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Temps de lecture estimé : 11 mn
18/09/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Un an après la mort d'Amaury au champ d'honneur, Amélie sort enfin de son deuil. Et comment !
Critères:  fh hagé grossexe fête noculotte fmast fellation cunnilingu pénétratio historique humour -occasion -bourge
Auteur : Naipas  (Déjà fait)      Envoi mini-message

Série : Je m'appelle Amélie

Chapitre 02
Après un an de veuvage

Résumé de l’épisode précédent :


« Je m’appelle Amélie »

Une jeune aristocrate libertine, Amélie de la Baysière de la Founette, épouse Amaury, le rejeton d’une famille d’industriels fortunés. Elle l’a choisi, parmi six prétendants, en fonction de la taille de son mandrin, mais elle se retrouve veuve à vingt-cinq ans, Amaury ayant été tué au cours d’une guerre contre les Prussiens.


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Dire que je me suis enfermée sur moi-même pour digérer ma peine est un euphémisme. Pendant plus d’une longue année, je refusai de quitter ma chambre dans laquelle mon corps avait connu tant de secousses. Je ressassais mes souvenirs de baise et souvent j’appelais Émeline, toujours célibataire, pour assouvir mes désirs. Jusqu’au jour où mon amie m’annonça ses futures épousailles. J’en fus émue au point que cette nuit-là nous allâmes toutes deux jusqu’au bout de nos envies. Comme si c’était la dernière fois. Je ne lui en voulus point qu’elle m’eût préféré un jeune marquis plein d’écus et je la félicitai, me promettant en mon for intérieur de goûter avec elle aux délices d’une rencontre à trois.

Chère Émeline, combien tu m’as appris de choses, toutes plus passionnantes les unes que les autres. Mais ne brûlons pas les étapes.


Je m’étais mariée avec Amaury par défi plus que par passion amoureuse, mais j’avais appris à l’aimer. Sa mort m’avait laissée sur ma faim d’amour et de sexe, et lorsque mon chagrin fut adouci, je me dis qu’il n’était pas décent pour une femme comme moi de rester sans faire l’amour au moins une fois par semaine. Je ne pouvais plus me contenter de me faire jouir toute seule depuis qu’Émeline avait convolé avec son marquis. Je me mis en quête d’un homme qui serait à la fois viril, bien membré, riche et expert dans l’art subtil de faire jouir une femme telle que moi.


Vous me connaissez un peu mieux depuis le début de ce récit ; il ne sert à rien de me faire des promesses. Ce que je veux – et surtout ce que veulent mon pertuis et mon petit bouton rose – c’est un membre solide et persévérant, et une bouche douce mais ferme avec une langue assez rugueuse pour satisfaire mes besoins de tendresse et de plaisir. J’aime quand on roule mon clitoris entre les lèvres et que des dents le mordillent doucement pour le faire sortir de son étui. J’aime sentir au fond de mon ventre un braquemart bien long, bien dur, et surtout d’une résistance à toute épreuve, capable de me faire monter plus d’une fois en suivant au septième ciel.


Vous savez bien que, sans être ce qu’on appelle vulgairement une nymphomane, j’aime être câlinée, cajolée, dorlotée, et surtout bien baisée. Tous les prétextes sont bons pour me coucher sur le dos et me faire mettre un épieu solide. Alors je décidai un jour de me faire une réputation d’amoureuse, mais pas à n’importe quel prix : je ne suis pas une catin de rue ni une demoiselle de maison de luxe. D’ailleurs, même si, sous la monarchie, mes ancêtres se vantaient de fréquenter les salons où l’on ne fait pas que causer, ma famille ne devait jamais savoir ce que je faisais la nuit, et elle ne l’a jamais su : j’ai trop de respect des convenances et pour le renom de mon père pour me permettre de mener une vie de débauche au vu et au su de la bonne société.


