n° 17793 | Fiche technique | 50671 caractères | 50671Temps de lecture estimé : 28 mn | 18/02/17 |
Résumé: Comme à mon habitude, je suis confortablement installé dans mon fauteuil en cuir grenat. Agenouillée entre mes jambes écartées, ma soumise est en train de me sucer langoureusement. | ||||
Critères: fh fhhh couple extraoffre fsoumise exhib hmast facial fellation cunnilingu pénétratio double fsodo gangbang sm -fhhh | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Histoire d'M Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Après la première partie axée initiation, voici venir la seconde partie dans laquelle les protagonistes sont passés au cran supérieur.
Bonne lecture…
Comme à mon habitude, je suis confortablement installé dans mon fauteuil en cuir grenat. Agenouillée entre mes jambes écartées, ma soumise est en train de me sucer langoureusement. Elle fait ça très bien, elle sait à présent manier sensuellement sa langue et choyer ma bite qui adore ce genre d’attention. Il m’est déjà arrivé plus d’une fois de regarder la télé ou de lire un livre tandis qu’elle me pratique une longue et belle fellation. Caressant ses cheveux, je la félicite :
Je me contrôle encore un peu, quelques secondes de plus, histoire de bien profiter, de savourer ! C’est si bon ! Puis, n’y tenant plus, je décide de lâcher les vannes, éjaculant dans cette bouche qui me donne tant de plaisir ! Mes salves tapissent son palais en longs jaillissements épais, elle avale tout ce sperme chaud que je lui donne. Ma bite faiblit, mais elle continue toujours sa délicieuse sucette autour, me nettoyant, me lustrant pour me remettre à neuf.
J’aime ces moments suspendus durant lesquels je m’écoule entre ses lèvres suaves, elle ma soumise, mon adorable objet, mon beau bibelot sexuel. Et les bonnes choses sont parfois les plus courtes…
On ne vit pas impunément avec une femme adorable sans qu’il n’y ait un retour de bâton. Oui, c’est vrai, notre relation était au départ une relation Maître-soumise, mais dès le début, les choses étaient faussées, je savais que Mélanie était, et reste, parfaitement à mon goût.
Un beau jour, il a bien fallu que je lui avoue que je voulais encore plus d’elle. Elle était ma soumise, j’avais à ma disposition son corps, sa docilité, son obéissance, mais je voulais aussi son amour, pas celui d’une chienne envers son Maître, mais celui d’une femme. Sa réponse fut très simple :
C’est alors que j’ai réalisé que je n’étais pas vraiment le Maître du jeu…
Depuis, il a fallu mettre au point notre vie commune. Nous restons globalement sur notre axe Domination/soumission, avec des aménagements indispensables liés au quotidien. Nous ne souhaitons pas que tout le monde sache la nature un peu spéciale de nos relations. Seules quelques personnes du milieu BDSM sont au courant, les autres n’ont pas à savoir ; d’ailleurs, le sachant, comprendraient-ils ?
Cet après-midi, nous sommes tous les deux allongés dans le lit pour une petite sieste. Ma compagne vient d’achever de lire son roman. Elle est nue comme souvent, j’ai conservé un simple short. Nous regardons le plafond, sans mot dire. C’est Mélanie qui rompt le silence :
Délicatement, elle prend ma main dans la sienne :
Elle tourne la tête vers moi, souriant :
Je tourne la tête vers elle :
Je me mets prestement sur le côté et je commence à balader mes mains sur son corps dénudé. Elle se contente de rire un peu, se laissant faire. Je sais que ça l’amuse qu’elle soit l’objet de mon désir et de bien plus encore.
En très peu de temps, je suis entre ses cuisses largement ouvertes. Foin des préliminaires ! De toute façon, je la veux, et je sais qu’elle me veut. Ça manque peut-être cette fois-ci de romantisme, mais il y aura d’autres occasions. Je me suis débarrassé en quatrième vitesse de tout ce qui pouvait me gêner, je présente alors mon sexe bien dur face à sa fente luisante. Je m’introduis sans effort ; il est flagrant qu’elle m’attendait en elle. Je m’offre quelques allers et retours dans son antre si chaud, puis je décide de sortir afin de me frotter vicieusement entre ses lèvres, cognant son clitoris. Puis ajustant mon angle de tir, je fais coulisser toute ma tige contre son bouton rose ; elle frémit, ses yeux pétillent. Je sais qu’elle aime ça, et moi, j’aime quand elle aime ce que je lui fais subir !
