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Temps de lecture estimé : 9 mn
04/01/17
Résumé:  J'ai toujours aimé le sexe avec Valérie, même par procuration...
Critères:  fhh cocus inconnu voir exhib photofilm jeu confession
Auteur : Oldtimesfriend      Envoi mini-message

Série : Valérie, moi et les autres

Chapitre 01 / 03
Valérie, moi, et les autres

J’ai toujours aimé le sexe avec Valérie. Ça fait partie des choses qui ne s’expliquent pas, des personnes avec qui les choses s’emboîtent parfaitement, sans que l’on ne sache pourquoi.

Nous avions été amants il y a quelques années et nous nous sommes quittés, frustrés l’un et l’autre, mais il y avait à l’époque des choix à faire et nous les avons faits, enfin, surtout moi.


Les années ont passé, nous nous croisions de temps en temps et je voyais dans ses yeux, comme elle voyait dans les miens, que le désir était encore présent, j’aimais cette sensation de savoir que je la « possédais » encore.


J’imaginais souvent qu’elle devait avoir des amants, je l’imaginais souvent en proie à un autre homme, à prendre du plaisir, à en donner comme elle savait si bien le faire avec moi. Je savais qu’elle avait eu une aventure avec un homme fortuné, belle maison avec piscine… et mes insomnies nocturnes étaient riches en scènes, clichés, d’elle, nue, sur un transat, en train de se faire prendre en plein air par cet homme, nécessairement dans mes fantasmes, particulièrement bien monté et habile à la faire crier.


Nous nous sommes revus, cet été, et nos retrouvailles ont été à la hauteur de mes souvenirs, des ébats torrides et longs, intenses.


Nous nous sommes redécouverts, libres, cette fois, et presque en dehors de toute clandestinité. Je l’ai redécouverte, beaucoup plus coquine, ouverte et prête à de nouveaux jeux, d’accord pour introduire des tiers, hommes ou femmes, dans nos ébats, à ma grande satisfaction.


Un jour, alors qu’elle était en vacances, loin, nous correspondions surtout par SMS, et je me suis confié à elle, lui expliquant que j’avais très souvent fantasmé sur elle et ses amants et plus particulièrement sur celui-ci, le seul dont j’étais finalement sûr. Je lui avais auparavant expliqué que je m’étais découvert des penchants candaulistes (théoriques au moins, n’ayant jamais expérimenté véritablement) et que j’étais très excité à l’idée de la voir se faire prendre par d’autres hommes, à la condition que je sois là et que cette démarche s’inscrive dans une démarche de plaisir partagé et de complicité.


Je lui confiai donc, par message, pas à pas, que je m’étais très souvent retrouvé tout excité de l’imaginer avec d’autres hommes, et plus particulièrement cette scène de piscine.


Sa réponse fut : « … pas qu’au bord de la piscine… ».


Cette réponse, ouvrant la porte à des confidences de sa part, m’a instantanément mis en état second. Je transpirais, mon cœur battait la chamade et j’insistai pour qu’elle me raconte. Elle parut décontenancée par mes demandes, craignant que je la regarde comme une salope, ayant, dans un premier temps du mal à comprendre que je puisse être excité par l’idée de la savoir prise par un autre… Je la rassurai en lui disant que c’était ma demande, que j’étais prêt à tout entendre, surtout la vraie vérité, que je voulais des détails et que je prenais un plaisir quasi masochiste (car en réalité, il y a du masochisme dans ces histoires de candaulisme), mais très intense et surtout, nouveau, à ces choses-là.


Elle me confiait donc avoir effectivement quelques souvenirs de soirées d’été très sexuelles au bord de la piscine, comme dans mes rêves les plus fous, mais aussi sur la table de la cuisine…


Plus elle en racontait, plus je devenais fou. Elle me confia, sur ma demande insistante, que cet homme était effectivement très bien doté par la nature et qu’elle avait découvert qu’elle en avait ressenti un plaisir différent, qu’il aimait la prendre de face, ses jambes remontées sur son cou et qu’elle ressentait alors pleinement toute la largeur de son gros sexe dans sa chatte serrée et qu’elle avait pris énormément de plaisir ainsi.


Ce qui m’avait rassuré, c’est qu’elle l’avait largué dès qu’il s’était révélé être un vrai gros con, ce qui démontre qu’une grosse bite et donner du plaisir à une femme n’est pas tout…et c’est heureux !


J’avais apprécié sa sincérité, elle m’avait clairement dit qu’elle avait ressenti un plaisir différent du fait de ce gros sexe et qu’elle l’avait particulièrement apprécié… ce qui ne l’empêchait pas non plus d’apprécier beaucoup le mien… ça aussi, c’est heureux…


J’avais pu expérimenter son plaisir de se sentir pleinement comblée, avec un gros gode avec lequel j’aimais bien jouer et je pouvais constater de visu comme le fait de se faire pénétrer par ce gros jouet la comblait de plaisir.

