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n° 17651Fiche technique20735 caractères20735
Temps de lecture estimé : 13 mn
12/11/16
Résumé:  Kris découvre le charme d'une jeune femme et partage de savoureux instants avec elle.
Critères:  ff fbi fplusag jeunes inconnu magasin essayage amour voir exhib miroir intermast confession
Auteur : Kristal      Envoi mini-message

Série : Surprise

Chapitre 01 / 03
Surprise - 1


C’est encore moi, Kris… Vous vous souvenez peut-être de la longueur des travaux pour poser l’enseigne de mon petit restaurant, de mes folies déclenchées par Dom, le technicien ? Il se trouve que je l’ai à nouveau croisé, mais dans des conditions bien différentes. Le hasard… D’autant que je ne pensais déjà plus à lui depuis longtemps, bien que nos jeux m’aient laissé des souvenirs agréables. Non ! C’est tout bêtement le fruit de circonstances particulières, où j’ai découvert mon attirance pour une trop jolie et timide jeune fille. (Rien à voir, a priori, avec le « gorille » dont j’avais croisé la route.)

Revenons-en au sujet qui m’amène à vous révéler une autre facette de ma personnalité. Vous verrez plus tard en quoi Dom est intervenu une nouvelle fois dans ma vie.


La semaine dernière, une de mes clientes habituelles (eh oui, j’ai déjà mon petit cercle de fidèles… !) arrive vers midi et s’installe sous la véranda. Je ne laisse pas le personnel aller prendre sa commande, c’est une cliente que j’aime choyer.



Lorsque je ressors, un Martini sur mon plateau, j’aperçois une jeune fille qui dépose un baiser sur la joue de ma cliente. De loin, je lui donnerais dix-huit, dix-neuf ans… brune, un corps élancé, mais avec une poitrine déjà largement développée. Elle porte, sous son léger manteau ouvert, une petite robe chamarrée, toute boutonnée devant et une paire de sandales à talons.



La jeune fille me fixa droit dans les yeux. Un regard étrange qui me dérangea sur l’instant ! Elle me dévisagea longuement, son regard glissa sur moi, j’avais l’impression que ce n’étaient pas ses yeux, mais ses mains qui glissaient sur mon corps.



Pendant toute la durée du service de midi, je suis restée troublée par ce regard que m’avait adressé Marjorie et, chaque fois que j’étais amenée à passer devant elle, je sentais ses yeux me suivre, m’épier. C’est elle qui vint payer leur repas.



J’ai levé la tête, nos regards se sont croisés, les joues de Marjorie venaient de rosir comme si elle avait failli dire une bêtise. Nos doigts se sont frôlés lorsque je lui ai tendu le lecteur de carte bleue, un frisson m’a parcourue au contact de sa main. Penchée pour taper son code, Marjorie ne remarqua pas qu’elle m’offrait le plus charmant et affriolant des spectacles. En effet, les deux premiers boutons de sa robe, dégrafés, me laissèrent plonger les yeux sur deux seins ronds et fermes, libres sous le tissu léger.



Songeuse, je regarde la jeune fille s’éloigner… D’où me vient ce trouble soudain ? Même si je partage volontiers quelques caresses entre femmes (voire plus… avec ma tendre voisine !), je garde une nette préférence pour les hommes (au pluriel !). Qu’elle est donc cette douce chaleur qui m’envahit depuis que j’ai croisé le regard de cette gamine ? En quelques instants, elle a déclenché en moi un trouble horrible ! La simple vision de ses seins tout à l’heure, le poids de son regard dans le mien… C’est fou ! Moi, la cinquantaine assumée, je ne vais pas m’amouracher d’une femme qui pourrait être ma propre fille… Et pourtant… J’avais déjà hâte de la revoir ! La douche ne m’a pas calmée… Pire ! Mes mains se sont égarées sur mon corps, longeant mes flancs, remontant sur ma poitrine frémissante, agaçant les pointes de mes seins. Ce sont ses mains, ses lèvres que j’aurais désirées à cet instant !


Reprenant mes esprits, j’enfile une robe, oubliant par jeu de soutenir mes seins qui, tout compte fait, même s’ils sont moins arrogants que ceux de Marjorie, n’en sont pas moins orgueilleux…

Approchant de la boutique, j’aperçois une échelle dressée devant la vitrine, de dos, une sorte de géant est en train de brancher un tas de fils multicolores au bas d’une enseigne… Je reconnais immédiatement Dom !



