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n° 17608Fiche technique21085 caractères21085
Temps de lecture estimé : 13 mn
20/10/16
Résumé:  Kris et Nat "approfondissent" leur nouvelle intimité.
Critères:  ff voisins amour intermast cunnilingu anulingus fgode fsodo
Auteur : Kristal      Envoi mini-message
C'est encore nous...

C’est encore nous… !



Vous vous souvenez peut-être de ma tendre voisine, Nathalie. Elle avait perdu son chat, mais nous avions, grâce à ces gentils animaux, échangé des moments torrides qui m’avaient permis de découvrir la face cachée de Nat. Surtout sa manière de faire jouir une femme, sa luxure, son vice, dissimulés derrière le portrait d’une jeune femme timide, sensible et effacée. Après nos fougueux échanges de caresses, elle m’avait proposé d’aller chez elle, et même, à l’occasion, d’inviter mon cher mari ! (Lire ou relire L’imprévu a aussi son… charme !).



Je me suis laissé tenter, mais c’est sans prévenir Alain que nous sommes parties. Heureusement que les plus proches voisins sont assez loin pour ne pas apercevoir deux silhouettes féminines se promener en peignoir ! À peine entrées chez ma si surprenante amie, celle-ci m’a collée contre la porte pour m’offrir un long baiser, tout aussi brûlant que ceux que nous avions échangés plus tôt. Moi qui garde une très nette préférence pour les hommes, je dois avouer que les nouveaux plaisirs que venait de m’offrir Nat m’avaient mise dans un état proche de l’extase… Aussi je lui rendis son baiser avec ardeur. Elle se serrait contre moi, ses seins frémissaient contre les miens, son ventre ondulait, une cuisse ferme appuyait sur mon pubis. Nous sommes restées enlacées ainsi quelques secondes puis Nat s’écarta avec un sourire radieux, m’invitant à m’asseoir dans un gros fauteuil de cuir moelleux.



Elle disparut vers la cuisine tandis que je me laissai choir au fond du grand fauteuil, reprenant doucement mes esprits après tous ces événements. Il y a quelques heures, je ne me serais jamais imaginé qu’avec Nat, je partagerais de tels plaisirs… Et, maintenant, je me sentais à nouveau prête à bien des folies. Des envies tendres, folles, sulfureuses remontaient le long de mon corps ; j’avais à nouveau besoin de caresses, de baisers… du corps si beau de ma belle voisine… « Kris, tu deviens folle ! » me dis-je en pensant aux seins, aux cuisses, au ventre, aux lèvres si douces de Nat…



Pour lui prouver qu’effectivement je ne lui en voulais pas, ce sont mes lèvres que je lui ai offertes dans un long baiser qui nous a embrasées à nouveau. Elle m’échappa, se redressant en riant. Debout face à moi, elle planta son regard dans le mien. J’y retrouvais cette lueur étrange que j’avais entrevue plus tôt, juste avant qu’elle ne me fasse jouir, une main totalement fichée en moi.



Nathalie s’élança dans les escaliers. Quelques minutes plus tard, à nouveau assise dans le grand fauteuil, je l’entendis redescendre. Toujours en peignoir, elle s’approcha dans mon dos, derrière le dossier du fauteuil, se pencha vers moi, posa les mains sur mes épaules, ses lèvres dans mon cou. Elle picora ma peau de petits coups de langue tandis que ses doigts erraient dans l’échancrure de mon vêtement pour venir empaumer mes seins, en agacer les pointes déjà durcies d’envie. Contournant le fauteuil, elle se laissa glisser à genoux, face à moi. Elle me sourit, ses grands yeux bleus, rieurs, accrochèrent mon regard, la douceur de ses mains sur mes jambes me faisait frémir. Ses lèvres suivaient le jeu de ses doigts sur ma peau, remontant lentement sur mes cuisses. Je n’en pouvais plus… Inconsciente de mon impudeur, je m’ouvris à ses caresses, je m’offris totalement à ce plaisir qui m’arrachait de longs frissons.


Nat profita de mon abandon ; sa bouche, ses lèvres, ses doigts prirent possession de mon intimité bouleversée. C’était doux, tendre, suave et je me sentis très vite possédée par ces plaisirs nouveaux, un pouce de Nat excitant ma perle sensible, sa langue agile s’insinuant en moi tandis qu’un doigt humide forçait tendrement la corolle qui la conduisit au creux de mes reins. Je martyrisais mes seins des deux mains en haletant. Enfin l’orgasme me submergea ! J’eus l’impression de perdre connaissance, mais les mains, la bouche de Nat courant toujours sur mon corps offert me ramenèrent vite à la réalité : j’avais encore envie… Elle venait de déclencher en moi un véritable ouragan !



