Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17746Fiche technique19957 caractères19957
Temps de lecture estimé : 12 mn
19/01/17
Résumé:  Valérie, hétéro fidèle jusqu'à l'arrivée d'Anna.
Critères:  fh ff collègues piscine travail cérébral vidéox fmast massage fellation pénétratio confession -initff -extraconj -fplusag -mastf -bureau
Auteur : Love Doctor  (Marié coquin et probablement bi...)

Série : Anna

Chapitre 01 / 03
Anna et moi

Je n’ai jamais été attirée par les femmes. Enfin, pour être plus précise, je n’avais jamais été attirée par les femmes jusqu’à l’arrivée d’Anna dans mon service.


Mariée depuis 20 ans avec le seul homme de ma vie, le fantasme de la bissexualité n’était pas fait pour moi au grand regret de mon coquin de mari qui rêvait de me voir dans les bras d’une autre ! Mais à 48 ans et pas trop à l’aise dans mon corps, je ne me voyais pas oser tromper Didier, et encore moins avec une femme…


Oui, mais Anna est arrivée en CDD… Avec la fraîcheur de sa jeunesse et son physique plantureux, elle a de suite plu aux hommes et exaspéré la plupart des femmes… Il faut dire que la belle avait des atouts : 24 ans, blonde, au moins 1,70 m pour 60 kg environ, des yeux clairs et une poitrine opulente, elle attirait les regards mais avait le talent de ne pas en abuser et était souriante avec tout le monde.


Ma responsable m’avait confié la mission de former cette jeune fille, et je prenais mon rôle très à cœur, me sentant comme sa grande sœur, voire même sa mère parfois ! Les bureaux n’étant pas immenses ; nous étions souvent amenées à nous frôler en toute innocence, en tout cas de ma part. Je ne voyais rien de mal à des gestes amicaux que ma jeune collègue me prodiguait parfois : main sur l’épaule ou au creux des reins pour passer derrière moi, bises le matin et le soir, et sourires complices très fréquents.


Je ne savais pourtant presque rien de sa vie privée : célibataire, elle habitait près du bureau a priori seule et repoussait avec le sourire toutes les tentatives de drague des jeunes hommes du bureau. Anna me parlait juste de ses sorties avec ses amies, de ses séances de sport ou de ses week-ends dans sa famille sur la côte. Bref, nous étions collègues sans être réellement amies, et les choses en restaient là jusqu’au fameux SMS…



@@@@



Le mois d’août arriva et je pris mes congés. Anna ne pouvait faire de même, compte tenu de son CDD et travaillait en effectif réduit au bureau, trouvant les journées parfois bien longues… et souvent m’envoyait des SMS amicaux auxquels je répondais selon mes disponibilités et mes envies.


Allongée sur un transat près de notre piscine, je bronzais tranquillement à côté de mon chéri lorsque mon portable m’avertit d’un SMS. À moitié somnolente, je ne réagis pas de suite et Didier me tendit l’iPhone.



Je sortis de ma torpeur et fus surprise par son contenu : « Tu me manques, ma Val. Bisous… » Avec des smileys en forme de cœur… C’était la première fois qu’Anna se comportait de cette manière et je fus si surprise que le rouge me vint aux joues. Que voulait-elle dire ? Mon époux remarqua mon changement d’attitude et je lui lus le texto. Il sourit malicieusement.



Il avait raison ; Anna avait 24 ans mais était donc une adulte qui pouvait choisir des partenaires de l’âge de son choix. Le souci était que je n’avais jamais envisagé de faire l’amour avec une femme, et encore moins avec une jeunette de 24 ans aussi charmante soit-elle !



Je ris et regardai mon mari. À plus de 50 ans, il me plaisait comme au premier jour et son joli maillot bleu moulait ses petites fesses et laissait deviner son sexe appétissant même au repos. Je réfléchis à une réponse à la fois sympa et neutre : « Toi aussi. Bises. » Anna me renvoya à nouveau un smiley en forme de cœur auquel je ne répondis pas, troublée par cet échange.


Je sentais mon corps réagir au soleil et à ces SMS ambigus qui me troublaient plus que je ne l’imaginais. J’eus soudain envie de faire l’amour et me levai pour rejoindre mon mari dans l’eau. Collée à son dos, je caressais ton torse velu pour son plus grand plaisir.



Ma main fila vers son maillot, frôlant et flattant son sexe à travers le tissu humide. Didier eut vite une érection flatteuse le mettant un peu à l’étroit. Je le délivrai en sortant son sexe et commençai une lente masturbation sous l’eau.


