression de la pensée de ma femme ? Si l’alcool et cette soirée très agréable lui avaient fait prendre conscience qu’elle avait pris une décision qu’au fond d’elle-même elle ne voulait pas ?

Je m’approche du couple. Rémy comprend et me cède sa place. Martine se love dans mes bras, passant de l’amant au mari.



Elle ne répond pas, mais son bassin le lui confirme, et son geste de sa tête est un oui éthéré.



Elle va aller le rejoindre, mais au moment de la libérer :



Et tout en lui parlant, je la fais se tourner vers Rémy qui nous regarde.



Je tire lentement dans le dos de la robe sur la fermeture Éclair qui va jusqu’aux reins. Tout en le faisant, dégustant chaque centimètre de peau qui se révèle à mon regard, j’imagine déjà que nous achetions une robe avec le zip devant, sur toute la hauteur, permettant ainsi à la femme infidèle de se dénuder devant son amant. Pour l’instant, l’amant ne voit pas plus ; mais lorsque je fais glisser les bretelles sur les épaules et que la robe tombe à terre, il en est le spectateur.

Marine ne porte pas de soutien-gorge ; juste un string dont j’entrevois, de dos, les fines lanières.



Et je l’embrasse dans le cou.

Dans un premier temps, elle semble figée. Elle me regarde aller baisser l’éclairage et m’installer dans un fauteuil. Rémy aussi. Un instant, je suis leur centre d’intérêt. Rémy, même s’il n’a pas entendu nos propos, doit comprendre la situation. Lorsqu’il retourne son regard vers ma femme, il sent la puissance de la situation. Il hésite. Doit-il venir la rejoindre ? Doit-il attendre ? Et puis Martine avance.


Elle avance des quelques mètres qui la rapprochent de son amant. Il est assis sur notre canapé. Elle le fait lever. C’est elle qui lui enlève le polo. C’est elle qui embrasse sa poitrine, caresse ses muscles, flatte son ventre et ses reins jusqu’à ce que les mains tirent la ceinture, dégrafent un à un les boutons de la braguette, tirent le pantalon le long des jambes. Le slip est déformé. Quel plus bel hommage et signe d’encouragement ?


Son Apollon est debout. Je ne sais si sa flèche a été taillée par Héphaïstos, mais lorsque ma femme la libère de sa geôle, c’est une beauté. Martine s’agenouille pour retirer le slip sans risquer de blesser la merveille. Elle se dresse, fière et insoumise.


Je la trouve belle. Je l’ai déjà vue – vous le savez maintenant – au repos et dressée, mais jamais de si près en érection. Toute en harmonie. Un gland rose à souhait, libre de toute peau protectrice. La liaison gland-hampe est une vallée. La hampe, tige élancée, est lisse, sauf les veines nourricières qui l’habillent. Et les bourses ! Deux belles couilles, peau tendue d’où la queue semble jaillir.


Je comprends la gourmandise de ma femme. C’est une sucette qu’Annie aimerait pouvoir déguster… C’est Martine qui s’en empare alors que d’une main elle invite son amant à retrouver le confort du canapé. Qui se plaindrait de la dureté d’un carrelage qui blesse les genoux alors que la bouche s’active ? Tous les sens sont concentrés sur ce qui fait la douceur d’une gorge féminine. Les lèvres, à peine maquillées, mais brillantes. La langue, serpent qui ondule et louvoie. La salive, chaude et abondante.

Martine le gobe et me regarde. Elle s’active, descendant déjà pour envelopper le membre dans sa gorge. Mais elle me regarde encore. Provocation ? Non, je ne crois pas. Elle semble mal à l’aise. Soudain, elle abandonne la bite pour se tourner vers moi.



« Tu me gênes ! Le toupet ! Pour une femme que je gêne, elle a bien avancé dans la partie. Et la façon dont elle a gobé la bite ne paraissait pas forcée. Mais je crois aussi qu’elle veut pouvoir suivre sur moi la progression de mon excitation. » Bien sûr, je m’exécute. Elle peut voir que déjà son début de prestation produit un effet. Mon sexe n’est déjà plus cette chose molle au repos. Rassurée, elle replonge. Si maintenant elle jette des regards dans ma direction, ce sont des regards de provocation et de satisfaction.


Pendant un instant elle continue sa fellation. C’est beau. Vraiment, je la vois parfaitement. Lorsqu’elle me pompe, je n’ai que la vision de dessus, ou au mieux de profil. Là, je vois la bouche monter et descendre. Les mains palper les couilles.

Mais elle se redresse. D’un geste, elle enlève son string et me le jette. Quelle coquine !