Coulissant sans relâche entre ses cuisses, m’astiquant éhontément sur son sexe moite, ma bite caressée par ses lèvres intimes qui l’entourent, les yeux fermés, je frotte mon frein contre son clitoris en feu, dans une débauche de cyprine.
Elle gémit, je continue. Elle ferme les yeux pour se concentrer sur son plaisir tandis que j’essaye de me retenir. Qui cédera le premier ? Elle ? Moi ?
Encore un coup, puis un autre. La friction devient infernale, c’est très difficile de ne pas se laisser aller, c’est même trop difficile ! Yeux toujours fermés, je serre les dents. Je résisterai, car c’est moi le Maître, c’est moi qui mène la danse !
Soudain elle pousse un premier cri inarticulé. Je sais alors que j’ai gagné ! À travers le brouillard de mes sens, je l’entends commencer à jouir comme une petite folle, son corps agité de mille tremblements de plaisir. J’ouvre les yeux : j’adore regarder ma victoire, la voir se laisser aller ainsi !
Je n’y tiens plus ! Je me laisse aller, j’éjacule mon premier jet sur son ventre. Puis je me redresse afin que les autres salves puissent aller plus loin. Certaines meurent encore sur son ventre tandis que d’autres s’écrasent mollement sur ses seins. Je soupire bruyamment ; ça fait du bien de se vider ainsi tout en la souillant de la sorte…
Je me vide, me soulageant de tout ce que j’ai en moi, je la macule de sperme, partout…
Pour finir, afin de bien marquer ma possession, lentement je frotte mon pénis, à présent défaillant, sur sa peau si douce, y laissant une trace luisante… ma trace, mon empreinte, ma signature en quelque sorte.
Ma soumise aime faire la cuisine et elle fait ça très bien. Et moi, je ne suis absolument pas contre, car ses petits plats sont excellents, même s’il faut que je fasse attention car je risquerais de vite prendre quelques kilos indésirables. Je lui ai donc appris à modérer sur les sauces et autres substances grasses. Mais elle arrive toujours, avec presque rien, à vous mijoter un plat délicieux. Elle est aussi douée pour la cuisine que pour les amusements sexuels. Bref, une spécialiste de la bouche en quelque sorte !
Comme j’aime joindre l’utile à l’agréable, sur mon ordre, elle cuisine souvent simplement vêtue d’un tablier, ou parfois en soubrette. Ce qui est très agréable pour les yeux. D’ailleurs, quand nous recevons pour nos jeux, c’est ainsi habillée qu’elle s’affaire en cuisine puis qu’elle fait le service. De plus, comme il n’y a pas de réelle séparation entre la cuisine et la salle à manger, tout le monde profite du spectacle de son mignon popotin qui s’agite tandis qu’elle s’occupe de ses plats en train de cuire…
Et parfois ça excite tellement nos invités qu’ils ne font pas honneur à sa bonne cuisine ! Ils loupent franchement quelque chose, même si déguster ma soumise est particulièrement bon ! Je me demande même si ça vaut le coup de faire un repas dans pareilles circonstances ! Autant se limiter à quelques biscuits apéritifs, ça coûterait moins cher, en plus…
Encore heureux qu’il existe encore des vrais gourmets, ceux et celles qui savent prendre le temps, déguster aussi bien des yeux et de la bouche, avant d’en venir éventuellement aux mains ! Nous avons quelques couples amis ainsi que quelques hommes seuls qui sont adeptes de cette façon de voir les choses.
Nous avons pu faire quelques soirées bien senties chez nous et parfois ailleurs. Parfois, ma petite chienne n’était pas la seule au service. Parfois, il y a avait un thème. Par diverses fois, elle fut la table sur laquelle nous avons dégusté nos petits plats. Sans parler d’amusements variés comme faire déguster ses seins pleins de mousse au chocolat ou de crème. Sans parler du dessert fourni sous la table…
Ah, le dessert sous la table ou dans la cage ! Pour l’anecdote, il n’est pas rare que je serve l’apéritif, un plateau posé sur la grande cage aux barreaux d’acier (racheté auprès d’un Maître qui se rangeait), ma petite chienne enfermée dedans. Nous, les hommes (et parfois les femmes) installés autour sur nos haut tabourets de bar, jambes écartées, et elle qui nous suce suavement à travers les barreaux. Certains hommes m’en parlent depuis des années comme étant l’un de leurs plus beaux souvenirs. Souvenir qu’ils aiment revivre…
Elle en a les yeux qui luisent ! Et de moins en moins de complexes !
