n° 17946 | Fiche technique | 10036 caractères | 10036Temps de lecture estimé : 6 mn | 11/06/17 |
Résumé: Plusieurs semaines après ma vidéo surprise, je la rencontre... | ||||
Critères: fh extraoffre cocus amour vengeance cérébral voir confession -extraconj | ||||
Auteur : Oldtimesfriend Envoi mini-message |
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Il y a quelques semaines, mon ex-maîtresse m’a fait parvenir une vidéo de ses ébats nouveaux
Je ne pensais pas qu’il y aurait une suite à cette histoire, mais elle est arrivée !
* * *
Voici quelques semaines que j’avais reçu la vidéo de Valérie, ma Valérie, avec ses amants… Je n’avais rien osé lui renvoyer, elle ne m’avait rien envoyé de neuf non plus. Je ne la croisais plus, je passais parfois devant chez elle, imaginant fébrilement ce qui devait se passer dans cette belle maison que je ne connaissais pas, dans cette chambre que je n’avais qu’entr’aperçue dans ma vidéo.
Pas un jour sans que je ne la visionne, encore, encore et encore, sans que je ne puisse m’empêcher de me masturber devant, sans que je ne jouisse avant le terme.
Ma vie sexuelle avec ma compagne était devenue terne, plate et morose, je peinais à tenir une érection correcte et m’appliquais alors à ce que ça se termine le plus vite possible, avec systématiquement ces images de Valérie jouissant avec ses amants.
Et puis, un jour, finit par arriver ce qui devait arriver… je tombe nez à nez avec Valérie, belle, parfaite, épanouie. Une bise prude, elle me dit qu’elle me trouve une sale mine, ce que je tente de justifier par un surplus de travail.
Après quelques banalités d’usage, elle finit par me demander si j’avais reçu son mail, si j’avais aimé, ce que j’en avais pensé… je lui confiai la confusion de mes sentiments, ce mélange d’excitation, de frustration, de jouissance et de douleurs que mes visionnages incessants me procuraient.
Elle me dit alors de but en blanc qu’elle avait rencontré le métis un soir, en boîte de nuit, qu’elle avait, suite à nos derniers ébats, décidé de vivre pleinement sa vie, qu’elle sortait beaucoup et qu’elle l’avait rencontré un soir, qu’il l’avait draguée et qu’elle avait cédé…
Je lui demandai plus de détail, et me proposa alors d’aller prendre un café, si j’avais le temps… je ne pouvais pas refuser.
Elle m’expliqua alors, sans retenue ni pudeur aucune, que sa vieille copine Virginie insistait sans cesse pour l’emmener en boîte et qu’elle avait fini par céder et s’était laissée traîner dans l’établissement tendance de la ville voisine.
L’alcool aidant, elle avait fini par se lâcher sur la piste de danse, lorsqu’elle croisa le regard de cet homme. Elle lui avait rendu ses regards et sourires insistants et ils finirent par boire un verre.
Naturellement, ils se rapprochèrent, et finirent par s’embrasser.
En réalité, mon cœur battait la chamade, ce mélange d’excitation, de peur, de jalousie, d’envie me tiraillait.
Elle m’expliqua alors qu’il l’embrassait divinement bien, et que, ni une ni deux, ce qu’elle n’avait jamais fait, elle s’était laissé attirer dans sa voiture et qu’ils avaient « sauvagement baisé », ce sont ces termes exacts, sur la banquette arrière.
Ils se voyaient depuis régulièrement pour des parties de sexes endiablés, à toutes heures du jour et de la nuit.
Elle me confiait qu’elle n’avait jamais ressenti un tel plaisir, qu’elle avait rajeunie de quinze ans, qu’elle avait abandonné toute retenue, toute pudeur et qu’elle s’adonnait avec délectation avec tout ce qu’il pouvait lui demander.
Le sexe libre, le sexe décomplexé, avec un homme jeune et sûr de lui.