Je suis d’ailleurs trop indépendante pour me plier à la discipline d’une maison close, et surtout au bon vouloir des messieurs trop fiers de leur pénis et trop imbus de leur petite personne. Quand j’accepte quelqu’un dans mon lit, c’est parce que je l’ai choisi à la fois pour son esprit, son humour, sa tendresse, et bien sûr ses performances. Mais de celles-ci, je ne peux rien connaître avant de les avoir expérimentées. C’est ce qui fait le charme de ma vie. Je la mène ainsi au gré de ma fantaisie.


Quelques jours après, mon amie Émeline épousa donc son marquis. Dieu ! Qu’elle était jolie dans sa robe immaculée au bras de son époux qui n’était pas mal de sa personne, mais certainement bien loti du côté de la bourse. Sans doute l’était-il aussi du côté des bourses car je m’imagine mal ma chère Émeline se contenter d’un petit morceau de muscle pour satisfaire sa soif de plaisir.


Elle avait eu la gentillesse de me convier à ses épousailles, et je ne manquai point de lui prouver mon amitié. La cérémonie fut grandiose, pleine de lumières et de fleurs. Les tables disposées dans le grand jardin du château étaient couvertes de mets qui vous faisaient baver de gourmandise. Je me trouvai assise à côté d’un gentilhomme à la perruque poivre et sel. Il fut d’une courtoisie telle que je me laissai charmer par son élégance à mon égard. Il parlait bien de ses voyages dans les pays lointains et me faisait une description détaillée des endroits où il avait vécu.


Nous devisions simplement entre les gorgées de vin rouge ou blanc, ce qui finit par nous émoustiller un peu. Peu à peu, une certaine euphorie me saisit le corps. Mes mains se mirent à voyager sous la table et je soulevai doucement mes jupons, permettant ainsi à mes doigts de sentir la douceur de ma peau et de la toison qui protégeait ma fente déjà un peu humide. Ils rencontrèrent soudain ceux de mon voisin, partis eux aussi en découverte de mes trésors cachés. Il me prit les doigts délicatement et commença à les masser d’abord doucement, puis un peu plus fort. Ma pudeur soudain reprit le dessus – du moins, je le lui laissai supposer – car je retirai ma main et le regardai d’un air que je voulais offensé. Il se confondit en excuses, mais à son regard je compris qu’il n’en était rien, ce qui me fit sourire. Sans doute se méprit-il sur mes sentiments car il posa sa main sur mon épaule nue. Je frissonnai. Il le sentit, se pencha vers moi et fit le geste de vouloir poser sa bouche sur la mienne. Je reculai doucement. Je ne me sentais pas prête à subir ses assauts.



Je sentis soudain une sorte de chaleur m’envahir le corps. Était-ce l’effet du vin ou un fluide inconnu que ce gentilhomme m’insufflait en me serrant les doigts ? J’eus l’impression qu’une légère rougeur me montait au front ; mais ce qui n’était pas une illusion, c’est que je sentis que doucement de petits picotements parsemaient mon pubis et que mon petit conin s’humidifiait de ma liqueur intime, signe qu’il ne restait pas indifférent devant ces légers attouchements que mon voisin me prodiguait. Je voulais rester immobile sur ma chaise, mais au bout de quelques minutes mes fesses commencèrent à prendre un mouvement d’avant en arrière, léger d’abord, puis de plus en plus marqué.


Comme d’habitude, je ne portais pas de petite culotte et je me suis mis tout d’un coup à penser que ma liqueur intime allait tacher ma robe, le seul vêtement qui protégeait ma pudeur. En outre, je m’aperçus que mes mamelons devenaient sensibles et j’eus bientôt l’impression qu’ils allaient percer le fin tissu qui les recouvrait à peine. En un mot, j’avais soudainement envie de faire l’amour. Mon imagination se mit à tourner comme une folle et je vis en image un énorme braquemart forcer mon pertuis et me défoncer le ventre. Les picotements devinrent une démangeaison insupportable, comme il m’arrivait d’en avoir lorsque j’attendais la venue d’Émeline.


