n° 17792 | Fiche technique | 27807 caractères | 27807Temps de lecture estimé : 16 mn | 18/02/17 |
Résumé: Valérie tombe sous la charme d'une jeune collègue qui lui offre son premier orgasme au féminin et décide de la revoir. | ||||
Critères: fh ff fplusag fmast fellation cunnilingu 69 init -fhomo -fsoumisaf -ffontaine | ||||
Auteur : Love Doctor (Marié ,coquin et probablement bi...) |
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Résumé de l’épisode précédent : Anna et moi
Valérie se laisse séduire par sa jeune collègue Anna.
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Le retour sur terre ne fut pas aisé… Assise à mon bureau, la jupe retroussée et le string poisseux je mis quelques secondes à réaliser que je venais de jouir sous les caresses d’Anna. Où était-elle d’ailleurs, cette charmante blonde ? Un bruit d’eau me fit comprendre que la belle débarrassait probablement ses mains de ma cyprine.
Je rougis à cette pensée et me levai pour tenter de mettre ma tenue en état, lissant ma jupe et remettant mon chemisier en place. Anna revint à cet instant et me sourit, s’approchant de moi sans me toucher réellement. Les yeux dans les yeux, nos doigts se frôlèrent et aucune de nous deux n’osa un geste supplémentaire. Elle prit son sac et s’éloigna. Sur le pas de la porte elle se retourna :
Je ne répondis rien, émue par son beau sourire et touchée par sa délicatesse. Elle aurait pu profiter de la situation mais elle me laissait tranquille, imaginant sans doute mes tourments. Seule, je rassemblai rapidement mes affaires pour quitter au plus vite mon bureau qui me semblait sentir le sexe et la luxure. Le trajet en voiture passa rapidement et je fus heureuse de constater que la maison était vide, ne me sentant pas capable de faire comme si de rien n’était avec mon mari.
Vite, une douche ! Mes talons claquaient sur le sol tandis que je me dirigeais vers la salle de bain. Je me débarrassai rapidement de mes vêtements, jetant pêle-mêle ma jupe, mon chemisier et mes dessous. Je ne résistai pas à la tentation de humer mon string et fus troublée par les effluves de mon plaisir récent. Je n’en revenais pas ! J’avais joui sous les caresses d’une femme ! Si mon mari savait cela…
L’eau tiède me fit du bien, et les yeux fermés je me savonnai, d’abord vivement, pour ôter toute odeur suspecte mais improbable, puis plus lentement. La mousse recouvrit mes seins qu’Anna avait juste effleurés. Le contact de mes doigts les fit aussitôt frémir, et loin de toute culpabilité je repris les caresses en repensant à ma jeune amante. Je me remémorai son beau visage aux yeux clairs à la blondeur scandinave orné d’une bouche magnifique au goût de framboise. Enivrée par l’odeur sensuelle du monoï et les souvenirs de mon après-midi, j’empaumai mes poires un peu tombantes pour jouer avec mes pointes sensibles, dressées, et je gémis comme une heure plus tôt dans mon bureau. Je sentis mon sexe frémir de désir et ne résistai pas à l’envie de me caresser plus précisément. Je pressai mes lèvres gonflées, m’excitant davantage, et dans un mouvement circulaire tant de fois exécuté depuis mon adolescence je retrouvai rapidement le chemin du plaisir sans surprise, mais avec moins de force qu’une heure plus tôt entre les doigts de ma chérie.
Je jouis debout dans un petit cri, les muscles crispés puis si relâchés que je me laissai glisser lentement à terre, l’eau frappant mon corps de manière douce. Je repris pied au bout de quelques minutes et me boostai pour reprendre le cours normal de ma vie…
Deux heures plus tard mon mari ne remarqua rien lorsqu’il rentra du bureau et déposa distraitement un baiser sur mes lèvres en posant la question rituelle :
Rassurez-vous je me suis contentée du "Oui" et après je l’ai écouté comme une épouse attentive et attentionnée…
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Fatalement, Anna occupa mon esprit toute la journée du samedi. Je me retenais de l’appeler, ne sachant ce que la belle avait retenu de notre étreinte de la veille (Folie ? Coup d’un jour ? Début d’une histoire ?) La tête ailleurs, je commis plusieurs étourderies que ne manqua de relever mon chéri. Heureusement, nous avions pas mal de monde à la maison et je n’eus pas à me justifier plus que cela. S’il savait à quoi je pensais quand je cuisinais pour nos amis qui me permirent d’oublier un temps ma jeune maîtresse… La soirée fut un peu arrosée, si bien que, couchée tard, ma nuit fut agitée et je me réveillai l’esprit embrumé mais le sexe moite, probable souvenir de rêves troublants mais imprécis…
À moitié éveillée, je prenais conscience de mon état avec un certain ravissement. Vêtue uniquement d’une culotte en coton, mon corps était à portée de mains pour l’instant sages alors que les effluves de mon sexe rendaient les draps délicieusement odorants. La peau moite et les seins sensibles, j’étais bien, en attente de caresses salvatrices.