La piscine étant isolée, personne ne pouvait nous surprendre et je continuai la caresse aquatique inhabituelle. Ma bouche collée à son cou, je câlinais mon homme amoureusement, excitée comme une chatte en chaleur. Bientôt il eut envie de plus et se retourna pour m’embrasser à pleine bouche, caressant mes seins nus dans le même mouvement. Je gémis sous l’assaut viril et me collai à lui. Son sexe dressé se frottait contre mon pubis et je fus rapidement trempée.


Nous sortîmes rapidement de l’eau pour filer au salon, oubliant l’eau qui trempait le sol. Mon mari nu, le sexe dressé, me paraissait superbe malgré son âge et je me sentais comme une ado pour sa première fois. Fébrile, j’eus du mal à ôter mon bas de maillot avant de me retrouver nue, trempée, le sexe lisse gonflé par le désir du mâle qui allait me prendre bientôt.


Je me mis rapidement à genoux à ses pieds pour enfourner son dard dressé et luisant. Ma bouche commença une fellation à la fois rapide et appliquée. Je lustrais son gland violacé et tremblant de désir. Didier gémissait sous cette caresse dont il était très friand et avait parfois du mal à ne pas jouir dans ma bouche.


Mais cette fois, je le voulais en moi !


Je gémissais en suçant cette jolie queue ; enfin, pour ce que je pouvais en savoir : c’était la seule que je n’avais jamais connue ! Mes mains caressaient le joli cul de mon homme tandis que ma bouche jouait avec le gland qui m’avait déflorée il y a bientôt 27 ans…


Didier se recula pour échapper à ma bouche avide, et son regard me rassura : il aimait toujours cette caresse mais en voulait plus maintenant. Il me fit lever et m’embrassa goulûment, mélangeant le goût de son sexe avec sa salive que j’adorais. Sans un mot, il me tourna et je gémis, comprenant ses intentions. À genoux sur le divan, je lui présentai mon cul que je trouvais trop gros, forcément abîmé par deux grossesses. Mon chéri ne tâtonna pas et me pénétra d’une seule poussée facilitée par mon excitation.


Je gémis en même temps que lui, et sans répit il commença lents va-et-vient aux sonorités humides. Mon bassin allait au-devant du sien, les yeux clos et les seins tendus. Mes globes légèrement pendants bougeaient au rythme de nos corps. Je gémissais à chaque coup de boutoir, sentant le gland taper au fond de moi, déclenchant ainsi de puissantes ondes de plaisir. Didier grognait aussi, se retenant de jouir, mais je sentais qu’il ne tiendrait pas longtemps. Je saisis une de ses mains pour la poser sur mon sein. Il comprit le message et lâcha mon bassin pour caresser mes deux mamelons, me sachant sensible à cette caresse.


Je voulais activer ma jouissance et libérer la sienne dans les minutes qui suivaient. L’effet fut immédiat sur mon désir et je sentis l’orgasme poindre. Un dernier coup de bassin et mon chéri jouit quelques secondes avant moi, lâchant de longs jets de sperme qui frappèrent ma matrice, me faisant le rejoindre dans un plaisir décuplé par cet accouplement inhabituel chez des vieux mariés… Il retomba sur moi, le souffle court et le sexe encore raide dans mon vagin.


Après un baiser amoureux et complice, nous convînmes qu’une douche s’imposait avant de retourner nous baigner, et son regard sur moi en disait plus que de longs discours : il m’aimait comme au premier jour, ou il était très bon comédien !



@@@@



L’été se poursuivit calmement au rythme de nos baignades, de nos séances de sexe sensuelles et de repas entre amis. Nous profitions de la vie et de ses plaisirs un été de canicule.


Un après-midi, alanguie sur mon lit, je cherchais de la fraîcheur. Il faisait trop chaud pour aller au bord de la piscine et je me reposais sur le lit, juste en string de dentelle blanche, seule pour quelques heures. L’iPad en main, je surfais sur Internet sans réel but et zappais les sujets les uns après les autres. Mon esprit ne se fixait sur rien et le cours de mes pensées m’amena sans raison à Anna.


Je souris béatement en imaginant ma jeune collègue au bureau, puis chez elle, puis à mes côtés… Pour la première fois, cette idée ne me choquait pas et – si j’en croyais les réactions de mon corps – ces pensées me troublaient plutôt… Seins sensibles, peau moite, je laissais ma main courir sur mon corps sans idée précise ni chemin prévu… Pas fan de vidéos érotiques et encore moins pornos, je n’avais jamais exploré les sites connus de bien des hommes… L’idée pourtant me vint, et en quelques minutes je découvris des images pour la plupart trop hard pour moi, mais bientôt une vidéo retint mon attention : une jolie brune embrassait une magnifique blonde avec une sensualité extrême. Les corps étaient peu visibles ; seules les caresses et le baiser retenaient mon attention.