Sans me soucier de la présence du gentilhomme, je posai ma main sur mon entrejambe et, sous la table, commençai à me frotter doucement le sexe que je sentais bombé à travers ma robe légère. L’effet fut immédiat. Mon conin se mit à suinter plus fort et je me soulevai pour relever ma robe et poser mes fesses nues sur le coussin du siège. Foutre de moi ! Mon vis-à-vis se rendit compte de mon manège et, avant que j’eusse pu faire un geste, il contourna la table, se dressa devant moi, me saisit la main libre et, sans égards pour les voisins, la posa sur le haut de ses chausses, me faisant ainsi sentir combien ma présence et mes manières l’avaient troublé. Je me levai à mon tour et l’invitai à me suivre.


J’étais excitée au point que, pour la première fois depuis la mort de mon pauvre Amaury, j’eus une envie folle de m’envoyer en l’air, comme une petite hétaïre des Halles. Arrivés dans le couloir, il me prit dans ses bras et je sentis aussitôt son membre s’appuyer fermement contre mon ventre presque nu. Dieu ! Qu’il était dur. J’étais pressée d’en mesurer la longueur. Le baiser passionné de mon complice ne me faisait pas oublier la prudence : je décidai d’attendre de me trouver dans ma chambre pour jauger du pouvoir de son engin.


J’avais appris avec mon mari à me méfier des élans trop appuyés des hommes. S’ils vont trop vite, ils jouissent aussi trop tôt et vous laissent sur votre faim. Je vous ai expliqué combien j’adorais me faire mettre un long et courageux braquemart dans le sadinet. J’avais éduqué Amaury dans ce sens. Je voulais que l’homme que mon corps choisissait soit à la hauteur de ses ambitions, mais surtout des miennes. Avec celui-ci, je me devais d’être circonspecte.


Je le fis donc entrer dans ma chambre dont je fermai la porte à double tour. Je me rendis alors dans la petite salle d’eau qui dispose d’un bidet, ustensile bien nécessaire pour effacer les traces laissées par un engin prodigue de ses liqueurs. J’avais laissé la porte entrouverte, et tout en faisant ma toilette intime je jetai un coup d’œil discret vers le lit où mon futur amant s’était déjà bien étendu. Foin de lui ! Il avait sorti son redoutable machin qu’il astiquait lentement pour en conserver la vigueur. De mon côté, je glissai mes doigts dans ma fentine et frottai mon petit bouton jusqu’au moment où, ne me retenant plus, je me lançai vers le plaisir avec tant de fougue que je faillis tomber dans la baignoire.


Le bruit que je fis réveilla le gentilhomme qui se leva précipitamment pour venir à mon secours. Je me laissai entraîner vers le lit sur lequel il me déposa avec tant de douceur que je lui pris la tête et le fis tomber sur moi, les jambes largement ouvertes comme pour l’accueillir tout de suite. Oh ! Surprise ! Son mandrin avait fondu comme neige au soleil, ce qui me rassura sur la suite des événements. Avec des gestes mesurés et que je voulais tendres, j’entrepris de lui ôter ses vêtements. Un à un je les fis glisser tout en laissant mes mains innocemment traîner sur sa peau. Il voulut me caresser les cuisses, mais d’un simple regard j’arrêtai son geste. Il me regarda comme un enfant pris en faute et retira sa main.


Je continuais à le câliner du bout des doigts, voyant son désir monter peu à peu. Sa virilité reprenait une taille intéressante. Je la pris en main et doucement me mis à la masser en prenant soin d’effleurer le gland qui prenait lentement une teinte violacée. De mon autre main, je me caressais, étirant les lèvres de ma founette et introduisant un puis deux doigts dans mon vagin dilaté et humide de mon foutre. Mon partenaire voulut de sa main atteindre mon antre secret. Je m’approchai de la couche et, m’étendant à ses côtés, me penchai pour saisir entre mes lèvres son engin dont la bandaison me fit espérer une partie de plaisir digne de mes attentes. L’homme se mit à soupirer et je dus cesser mon mouvement de bouche pour éviter qu’il ne m’arrosât trop tôt.


