n° 17693 | Fiche technique | 15782 caractères | 15782 2786 Temps de lecture estimé : 12 mn |
17/12/16 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Sophie et Chantal poursuivent leur découverte mutuelle. De massages en caresses, leurs fantaisies érotiques se rejoignent et se débrident en prélude à une nuit de folie à deux. Un coup de téléphone donné par Chantal modifiera inopinément leurs projets. | ||||
Critères: #épistolaire ff jeunes magasin telnet amour exhib noculotte odeurs intermast cunnilingu anulingus légumes fdanus | ||||
Auteur : Dyonisia (Rêves, autofictions... souvenirs et confidences...) Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent :
Tentée au hasard d’un shopping par une boutique de chaussures, Chantal y rencontre une sympathique commise qui se mue très vite en coquine tentatrice. Après avoir agréablement abordé une première prise de connaissance, Chantal se voit proposer une visite plus complète… des modèles de chaussures, bien sûr !
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Je sens ton désir, aussi violent que le mien, tes doigts dans ma chatte me font jouir, je sens que tu en veux plus encore, je glisse mes mains sous la ceinture de ton collant et commence à le faire glisser, ma main s’infiltre sous ton collant mouillé et atteint ta fente.
Mon autre main dégage encore plus bas ton collant, tandis que mes lèvres quittent à regret les tiennes et descendent le long de ton corps, au rythme d’une reptation qui progressivement me fait retrouver tes seins sous mes baisers, puis ton ventre.
Je continue et, bientôt, nous nous retrouvons lèvres contre lèvres, lèvres du haut face aux lèvres du bas. Ma main repousse entièrement ton collant, tu m’aides à le rejeter loin de toi, tu es nue, comme je le suis, toutes deux nues et enlacées, nos visages qui s’enfouissent dans la douce tiédeur de l’intimité aimée.
Je sens ta langue comme tu dois sentir la mienne. Suçotant lèvres et clitoris, les mordillant entre lèvres et langue tout en buvant le délicieux nectar qui coule de nos minous. Ma main glisse sur ton corps, caresse ta raie, cherche ton petit trou, si humide, s’y attarde, le pénètre d’un doigt. Oh Chantal, quelle soirée superbe nous attend.
C’est alors que Sylvie, mon associée dans la boutique passe une tête discrète dans l’entrebâillement de la porte et chuchote :
Et elle ajoute, espiègle :
Et tandis qu’elle referme la porte j’ajoute pour toi :
Je conclus ce souhait et cette promesse d’un bisou tendre sur ta fesse avant de me replonger dans ton sillon.
J’ouvre mes cuisses un peu plus encore quand tu lèves la tête, et délaisse ma chatte, méchante, pour répondre à Sylvie. Qu’est ce qui m’a pris de faire ça ? Tu me rends folle avec tes caresses, je deviens chienne, lubrique, obscène ! J’enfouis ma honte au plus profond de ton entaille, fourrant mon nez entre tes globes fessiers pour cacher la rougeur de mes joues.
J’entends ta voix à travers le brouillard de mes sens, j’acquiesce à tes paroles d’un grognement de cochonne dans la conque de tes lèvres gluantes. Leur saveur ravive ma passion. Je respire le goût musqué de tes puits d’amour. Je bois le parfum marin de tes sécrétions. J’aspire les chairs tendres, je mords leurs festons de velours humide, je tire ma langue dans ton vagin, je fouille, je lape, je lèche. Je veux plus.
Je retire ma langue, je la promène du bout de ton clitoris à l’étoile de ta rosette, j’étale ma salive et ta mouille sur le cratère palpitant. J’agrippe tes fesses à pleines mains, je les écarte, je masse ton anus du plat de ma langue. La rosette s’assouplit, accueille l’intrusion, s’y prête, la réclame. Je lui obéis, je la câline, je la pénètre, je te donne le plus intime baiser.
Est-ce assez clairement avouer que je partage ton désir de rester nouées l’une à l’autre toute la nuit ?
Mais j’ai trop escompté de mes forces. Les ravages que tu as repris dans ma chatte avec ta bouche et dans mon petit trou avec ton doigt inquisiteur s’ajoutent à mes propres initiatives amoureuses. Un spasme brutal me parcourt, tétanise mon corps, sort en ruissellements redoublés de ma grotte, je vais jouir. Je veux hurler mon plaisir entre tes lèvres, contre tes nymphes. Ma bouche avide revient s’y noyer. Elle se soude à ton bourgeon et l’étire.
