n° 17754 | Fiche technique | 14339 caractères | 14339Temps de lecture estimé : 9 mn | 25/01/17 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Samia et Stéphanie ont abandonné Thierry. Les deux amoureuses fêtent leur amour dans le fameux Bonsaï hotel... | ||||
Critères: ff couleurs hotel intermast cunnilingu 69 fdanus | ||||
Auteur : Olivier J. (Et n'oubliez pas d'aller voir mon Blog, Le point Q !) |
Épisode précédent | Série : Samia Chapitre 06 / 06 | FIN de la série |
Dans Les amoureuses, Stéphanie et Samia se sont senties attirées l’une par l’autre. Après moult hésitations, elles se sont avoué leurs sentiments mutuels. Elles ont fait l’amour, et ensuite Samia est rentrée chez elle.
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La scène est presque familière pour Samia. Le SMS la prévient qu’elle est attendue. Elle porte sa nouvelle tenue spéciale « partie de cul » : un ensemble de lingerie rose pâle (string, soutien-gorge, body et porte-jarretelles) avec par-dessus un plus sage pantalon noir taille basse et un pull moulant blanc. Elle vérifie une dernière fois son maquillage et sa coupe. « Est-ce que ça va lui plaire ? » Elle descend les escaliers (son immeuble n’a pas d’ascenseur) quatre à quatre. Un peu par peur que ses voisins la voient comme ça, et un peu parce qu’elle est excitée par la suite du programme… La voiture est juste devant. Elle se jette dedans. Une petite bise sur les joues. L’autre cherche ses lèvres :
Comme d’habitude, lorsqu’elle s’éloigne de chez elle, Samia se fait plus câline. Elle ose poser sa main sur la cuisse du conducteur. Une main qui s’aventure toujours plus haut… La caresse est agréable, mais il y a du trafic et c’est dangereux.
Quelques minutes plus tard, la voiture entre dans le parking souterrain. Samia n’en peut plus. Elle couvre son amante de baisers. L’autre ne pense qu’à monter à la réception pour prendre la chambre ! Le réceptionniste scrute le couple avec un air narquois. Il se doute bien du but de leur séjour dans l’établissement… Une fois la clef remise, le couple disparaît. Samia, parce qu’elle a envie de faire l’amour ; Stéphanie, parce qu’elle a honte d’aller faire l’amour dans un hôtel.
Dans le miroir de l’ascenseur, elle remarque une belle trace de rouge à lèvres sur ses joues. Voilà pourquoi le réceptionniste ricanait tant ! En ce moment, elle ne se reconnaît plus. Pour la première fois depuis la fac, elle porte les cheveux longs. Elle préfère désormais les pantalons moulants aux jeans amples. Quant à sa collection de chemisettes blanches et de sous-vêtements en coton, elle est au placard. Ce qui ne change pas, c’est sa pudeur : même avec les hommes, elle n’aime pas les baisers trop intenses en public. Quant à oser embrasser une fille en pleine rue…
À peine la porte de la chambre refermée, Samia prend la Bretonne dans ses bras et lui roule un patin. Depuis le temps qu’elle en avait envie ! Elle veut lui faire de longs baisers et lui faire l’amour aussi. Entre les bras de la brune, Stéphanie se sent libérée. Elle qui est d’ordinaire froide et mesurée se découvre voluptueuse. Avec cette femme, dans cette chambre, elles peuvent enfin être elles-mêmes. Néanmoins, Samia ne perd pas le nord et elle a bien vu que la Bretonne est venue avec un sac de courses…
Comme avec Thierry, elle a exigé qu’elle fasse des courses au préalable. Mais le sac Monoprix ne contient pas les marchandises prévues…
La Bretonne ne sait pas mentir. Effectivement, elle trouve que l’Algérienne a quelques kilos en trop et elle compte bien y remédier. Mais pas trop, car elle aussi elle est hypnotisée par ses fesses rebondies… En attendant, elle ouvre le rosé et les deux femmes trinquent. Stéphanie n’a pas l’habitude de boire et elle sent que le décor tourne. Elle s’allonge, le dos contre la tête de lit et enlève son pull (car elle a chaud.) La voici en soutien-gorge. Elle réalise son impudeur et veut se cacher… Puis elle se souvient que l’autre femme, c’est sa maîtresse… Samia vient se lover contre elle :