Je me reculai donc pour admirer ce membre merveilleux long d’au moins six pouces et large d’un et demi. Le désir de me le mettre entre les cuisses en cet endroit précieux qu’est mon con me prit soudain. Je m’assis dessus à califourchon et me l’enfonçai profondément. Je le sentis buter contre le fond de mon utérus. Dieu ! Quel engin ! Quel braquemart ! De quoi damner définitivement une escouade de nonnettes. Je commençai à danser sur lui, l’entrant et le sortant de mon antre bouillant et tout coulant de ma liqueur. Le mandrin m’emplissait totalement le ventre, et mon mouvement d’aller et retour, joint aux secousses qu’il me donnait, m’entraîna brusquement vers le plaisir. Je ne pus me retenir et, l’embrassant, je lui montrai que je ne faisais pas semblant. Je m’entendis crier ma joie tandis qu’il continuait à me limer le con. Je tombai sur lui. Alors il me retourna et, m’ouvrant largement les cuisses, il se mit à me brouter le minou jusqu’à ce que je jouisse encore.


Lui n’avait pas joui. Son chibre restait aussi dur que fer. J’avais pourtant bien envie qu’il me foute sa liqueur dans le con. Quand j’eus repris mes esprits, mon premier souci fut de le reprendre en bouche pour maintenir toute sa vigueur. Quand il fut prêt, j’attirai mon partenaire sur moi, ouvrant mes cuisses que je refermai sur ses reins. Il entra en moi d’un seul coup et se mit à aller et venir comme un forcené. Je sentais le mandrin me défoncer le ventre en même temps que le feu se déclarait dans mon conin dégoulinant de mon foutre. Je voyais des étoiles partout tant les secousses étaient puissantes. Soudain je sentis le membre se durcir encore ; mon gentilhomme poussa un long beuglement et lâcha ses décharges au fond de mon vagin tandis que je perdais presque connaissance sous la violence du plaisir. Il s’effondra sur moi en rugissant, son liquide crémeux coulant doucement de mon conin endolori.


Je revins lentement à moi, heureuse de cette rencontre pleine de joie pour mon corps. Je repoussai l’homme vers le bord du lit. Il remua un peu et s’endormit, ce que j’appréciai beaucoup moins. Certes, il m’avait fait joliment jouir, mais je ne pus comprendre qu’après une telle décharge il ne lui restât point un peu de foutre pour me satisfaire encore un peu. Je me levai sans faire de bruit, fis un brin de toilette pour effacer les traces de foutre sur mon ventre et mon conin, me rhabillai rapidement et m’éclipsai, déçue d’une attitude peu conforme avec le devoir de respect qu’un gentilhomme se doit d’avoir envers une femme qu’il a fait si bien jouir.


Les festivités étaient bien avancées et, prétextant une fatigue soudaine, je pris congé du jeune couple. Émeline ne fut pas dupe de mon excuse et m’embrassa en me chuchotant dans l’oreille que mes yeux lui prouvaient que je m’étais bien fait jouir.


Je rentrai chez moi, pris un bain qui me rendit accueillante à mes doigts et m’enfermai dans ma chambre pour me délecter des œuvres de ce très cher marquis de Sade. La lecture des exploits amoureux de ce maître du plaisir m’excita encore et, tenant le livre d’une main, j’entrepris de me caresser de l’autre. Est-ce pour cela que ce genre de littérature s’appelle "un livre à lire d’une main" ? Toujours est-il que je sentis mon petit bouton me chatouiller de plus en plus et mon vagin redevenir soudain humide à en couler tout seul. Plus la lecture m’absorbait, plus mes doigts caressaient mon sadinet, comme l’appelle ce cher Villon. Le plaisir me surprit avec une telle violence que j’en lâchai le livre et que je me sentis me soulever pour retomber épuisée sur le lit.


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Il faisait grand jour quand je sortis d’un sommeil plein de rêves chauds. Je n’avais plus le courage de me faire jouir. Je repensai pourtant à celuy qui m’avait fait tant de bien. Je ne revis plus jamais ce foutu gentilhomme qui, en fin de compte, n’avait cherché à me baiser que pour satisfaire son besoin de plaisir. Je me promis de faire attention à l’avenir.