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n° 17653Fiche technique30710 caractères30710
Temps de lecture estimé : 18 mn
14/11/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  J'invite un de mes anciens amants afin de le présenter à Marjorie...
Critères:  ffh fbi hplusag fplusag grossexe voir exhib noculotte fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus init -prememois -hff
Auteur : Kristal      Envoi mini-message

Série : Surprise

Chapitre 02 / 03
Surprise - 2

Résumé du premier épisode : Surprise - 1

Kris fait la connaissance de Marjorie, la fille d’une de ses clientes du restaurant. Cette dernière gère une boutique de vêtements féminins et propose à Kris de passer dans l’après-midi afin que sa fille l’aide à découvrir de quoi rajeunir quelque peu sa silhouette. Kris est troublée par la jeune fille et se décide à aller essayer quelques robes. Marjorie est seule au magasin, sa mère lui ayant confié le commerce. Les essayages vont très vite devenir beaucoup plus « intimes » que prévu !




*****




Frissonnantes encore de tout le plaisir que nous venions de nous offrir mutuellement, nous nous sommes retrouvées sous la douche qui effaça rapidement les traces de nos folies. Marjorie se contenta de remettre sa petite robe, nue sous le léger tissu. Pour ma part, j’enfile l’une des robes que je viens d’acheter puis nous décidons d’aller prendre un verre dans mon commerce. Les employés sont partis, il n’y a pas de service ce soir. Nous nous installons dans mon bureau. Marjorie avait les yeux brillants, les joues rosies par le plaisir. Ses jambes largement dénudées, les pointes de ses seins orgueilleux encore tendues semblaient vouloir percer le tissu de sa robe. J’avais, moi aussi, toujours envie de caresses, de baisers, de bien plus encore. Une idée folle me traversa l’esprit !



Trois petites sonneries de portable plus tard, Dom me demanda un quart d’heure pour être là. (Toujours aussi rapide, lorsqu’il s’agit de croiser une femme… Alors deux !)

Brutalement, Marjorie devint silencieuse. Son front barré d’une ride, elle me fixa dans les yeux.



Elle se jeta dans mes bras, planta ses lèvres douces et chaudes dans mon cou, ses seins dardés contre ma poitrine… Son ventre vint se coller à mon pubis.



Quelques petits coups frappés contre la baie vitrée nous séparèrent. Souriant, Dom attendait à l’extérieur. Marjorie est restée dans mon bureau. J’ouvris et sortis sur la véranda. La porte automatique se referma dans mon dos, je pus donc parler quelques secondes avec notre invité.



La porte refermée, nous avons rejoint Marjorie.



Nous nous sommes retrouvés tous les trois dans le petit salon que j’ai fait aménager dans un angle du bureau. Marjorie et moi au creux du canapé, face à Dom qui avait pris place dans un fauteuil. Nous avons trinqué à notre amitié puis avons parlé de choses et d’autres. Surtout de la manière dont j’avais fait la connaissance de Marjorie et que nous avions « dévalisé » la boutique de sa mère. Le regard de Dom glissait sur les cuisses de Marjorie, découvertes par le tissu léger qui avait glissé dans son geste pour s’asseoir. Puis il s’attardait sur mon décolleté, semblant comparer nos poitrines respectives. Nos regards se croisèrent et en riant il remarqua :



Marjorie nous écoutait, le rose aux joues. Ses regards passaient de Dom à moi et, lorsqu’ils s’arrêtaient sur moi, elle semblait appeler au secours… Sa timidité, oubliée quelques heures avant, la paralysait maintenant… Il me fallait passer à l’action avant qu’elle ne se sauve en courant ! Je me suis levée pour resservir un verre à chacun puis, debout derrière Marjorie, j’ai posé les mains sur ses épaules…



Tout en parlant, j’ai fait glisser la bretelle de sa robe pour caresser son épaule. Je la sentis frémir légèrement. Mes doigts couraient de son épaule à sa nuque, agaçant au passage le lobe d’une oreille.



Je sentais Marjorie tendue sous mes doigts, mais je devinais aussi sa poitrine qui se soulevait plus rapidement, troublée par cette situation plus qu’ambiguë.