Bientôt ma main libre caressa doucement mes seins dont les pointes sensibles trahissaient mon excitation. Seule dans la maison, je pouvais me laisser aller et, gémissante, je regardais les deux amantes faire l’amour pour mon plus grand plaisir. Mon string devint vite moite et appelait des attentions qu’une seule main ne pouvait prodiguer. Je posai donc la tablette, et les yeux mi-clos je me caressai sans retenue. Le tissu humide exhalait une senteur que la chaleur ambiante magnifiait.


Je gémissais en frôlant mon corps un peu lourd de femme mûre mais désirable, si j’en crois l’excitation que mon mari ressentait à son contact. Je câlinais mes seins, jouant avec les pointes tendues et granuleuses. Les sensations se diffusaient partout dans mon corps, rendant mes gestes fébriles. Ma peau attirait ma main et mon bassin lui indiquait le chemin. Croisant mes cuisses pour presser ma vulve, je sentais l’excitation grimper au fil des minutes.


Sans risque de me faire surprendre, je lâchais de petits gémissements qui résonnaient dans la maison vide. Mes pensées étaient floues, à la fois dirigées vers les images de ces deux lesbiennes, vers mon mari, et enfin vers Anna. Oh, Anna… Imaginer cette jolie blonde à mes côtés rendit mes gestes plus rapides, comme pressée de jouir… Sans aucune expérience, je ne savais pas ce qu’elle me ferait, mais le seul fait de la visualiser dopa mon excitation.


Je glissai une main sous le tissu, frôlant mon sexe libre et trempé. Je lâchai un petit cri au contact de mon clitoris qui réclamait à son tour ces gestes que je prenais plaisir à redécouvrir. L’index et le majeur appuyaient doucement sur la crête sensible, augmentant les mouvements sensuels de mon bassin. J’adorais cette caresse et jouissais à chaque fois de cette manière avec mon chéri ; mais là j’étais seule et allais en profiter tout de même.


Les yeux clos, une main dans mon string et l’autre sur un sein, je me caressais avec frénésie. Je n’avais pas la patience d’attendre ! Le visage d’Anna était maintenant en moi et je me remémorais son visage, ses formes que je ne connaissais pas et son sourire. Je glissai mon index dans ma fente trempée et lâchai un râle. Le bassin cambré, je me doigtais d’abord lentement, puis plus vite. Cuisses écartées, j’aurais offert un spectacle torride à un éventuel voyeur. Pour la première fois de ma vie, je me caressais en pensant à une femme et j’adorais cela. Un deuxième doigt rejoignit le premier, provoquant ainsi des bruits humides plus présents.


Je sentais le plaisir grimper et, prise de frénésie, je me masturbais à grande vitesse, provoquant rapidement un orgasme terrible qui me fit crier et me cambrer tellement qu’une crampe tétanisa mes mollets. Je retombai sur le lit, le souffle court et deux doigts au fond de mon sexe palpitant. Je mis du temps à reprendre mes esprits puis ôtai mon string pour sentir mes effluves captées par le tissu. L’odeur de ma cyprine ne me rebutait pas, bien au contraire…


Une douche apaisante plus tard, je tentai d’analyser mon comportement et en conclus que je n’étais plus catégoriquement opposée à l’idée de faire l’amour avec une femme… Mais il y avait loin de la coupe aux lèvres, et un passage à l’acte me paraissait encore très incertain…



@@@@



Les vacances prirent fin et il fallut retourner travailler… Il faisait encore chaud en ce début septembre et je n’avais aucune envie de retourner au boulot, mais la vue d’Anna assise à son bureau en robe légère blanche atténua ma "peine". Elle était encore plus belle que dans mon souvenir ! Elle avait coupé ses cheveux blonds, et son carré court lui donnait à la fois un air sérieux et mutin. Son sourire à mon arrivée fit bondir mon cœur et elle se leva pour me faire une bise plus que chaleureuse. Je masquai mon trouble au contact de son corps plantureux, et le souvenir de ma masturbation dont elle était en partie le sujet me revint fugacement à l’esprit.


La journée fut somme toute agréable, remplie de nos souvenirs des semaines passées loin l’une de l’autre. Les jours suivants, je repris mes habitudes de travail et retrouvai la complicité de ma jolie collègue. Cependant, je la regardais différemment : plus attentive à ses tenues, plus à l’affût de la découverte de ses formes entraperçues. La belle avait dû s’en rendre compte car je me rendis compte qu’elle prenait souvent des postures avantageuses qui me permettaient de l’admirer. Son sourire mutin finissait de me conquérir et je me sentais parfois toute chose en fin de journée. À tel point que je dus un jour me caresser dans les toilettes avant de quitter le travail, excitée par des frôlements appuyés et répétés sur mes reins à la limite de mes fesses.