Mon chéri dormait à poings fermés à mes côtés, et j’eus soudain envie de lui. Je me tournai légèrement pour le regarder : pas moche, malgré la cinquantaine passée, son corps gardait une sveltesse que pas mal de jeunes pourraient lui envier. Son sexe dressé attira mon regard, puis ma main. La peau douce de sa hampe finit de m’exciter et je commençai une lente masturbation qui lui tira quelques bruits dans son sommeil. Je souris, amusée par ce dimanche matin pour le moins imprévu ! Ma main se fit plus ferme et je sentis son sexe durcir davantage. Mes attentions éveillèrent l’heureux propriétaire de ce beau chibre qui me sourit, à moitié réveillé.
Du pied, il repoussa le drap et il m’apparut dans son entière nudité. " Trop bien ! " pensai-je, oubliant à cet instant la jolie blonde qui m’avait donné tant de plaisir moins de deux jours auparavant. Un baiser sensuel et amoureux scella le début de notre étreinte. Didier câlina mes seins qui n’attendaient que cela tandis que je le branlais avec douceur. Il frôla mes pointes réactives, me faisant mouiller davantage. Nous gémissions de concert sans retenue, nous sachant seuls dans la maison : un des avantages d’avoir de grandes filles pas souvent présentes !
Mon chéri abandonna un de mes seins pour frôler le tissu de ma culotte dont l’humidité lui plut fortement. Son doigt chercha mon clitoris à travers l’étoffe et, son but atteint, il trouva rapidement le rythme des caresses qui me rendaient folle de désir. Bouches soudées, je l’embrassais goulûment tandis que mon bassin ondulait au seul contact de ce doigt inquisiteur.
Avec douceur, il me fit allonger sur le dos, m’obligeant à interrompre mes caresses. Sa bouche baisa mon cou puis mes seins pour atteindre mes pointes. Je gémis, conquise par ces gestes tant de fois répétés mais toujours aussi troublants. Sa bouche aspirait mes tétons gonflés et je lui caressais le bas du dos, frôlant son joli petit cul de sportif.
L’excitation nous gagna davantage lorsque mon chéri dépassa mes seins puis mon nombril pour aller goûter ma culotte odorante. Je gémis lorsque sa langue appuya fortement sur le tissu, faisant s’ouvrir mes lèvres intimes. Le contact râpeux était excitant mais frustrant. Il le sentit et écarta le tissu pour laisser apparaître mon sexe trempé. Sans attendre, sa langue reprit son chemin, et cette fois aucune barrière ne s’interposa.
Je ma cambrai sous l’assaut tant désiré, sentant sa langue commencer à me fouiller sans douceur. J’avais besoin de cela à ce moment précis, et Anna était loin de mes pensées. Je voulais mon mâle, là, maintenant !
Ses mains firent rapidement glisser ma culotte le long de mes cuisses pour m’en débarrasser, et sa tête plongea à nouveau sur mon pubis. Cette fois mon clitoris était le but de la manœuvre, et sa langue se fit plus coquine : fine, légère ou plus présente, elle me rendait dingue ! Didier tenait fermement mes hanches pour me maintenir sous l’emprise de sa caresse buccale. Il n’y avait d’ailleurs aucun risque que je m’échappe.
Sa langue glissa plus bas et me pénétra avec fermeté. Je criai bientôt lorsqu’elle tourna en moi, telle une toupie affolante. Les bruits de succion étaient excitants au possible tant ma cyprine était abondante. Je coulais sur la bouche de mon chéri qui déglutissait mon jus. Je voulais jouir ainsi et saisis mes seins pour parfaire mon excitation. Didier le vit et grogna de désir. Je baissai les yeux et croisai son regard plein d’amour et de sexe.