Disant cela, d’une main, j’ai fait glisser la seconde bretelle de la robe, entraînant le tissu lentement sur le haut de sa poitrine. J’ai doucement découvert un sein à la pointe dardée d’excitation sur lequel j’ai laissé courir mes doigts avant d’empaumer le globe majestueux pour l’offrir à la vue de notre invité. Tout aussi lentement, c’est tout le haut de la robe qui s’est évasé lorsque j’ai dégrafé un à un les petits boutons de nacre quasiment jusqu’à la ceinture de Marjorie.



Dom se leva, s’approcha lentement, le regard fixé sur la poitrine orgueilleuse ; Marjorie, les yeux fermés, haletante sous mes caresses, ne voyait pas encore l’énorme barre qui gonflait la combinaison de notre invité. Elle gémit doucement, trembla lorsqu’il effleura sa poitrine que mes mains lui offraient.



Penchée sur Marjorie qui était maintenant cambrée, la tête sur le rebord du dossier du canapé, j’ai pris ses lèvres dans un long baiser pendant que la bouche, les doigts de Dom s’appropriaient ses seins, malaxant tendrement les globes somptueux tout en agaçant leur pointe durcie de désir. Elle frémissait sans discontinuer, au point que j’ai cru un instant qu’elle allait jouir sous nos simples caresses. Du coin de l’œil, je vis Dom se laisser glisser à genoux entre les jambes de Marjorie, ses larges mains puissantes se posèrent sur les cuisses dénudées, remontant jusqu’au tissu pour dégrafer les derniers boutons de sa robe. Elle était maintenant totalement découverte, offerte à nos regards, nos caresses, nos baisers. Ce dont Dom profita en ouvrant largement le compas des jambes fuselées pour déposer un long baiser sur la courte toison offerte à sa gourmandise. Marjorie poussa un petit cri lorsque la langue habile de Dom se faufila dans ses chairs humides et brûlantes pour partir à la découverte de ce trésor juvénile.


J’ai pris la place de Dom sur les seins gonflés, je sentais les battements d’un cœur affolé. J’ai alors contourné le canapé pour me retrouver debout, penchée sur le corps frémissant. Marjorie, les yeux à demi révulsés, posa une main sur mon sein, au travers du tissu de ma robe. J’ai dégrafé celle-ci, lui offrant mes seins lourds, aux pointes déjà durcies par l’excitation. Elle plantait ses doigts dans ma chair au rythme des convulsions de son ventre délicieusement torturé par notre ami.


Brutalement, sa main se crispa, m’arrachant un petit cri de douleur alors qu’elle laissait échapper un feulement rauque. Levant la tête vers Dom, j’ai compris ! Il titillait la petite perle nacrée du bout de la langue, mais deux de ses doigts épais coulissaient maintenant dans la vulve humide faisant monter lentement le plaisir dans le ventre de notre jeune amie. Décidé à achever rapidement son œuvre, Dom cessa ses caresses, fit passer les jambes de Marjorie sur ses épaules. Totalement ouverte et offerte par cette position, elle ouvrit les yeux. Son regard semblait me supplier de la caresser encore, de l’embrasser. J’ai retrouvé le parfum fruité de ses lèvres, nos langues se sont à nouveau mêlées… tandis que mes doigts torturaient délicatement ses seins. Tout son corps ondulait sous mes caresses et celles de Dom qui avait replongé entre les cuisses de sa « victime ». Brusquement son corps se raidit, elle se souleva comme pour échapper à la bouche, aux doigts habiles de son agresseur, puis elle se détendit, se laissant doucement retomber dans le fauteuil en soupirant longuement entre mes lèvres. Dom se redressa légèrement, les deux mains toujours plaquées dans l’entrejambe féminin.



Le bas du corps de Marjorie était agité de petits soubresauts. Je dus abandonner sa bouche. Elle haletait spasmodiquement, les yeux totalement hagards, le souffle court. Je voyais son ventre se creuser, ses hanches ondoyer, ses seins se balancer sur son torse.