La brune dépose un baiser sur l’un des seins laiteux, puis elle le sort du soutien-gorge pour embrasser le téton, puis le lécher délicatement. La Bretonne ne sait plus si c’est le vin blanc ou son amie qui la fait monter au ciel. Pendant ce temps, Samia a enlevé son pull. Elle met ses seins – nettement moins volumineux – devant le visage de son amie. Le message est clair. Stéphanie lui enlève son soutien-gorge et elle embrasse le creux des seins, avec timidité, avant d’oser s’attaquer à un téton. La langue est maladroite et elle ne sait pas quoi faire de ses mains. Elle a encore des progrès à faire dans les jeux saphiques… Son amante est magnanime. Ce qui compte, c’est d’être avec elle, comme si le reste du monde n’existait plus…
La température monte et elle veut finir de se déshabiller. Elle s’assoit au bord du lit, enlève son pantalon. Stéphanie l’imite. C’est maintenant l’Algérienne qui est allongée. La Bretonne se jette sur son bassin. Elle veut se rattraper pour ses bisous maladroits sur les seins. Elle ôte délicatement le string rose de son amie, lui écarte les cuisses, puis elle plonge sa tête. La voilà face au coquillage de la belle Maghrébine.
Là, par contre, Stéphanie sent qu’elle a moins d’appréhensions et de tabous que la dernière fois. Elle le lèche goulûment, titillant les grosses lèvres qui finissent par s’ouvrir comme un rideau. Elle peut alors déguster le nectar de sa maîtresse. Samia est au septième ciel. Elle penche la tête et apprécie la scène : elle, nue, avec Stéphanie, également nue, à quatre pattes entre ses cuisses, la croupe relevée. Elle admire son dos constellé de taches de rousseur, et au bout, ses fesses écartées. Quelle vision très cochonne ! L’Arabe a une idée. Elle bouge, et instinctivement Stéphanie se relève. Sa partenaire lui dit :
Samia se met au pied du lit, derrière la Bretonne. Elle a une vue panoramique sur sa croupe. Ni une, ni deux, elle plonge son visage dans la vulve tout en pétrissant ces fesses musclées. Elle aspire les petites lèvres. Elle donne aussi quelques coups de langue sur l’anus, fermé à double tour. Elle veut aussi jouer avec les seins de sa partenaire. Stéphanie se sent impudique, ouverte aux quatre vents. En même temps, son amante est une vraie experte du cunnilingus…
Les paupières mi-closes, elle se sent partir au septième ciel. Elle essaie quand même de prendre des notes sur ce que lui fait Samia afin d’améliorer sa propre technique. Mais son esprit est brumeux. Sa moule est complètement ouverte et complètement baveuse. Son ventre est en feu… Mais sa bouche aussi ! La brune ne comprend pas ce qui lui arrive : alors qu’elle était en train de faire des bisous aux poils châtain de la fourrure intime de sa maîtresse, voilà qu’elle se retrouve avec cette dernière sous elle ! Les voilà tête-bêche pour un soixante-neuf très coquin. Toutes les deux, elles mettent tout leur savoir-faire à dévorer le sexe de l’autre. Plus l’une prend du plaisir, plus elle veut en donner à l’autre.
Elles découvrent qu’au lit, leurs goûts sont différents. La Bretonne, en-dessous, préfère que l’on butine ses lèvres et son clitoris alors que l’Algérienne aime davantage qu’une langue, voire un doigt, s’aventure dans son vagin, et ses petits seins sont très sensibles… Stéphanie, qui faisait l’amour avec Thierry dans le noir, est excitée à l’idée qu’une autre voie son sexe en gros plan. Samia, elle, est émoustillé par le côté transgressif de l’homosexualité et le fait de sentir contre sa peau le corps d’une autre femme. Ce corps d’un blanc virginal avec lequel elle fait des cochonneries.