Elle m’expliquait encore que le jeune homme de vingt-cinq ans appréciait particulièrement la sexualité assumée des femmes de quarante ans, qu’il lui avait confié qu’il adorait son goût, son odeur, sa façon sensuelle de bouger sur lui, qu’elle se sentait valorisée, parfois honteuse de cette différence d’âge, mais fière de plaire, fière de faire jouir un homme de cet âge, de le tenir. Elle avait découvert le bonheur de le dominer, puis de se faire dominer…
J’étais sidéré de sa décontraction, de sa facilité de me confier tout cela, sans pudeur ni retenue…
Ces mots sortaient de ma bouche mécaniquement…
Elle sourit, et poursuit.
Ah, ça oui, j’avais vu ! Son sexe, épais, long, dur, vigoureux, beau… son corps, musclé, bronzé, sa bouche épaisse lécher goulûment ma Valérie, lui arrachant des gémissements de plaisir ! Oui, j’avais vu, et revu, et rerevu !
Elle me parlait comme si j’étais sa vieille copine !
Des images d’une perversité sans nom jaillissaient dans ma tête pendant qu’elle me parlait, je l’imaginais prise par ce jeune homme dans toutes les positions, je la voyais jouir, réclamant encore et encore…
Je me sentais comme ailleurs, une érection tenace me tiraillait l’entrejambe, j’avais l’impression d’être cramponné à ma chaise, ses paroles traversaient mon esprit, je devais avoir la bouche ouverte à l‘écouter, muet, pétrifié, dans un état second.
C’est ainsi qu’elle enchaîna sur le pourquoi du comment de cette vidéo, m’expliquant que le jeune homme lui avait rapidement expliqué qu’il appréciait particulièrement les plans à plusieurs, qu’il avait un très bon copain, avec lequel ils partageaient régulièrement leurs conquêtes, naturellement consentantes.
Elle avait donc accepté, comme elle avait accepté se faire filmer et me dit alors :
Je peinais de plus en plus à garder mon calme et un visage stoïque, et faisais le mec blasé, indifférent… mais je savais qu’elle savait !
Et brusquement, elle se leva et me dit :
Totalement broyé, mais toujours stoïque, je bafouillais un :
Ah oui, je connaissais Anna ! Une belle brune, super sexy, espagnole ou un truc dans le genre, grosse bouche, superbement gaulée… toute la ville connaît Anna !
Et je me retrouvai tout seul, tout penaud, le regard dans le vide… je la regardais s’éloigner, marchant d’un pas gai et sexy. Ses petites fesses dandinant de droite à gauche dans sa jolie petite robe d’été. Elle se retourna encore une dernière fois pour me faire un petit coucou, auquel je répondis avec un air nigaud.
Cette conversation – enfin, ce monologue, plus exactement – avait duré à peine quinze minutes. J’avais l’impression que ça avait duré des heures, je me sentais vidé, épuisé, je transpirais, mon esprit était embrouillé, confus…
Certains de ses mots résonnaient sans fin dans ma tête, son bonheur, son épanouissement, cette lueur coquine dans le regard, la même que je voyais dans ma vidéo… ça me rendait dingue.
Je rentrai précipitamment chez moi, dans cet état de transe mentale, oubliant tous mes impératifs de l’après-midi, je ne pus résister à l’envie de me branler… trente secondes, au mieux, d’agitations spasmodiques. Mon cerveau était abreuvé des images de ma vidéo, mélangées à d’autres sorties tout droit de mon imagination fertile… je voyais Valérie sucer les deux hommes, lécher les seins d’Anna, je les voyais, dans ma tête, se faire besogner, côte à côte, hurlant leur extase, se faire inonder de leur sperme…
Je crois pouvoir affirmer que Valérie avait pris un petit plaisir sadique à me raconter, tout cela, comme une petite revanche, une leçon qu’elle avait voulu me donner… c’était réussi… et je n’étais pas au bout de mes peines…