Je lui souris puis me laissai aller, les yeux clos et les sens en alerte. Je sentis le plaisir monter, et rapidement je cédai à un orgasme si fort que je criai, telle une bête blessée. Le vagin crispé, je lâchai des flots de mouille odorante que mon chéri buvait avec délice.
Le souffle court, je repris mes esprits et sentis Didier se redresser pour m’offrir son sexe bandé à quelques centimètres de ma bouche. Je l’enfournai aussitôt, pour le plus grand plaisir de mon chéri. J’adorais sa bite et, à en croire ses trépidations sur ma langue, c’était réciproque.
Je me redressai pour mieux le sucer, mais la position était inconfortable et Didier se leva au pied du lit tandis que je mis à genoux sur les draps.
Phrase débile s’il en était ! Comme si je suçais mal !
Je lustrai son sexe de ma salive avant de l’enfourner loin, mes lèvres serrées autour de sa hampe. Je savais à ses gémissements que mon chéri adorait et avait du mal à se retenir. Je jouais avec son sexe et ses nerfs, le laissant à la limite du plaisir tout en l’excitant au maximum de sa résistance. Sans penser à mal, je caressais ses fesses de ma main libre tandis que l’autre tenait son sexe à portée de ma bouche.
Son petit cul de sportif me troublait toujours, et je le caressais avec délice tandis que ma bouche jouait avec son gland. Excitée par la double caresse que j’offrais à mon chéri, mes gestes devenaient moins maîtrisés, et mon index frôla par mégarde l’anus de Didier. La réaction de son sexe trahit son trouble et mon regard chercha le sien. Ce que j’y lus me troubla au plus haut point : il aimait cela…
Je gémis à cette constatation et rééditai cette caresse avec le même effet sur mon homme. Je me fis plus audacieuse et massai cette fois sans gêne l’anneau masculin a priori vierge. Didier ferma les yeux et je sentis que le point de non-retour n’était pas loin.
Loin d’interrompre ma caresse, cet aveu dopa mon imagination et ma bouche accéléra son offrande tandis que mon index força juste un peu le cul de mon mari qui ne put se retenir plus longtemps. La main sur ma tête, il éjacula en grognant de longs jets de sperme que pour la première fois depuis des années j’accueillis dans ma bouche, prenant juste le soin de ne pas avaler cette liqueur un peu écœurante.
Les sens apaisés et la bouche rincée, nous nous câlinâmes en silence, reprenant pied avec ce réveil inattendu et plein de surprises. Je n’abordai pas la sensibilité de son anus, mais je me demandais si au fond nous n’étions pas bi tous les deux…
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Le retour au bureau lundi fut plus simple que je ne l’avais imaginé. J’avais élaboré plusieurs scenarii dont aucun ne se réalisa, tant Anna fut naturelle et me facilita ainsi la tâche. Personne ne remarqua le moindre changement d’attitude entre nous, et nous pûmes travailler ensemble sans laisser imaginer le moindre indice à un éventuel espion.
Cela ne m’empêcha évidemment pas d’être troublée à son contact, et son beau sourire me faisait toujours craquer. De plus, la belle choisit des tenues tout aussi ravissantes les unes que les autres qui me donnaient juste envie de les lui arracher pour la voir enfin nue ! Bref, j’étais sur des charbons ardents, et cela ne s’arrangea pas lorsque je reçus enfin un texto de la belle blonde rentrée chez elle alors que j’étais seule en pause à midi.
J’ai adoré, vendredi soir…
Je souris, rougissante, et répondis :
Et moi donc… C’était une première pour moi.
Fébrile j’attendis la réponse qui ne tarda pas :
J’imagine… Prête pour une deuxième ?
Sans hésiter, je la rassurai :
Je crois…
Le message suivant mit le feu à mon corps :
Hummm, j’ai envie de te dévorer la prochaine fois.
Anna prenait l’initiative ; cela me rendit dingue au fil de nos SMS et je fus rapidement en fusion, sentant mon shorty coller à mon sexe trempé. N’en pouvant plus, je mis fin avec regret à ce voluptueux échange et me précipitai aux toilettes pour une envie pressante.
