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Temps de lecture estimé : 11 mn
14/12/16
corrigé 06/06/21
Résumé:  Au cours d'un second week-end, Louis approfondit sa relation amoureuse avec Robert.
Critères:  hh hagé jeunes amour voir exhib hféminisé fellation hsodo init
Auteur : Petit Louis B            Envoi mini-message

Série : Robert

Chapitre 02
Un amour si intense

Résumé de l’épisode précédent :


« Le rendez-vous décisif »

Louis, jeune puceau efféminé venu visiter Robert en week-end, entame une liaison amoureuse avec lui.


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Chapitre 2 : Un amour si intense



Nous avions convenu de nous revoir le week-end suivant. Jamais la semaine ne m’avait parue si longue. Je ne cessais de penser à mon amoureux et j’étais devenu tout à fait distrait, ce qui faisait bien rire mes copains de fac. J’avais aussi du mal à me concentrer sur mes études, écoutant à moitié pendant les cours. J’avais tout le temps envie de me masturber, mais j’avais promis à Robert de n’en rien faire et de garder tout mon sperme pour lui. À force de me retenir, mes boules étaient bien gonflées et un rien me faisait bander. Je me surpris à regarder les garçons le plus mignons et les jolies filles avec excitation, comme si Robert m’avait changé en un être pervers, ce qui me faisait un peu honte.


J’avais eu encore plus de mal à convaincre mes parents que la première fois et cette fois, ma mère avait appelé Robert au téléphone. Je ne sais pas ce qu’il lui avait dit, mais il l’avait mise tout à fait en confiance et depuis, elle ne cessait de faire son éloge. Je trouvais cela invraisemblable, alors qu’elle ne l’avait jamais vu, mais ça m’arrangeait bien.


Pour en rajouter sur ma féminité, qui plaisait tellement à Robert, je m’étais épilé les jambes en cachette. J’avais maintenant les jambes toutes lisses et douces et j’étais sûr que ça lui plairait. Le jour venu, j’avais mis des dessous féminins piqués à ma sœur, un tee-shirt moulant mon torse mince et un jean bien serré mettant en valeur mes petites fesses. Après m’être lavé soigneusement les cheveux, je les avais passés au sèche-cheveux pour les faire boucler. Maintenant que je connaissais les goûts de mon chéri, je ne les trouvais plus assez longs, puisqu’ils ne dépassaient pas mes épaules. J’allais les laisser pousser mais avant de les avoir dans le dos, il me faudrait patienter encore un an.


Et que j’étais impatient ! En marchant vers la petite maison de Robert, mon cœur battait comme un amoureux à son premier rendez-vous. Quand il m’ouvrit la porte, je me jetai dans ses bras :



Il me prit par la main et me conduisit au salon. Il s’était aussi habillé de manière sexy, un jean moulant et une belle chemise rose largement entrouverte sur sa poitrine musclée. Il avait lui aussi soigné sa chevelure, qui retombait en belles boucles blondes sur ses épaules. Il était encore plus désirable que dans mes rêves. Je l’attirai vers moi et mettant mes bras autour de son cou, je l’embrassai langoureusement.



Le poussant sur le divan, je repris possession de ses lèvres et pendant un long moment, nous sommes restés assis à nous embrasser. Je ne me lassais pas de sentir ses lèvres douces caresser les miennes, sa langue se mêler à la mienne en un joyeux ballet. Parfois, il quittait ma bouche pour m’embrasser le cou et je me laissais aller entre ses bras en poussant de petits soupirs. Je n’aurais jamais pensé que me faire embrasser ainsi me procure tant de plaisir. Mais c’était Robert, mon chéri, mon amoureux, et lorsqu’il s’interrompait, je présentais ma gorge à sa bouche gourmande en murmurant « Encore … » et il m’embrassait avec encore plus de passion.


Enfin, il interrompit nos baisers en se levant, et toujours en me tenant par la main comme une demoiselle, il me conduisit dans sa chambre, vers son lit si accueillant à nos ébats. Il voulut déboutonner sa chemise, mais d’un geste, prenant sa main, je l’arrêtai.