Elle avait aussi découvert le plaisir ressenti de se sentir prise tout en me pratiquant une fellation et paraissait prête à tenter une triplette.


Ces idées me rendaient fou, car j’avais ce fantasme qui me tenaillait depuis de nombreuses années, sans jamais avoir franchi le pas, faute de partenaire consentante…

C’était bien de rencontrer une femme ouverte, prête à explorer de nouvelles voies, nous envisagions de nous trouver une ou un ou des nouveaux camarades de jeu. Malheureusement, les circonstances de la vie nous ont une nouvelle fois éloignées.


Je passe depuis beaucoup de temps à regarder nos ébats en vidéo, régulièrement.

Un soir, nous nous sommes filmés et j’ai pu conserver précieusement les enregistrements, de piètre qualité, mais qui ont néanmoins le mérite d’exister, heureusement.

Je regrette de ne pas en avoir fait d’autres, mais elle ne se sentait plus d’envie pour une aventure purement sexuelle, elle voulait plus. Je ne pouvais pas lui apporter ce plus pour des raisons allant au-delà des sentiments et elle a mis un terme à notre histoire et moi, je suis retourné à une vie différente, mais jamais je ne retrouve l’envie et l’entrain que j’ai à baiser avec Valérie.


Alors je me contente de fantasmer sur mes souvenirs, je la regarde m’embrasser, nous, allongés, elle venant sur ma bouche à genoux, je l’entends gémir sous mes coups de langue, je me vois la lécher tout en lui glissant un ou deux doigts, je vois et j’entends son plaisir monter, sa voix si sexy quand elle gémit, je la vois ensuite redescendre, me sucer goulûment, m’introduire à son tour un ou deux doigts afin de décupler mon plaisir, puis venir à califourchon sur moi, s’empaler de mon sexe et aller et venir jusqu’à notre orgasme commun… je ne sais combien de fois j’ai visionné cette vidéo et combien de fois je me suis primairement branlé devant…


Je la croise parfois et j’ai terriblement envie d’elle… que fait-elle ? Qui voit-elle ? Avec qui baise-t-elle ?

Un jour, je reçois un mail, son adresse.

Pas de mot, pas de message, juste un fichier vidéo joint.

Je l’ouvre, presque tremblant.


Une chambre, un lit… elle arrive, souriante, nue, superbe, s’installe sur le lit, allongée, un homme la rejoint, je ne le connais pas, assez jeune, beau, costaud, vêtu simplement d’un boxer.


Il l’embrasse, s’allonge à ses côtés. L’étreinte est très passionnée, charnelle, il lui caresse les seins, je vois les mains de Valérie qui parcourent son dos musclé, elle prend le dessus, le retourne doucement, sa main s’attarde sur la bosse formée par le boxer.

Elle le caresse doucement tout en l’embrassant goulûment.

Sa main écarte le caleçon et elle en sort un sexe érigé, grand, long, épais. Elle lui retire délicatement l’étui tout en lui souriant, il la regarde avec envie.


Elle l’embrasse à nouveau, et reprend son lent mouvement de va-et-vient.

Valérie branle cet homme inconnu divinement et je l’entends respirer bruyamment, le rythme de la main s’accélère, elle lâche sa bouche et descend progressivement sur le torse de l’homme, lui léchant, suçant, mordillant les tétons, tout en le branlant de plus en plus vite, tendant ses fesses en arrière vers l’objectif.

L’homme gémit doucement sous cette caresse que j’ai si souvent vécue, elle descend encore, lentement, mord les abdos saillants de l’homme, qui se crispe, il se redresse afin de s’appuyer dos au mur pendant que la bouche de Valérie atteint maintenant le sexe de l’homme.


Elle le lèche doucement, le fixe dans les yeux, lui malaxe les couilles dans le même temps et doucement fait glisser sa bouche sur le membre de l’homme dressé, imposant.

Elle est à quatre pattes devant lui dans une posture de soumission sexuelle, les cuisses légèrement écartées, laissant apparaître son sexe gonflé d’envie.


L’homme regarde furtivement la caméra avec un sourire, et c’est là que je remarque ce qui m’avait échappé jusque-là : la caméra bouge ! Elle n’est pas posée quelque part, elle bouge, quelqu’un la tient !

Mon cœur bat plus vite encore, mon excitation est au sommet de ce qu’elle peut être.


L’homme ne peut retenir de manifester son plaisir. Il gémit, Valérie s’active à le sucer, elle le tient à deux mains, puis à une, laissant alors sa deuxième main venir se caresser elle-même.

Elle manifeste également son plaisir à le gober avec gourmandise, sa respiration saccadée et bruyante se mêlant à celle de son partenaire.

Ses fesses ondulent sous sa caresse, dans le même temps que sa bouche s’active.


D’un coup, la caméra se fige, le troisième acteur vient manifestement de poser la caméra sur quelque chose, l’image est fixe, stable.