Sitôt la porte refermée, je déboutonnai fébrilement mon pantalon, glissai une main directement sous la dentelle et trouvai mes lèvres moites. Je gémis à ce contact, et debout, les yeux fermés, je débusquai vite mon clitoris dressé et commençai une masturbation frénétique. La main devant la bouche pour taire mes bruits, je me caressai avec de profonds mouvements circulaires qui me mirent rapidement dans un état second. Pressée d’en finir et par peur de me faire surprendre, j’accélérai les mouvements, pinçant entre deux doigts mon clitoris hypersensible, m’amenant à l’orgasme en un temps record. Je mordis la paume de ma main en jouissant tandis que je sentais ma cyprine inonder mes doigts et le shorty.
Je mis du temps à reprendre mes esprits et quittai furtivement les toilettes, prenant bien garde d’ôter toute odeur suspecte sur mes doigts. Le reste de la journée fut compliqué à gérer ; mon esprit revenait sans cesse vers Anna qui prenait un malin plaisir à me sourire à la moindre occasion.
Le reste de la semaine se déroula normalement ou presque : Anna me proposa de prendre comme elle mon vendredi après-midi, et presque sans hésitation j’acceptai pour son plus grand plaisir apparent, sachant ce que cela impliquait probablement…
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Je raccrochai, pas fière de moi : je venais de dire "Je t’aime" à mon mari avant de rejoindre Anna chez elle… Nous avions combiné pour avoir notre après-midi libre sans que personne au bureau ne le remarque. Didier, de son côté, finissait tard et n’avait jamais le temps de m’appeler, ce qui a priori me garantissait une tranquillité totale.
Nerveuse, je quittai mon domicile, donnant un dernier coup d’œil dans la glace avant de sortir : le jeans et le pull en V n’attiraient pas le regard mais me paraissaient adaptés pour l’occasion. J’avais l’air d’une femme mariée, bien dans sa peau, au-dessus de tout soupçon…
Je me garai non loin de l’appartement d’Anna et marchai rapidement, de peur de croiser une connaissance dans ce quartier si proche de notre bureau. Heureusement, personne ne me parut familier et je sonnai au 2e étage, le cœur battant et les mains moites.
« Mon Dieu, qu’elle est belle… » fut ma première pensée quand Anna ouvrit la porte.
Je fis à peine attention au reste de sa tenue tandis qu’elle m’entraînait à l’intérieur de son nid. Les yeux dans les yeux, nous nous sourîmes tendrement.
Le couloir étroit était propice au rapprochement, et Anna m’attira aussitôt contre elle pour un premier baiser d’une folle sensualité. Ses lèvres jouèrent tendrement avec les miennes tandis que ses mains partaient à la découverte de mon corps. Nos langues se retrouvèrent avec délice, et mes dernières réticences cédèrent lorsqu’elle passa sa main sous mon pull, remontant le long de mon dos. Je gémis au fur et à mesure de ses caresses et tentai de refréner mes pulsions pour mieux profiter de l’instant, mais mon envie de découvrir enfin son corps était trop forte, et sa robe légère donnait plus envie de l’ôter que de l’admirer. Maladroitement, je remontai le tissu sur ses fesses découvertes laissant deviner la présence d’un string que mes doigts trouvèrent aussitôt. Jouant avec la ficelle, je déclenchai les gémissements d’Anna qui, de son côté, accéléra les choses, remontant mon pull pour l’ôter. Notre baiser reprit aussitôt tandis que la belle défaisait mon soutien-gorge pour libérer ma poitrine tombante.
Trop excitée pour attendre plus, je défis fébrilement mon jeans, m’en débarrassant rapidement pour me retrouver en string, les cheveux fous et les yeux brillants de désir. Anna m’admira, et ce que je lus dans ses yeux me rassura sur l’envie que je lui suscitais tandis qu’elle m’entraînait dans son salon clair qu’un large canapé occupait.
Anna défit alors sa robe lentement sans me quitter des yeux, me laissant découvrir son soutien-gorge de dentelle qui magnifiait une poitrine opulente. La robe glissa lentement le long de son corps musclé et je découvris un string assorti qui laissait deviner un sexe bombé.
Le souffle court je ne pus que murmurer :
Elle sourit, silencieuse, et tendrement m’allongea sur le cuir dont la fraîcheur me fit frissonner. Collée à moi et sans me laisser le temps de réfléchir, elle reprit ma bouche pour un nouveau baiser qui me fit planer d’autant que nos poitrines se touchaient enfin. Ce contact sensuel si nouveau pour moi me fit gémir, et je me collai davantage à Anna. Cuisses mêlées et corps emboités, nous entamâmes un ballet sensuel et désordonné. Je ne pus me contenir et osai enfin les caresses tant de fois rêvées depuis notre première étreinte.