Rémy s’allonge sur la banquette. Martine l’enjambe, et alors que je pensais qu’elle allait le chevaucher, elle se place en 69. Sa chatte est un cadeau pour Rémy alors qu’elle reprend l’engin brièvement libéré. Chacun connaît sa partition. Rémy est même conseillé par la chef d’orchestre qui ondule sur lui. Les cuisses me cachent son visage, mais il n’est pas nécessaire d’être devin pour imaginer ce qu’il fait de ses lèvres et de sa langue.


Pendant un long moment je vois les amants s’activer. Je regrettais de ne pouvoir entendre lorsque je matais de loin ; ce n’est qu’un souvenir, car grognements indistincts et asexués se mêlent aux "flocs" humides. Et que dire de ces filets de salive que ma salope de femme tire avec délice tout en regardant son mari qui bande ?


Soudain elle se dresse. Je connais cet instant : la jouissance arrive. Il lui faut juste quelques effleurement et caresses. Dressée sur le visage de Rémy, les seins caressés par son amant, elle me regarde. Elle me regarde, mais elle ne me voit plus. Son regard est trouble. Son bassin se fige. Rémy doit étouffer sous le poids de ces chairs tendres mais enveloppantes.



Les lèvres de ma femme laissent passer toute une série de grognements et d’onomatopées. "Onomatopée", mot bien savant pour matérialiser tout ce que des lèvres laissent passer dans des moments pareils ! Je ne saurais l’écrire exactement, mais j’en ai encore la musique en tête. Un rythme, des souffles, des "Ah !", des "Oh !", des "Oui !", enfin tout ce que maintenant, libérée des vaines pudeurs, elle me gratifie lorsqu’elle jouit. J’en suis l’auditeur, pas le créateur, et pourtant c’est une musique céleste.


Sa jouissance se tarit et elle replonge sur la bite de son amant. Terminée, la délicate sucette. C’est une goinfre qui l’avale. Ses lèvres branlent la queue en coulissant, non sans s’arrêter toujours sur la couronne, et je sais que la langue caresse le gland. Rémy résiste un peu, mais un grondement prévient de la montée. Martine se bloque, gardant juste la pointe en bouche. Il jouit, et ma femme ne bouge pas. Elle recueille avec précaution la liqueur de son amant. Je sais que bientôt elle va ouvrir les vannes de ses lèvres et laisser couler le foutre sur la queue encore durcie. Mais non. La bite est libérée sans sa douche de sperme. Martine lui a fait un "cocu content". Je suis troublé, presque déçu. Je pensais que cette "finition" m’était réservée. Martine se dégage de son amant. Elle se lève. Elle vient vers moi. Ses yeux brillent. L’alcool lui donne un regard étrange.


Sans un mot, elle s’agenouille devant moi. Elle prend ma bite tendue entre ses doigts. Je la vois se pencher pour venir me sucer. De voyeur, elle me transforme en participant. Elle me gobe, doucement. Les deux tiers de ma queue ont disparu. Elle me regarde. Nous échangeons ce regard si fort et si chargé de sexe que j’en frémis à chaque fois. Et puis je sens sa salive couler. Non, pas sa salive… Je comprends lorsqu’elle se dégage et que je peux voir ma bite, tenue fermement verticale par deux doigts. Deux doigts qui eux aussi sentent couler ce que ma femme libère : le foutre de Rémy. C’est le foutre de Rémy qu’une gorge vicieuse a transporté de sa queue à la mienne. Une douche avec le sperme de l’amant ! Et c’est moi que l’on traite de pervers dégénéré ! Le sourire de ma cochonne de femme devant ma surprise… Mais mon étonnement ne dure pas. Moi aussi je souris.


Elle plonge. Ma queue est devenue sa deuxième sucette. Une sucette qu’il lui est plus facile de gober, et nul doute que la présence de la semence de Rémy l’excite comme elle m’excite aussi. Encore une fois j’ai du mal à résister. Seul avec mon épouse, j’arrive à mieux me contrôler, mais la voir avec son amant et ensuite se comporter comme une vraie pute court-circuite toutes mes astuces. Moi aussi je balance mon jus. Moi aussi, ma semence est si précieuse que la gourgandine la conserve en bouche. Mais la mienne, avec un air goguenard est avalée. Un peu comme si elle me disait « Tu vois, le "cocu content" est réservé à toi. »


Je me crois bien malin de lui montrer que le sperme de Rémy a coulé. À cet instant, je ne pense qu’a la perversité de la situation. De simple voyeur, me voici partenaire ! Et de quelle façon… Certes, l’alcool a aidé Martine à se lâcher, mais je ne pensais pas de cette façon. Oh ! Combien c’est bon, cette liberté !