Après avoir bu le suc de l’autre jusqu’à plus soif, elles sont repues. Les deux amoureuses se retrouvent alors dans les bras l’une de l’autre, se caressant tendrement les bras. Leurs cheveux sont défaits, les maquillages ont coulé et les visages gardent l’odeur du sexe de l’autre. Elles ont joui plusieurs fois, mais elles savent que ce n’est qu’un début. Elles sentent encore le feu en elles. Samia lui susurre à l’oreille :
Timidement, Stéphanie glisse deux doigts entre les fesses caramel de l’Algérienne. Ses doigts caressent la raie à la recherche du cratère. Puis ils trouvent l’entrée. Stéphanie rentre tout doucement, mais Samia ondule du bassin pour que les doigts la pénètrent au maximum. La Bretonne a écarté les jambes ; comme ça, lorsque l’Algérienne se cambre, les pubis se touchent. La brune ne s’est pas rasée depuis quelques jours et son mont de Vénus est constellé de poils durs microscopiques. Lorsque la Bretonne les sent sur elle, c’est comme un choc électrique.
Samia adore sentir quelque chose dans ses fesses. Elle veut rendre la pareille à son amie. Elle mouille délicatement un doigt et caresse sa corolle avec. Stéphanie ressent alors des sensations inédites. En revanche, son anus est fermé à double tour. Ce n’est pas aujourd’hui que Samia l’initiera aux plaisirs de la sodomie digitale… Pour se faire pardonner, elle se relève, met de la musique traditionnelle et entame une danse du ventre, dans la chambre. Stéphanie ose à peine regarder ce bassin nu qui se trémousse sous ses yeux ou cette poitrine aux tétons qui pointent. Elle préfère regarder les grands yeux noirs de la danseuse qui lui envoie des regards de braise. À la fin de la danse, Samia est essoufflée. Stéphanie embrasse son corps caramel. Elle a transpiré, et sa peau a une odeur poivrée.
Maladroitement, elles s’installent en ciseau, face à face, et se frottent la vulve. La Bretonne sent une nouvelle montée de plaisir. C’est si excitant de sentir l’intimité de l’autre contre sa propre intimité… L’inconvénient de cette position, c’est que son amie est loin d’elle. Elle veut sa bouche et elle s’allonge sur l’Algérienne, puis elle effectue une roulé-boulé et Samia se retrouve au-dessus. Elle se relève un peu pour ne pas peser de tout son poids sur sa maîtresse (par peur de l’écraser).
Tout en l’embrassant, l’Arabe lui caresse son ventre plat. Par hasard, elle se retrouve sur son delta. Samia décide alors de lui masser le clitoris. L’effet est immédiat : Stéphanie a la bouche béante et les yeux exorbités. Elle prend sa partenaire par la hanche, comme pour s’agripper à elle. Elle jouit bruyamment. Lorsqu’elle a fini, elle a le souffle court, comme si elle venait de courir un 100 mètres. Avec ce qui lui reste de forces, elle insère deux doigts dans la vulve déjà moite de sa partenaire. Samia était déjà au bord du gouffre, et cette pénétration est suffisante pour la faire jouir elle aussi. Elle s’effondre sur Stéphanie. Les deux amoureuses se glissent sous les draps et elles restent ensuite allongées, l’une à côté de l’autre, en se tenant par la main. Stéphanie est sur le dos, et Samia sur le ventre. Elles s’endorment brièvement, dans cette position.
Lorsque la brune se réveille, il fait nuit et les lumières de la ville éclairent la chambre. Elle s’étonne que la Bretonne soit toujours là :
Samia lance un regard triste à son amante. Elle lui répond en lui déposant un tendre baiser sur ses lèvres et elle poursuit :
En guise de menaces, elle tapote les fesses rebondies de l’Algérienne. Cette dernière réplique d’un air malicieux :
Stéphanie ne comprend pas le sous-entendu. Les deux femmes se prennent dans les bras. La nuit ne fait que commencer. Par contre, cette histoire se finit et nous laissons ces deux amoureuses à leur découverte de l’amour au féminin pluriel…
FIN