Je partis à la découverte ce corps de sportive musclé et ferme, et dans des gestes maladroits je fis glisser son string, sentant une toison râpeuse se coller aussitôt à ma peau. Anna plaqua son sexe contre ma cuisse et se frotta sensuellement sur ma peau.
Je frémis à ce contact et, les yeux fermés, me laissai enfin aller à ces sensations enivrantes. Anna le comprit et lâcha ma bouche pour explorer lentement mon corps de ses lèvres. Le cou, l’épaule puis le sein gauche constituèrent le chemin sensuel que la belle accomplit. Cambrée, je gémis, attendant la suite avec une excitation qui rendit mon corps fébrile.
Anna frôla le mamelon de sa langue puis le lécha, et enfin le suçota. Je gémis de plus belle, affolée par cette bouche avide de mon sein et caressai le creux de ses reins pour mieux la sentir contre moi. Elle jouait avec ma pointe dressée comme mon mari le faisait parfois, mais avec plus de dextérité que lui. Chaque succion attisait mon désir qui humidifiait mon string depuis notre premier contact.
Je sentis sa main frôler, puis caresser mes cuisses, les faisant s’ouvrir spontanément pour mieux offrir mon sexe encore masqué par un dessous inutile qui fut vite ôté. Les yeux fermés, j’imaginai Anna admirer mon abricot lisse qui ne demandait qu’à être câliné. Mon attente ne fut pas longue, et un cri s’échappa de ma gorge lorsque ma jeune maîtresse frôla mes lèvres humides pour doucement remonter vers mon clitoris. Le souffle court, je m’offris à cette main experte qui trouva vite le rythme qui m’affola.
La belle me masturbait maintenant avec douceur et fermeté à la fois. Ailleurs, bercée par sa voix douce qui murmurait des paroles dont je ne retins pas les mots mais seulement la mélodie.
De mon côté, je ne pouvais que gémir au rythme de ses attentions, laissant uniquement mes mains caresser sa courte chevelure blonde. Je sentis son visage glisser vers le bas pour rejoindre ses doigts et me cambrai davantage, tendue par l’attente de LA caresse que j’attendais depuis notre première étreinte.
Le souffle attisa mon désir qui fut enflammé au premier contact de sa bouche sur mes lèvres. Je criai de désir tandis qu’Anna commençait la lente exploration de mon sexe trempé et hypersensible. Folle de cette caresse avec mon mari, je découvrais avec délice une autre facette du cunnilingus qui, entre frôlements et pincements, me rendit dingue.
Libre de tout complexe, je me laissais lécher par une jeune femme qui avait l’âge d’être ma fille. Je me foutais des convenances à cet instant, quand Anna pinça mon clitoris entre ses lèvres tandis qu’elle frôlait l’entrée de ma grotte avec son doigt. Je criai sous ce double assaut, avançant mon bassin à la rencontre du visage de mon amante qui en profita pour me pénétrer de deux doigts agiles et souples.
Je gémis sans retenue, le bassin agité de mouvements fébriles et les mains maladroites qui passèrent de mes seins à son dos pour revenir caresser ma poitrine. Consciente de ma frénésie, Anna comprit qu’elle devait aller jusqu’au bout de ses envies et accéléra le rythme de sa masturbation et de sa succion de ma crête durcie par le désir.
Je tentais à la fois d’échapper à ce visage qui me dévorait et appuyais aussi sur ses cheveux pour accroître le contact avec ma vulve dégoulinante.
Les cheveux fous et le corps en sueur, je haletais sans retenue, consciente que la délivrance était proche. Lorsqu’Anna inséra un troisième doigt dans mon vagin dilaté, le plaisir me saisit d’une manière si brutale que dans un cri rauque et prolongé je jouis, bloquant violemment le si beau visage de la chérie qui venait de me faire jouir comme jamais une bouche ne l’avait jamais fait.
Mon cri sonore résonna dans son appartement tandis que mon sexe déversait un flot de cyprine qu’Anna buvait de façon avide et sonore. Les muscles crispés, je mis un temps fou à reprendre mes esprits, trempée de sueur et de plaisir.