Marjorie poussa un véritable hurlement lorsque le plaisir la submergea. Elle s’effondra, disloquée comme un pantin au creux du canapé, haletante, tremblante. Pendant de longues minutes, nous l’avons couverte de douces caresses, apaisant le corps abandonné, savourant sa beauté, sa douceur. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, ce fut pour nous adresser un joli sourire et un regard brillant.



Elle se pendit à mon cou, posa ses lèvres sur ma joue en se serrant contre moi, ses seins encore dénudés se frottèrent à ma robe et elle m’embrassa tendrement. Je l’ai gentiment repoussée, accompagnée vers la douche pour lui donner une grande serviette avant de retourner retrouver Dom qui s’était accoudé au bar.



La porte de la douche qui s’ouvrait mit fin à notre petite discussion. Marjorie pointa le bout du nez, nous adressant un sourire radieux :



De retour tous les trois dans mon petit coin salon, Marjorie s’est assise face à Dom. Le bas de sa robe qu’elle n’avait pas totalement boutonné découvrit largement ses cuisses fuselées, attirant comme un aimant le regard masculin. Après avoir bu une gorgée, elle me répondit :



Marjorie, dont les joues rosissaient au fur et à mesure qu’elle dégustait son verre, s’enhardit et, toujours avec un sourire éclatant, répliqua :



J’ai attiré Marjorie vers moi. Debout dans son dos je l’ai fait pivoter pour qu’elle se retrouve face à Dom qui venait aussi de se lever. À nouveau, j’ai fait sauter quelques boutons de sa robe pour découvrir ses seins et les caresser. Dom s’est approché. Il ne quittait pas des yeux la poitrine qui frémissait sous mes caresses. J’ai murmuré à l’oreille de ma jeune amie :



Marjorie a fait glisser la grosse fermeture éclair, a posé une main tremblante sur l’épaisse toison. Après un instant d’hésitation, elle a laissé courir ses doigts dans l’épaisseur des poils sombres et doux.



Toujours dans son dos, je lui ai susurré :



J’ai couvert ses lèvres de ma bouche, accueilli sa langue contre la mienne puis, prenant son poignet, j’ai posé sa main sur la fermeture éclair, l’incitant à l’ouvrir plus encore. Elle s’est légèrement reculée, se détachant du torse puissant et, d’une main tremblante, a entraîné la glissière vers le bas. Abandonnant ses lèvres, j’ai posé les mains sur ses hanches et ajouté :



Son regard ne quittait plus l’énorme bourgeon surmontant une hampe épaisse, d’une longueur hors du commun. C’est Dom qui saisit à son tour le poignet de la jeune fille, attirant les doigts qui frôlèrent le pieu indécent. Subjuguée par cette vision hors normes et cette situation insolite, troublée par tout ce qu’elle venait de vivre en quelques heures, elle entoura le membre viril de ses doigts fins, ne parvenant pas à cerner le mât de chair. Ce sont ses deux mains qui ont débuté une caresse autour de la queue raide, arrachant un long soupir à Dom.



Marjorie se laissa tomber à genoux, les deux mains agrippées au pieu tendu de désir. Elle fit encore quelques va-et-vient, découvrant le gland luisant, puis le recouvrant du prépuce pour le dénuder à nouveau. Elle approcha son visage, pointant un petit bout de langue qui vint goûter la perle qui suintait du méat, puis ses lèvres s’ourlèrent délicatement, lentement autour de la grosse prune gorgée de sève. Elle ne parvint qu’à emboucher le gland monstrueux. Accroupie dans son dos, je saisis ses seins, pinçant doucement leurs pointes érigées, glissai une main sur son ventre, jusqu’à la fourche de ses cuisses pour caresser son sexe humide et brûlant.