Ces derniers temps, ce sont en effet plutôt des soirées apéritives que nous avons organisées. C’est plus simple à mettre en place, moins coûteux aussi, pour un résultat final qui n’est jamais triste, quoi qu’il arrive. D’ailleurs, il n’est pas rare qu’au lieu de partir dans un club comme c’était prévu initialement, nous sommes tous restés sur place, et la nuit fut particulièrement chaude ! Que ne pourrais-je raconter si un jour j’écris nos mémoires, celles des turpitudes subies par ma soumise et celles que je lui inflige !
Parfois, j’offre ma petite chienne à d’autres hommes, voire d’autres femmes. Pas n’importe lesquels. Je fais une sérieuse sélection car on n’offre pas comme ça son plus beau jouet à n’importe qui. De plus, comme je connais ses préférences, j’en tiens compte afin qu’elle y trouve largement son compte. Il y a mon plaisir et il y a aussi le sien.
Après quelques contacts et dialogues, j’ai trouvé de quoi nous occuper prochainement. Le résultat s’affiche d’ailleurs sur la tablette que j’ai en main. Il convient de passer à la concrétisation de la chose. Je lance :
Elle arrive aussitôt :
Mélanie me regarde sans trop comprendre. Je lui explique :
Son regard brille. Elle s’incline :
Je tends ma tablette dans sa direction. Elle s’approche puis s’exclame :
L’homme en question est plutôt massif et musclé, on dirait un lutteur de catch. De plus, il semble nettement plus grand que la moyenne, à moins que l’arrière-plan ne soit trompeur. Mais je ne serais pas étonné d’avoir affaire à un géant. J’ai souvenir que certains lutteurs dépassent les deux mètres, ce qui est peut être le cas ici. Tout au moins, cet homme semble mesurer au moins un mètre quatre-vingt-dix. J’aurais dû demander sa taille, mais j’ai oublié…
Mais Mélanie a l’esprit pratique, elle est déjà passée aux impératifs d’ordre technique :
Vendredi est arrivé assez vite. Ce jour-là, Mélanie est rentrée un peu avant dix-neuf heures, ce qui lui a laissé un peu de temps pour respirer et se reposer avant que sonnent les vingt heures fatidiques. De mon côté, comme toujours, j’ai préparé et planifié ce qu’il y avait à faire afin que tout puisse bien se passer par la suite. Je n’aime trop laisser des incertitudes dans ce genre de séance, et Mélanie me fait justement confiance parce que j’essaye de pallier le tout.
À vingt heures exactement la sonnette retentit. Ils sont ponctuels ! Ce qui est déjà un bon point. Comme souvent, c’est ma femme qui ouvre aux invités, ce qui met tout de suite tout le monde dans le bain.
Il faut dire que la tenue de ma petite chienne est très évocatrice de la suite des événements. Les trois invités la dévorent du regard. De mon côté, je me sens petit face à ces montagnes dont la plus petite doit faire au moins un mètre quatre-vingt-dix. Sans parler de leurs carrures et l’apparent diamètre des biceps !
Mélanie est vêtue d’un serre-taille noir qui s’arrête sous le nombril et qui dévoile et soutient ses seins. Trois lanières, noires elles aussi, s’attachent à une sorte de collier fixé à son cou, une à droite du sein droit, une à gauche du sein gauche et une au milieu, ce qui sépare bien sa belle poitrine en deux masses distinctes. Plus bas, uniquement une paire de bas autofixants ébène et des chaussures, elles aussi noires, à talons aiguilles. Aucune culotte, ni string, pour cacher un mignon popotin rebondi et un pubis lisse…
Rompant le silence admiratif, le grand blond (Robert, si je me souviens bien) me demande :
Aussitôt dit, aussitôt fait, ma petite chienne reçoit de tout le monde des bisous sur ses seins. Certains sont très appuyés, parfois presque baveux, d’autres sont à la limite du suçon. Ses tétons sont à présent bien dressés, ne laissant pas beaucoup de doute sur l’état excité de leur propriétaire…
Il est flagrant que certains pantalons sont devenus un peu petits, quelque chose par dessous souhaitant avoir plus de place. Je me fais la réflexion que parmi nos trois invités, au moins l’un d’entre eux est très bien proportionné, si j’en crois le bâton tendu parfaitement distinct sous le tissu. Je constate aussi au regard de Mélanie qu’elle a dû se faire la même réflexion que moi.