Me voici devant la porte… Marjorie est derrière la caisse lorsque la petite sonnerie se déclenche à mon entrée.



La jeune fille s’approche de moi, me prend la main et m’entraîne vers un grand miroir qui couvre un pan de mur juste à côté des cabines d’essayage.



Sans attendre ma réponse, elle se faufile derrière moi, écarte les pans de mon manteau qu’elle fait glisser lentement sur mes épaules. Nos regards se croisent dans le miroir face à moi tandis qu’elle murmure :



Ces quelques mots murmurés alors que son regard semble me caresser dans le reflet du miroir me font frissonner… Notre sage et jolie jeune fille me semble tout à coup quelque peu délurée !

Marjorie recule, accroche mon manteau à une patère puis s’éloigne vers le centre de la boutique.



Je la rejoins alors qu’elle vient de saisir une robe imprimée de motifs modernes et qu’elle la maintient contre elle, la drapant sur ses hanches. Je dois avouer qu’ainsi, elle est resplendissante. Son sourire, son regard me déstabilisent à nouveau. Une brutale envie de poser les mains sur ce corps juvénile, mais ô combien attirant me serre le ventre… Elle fait rapidement le tour du présentoir, décrochant deux autres robes chamarrées.



Et Marjorie me précède vers la cabine d’essayage, ondulant des hanches d’une manière que je trouve plus que troublante. Elle accroche les vêtements aux patères qui jouxtent un miroir puis recule, maintenant le rideau ouvert.



Je passe la première robe qui me va comme un gant… Je tourne, retourne face au miroir. Dans mon geste j’ai dû faire bouger le rideau de la cabine, attirant l’attention de Marjorie, car, sans prévenir, elle écarte celui-ci et se glisse à mes côtés.



Elle ne termine pas sa phrase ! Mais son regard en dit bien plus ! Cette fois, je sens vraiment que mon trouble est contagieux.



La seconde robe enfilée, je sors de la cabine, car le miroir extérieur me permet une vision en pieds bien plus agréable. Marjorie se précipite vers moi. Du bout des doigts elle rectifie un pli sur une manche puis l’arrière du col de la robe, ses doigts frôlent ma nuque, m’arrachant un long frisson…



Je plonge mon regard dans le sien… Sa main pèse légèrement sur mon épaule, prémices à une caresse qu’elle n’ose affirmer ? Je sens cette main trembler, de peur ? D’envie ? Son visage rosit, ses yeux semblent quémander un aval, ses lèvres brillent, humides et entrouvertes… Comme un appel à un contact sensuel. Enfin, elle ose ! Se haussant sur la pointe des pieds, elle me vole un léger et furtif baiser sur la bouche !



Elle s’est légèrement reculée, a baissé les yeux comme une enfant prise en faute. C’est moi qui tends la main pour effleurer sa joue, glisser sur sa nuque. Je l’attire doucement vers moi, nos regards se retrouvent.



Je ne l’ai pas laissé finir sa phrase, me penchant vers elle, je lui rends tendrement son baiser. Nos lèvres s’unissent, nos langues entament une douce bataille, se goûtant, se cherchant. Je savoure ces contacts intimes. Nous sommes enlacées, le corps de Marjorie frémit contre moi. Mes mains glissent sur ses épaules, son dos, ses reins… Elle a déjà les mains sur mes hanches, se colle à moi, me faisant ressentir l’émoi de sa jeune, mais fière poitrine, de son ventre ferme, de ses cuisses fuselées…


Heureusement que la boutique est fermée et que nous ne sommes pas dans l’axe de la vitrine, ce serait vraiment compromettant d’être surprises ainsi ! Ma jeune amie gémit doucement, son corps juvénile ondule contre moi comme pour épouser toutes mes formes. Très vite, elle s’enhardit, une paume brûlante vient se poser sur mon sein gauche qu’elle caresse délicatement au travers du tissu de ma robe, m’arrachant un long soupir. Je ne résiste pas à l’envie de découvrir moi aussi ses trésors et fais doucement glisser une bretelle de sa robe sur son épaule. Un globe majestueux, presque disproportionné par rapport à sa fine silhouette, se dresse vers moi, une perle brune couronnée d’une aréole plus sombre orne cette poitrine orgueilleuse. Du bout des doigts, j’effleure la peau soyeuse avant de palper tendrement le lobe souple. Ma caresse lui fait pousser un gémissement, son ventre se plaque plus fortement contre moi, je la sens trembler, ses doigts se resserrent sur mon sein, sa langue s’agite spasmodiquement entre mes lèvres. Je joue maintenant avec le joli bourgeon durci de plaisir, le pinçant, l’étirant sans violence, mais avec fermeté ! Abandonnant sa bouche, je joins mes lèvres à mes doigts pour mieux déguster encore ce fruit juvénile que je mordille même doucement. Elle pousse de petits cris de souris. Je sens ses jambes s’ouvrir, son pubis vient au contact de ma cuisse. Son bassin ondule accentuant ce semblant de masturbation avant que, dans un râle, elle ne m’offre son orgasme, le corps tendu contre moi, le regard chaviré !