Je vois arriver dans le champ le troisième acteur, un autre homme, nu également, également jeune, également grand, mais très brun, basané, probablement métis, il se dirige vers le lit.

Il se tient le sexe qu’il a tout aussi imposant si ce n’est plus que son compère qui semble peiner à assumer le rythme passionné de la fellation de Valérie.

Le métis se glisse derrière Valérie, s’assied à côté d’elle et lui caresse le dos sans qu’elle ne cesse de s’activer sur le premier.


D’un coup, elle regarde le nouvel arrivant, lui sourit, se redresse vers lui, sans lâcher de sa main le sexe qu’elle continue de branler doucement. Elle embrasse fougueusement le deuxième homme, qui glisse sa main entre ses cuisses, lui arrachant un gémissement.


Le métis redirige la bouche de Valérie vers son compère afin qu’elle reprenne sa tâche. Il la déplace un peu vers lui tout en la laissant à quatre pattes, il se penche vers elle et commence à lui mordiller les fesses. J’entends la voix de ma belle monter dans les aigus alors que l’homme se place derrière elle. Il lui relève les fesses et glisse sa bouche contre sa chatte pour la lécher de plus en plus violemment, intensément.

Il la dévore littéralement, sa grosse bouche collée contre ses fesses, il la lèche de haut en bas, sans arrêter une seule seconde.


Valérie ne peut s’empêcher de lâcher son étreinte buccale sur la bite du premier qui regarde son copain bouffer le cul de celle qui le suce… Oui, il n’y pas d’autre expression que celle-ci s’appliquant à ce que je vois, il lui bouffe le cul, lui lèche la chatte avec vigueur et presque violence. Valérie crie sous la caresse, elle se retourne et le regarde, ses mouvements sur le sexe du premier sont devenus maladroits, irréguliers, elle branle, regarde celui qui la lèche, et crie des « oui », « vas-y », « encore ».


Je suis sidéré, démonté, excité, transporté par cette scène sortie tout droit du meilleur film de cul jamais réalisé.


Plus elle crie, plus il la lèche, il lui écarte les fesses, lèche et relèche encore… Valérie a maintenant lâché le premier sexe, elle n’en peut plus, elle est toute à sa jouissance.


Le premier, délaissé, se rapproche d’elle et vient l’embrasser fougueusement tout en lui pétrissant les seins pendant que le métis poursuit son entreprise de démolition. Les gémissements de Valérie sont à présent étouffés par les baisers du premier, je vois son cul agité de spasmes, elle jouit, violemment, sauvagement, animalement.


Elle finit par demander grâce et se retourne afin que le métis cesse de la faire jouir avec sa bouche, son doux visage est dévasté, écarlate, elle reprend doucement ses esprits sous les regards complices des deux bonshommes.


Le métis reprend les choses en main, doucement, il la retourne sur le dos, le premier reste un peu à l’écart tout en se branlant doucement, regardant son ami venir se poser sur Valérie. Ils s’embrassent, il lui écarte les jambes et vient se placer sur elle, son sexe me paraît énorme, alors qu’il va pour la prendre ainsi, elle se saisit du sexe de l’homme et le guide à l’entrée de sa chatte et le fait venir en elle. Il est au-dessus, tendu sur ces bras, elle fait venir sa chatte à la rencontre de ce sexe. Lui ne bouge pas, elle vient vers lui, elle se pénètre sur lui, plus vite, plus loin, elle crie encore, « viens », « encore », « plus fort », les jambes accrochées à ses reins… Il la regarde en souriant, puis lui relève les jambes et commence un mouvement de va-et-vient puisant profond, de plus en plus rapide, Valérie ne peut plus crier, sa voix est suraiguë, elle jouit encore, une seconde fois… Au bout de quelques minutes de ce traitement, le métis se retire et lui éjacule sur le ventre.


Valérie se retourne alors vers l’autre, allongé à côté d’eux, elle va vers lui qui est sur le dos et tout en l’embrassant, le ventre plein du sperme du premier, vient s’empaler sur le premier.

Elle place ses mains sur son torse, et monte et descend sur ce sexe encore vigoureux, plus vite, encore plus vite.


L’angle de la caméra et la qualité de l’image et du son me permettent de voir le sexe de l’homme entrer et sortir de la chatte de ma belle au rythme de ses allées et venues, j’entends le bruit humide, les claquements secs, les gémissements, les grognements qui vont crescendo, jusqu’à son troisième orgasme qui la foudroie littéralement. L’homme a joui en elle en même temps, leurs cris emplissent la pièce.


Pendant ce temps, le métis que je ne vois plus a repris la caméra en main et se dirige vers le lit. Valérie est quasi inerte, assise sur l’autre, gémit encore doucement son intense plaisir, son ventre est agité de vrais spasmes, elle sourit à la caméra et l’image se coupe, me laissant, moi, également pantelant.


Manifestement si mes choix m’avaient conduit vers une vie sexuelle morose, les siens lui ont été plus profitables et elle entendait m’en faire profiter.