Nous passons au salon prendre un petit verre. Nos invités décollent difficilement leurs yeux de ma chère petite chienne. On dirait que c’est la première fois qu’ils voient une femme un peu dévêtue ; pourtant ils ne sont plus des ados depuis bien longtemps ! Je mémorise les trois prénoms : Robert est bien le blond, Bruno le brun, et Olivier le chauve. C’est Robert qui m’explique un truc :
Mélanie et moi sourions. Je pense que j’ai bien choisi ; ces trois individus semblent former une bonne petite équipe avec laquelle il y aura bien des choses à faire par la suite. Mais ne concluons pas trop vite et voyons comment les événements vont se dérouler. Justement, il est temps de commencer dans le vif du sujet.
Sur mon commandement, sous l’œil étonné de nos invités, Mélanie s’allonge sur la table basse, puis quand elle est bien immobile, je dépose ci et là sur son corps quelques petits gâteaux et autres petits fours. Pour faire bonne mesure, je verse quelques biscuits apéritifs dans le triangle formé par son pubis et ses jambes serrées.
Olivier, le chauve, ne dit rien ; il se sert sur le corps de Mélanie, sans oublier de la caresser un peu au passage. Les deux autres l’imitent aussitôt.
Nous devisons un certain temps tandis que Mélanie reste immobile. Je vois bien que mes invités aimeraient bien égarer leurs mains sur cette table vivante. Alors je les convie à tâter le mobilier :
Ils ne se font pas prier ! L’instant d’après, ma petite chienne est caressée de la tête aux pieds, ses seins surtout. Les fines lanières qui barraient sa poitrine ont été écartées sur le côté afin de mieux libérer ses deux globes laiteux. Ceux-ci sont cajolés, palpés, malaxés, étirés par des mains larges et avides. Souvent, Olivier se sert dans le creux du pubis, sans doute avec l’arrière-pensée de dévoiler le triangle intime qui se cache encore sous les biscuits.
Les trois hommes ne semblent pas pressés de finir leur boisson, mais ne négligent pas de croquer à la fois les biscuits et les formes de Mélanie. Puis arrive le moment où son corps est libéré de ces diverses nourritures. Sous l’insistance des doigts d’Olivier, ma femme écarte un peu les jambes. Aussitôt, une main avide entame une certaine exploration. Bruno s’exclame :
Ma petite chienne se laisse lutiner de la sorte ; elle apprécie visiblement ces larges mains qui frôlent, qui caressent, qui saisissent, qui pétrissent ses appas. C’est un beau spectacle que de voir sa compagne être appréciée de la sorte. Puis, après quelques instants, je décide de passer à l’étape suivante :
Lentement, elle s’exécute, se redressant précautionneusement, puis une fois debout, elle s’étire comme une chatte. Être allongée de la sorte l’a un peu ankylosée. Nos trois invités n’ont rien perdu du spectacle qu’elle vient d’offrir…
Et d’un commun accord, ils se délestent du bas de leurs vêtements. Mélanie semble très intéressée par ce qu’elle va bientôt découvrir. Ce qui ne tarde pas. Admirative, elle hoche la tête quand elle découvre l’engin déjà bien dressé de Robert.
Je sais bien que la carrure d’un homme n’a rien à voir avec la taille et la grosseur de son sexe. Je sais aussi que les muscles apparents des biceps (et d’ailleurs) n’influent en rien sur ce qu’il y a sous le slip ; d’ailleurs une verge n’est pas un muscle et encore moins un os, mais maintenant qu’ils sont nus, il faut reconnaître que mes trois gaillards sont bien équipés !
De quoi faire peur à certaines femmes !
Par contre, ce n’est pas précisément de la peur que je découvre dans les yeux de Mélanie ! Ça rimerait plutôt avec envie ! D’ailleurs, elle ne se prive pas de prendre en main les trois bâtons de chair qui sont à sa disposition, les flattant, les enserrant, les caressant puis les branlant doucement, sensuellement.
Puis s’enhardissant, elle dépose ci et là quelques baisers de plus en plus appuyés. Ensuite, à la grande satisfaction de tous, elle fait glisser une première bite entre ses lèvres et commence une sucette suave. Comme ma petite chienne est très équitable, chacun de nos trois invités a droit à sa petite léchouille. Petite léchouille, c’est un euphémisme : Mélanie ne se prive pas d’y aller de bon cœur ! Mais je sais qu’en tant qu’hôtesse, elle veille au bien-être de nos invités.