Je dois la soutenir lorsque ses jambes se dérobent sous elle, plaquée contre le miroir. La chaleur de son corps frissonnant fait naître en moi des sensations inouïes. Bouleversée par cet instant d’abandon et par le plaisir brutal de Marjorie, j’ai soudain envie de bien plus encore…



Elle s’enhardit, me prend la main et m’entraîne à sa suite vers le fond du magasin où elle pousse une porte masquée par un miroir. C’est la réserve… Une grande pièce encombrée de portants pour les vêtements, mais dont presque la moitié est aménagée comme un petit salon, avec un coin kitchenette, des toilettes ainsi qu’une minuscule salle de bain. Dans un angle trône un grand canapé. Marjorie s’y laisse tomber et me tend les bras. Je la rejoins, mais, à peine assise, je la sens se glisser contre moi. J’ai à nouveau son regard planté dans le mien… Elle me tend sa bouche. La pulpe brûlante de ses lèvres m’affole, du bout de la langue, je goûte avec délice ce fruit délicat. Ma main se perd sur la poitrine encore à demi dévoilée. J’empaume le sein offert, à la pointe raidie de désir. Mon autre main s’égare sur un genou, glisse sur l’amorce d’une cuisse, se faufile sous le tissu de sa robe… Je découvre la douceur de sa peau ! Du bout des doigts, je frôle son pubis masqué par le fin tissu d’une petite culotte soyeuse.


Ce contact nous électrise toutes les deux et dans un gémissement, Marjorie ouvre le compas de ses cuisses au galbe parfait, offrant son intimité à mes caresses. Cette fois, je me laisse aller à mes envies, me glisse à genoux entre ses jambes et tire lentement le dernier rempart qui protège son plus intime trésor. Elle soulève légèrement son bassin pour me faciliter la tâche. Mes doigts courent sur la peau douce de son ventre avant de s’égarer sur une courte toison au creux de laquelle ils découvrent les pétales d’une fleur humide et chaude.



Je laisse glisser ma bouche vers cette fleur palpitante, aux reflets roses, irisés d’une humidité sensuelle. Ma langue se faufile au creux de ces chairs offertes tandis que du bout de l’index, je câline la petite perle de chair sensible.



Cette fois, j’abandonne mes baisers et ce sont deux, puis trois doigts que je pousse lentement en elle, le pouce agaçant toujours son clitoris gonflé par le désir.



Et je tiens ma promesse. Mes doigts coulissent plus vite, plus profond dans le ventre offert. De l’autre main, j’écarte les globes de ses fesses fermes et je viens frôler sa jolie corolle plissée du bout de l’index. Je vais mouiller mon doigt entre ses lèvres puis retourne appuyer tendrement sur son anus qui cède doucement.



Les yeux hagards, les mains crispées sur ses seins, Marjorie laisse échapper une sorte de plainte qui accompagne la lente progression de mon index au creux de ses reins.

Puis je la sens s’abandonner, s’offrir sans retenue à mes caresses. Tout son corps se met à onduler autour de mes doigts, comme pour s’empaler plus encore. De mon côté, je la masturbe maintenant avec toute mon énergie, je fouille ses deux orifices sans retenue. Je veux la voir jouir de mes caresses, la faire crier de plaisir, la faire délirer… Et j’y parviens !


Brusquement elle se tend comme un arc, embrochée sur mes doigts et hurle sa jouissance. Abandonnée aux ultimes frémissements de cet orgasme inhabituel, elle ferme les yeux, allongée, indécente, mais comblée, repue. Je reste en admiration devant sa beauté juvénile et profite de son abandon pour caresser tendrement son ventre dénudé, ses seins offerts encore tendus par le plaisir. Lentement, elle reprend conscience…




À suivre