Marjorie laissait maintenant le piston de chair brûlante coulisser lentement entre ses lèvres, au rythme des légers coups de reins de son nouvel amant. J’ai contourné le couple, à genoux à côté d’eux, je laissais mes mains courir sur les seins gonflés de Marjorie, sur la tige de Dom, jusqu’entre ses jambes, sur le ventre de la jeune fille pour agacer tendrement son sexe humide. Je contemplais le beau visage déformé par l’énorme corne de chair. Dom se tendit en avant, tressaillit à trois reprises, inondant la gorge de Marjorie qui faillit s’étouffer et déglutit, avalant la sève âcre. Il recula légèrement, échappant aux lèvres pulpeuses. Mais son sexe n’avait pas faibli, toujours aussi majestueusement tendu.


Marjorie s’est relevée, tournée vers moi. Je l’ai à nouveau prise entre mes bras et nous avons échangé un long baiser. Doucement, nos lèvres toujours unies, je l’ai poussée vers le bureau sur lequel elle s’est retrouvée allongée, les jambes pendant dans le vide, cuisses écartées autour de mon bassin, nous offrant, à Dom et moi, la charmante vision de son sexe orné de petites perles humides. Penchée sur elle, c’est du bout de la langue que je suis partie à la découverte de ses trésors tandis que Dom s’emparait à nouveau de ses seins. Elle ondula longuement sous nos caresses qui lui arrachèrent de nombreux frissons. Gémissante, elle supplia très vite que l’on mette fin à son délicieux calvaire, que nous la fassions jouir encore…



Je me suis redressée, reculée, abandonnant ma place à Dom qui vint saisir les hanches de la jeune femme, l’attirant lentement vers lui jusqu’à ce que son sexe toujours tendu vienne frôler le petit bouton nacré qui pointait à la commissure des lèvres de Marjorie, lui arrachant un nouveau petit cri. Les jambes de part et d’autre du bassin de Dom, Marjorie était désormais écartelée, ouverte, impudique et offerte à l’assaut de notre ami. D’une main j’ai soulevé légèrement la tête de la jeune fille :



Les yeux exorbités, la bouche ouverte, Marjorie semblait manquer d’air. Son long gémissement accompagna jusqu’au bout la lente progression de l’énorme tige qui distendait, écartelait ses chairs, comblait le moindre recoin de son ventre en feu. Dom continua toujours avec une lenteur affolante de s’enfoncer jusqu’à buter au fond de ce jeune sexe qui n’avait encore jamais subi l’assaut d’une telle virilité. Immobile maintenant, il contemplait le corps frémissant, offert, tout en pétrissant tendrement les seins juvéniles, mais orgueilleux dont les pointes durcies ressemblaient maintenant à de petites fraises rougies par le plaisir. Encore plus lentement, il se retira jusqu’à ce que seul l’énorme gland reste immergé dans le ventre de la jeune fille.



Le hurlement de Marjorie fut comme un écho au puissant coup de reins de Dom qui se ficha brutalement au plus profond de sa victime consentante. Débuta alors un extraordinaire ballet. Je ne pouvais plus détacher mon regard de l’énorme tige qui coulissait lentement dans le ventre offert. J’avais l’impression de ressentir moi-même les va-et-vient de ce fabuleux amant au fond de moi. De fines gouttes de sueur perlaient sur le visage de Marjorie qui ne cessait plus de gémir, de se tordre sous l’assaut viril, semblant, en ondulant de tout son corps, quémander plus de plaisir, des pénétrations plus profondes, plus brutales. Dom accéléra encore ses amples coups de reins, les mains crochetées sur les hanches de sa jeune amante. Je me suis penchée sur elle, ai saisi ses seins, mordillé ses lèvres… avant de plonger mon regard dans le sien en murmurant :



Dom, fiché totalement au fond de sa victime, se raidit, poussa un long grognement et inonda le sexe bouillant de plusieurs longues salves qui firent tressaillir Marjorie et lui arrachèrent un dernier hurlement, le corps tétanisé par un fabuleux orgasme. Dom se retira du ventre brûlant, son sexe encore dressé, luisant du mélange de son plaisir et de celui de sa jeune amante… J’ai croisé son regard :



Point n’est besoin d’échanger plus de paroles pour comprendre ce que désire Dom. Penchée au-dessus du corps alangui de Marjorie, j’ai offert ma bouche à ce splendide outil de plaisir encore humecté des sucs mêlés des deux amants.




(À suivre…)