Je n’en parlai pas à mon époux, qui d’ailleurs n’avait jamais évoqué à nouveau le SMS de cet été.

Les choses évoluèrent pourtant plus vite que prévu…



@@@@



Vendredi, fin d’après midi, j’étais à la bourre pour finir un dossier et je décidai de rester au bureau alors que tout le monde finissait à 16 heures. Tout le monde ? Non. Anna proposa de m’aider, et j’acceptai de bonne grâce tant la masse de travail me paraissait importante.


Il faisait encore chaud en ce début septembre et j’avais quitté ma veste de tailleur, mon chemisier clair me paraissant assez encombrant à lui seul. Anna portait, elle, une robe noire des plus sexys qui lui avait valu des regards concupiscents de la part des mâles du service ! Mais à cet instant, c’était le dernier de mes soucis !


Les choses évoluèrent plus tard lorsqu’Anna se mit près de moi pour étudier un document, moi assise et elle debout, sa poitrine opulente frôlant mon épaule. La fatigue, la chaleur, ce contact déjà imaginé me troubla tant que la jolie blonde le vit et s’enquit de mon état.



Elle entreprit de me masser doucement le cou sans me laisser le temps de refuser. Ses mains douces me firent frémir, et aussitôt mon corps réagit malgré moi. Pointes de seins tendues, rythme cardiaque accéléré, je me laissai aller entre ses doigts. J’étais passive et ne me posais aucune question. Anna me parlait mais je n’entendais rien, ailleurs sur une planète de douceur. Je sentais ses doigts détendre mes muscles et doucement gagner du terrain dans mon décolleté ; mais, les yeux fermés, je ne les repoussais pas. Elle comprit son avantage et posa sa bouche près de mon oreille pour murmurer :



Loin de me choquer, ces mots tendres me firent comprendre que ce serait elle, ici et maintenant. Je gémis dès que sa main glissa en direction de mon soutien-gorge, faisant se dresser davantage mes pointes. Immobile, cette main faisait pourtant frémir mon corps comme jamais. Je pouvais encore reprendre pied et tout arrêter, mais je n’en fis rien…


Ses doigts glissèrent sous le tissu et mon sein fut cajolé par une experte. La bouche entrouverte et le souffle court, j’étais en fusion. Un baiser dans le cou puis près de mes lèvres annonça la suite qui s’annonçait torride. Sa bouche chercha la mienne pour un baiser d’abord tendre, puis sensuel quand mes lèvres cédèrent à la tentation. Mon premier baiser de femme ! Au goût de rouge à lèvres à la framboise, à la langue agile et souple. « Purée, que c’est doux… » pensai-je furtivement avant de me laisser embrasser avec délectation.


Je gémissais de plus en plus, d’autant que sa main jouait avec mon sein avec une virtuosité affolante : mon téton était frôlé, agacé, pincé au rythme de nos langues, et bientôt mon string fut à tordre. Anna comprit qu’elle ne devait pas me laisser réfléchir et poussa son avantage en remontant ma jupe de sa main libre, sans protestation de ma part. Je devais lui offrir un spectacle électrisant : jupe à la taille, string blanc taché d’humidité prometteuse et chemisier à moitié défait investi par une main experte.


Le rempart de mes dessous ne fut qu’une formalité, et à peine sa main posée sur mon sexe glabre je gémis de plus belle, lâchant des bruits assourdis par notre bouche-à-bouche. Elle frôla à peine mon clitoris pour un regret furtif vite dissipé quand elle plongea deux doigts dans ma grotte. Je sursautai de surprise et de plaisir consenti. J’étais à elle, et elle le savait, la bougresse !


Ses doigts fins aux ongles courts caressaient les parois de mon vagin avec une dextérité affolante. Mon bassin ondulait tel un poisson tentant d’échapper à l’hameçon, mais j’étais bien ferrée ! Telle une ado caressée lors de sa première boum, je me laissais faire, trop troublée par mes sensations pour les repousser. Je respirais de plus en plus vite, sentant l’orgasme arriver… Anna le comprit aussi et ne baissa pas la garde, interrompant juste notre baiser pour m’encourager d’une voix rendue rauque par le désir en accélérant les mouvements de son poignet :



J’accueillis ces compliments d’un gémissement puis me laissai aller complètement. Mon bassin allait à la rencontre de sa main dans une parfaite communion, et bientôt mon vagin se crispa sur les doigts de mon amante tandis qu’un flot de cyprine lui poissait la main. Je jouis dans un cri rauque, les muscles tétanisés et le chemisier collé à mon corps en sueur. Je crus capter quelques mots d’Anna avant de sombrer dans un semi-coma post-coïtal :