Mon index remplace ma langue dans ton anus, mon pouce s’introduit dans ton vagin, mes doigts se resserrent, cherchent à se rejoindre à travers toi, pincent les parois dans ton ventre. Te fouillant des deux côtés, aspirant sans retenue la fève dure de ton clitoris, je crie enfin mon bonheur de femme comblée, je jouis, je jouis, je jouis, doublement comblée du plaisir d’un orgasme offert d’une femme à une femme.
Ton plaisir intense, tu n’es pas seule à le ressentir. Je le partage avec toi ; la jouissance que me procurent tes affouillements dans mes deux trous voisins me porte à l’extase en même temps que toi. Toutes les deux, nous retombons palpitantes et exténuées, côte à côte.
Je comprends que le moment est venu de prendre un peu de repos, tout en espérant te garder pour moi encore un bon moment, sinon toute la nuit. Je me redresse donc pour mieux me rallonger dans l’autre sens, retrouvant ta tête face à la mienne, ta bouche face à la mienne, tes seins au contact des miens.
Je te caresse la nuque, mes baisers courent sur ton visage, je te caresse doucement les seins. Des caresses apaisées succèdent à la violence intime des échanges.
Nues, allongées, repues, frissonnantes, dans la douce torpeur d’une jouissance partagée, nous laissons nos peaux s’épouser et nos souffles se reprendre. Nos doigts se promènent nonchalamment sur nos corps baignés d’exsudations tièdes. Nos mains se font coquilles pour couvrir le velours alangui d’un sein. Elles se font truites pour glisser sur le satin onctueux d’une vulve. Elles se rejoignent par instants et s’étreignent affectueusement au hasard d’un ventre, d’une gorge, d’un genou, d’une cuisse…
Je murmure des mots doux en écho de ta bouche, nos lèvres frémissent en se frôlant dans ce dialogue tendre de l’après amour. Nos langues reprennent à l’improviste leur duel mutin, puis l’abandonnent aussitôt, se cherchent, s’évitent, cueillent ici une goutte de sueur, là une trace de cyprine, se les offrent ou les savourent égoïstement.
Ton invitation est une tentation qui s’insinue dans mon esprit, l’entraîne dans un vagabondage onirique, évoque des fantasmes sucrés, des délires complices, des rêves improbables et des pensées suaves. Je caresse tes cheveux :
Je me laisse emporter par mon imagination. Mon désir renaît insidieusement. Mais je me redresse soudain à demi :
Ton regard interloqué trahit ton étonnement et le vague sentiment d’une interrogation à mon égard. Tu te demandes si je dérape ou si tu viens de séduire une mère maquerelle ! Je te souris en rougissant légèrement. Je me lance dans une explication confuse :
Ta mimique narquoise m’embarrasse. Je poursuis :
J’hésite imperceptiblement avant d’achever ma phrase :
Une dernière caresse avant de me redresser et je me dirige vers un angle de la pièce qui sert de bar et de buffet. Tu me vois ouvrir une porte pendant que tu composes ton numéro.
Tout en téléphonant, tu me suis des yeux. Tu me vois me retourner. Dans une corbeille, j’ai pris un fruit, une banane. Je l’épluche lentement, puis, baissant ma main, écartant mes cuisses, j’introduis ma banane dans mon minou, lentement, très lentement, je la sors, tout aussi lentement.
Tout en te regardant tendrement, et je recommence mon jeu, à plusieurs reprises, plus ou moins vite. Enfin, je la sors complètement, la porte à ma bouche, la lèche sur tous les côtés, introduis son bout dans ma bouche, l’y fais tourner, mêlant ma salive à mes sucs les plus intimes imprégnés sur ma banane.
Je la glisse encore une fois dans mon minou, l’en retire et m’approche de toi toujours au téléphone. Tu as compris mes intentions, tu te laisses tomber sur le divan et écartes tes cuisses pour que je puisse enfiler mon gode-banane imprégné de ma salive et de mes sucs dans ton vagin.
Je t’aperçois en effet par la porte à demi ouverte vaquer à tes préparatifs. J’ai une de mes protégées au téléphone et je me concentre sur ma conversation.
Je me retourne vers toi, la main sur le micro :
Et là je te vois faire, je reste interloquée, puis je pouffe tant ton attitude est cocasse autant qu’excitante. Babette s’étonne de mon silence.
Le téléphone à la main, je te regarde introduire la banane dans ma chatte, j’entends distinctement les bruits mouillés qui accompagnent la pénétration dans mon vagin. Une vague de désir me remonte du ventre et je ne peux retenir un profond soupir qui n’échappe pas à Babette.