Martine s’en occupe. Non pas en allant chercher une serviette ou du Sopalin. Non, c’est avec sa langue et ses lèvres qu’elle me fait une toilette délicieuse. Les coulures disparaissent. Le jus de l’amant va rejoindre celui du mari. La prochaine fois – j’y pense déjà – je demanderai qu’elle garde les deux en bouche pour en faire un mélange que nous, les deux hommes, pourront voir disparaître dans sa gorge.

Plus salope que je pensais, elle vient m’embrasser pour me faire goûter sa cueillette. Ce n’est pas la première fois que je goûte à mon sperme, mais c’est autre chose pour celui d’un autre. Mais je n’en perçois pas la différence.



Elle me souffle à l’oreille sa provocation. J’y réponds par un hochement de tête.



Pardi, bien sûr que je veux. Nouveau hochement de tête.



« Mais bien sûr ; la nuit est à nous. » Je hoche la tête.



Pourquoi lui refuser ce plaisir ? Je suis déjà impatient de découvrir ce qu’elle envisage.

Ma femme ne s’appelle plus Martine, mais Pandore ; et c’est moi qui l’ai amenée à ouvrir la boîte dont elle avait la garde. Mais ce que nous y découvrons est peut-être appelé vice, dépravation, licence par certains, alors que pour nous ce sont des mots doux qui, dorénavant, chantent à nos oreilles.



Je propose le cognac. Martine préfère de l’eau, mais Rémy et moi nous dégustons cette merveille d’une très grande maison. Le couple s’est naturellement installé sur le canapé. Moi, j’ai regagné mon fauteuil. Cela s’est fait naturellement. Ce soir, l’homme de Martine, c’est Rémy.



Le sourire que nous échangeons vaut bien toutes les paroles.



Elle a raison : je suis ridicule.



Et Martine commence à caresser ce sexe. Caresses délicates de ses mains.



Je m’approche ; refuser serait "inconvenant". Oui, c’est drôle, mais c’est bien ce mot qui me vient. Mais après tout, les convenances ne sont que des habitudes, des traditions. Cette nuit, l’inconvenance serait de refuser. Je suis en face d’eux. Déjà la verge commence à se déployer. Martine la flatte, et cela suffit.



Parler de cela dans l’intimité de notre chambre était facile, mais en face de son propriétaire c’est autre chose ! Pourtant…



La remarque de ma femme nous fait penser qu’elle va la sucer, mais, elle ne bouge pas.



Soudain je comprends la mise en scène de Martine ; d’ailleurs, son regard est explicite. Elle me montre la queue tendue.



Elle est contente de son petit effet. Elle sourit. La friponne m’a piégé. Je comprends son « Alors je peux faire tout ce que je veux ? » À aucun moment je n’avais compris le « Je peux faire » de cette façon. Elle me défie. Refuser, c’est perdre toute crédibilité pour l’avenir. Demander à ma femme d’être libertine, libérée, avoir de l’audace et de l’imagination, et refuser alors que justement elle est audacieuse et a de l’imagination ?


Je m’agenouille. La main de Martine pousse la verge vers moi. De si près, elle me paraît encore plus grande. Le gland paraît un champignon avec le sillon très marqué. On pousse ma tête ; c’est Martine qui doit me trouver trop contemplatif. Lorsque je pose mes lèvres sur le bout, la bite tressaille. Simple réflexe, ou attente particulière de Rémy ?


Pourquoi le nier ? Ce n’est pas désagréable. La délicatesse du gland est une vraie surprise. Savoir que c’est la partie la plus sensible, avoir déjà touché le sien du doigt ne prédispose pas à cette sensation. La douceur. La chaleur. L’impression que sous la peau presque transparente circule la vie que le cœur propulse à l’envi. Et que dire lorsque mes lèvres se glissent dans le sillon, et puis un peu plus bas… Et ma langue qui découvre aussi. Mais ma gorge donne sa limite.


Pas si mal, après tout ! Comme tous les hommes – enfin, je crois – j’ai déjà essayé de me mettre un sextoy entre les lèvres. Ceux qui l’on déjà fait connaissent cette impression.

Impression de faire mieux que sa femme qui ne passe pas le gland et qui croit que cela suffit.

Surprise d’autres qui s’aperçoivent qu’ils sont bien loin d’en prendre autant que leur femme ou leur maîtresse, et qui se rendent compte de leur chance.


Plus d’une fois, surtout depuis quelque temps, Martine me propose de sucer le gode qu’elle va me glisser entre les fesses. Mais ce soir c’est une bite bien vivante qu’elle m’offre. Et ma foi, le cadeau n’est pas désagréable.

Ma main soupèse les couilles. Je pompe la tige, et moi aussi je laisse couler ma salive. « Oh, elle va être en pleine forme, cette queue ! Oui, ma chérie, ton mari te la prépare ! Un mari cocu content que tu transformes en cocu fier de préparer la queue qui va bientôt bourrer son épouse. C’est encore mieux que de n’être que spectateur. » Voilà ce que je pense tout en gobant l’engin.