Le lâchant avec regret, je me levai pour commencer mon strip-tease, lui restant étendu nonchalamment sur le lit en me regardant les yeux brillants. Je relevai lentement mon tee-shirt, centimètre par centimètre, jusqu’à faire apparaître mon soutien-gorge en satin noir. Je vis alors son fin sourire s’élargir. Ses yeux brillaient de plus en plus et une bosse bien visible s’était formée à son entrejambe.



Il s’assit au bord du lit et me caressa la poitrine avec délicatesse, passant avec insistance sur le doux tissu satiné. Il ne me répondit pas, mais ses gestes étaient tout aussi éloquents.



Je marchai dans la chambre de long en large en me caressant la poitrine, en passant mes mains dans mes cheveux sans oublier de tortiller du cul pour l’exciter encore plus. Ce mouvement me faisait bander et mon sexe coincé dans le slip de ma sœur devenait douloureux. Il était temps de le soulager.


D’un geste lent, tout en regardant bien mon amant dans les yeux, je déboutonnai le jean et fis apparaître devant son regard ravi la petite culotte en satin noir, assortie au soutien-gorge. Elle était tendue par mon sexe gonflé d’excitation et, devant ce spectacle, Robert n’y tint plus, se leva et vit me prendre dans ses bras pour m’embrasser avec fougue. Je sentis son sexe se presser contre le mien à travers son jean et je poussai un soupir de plaisir.


Il s’agenouilla devant moi et baissa le pantalon. Je levai les pieds pour le laisser me déshabiller et me retrouvai vêtu de mes seuls dessous féminins.



Toujours agenouillé, il couvrit mes jambes de baisers.



Je caressai alors mon sexe à travers le satin noir, ce qui me soulagea un peu, car depuis un moment, j’avais envie de toucher mon sexe devenu douloureux à force d’être comprimé. Robert écarta ma main et m’embrassa le sexe à travers le fin tissu tout en me caressant les fesses. Je me laissais faire avec plaisir tout en caressant ses cheveux.


Il se releva pour un nouveau baiser. Je continuai à lui caresser les cheveux. J’adorais ça, passer et repasser mes mains dans ses boucles blondes.



Tout excité, je m’agenouillai devant lui et entrepris de lui enlever son jean. Dans la foulée, je lui retirai son slip et libérai son sexe bandé. J’en avais envie depuis une semaine ! Je me mis à le lécher avec avidité. Ce fut son tour de me caresser les cheveux et la sensation de ces longs doigts me caressant la tête augmentait mon plaisir.


J’étais de plus en plus excité. Me relevant, je l’entraînai vers le lit :



J’enlevai ma petite culotte et m’étendis sur le dos, les jambes écartées, pour pouvoir bien le voir en train de me faire l’amour. À mon grand regret, il enleva sa chemise, puis me prépara comme la dernière fois et me pénétra avec sa douceur habituelle. Ma rondelle était brûlante de désir et j’étais tellement excité que je ne sentis aucune douleur. D’emblée, je fus envahi de ce plaisir merveilleux d’être pénétré par mon amoureux. Dès le début du va-et-vient, je fus secoué d’un spasme de jouissance et projetai un jet de semence sur ma poitrine, quelques gouttes aspergeant le soutien-gorge.


Plus expérimenté que moi, Robert avait maîtrisé son excitation et me fit l’amour longtemps. J’avais déjà joui, mais je ressentais un plaisir particulier à le sentir en moi, en sentir ce membre viril glisser dans mes entrailles. Enfin, il fut secoué par un violent orgasme, et râlant de plaisir, s’affala sur moi. Je l’étreignis de toutes mes forces en couvrant son visage de baisers.



À ces mots, il interrompit ses caresses et se soulevant sur son coude, me regarda d’un air grave.