Nous entrechoquâmes nos flûtes, les yeux dans les yeux. Nat porta son verre à ses lèvres, se pencha vers moi et, dans un langoureux baiser, elle me fit partager une gorgée du frais liquide, mêlé à sa douce salive. Le baiser s’éternisa à nouveau, sensuel, délicieux ! Je posai maladroitement ma flûte ; mes doigts partirent à l’aventure et retrouvèrent enfin la douceur de ses seins gonflés, aux pointes érigées. Elle posa ses mains sur les miennes, me maintenant sur ses globes frémissants. Je n’en pouvais plus…



J’ai mordu ses lèvres, torturé sa poitrine tandis qu’elle parcourait mes cuisses et mes seins de nouvelles caresses. Entre deux baisers elle m’a murmuré :



De son côté, elle avait à nouveau investi ma grotte d’un doigt habile, remettant le feu en moi. Elle jouait du bout du doigt juste sur la petite zone rugueuse, si sensible au creux de mon ventre. Démentiel ! Je ne savais plus où j’en étais ! La douceur de sa peau sous mes doigts m’a fait prolonger ma caresse, sur son ventre, son nombril au creux duquel j’ai eu envie de déposer un baiser, ses hanches rondes et fermes, ses fesses que j’ai longuement caressées avant de descendre autour de sa taille pour me glisser entre ses cuisses galbées.



Je venais de découvrir, masqué encore par son peignoir, un sexe viril dressé entre ses cuisses, tendu, long, large et dur sous mes doigts, mais d’une douceur de velours. Elle s’était ceinturée d’un splendide gode, bien plus imposant qu’un sexe d’homme, qu’elle offrit à ma vue en écartant les pans de son léger vêtement et en se redressant face à moi.



J’ai fait ce qu’elle m’avait dit, laissant mes doigts flatter ce pieu tendu, glisser le long de cette colonne de haut en bas, s’égarer aussi plus bas encore pour retrouver la douceur et l’humidité du sexe de Nat. Deux doigts coulissant tendrement au creux de son intimité, j’ai enfin offert mes lèvres à l’imposante tige. Toujours les yeux dans les yeux, nous avons prolongé nos caresses ; Nat a emprisonné ses seins qu’elle malaxait lentement. Ma main allait et venait entre ses cuisses largement écartées au même rythme que ma bouche autour du mandrin de synthèse.



Nat s’est reculée doucement, m’échappant pour se pencher vers moi, me faisant basculer en arrière au creux du fauteuil. Je me suis retrouvée les fesses au bord du siège, offerte dans cette position à la vue et aux caprices de ma voisine. À nouveau à genoux entre mes cuisses écartées impudiquement, elle a posé les mains sur mes hanches puis, se cambrant légèrement, elle a commencé à frôler mon pubis du bout de son sexe factice.



C’est avec une lenteur exaspérante qu’elle a commencé à s’enfoncer en moi. L’énorme gland luisant de ma salive a écarté mes lèvres intimes, distendu l’orée de mon sexe, m’arrachant un gémissement de bonheur.



Le regard fixé sur le mandrin somptueux, je le voyais disparaître doucement entre mes cuisses, le sentais progresser au fond de mon ventre bouleversé par de folles sensations. Pénétrée, écartelée, empalée, j’ai frémi longuement lorsque le pubis de mon amante a frôlé le mien. Elle me possédait totalement, son jouet monstrueux entièrement en moi.



Elle s’est retirée presque entièrement, laissant un grand vide dans mon ventre. Nos regards se sont rivés l’un à l’autre et j’ai retrouvé au fond de ses yeux cette expression étrange, mélange de douceur et de vice. J’ai à nouveau emprisonné ses seins somptueux. D’une voix rauque, elle m’a murmuré :



À genoux sur le coussin du fauteuil, cambrée, les bras sur le dossier, mes seins frottant doucement sur le cuir, je me suis offerte à son assaut. Ses mains fines ont crocheté mes hanches et, d’un léger coup de reins, elle m’a investie à nouveau, lentement, profondément. Elle a entamé de lents et longs va-et-vient dans mon ventre en feu, m’arrachant des gémissements, électrisant toutes mes terminaisons nerveuses. J’ai senti monter en moi une immense vague de plaisir. Elle devait me sentir frémir sous ses assauts de plus en plus langoureux. Relâchant mes hanches, elle a glissé une main sur mes seins, l’autre sur mon petit bouton. D’un brutal coup de reins, elle m’a embrochée jusqu’à ce que son ventre vienne frapper ma croupe offerte, a pincé mon clitoris affolé et écrasé entre deux doigts le téton de mon sein gauche. Là, ce fut l’explosion ! Je n’ai pu retenir un cri avant de m’effondrer sur le dossier du fauteuil, anéantie par un orgasme fabuleux.


Essoufflée, le cœur battant la chamade, la peau parcourue de longs frissons, je n’eus que la force de sourire à ma délicieuse tortionnaire dont les mains flattaient encore la cambrure de mes reins, glissant alternativement sur mon ventre, mes seins.