Je te fais signe de la tête d’arrêter tes taquineries, mais tu t’en moques. Je veux repousser tes mains et la banane-gode, en disant à voix basse :
Je tente maladroitement d’éluder ses questions, mais elle insiste et toi tu continues ! Je souffle dans le combiné :
Et toi qui persistes à me tourmenter, vilaine, joignant le massage de tes doigts sur mon pubis à la recherche des zones les plus sensibles de ma chatte… J’ai beau rouler des yeux en m’accrochant au téléphone, ça n’arrête ni tes gestes ni les questions de Babette. Je voudrais couper la communication, mais je n’arrive qu’à poser l’appareil près de moi pour pouvoir me presser les seins et mes tétons à nouveau durcis.
La voix de Babette s’échappe de l’écouteur :
Je retire la banane de ta chatte et je la lèche sur toutes ses faces, un grand sourire sur mon visage. Puis je me l’enfile pour l’imprégner à nouveau de mes odeurs et je la porte à ta bouche.
Et pendant que tu lèches, je pose mes lèvres à mon tour sur la banane, qui finit par s’écraser entre nos bouches et que nous mangeons en cherchant les morceaux chacune dans la bouche de l’autre.
Je repars vers mon armoire, reviens avec deux nouvelles bananes, en glisse une dans ton vagin, recouvre ton minou de crème chantilly. Je m’allonge à ton côté, je te tends l’autre banane et la crème.
J’ai la bouche barbouillée d’un mélange de pulpe de banane, de sucs divers et de salives échangées. Je me nettoie sommairement les lèvres avec ma langue et déguste avidement ce mélange de saveurs sans plus me soucier du téléphone qui épie sournoisement l’écho de nos folies.
Ta nouvelle fantaisie m’amuse, mais où vas-tu chercher toutes ces idées ?! La banane et sa couverture de chantilly dépassent de ma chatte comme un dessert dans sa coupe. Quel drôle de banana split ! Même Lio n’y aurait pas pensé ! À moins que ? Tiens, je n’avais jamais envisagé sa chanson sous cet angle ! En tout cas, c’est aussi appétissant qu’excitant, je suis impatiente de le déguster. Vite, achevons de dresser ce dessert.
Je prends bien garde de ne pas détruire ton œuvre, et ce n’est pas facile. Je suis obligée de tenir mes cuisses bien ouvertes tout en conservant mon bassin à peu près horizontal… Ouf, ça y est, j’ai réussi à pivoter sans tout écraser !
J’écarte les bords de ta vulve, la chair trop tendre de la banane ne résisterait pas à une introduction trop brutale. Je la fais pénétrer en la soutenant de l’index et du majeur comme d’une attelle. Je te vois légèrement grimacer quand je force l’entrée de ta grotte, je fais aussi doucement que possible, en repoussant tes chairs intimes qui se resserrent en vagues souples et chaudes autour de mes doigts qui guident ce gode improvisé… Hmmmmm !
Voilà, elle est bien au fond de toi. Je me retire avec précaution, j’en profite pour caresser tes nymphes, étalant le suc sur le bourrelet tendre dont elles embrassent la banane. Je recouvre cette tige de crème, je me pourlèche d’avance. Je pousse même le vice jusqu’à dégager ton bouton pour le viser avec la bombe et l’ensevelir à son tour sous la chantilly. Le plus dur est fait, passons aussitôt à la récompense des pâtissières !
Je rejette la bombe vide et je pousse mon ventre vers ton visage, ma bouche toute proche maintenant de sa proie :
Quelle vorace tu es, ma douce Chantal ! Je te sens enfouir ton visage dans "ma" chantilly, tandis que "ma" banane poussée par tes à-coups s’enfonce dans mon vagin et m’excite les parties les plus intimes et intérieures. Mais sous la chantilly, ce sont aussi mes lèvres que tu aspires goulûment avec de gros bruits de succion. Oh, là, c’est mon clito, tu le tiens entre tes lèvres, entre tes dents et ta langue, tu le malaxes tandis que tes mains courent sur tout mon corps.
Mais je ne suis pas en reste et je te rends tout le plaisir que tu me donnes. J’ai de la crème qui me remonte jusqu’aux yeux, dans les narines, je suffoque et agite ma langue, j’essaye d’attraper "ta" banane et mes mouvements ne font que l’enfoncer davantage, ce qui, à t’entendre, ne fait que t’exciter davantage. Et puis tout d’un coup, je sens quelque chose.
Je me tortille en riant pour dégager ta main de ma raie pleine de chantilly et glisser l’appareil entre tes doigts.
(À suivre)