Je me jetai sur lui et le chatouillai traîtreusement. Il ne fut pas en reste et comme je suis très chatouilleux, il eut bien vite le dessus et me fit rire jusqu’à étouffer. Pour l’arrêter, je l’attirai contre moi et l’embrassai langoureusement. J’oubliai tout, le dîner chez mes parents, toutes les complications qui m’attendaient pour réaliser mon rêve de vivre avec Robert, tout ça. Il n’y avait plus que lui, son corps doux et puissant contre moi, ses caresses, ses baisers, mon amour…



Ces mots redoublèrent mon excitation. Je glissai mon sexe entre ses cuisses en ondulant de plaisir.



Il me tendit le lubrifiant et me présenta sa rondelle. C’était la première fois que je la voyais et, contrairement à ce que je craignais, je ne ressentis aucun dégoût. Je l’embrassai avec amour, provoquant un soupir chez Robert. Enhardi, je me mis à lui lécher la rondelle, puis j’y enfonçai un doigt. J’étais de plus en plus excité. Je me décidai enfin à l’enduire généreusement de lubrifiant, avant de le pénétrer avec délice.


C’était une sensation nouvelle pour moi. Je sentais mon sexe serré dans le trou d’amour de mon chéri, c’était chaud et merveilleux. Tout en entamant un va-et-vient, je contemplais avec bonheur le beau visage de mon amant qui me souriait tendrement. Au bout d’un moment, je vis son sexe se redresser et j’étais fier de lui donner ainsi du plaisir. Comme lui, je fis durer le plaisir, c’était plus facile de me retenir, car j’avais déjà joui tout à l’heure.


Après cela, nous restâmes le reste de l’après-midi à nous caresser et nous dire des mots d’amour. Nous étions vraiment deux amoureux stupides et j’aimais ça. J’aimais le fait de rester à ne rien faire avec mon homme.


Pour le dîner, nous nous sommes rhabillés et j’ai remis mes sous-vêtements féminins. Robert voulait voir mon soutien-gorge et m’a prêté un débardeur en résille qui ne cachait rien. Il m’a passé aussi un short court qui mettait mes jambes épilées en valeur. C’était une tenue très érotique. Quand je me vis dans la glace, je vis un adorable adolescent très sexy aux longs cheveux blonds et ma propre vision me fit bander. Un vrai petit Narcisse…


Robert aussi était excité de me voir habillé ainsi et nous avons bandé tous les deux une bonne partie du dîner, un peu plus équilibré que la dernière fois. Il avait fait des efforts.



Nous avons passé une partie de la soirée à danser, mais je dois dire que je préférais rester mes lèvres collées aux siennes, blotti dans ses bras.


Robert avait retrouvé toute sa vigueur et, après une bonne douche, nous nous sommes retrouvés au lit pour faire l’amour. Cette fois, instruit par l’expérience, j’évitai de m’exciter trop vite et je le laissai me pénétrer longuement et profondément, me contenant de le regarder et de l’embrasser le plus possible. Ce fut une merveilleuse nuit d’amour, ponctuée d’orgasmes qui nous laissaient pantelants, avant que nos incessantes caresses réveillent notre ardeur et nous jettent à nouveau dans un plaisir qui me semblait sans fin.


Dimanche matin, je fus réveillé par un doux baiser sur les lèvres.



Robert m’avait préparé un petit déjeuner comme j’aime : œufs brouillés, céréales, tartines de miel et de confiture, le tout arrosé de jus d’orange et d’un délicieux café.



Il avait raison, comme en témoignaient mes boules douloureuses. Il faut dire que dans les bras de Robert, je me sentais presque une femme. Il pouvait me faire jouir autant qu’il le voulait.



Je devais rentrer chez mes parents. En quittant mon amoureux, j’en avais les larmes aux yeux. Nous avons convenu que je passerais la nuit de mercredi à jeudi chez lui, pour éviter de passer toute une semaine sans nous voir. Il me conduisit à la gare et me donna un dernier baiser furtif dans la voiture avec un « À bientôt, mon amour » qui me fit chaud au cœur. J’avais besoin de courage, parce que cette fois, il allait bien falloir que je m’explique franchement avec mes parents…