Ses mains qui n’avaient pas abandonné mon corps remontèrent sur mes hanches, glissèrent sur mes fesses encore offertes par ma position indécente en une tendre caresse. Ses lèvres se joignirent à ses doigts sur ma peau frissonnante. La pointe d’une langue agile flatta délicatement le petit creux qui marque l’orée de ma fente. Les paumes à plat sur les globes de ma croupe m’ouvrirent doucement, écartelant mes chairs, offrant un passage à la langue qui vint s’égarer sur mon intimité. C’était un baiser brûlant qui m’arracha un long frisson et un gémissement rauque. Nat me fouillait avidement. Sa langue habile virevoltait sur mes grandes lèvres, agaçait mon clitoris en feu avant de venir se perdre sur mon anus frémissant qu’elle entrouvrit, perfora tendrement.


Elle vint compléter son horrible caresse d’un doigt souple, doux, qui vrilla mon intimité la plus secrète et s’enfonça jusqu’à la garde. J’avais déjà goûté à la sodomie, apprécié des possessions parfois très « viriles », savouré des pénétrations dont j’avais joui longuement, mais là, à la simple intrusion du doigt de Nat, c’est tout mon corps qui entra en transe ! L’intrus qui me fouillait maintenant avec un art consommé, la langue qui prolongeait son jeu humide étaient en train de me faire perdre pied. Je râlais, gémissais, tremblais de tous mes membres. Mes seins étaient douloureux, gonflés et tendus par le désir qui montait en moi. Je ne pus empêcher mes reins de se cambrer, cherchant inconsciemment à prolonger, approfondir cette caresse démentielle. Nat le ressentit, amplifia légèrement le jeu combiné de son doigt et de ses lèvres.



Je n’ai pu retenir un cri de bonheur lorsqu’elle a fait glisser un autre doigt dans mes reins offerts à son jeu lubrique. Mon cri fut vite suivi d’un long gémissement lorsqu’elle entama une sorte de danse diabolique, tournoyant lentement en moi. Danse que j’ai accompagnée d’une ondulation des hanches. Incapable de maîtriser l’envie qui me tordait les entrailles, je suis venue m’empaler encore plus sur sa main, source d’un plaisir que je désirais plus fort encore. Sa bouche m’a abandonnée, mais ses doigts prolongeaient leur danse tandis que son autre main flattait mes flancs, pressait mes seins avant de se poser sur ma hanche pour accompagner les petits à-coups au creux de mes reins. Les yeux fermés, haletante, frémissante, je sentais monter en moi un nouveau raz-de-marée. Mais Nat en avait décidé autrement… !



Ma supplique fit suite au grand vide que je ressentis lorsque sa main se retira lentement de mes reins.



Une main toujours posée sur le bas de mon dos, elle me fit me cambrer. Ma position devait être totalement obscène, mais le foyer qui brûlait mon ventre me poussa à accentuer plus encore la cambrure de mes reins, dans l’attente du plaisir dont elle m’avait sevrée en abandonnant ses caresses.


Reprenant mes hanches à deux mains, elle m’attira en arrière, m’empalant à nouveau sur le lourd mandrin. Donnant de tout petits coups de reins, elle guidait l’énorme gland qui heurtait en cadence mon utérus, déclenchant à chaque choc une véritable décharge électrique qui parcourait mon corps entier. Je commençais à me tordre autour de la tige de latex, avide de ces folles sensations.


Lorsque Nat pesa du pouce sur mon anus, elle n’eut aucun mal à le faire glisser en moi tant j’étais encore lubrifiée de nos jeux précédents. Doucement, elle s’est retirée de mon ventre, son pouce a lui aussi abandonné mes reins. Le frôlement humide du pieu sur ma rosette m’a tiré un petit cri qui s’est mué en un long soupir quand le sexe monstrueux a franchi la barrière de mes reins et s’est enfoncé lentement, dilatant mes chairs. Je sentais l’énorme colonne pousser inexorablement le gland soyeux toujours plus loin dans mes entrailles.


Le contact des cuisses de mon amante sur mes fesses fit cesser cette folle progression. J’étais pleine, embrochée, comblée… ! Cela m’était déjà arrivé avec des amants masculins, mais le fait que ce soit Nat, une si frêle, si affolante créature, amplifiait mon excitation et je n’avais plus qu’un désir lancinant : jouir ! Les mains crochetées sur mes hanches, elle débuta une sarabande diabolique, alternant les coups de reins brusques aux tendres va-et-vient. Le plaisir physique fut brusquement décuplé par les mots qu’elle se mit à me susurrer à l‘oreille :



Je suis arrivée à glisser une main entre mes cuisses ; je sentis coulisser sur ma paume la base de mon amant de caoutchouc avant que mes doigts n’atteignent les lèvres ruisselantes de plaisir de ma violeuse adorée. À chaque avancée de Nat dans mes reins, celle-ci s’empalait sur mes doigts raidis en poussant de petits cris.



L’orgasme nous a foudroyées ensemble. Nat s’est écroulée sur moi, toujours plantée profondément dans mon corps secoué de spasmes.