Je sentis à peine ma maîtresse se dégager de l’éteinte de mes cuisses pour tendrement coller son corps au mien et poser ses lèvres sur les miennes. Ce plaisir enivrant au goût de mon sexe me fit frémir, et l’émotion me fit doucement pleurer de bonheur dans un silence que ma belle blonde respecta.
Revenant peu à peu à moi, je pris conscience qu’Anna n’était plus à mes côtés. Mon inquiétude fut de courte durée quand je vis la belle blonde devant son évier se servant un verre d’eau. J’eus ainsi tout le loisir d’admirer son côté face : un corps de sportive avec des fesses musclées et des épaules assez larges pour une femme.
Émue, je me levai et doucement m’approchai dans son dos pour me coller à elle avant qu’elle ne se retourne. Ma bouche près de son oreille, mes mains frôlant ses seins lourds, je profitai de la douceur de sa peau.
Anna ne répondit rien, se laissant uniquement aller contre moi. Je pris cela comme une invite et partis à la découverte de son corps. Je caressai ses seins avec douceur, faisant gémir la jolie blonde. Consciente de mon inexpérience, je m’appliquai au maximum pour tenter de ne pas la décevoir.
Mais rapidement j’oubliai mes hésitations et, troublée par les réactions que mes attentions lui procuraient, je pris plus d’initiatives. Debout devant son évier, je pris possession de ses seins lourds, jouant avec ses pointes courtes mais réactives. Anna gémit tandis je pinçais ses tétons, les griffais ou les frôlais. Ma bouche ne restait pas inactive, léchant avec tendresse le lobe de son oreille. Manifestement, ma jolie blonde aimait cette caresse que, personnellement, je détestais !
Je sentis le corps de ma jeune maîtresse agité de frémissements plus intenses et ne fus pas surprise par sa réaction. Brusquement elle se retourna, et je compris à son regard fou qu’elle crevait d’envie d’aller plus loin.
D’une main ferme, elle m’entraîna vers sa chambre qui nous offrit un grand lit dont nous prîmes possession immédiatement. Sur le dos, les cuisses écartées, Anna m’offrit un spectacle d’une impudeur totale, sa toison blonde courte enfin visible. Dans un élan de tendresse, je voulus l’enlacer mais elle m’en empêcha avec une brusquerie presque masculine. Je n’eus pas le temps de réagir, et elle m’intima de la lécher. Devant mon étonnement, elle se fit moqueuse :
À la fois choquée et troublée par cette autorité inattendue, je ne pus qu’acquiescer, et sous son regard sévère j’approchai mon visage de son sexe que je pus à peine admirer avant que sa main ferme me plaque le visage sur son abricot.
Je gémis sous la virilité de son geste et l’odeur musquée de ses sécrétions. Anna grogna de désir et ma langue partit enfin à la découverte de ses lèvres gonflées. Ce goût nouveau pour moi était l’aphrodisiaque le plus puissant que j’aie connu, et cela dopa mon imagination. Loin de ce que j’avais imaginé, mon premier cunnilingus fut tout de même si excitant que rapidement j’eus envie qu’Anna s’occupât de moi. Mais pour le moment je pris soin de ne pas la décevoir, et ses gémissements me donnèrent confiance en moi. Ma chérie était sportive, même dans ses rapports amoureux, et n’eut pas beaucoup de gestes tendres à mon endroit tandis que je m’appliquais à la satisfaire.
Je fus parfois repoussée puis attirée, mise sur le ventre ou sur le dos avec la seule consigne de ne pas quitter son sexe de ma bouche rendue douloureuse à force de caresser. Notre corps-à-corps fut somme toute assez bref car la belle était gourmande et pressée d’en finir a priori. Finalement, Anna jouit, assise sur mon visage, dans un cri guttural en lâchant de longs flots de cyprine qui poissèrent mes cheveux, avant de retomber essoufflée sur les draps froissés. Un peu étonnée par cette étreinte loin de celle que j’avais imaginée, je me sentis tout de même heureuse de l’avoir fait jouir malgré mon inexpérience.
Plus tard sous la douche, Anna, les larmes aux yeux, me demanda pardon pour la violence de notre élan. Je le lui accordai volontiers, d’autant que la belle me fit à nouveau jouir avec, cette fois-ci, une tendresse de bon aloi…
En la quittant une heure plus tard, je marchais vers ma voiture l’esprit et le corps tout retournés par les sensations inattendues que je venais de vivre et qui faisaient de moi une femme différente.