Martine le constate avant moi : en effet, je bande alors que je fais une fellation à un homme. Pourquoi pas ?



Pendant qu’elle me parle, Martine me caresse. Non seulement elle s’est saisie de ma queue durcie, mais elle flatte mes fesses, me guidant afin de me rendre plus accessible. Bientôt je suis à quatre pattes et ma femme couvre mes fesses de baisers. Mon petit trou est chatouillé, titillé et léché.

Une voix derrière moi dit bientôt :



La surprise de la question fait frémir la queue que je suce toujours.



"Pourquoi" est certainement ce qu’il allait dire, mais lui comme moi comprenons le sens de la question. Ainsi, voilà où elle voulait en venir ; j’aurais dû y penser. Depuis sa découverte dans le blockhaus, Martine est manifestement troublée par ces deux hommes qui baisaient. Elle veut reproduire ce scénario sur moi. M’enfiler un gode ne lui suffit plus.



Rémy se lève, me laissant orphelin de sa bite. Cette bite que j’ai préparée avec plaisir pour ma femme et qui…


Il suffirait de dire non, ou même de quitter la pièce sans un mot. Mais quelle honte ! Refuser ce que je demande à ma femme… Non, je reste. Mais tout de même autant que ce soit confortable. Mes genoux me font mal. Je me lève et m’installe sur le canapé, à genoux, mais sur de la mousse et en appui sur le dossier. Combien de fois ai-je possédé ma femme de cette façon ? Incalculable ! Car très excitante pour moi comme pour elle. Sauf que ce sont mes couilles et ma queue qui pendent et non pas une chatte.


Je n’ai pas peur. Après tout, si la queue de Rémy est plus longue, elle n’est pas plus grosse que le gode qui me ramone le cul d’habitude.


Un doigt. Martine ou Rémy ? Un doigt qui s’active, petite bite. Et puis un moment de liberté. Je ferme les yeux. Je n’ai pas besoin de regarder derrière moi, car je sais, j’imagine.


La salive que l’on me crache dans l’anus : Martine.

La main qui branle ma queue : Martine.

La main qui guide la queue de Rémy vers mon cul : Martine.

La voix qui dit « Allez, Rémy, prends-le ! » : Martine.

Mais la pointe qui pousse, déforme mon anus et entre : c’est Rémy, bien sûr.


Ensuite, c’est une longue progression avec mes entrailles qui s’ouvrent.

Le salaud, il est long…



Je réponds, mais je manque de souffle. Ma respiration s’est accélérée. Moi aussi je tortille du cul. Ce n’est pas seulement du vice, mais l’envie de bien le sentir, ce gros machin qui me possède. Un peu comme une femme. Mais d’une certaine façon, c’est ce que je suis. Quelle différence ?


Rémy commence à bouger. Il est moins lourd contre moi. Il quitte le reposoir de mes fesses. Il se retire. Mais il revient. Une fois. Deux fois. Encore. Encore. Chaque fois, j’attends le moment où ses couilles stoppent sa poussée.

Il recommence.

Maintenant, il me baise un peu comme lorsqu’on se contrôle pour posséder une femme et faire monter son désir.



C’est moi qui souffle de l’air à chaque fois qu’il m’encule à fond. Son piston accélère. Adieu, la retenue. Me voici pute que l’on encule au coin d’une rue, sans s’occuper d’elle.

Mes fesses résonnent chaque fois qu’il les heurte. La banquette vibre de ses coups. Sa bite va bientôt me ressortir par la gorge… Pour une première fois avec un mec, le fumier ne fait pas dans la dentelle !


Ainsi est enculé le mari par l’amant. Mais qui s’en plaint ? C’est bon. Oui, j’ose dire et écrire que c’est bon de se faire bourrer le cul. Et croyez-moi, le Rémy, il en profite…


Je plane. Je ne suis plus qu’une salope dont on profite. Une salope que sa chaudasse de femme branle et qui regarde certainement la queue de son amant pistonner son cul. Je plane, mais déjà j’imagine. « Profitez bien, mes enfants : tout à l’heure ou demain, j’en connais une qui va se faire prendre en sandwich et qui va s’apercevoir qu’une bite plus une bite ne font pas deux, mais bien plus. Et toi, mon cher Rémy, pourquoi ne pas essayer de te faire prendre le cul aussi ? Devine par qui, et… » Il jouit. Mes entrailles sont inondées par son foutre brûlant. C’est bon. Putain, que c’est bon ! Je comprends le plaisir des femmes, ce plaisir d’être un réceptacle pour cette liqueur que le mâle produit…