Tout en étant sucé de bien belle façon par ma petite chienne, juste après un long soupir d’aise, Bruno, le grand brun, se tourne vers moi :
Toujours docile, ma petite chienne change de sucette et s’applique tout autant, arrachant à nouveau d’autres soupirs d’aise. Momentanément délaissé, le grand brun s’approche de moi :
Je lui tape sur l’épaule :
Je ris franchement. Toujours occupée à sa fellation, ma petite chienne tourne un peu la tête vers moi, m’interrogeant du regard. Je lui explique :
Extirpant de sa bouche la grosse queue raide qu’elle suçait, ma petite chienne me répond simplement :
Ouvrant les bras, Bruno s’exclame :
Durant ce temps, ma femme enfourne à nouveau entre ses lèvres humides la grosse queue qui lui servait de sucette. Bruno hoche la tête en voyant ça, puis lâche :
Un peu intrigué, je demande à mon voisin :
Mélanie continue ses diverses fellations avec application. Elle lèche les tiges chaudes, gobe parfois les couilles rondouillettes, trace du bout de sa langue des chemins de salive du bout des verges à l’orée des anus. Et certains aiment beaucoup qu’on les titille à cet endroit interdit.
C’est Bruno qui prend l’initiative de passer à la suite. Il s’allonge sur le canapé, verge tendue vers le plafond puis ordonne :
Agissant de façon naturelle, Mélanie enjambe l’homme couché, et sans plus de fioritures elle se cale sur le gros gland. Tout en regardant Bruno dans les yeux, elle se laisse coulisser autour du pieu, et en peu de temps la large queue a disparu entièrement dans ses entrailles. Elle s’offre ensuite le luxe de demander :
Bruno commence à la pistonner légèrement. Je vois bien que la grosseur du pieu gêne un peu ma petite chienne ; elle résiste vaillamment. Soudain son partenaire s’arrête de bouger :
Bruno tend le bras vers Olivier, le chauve :
Puis il s’adresse à nouveau à ma femme :
Tandis que, lubrifiant en main, Olivier se positionne derrière elle, Mélanie lève ostensiblement les fesses, prête à recevoir le long engin de chair. Durant ce temps, Robert se poste à deux doigts de son visage, bite bien dressée. Bruno recommence tout doucement son mouvement de va-et-vient.
Olivier badigeonne son gland de lubrifiant et essuie carrément ses doigts dans la raie des fesses de ma soumise. Sereinement, il positionne son engin juste à la petite entrée tandis que Mélanie écarte consciencieusement une fesse de sa main droite, l’autre restant en appui sur le canapé. Un léger coup de bassin et voici la longue queue qui entre partiellement et sans trop d’effort dans les profondeurs de ma femme. Un peu tendue, elle soupire, tandis que plus bas Bruno accélère son pistolage dans sa chatte.
Derrière elle, Olivier continue sa lente exploration, enfonçant centimètre par centimètre sa verge dans le sombre tunnel. Mélanie, investie par ses deux gros engins, se cabre sous l’intensité de cette double pénétration en elle.
Posant sa verge sur les lèvres de Mélanie, Robert explique muettement ce qu’il attend d’elle. Complaisante, ma petite chienne enfourne aussitôt le membre de chair pour lui appliquer une belle fellation bien humide.
Quel beau tableau final ! Ma soumise entreprise par trois hommes vigoureux, comblée par toutes ses ouvertures, une bite énorme dans sa chatte baveuse qui la ramone furieusement, une autre qui lui défonce le petit trou tout en longueur, et une dernière entre ses lèvres, un gros tube de chair plein à exploser et à inonder sa bouche si accueillante !
Les trois hommes sont au bord de l’explosion. Ma petite chienne est secouée de partout, tel un frêle navire sur une mer déchaînée. Qu’elle semble fragile et bien peu de chose entre ces trois mastodontes tout en sueur et en agitation frénétique !
Soudain un premier homme explose dans un grand râle de jouissance. C’est alors le signal pour les deux autres de se laisser aller à leur tour. D’où je suis, je peux presque imaginer les trois orifices de ma soumise se remplir de sperme. C’est hautement jouissif ! Alors, queue tendue à mort en main, je m’approche du visage de ma petite chienne ; celle-ci me dévisage d’un regard trouble, la bouche en train d’avaler le foutre qui s’y déverse. À mon tour, j’éjacule sur son visage, admirant mes traînées blanchâtres dégouliner sur ses joues avant d’aller d’écraser au sol !
Tout le monde se repose, vidé, épuisé. Quand je constate que chacun a plus ou moins repris ses esprits, je lance :
Alors qu’il continue de peloter sans vergogne ma soumise alanguie et encore épuisée par son triple exploit, Bruno se lance :
Après un certain flottement, les deux autres acquiescent. Mélanie est visiblement intriguée, mais elle ne dit rien, me faisant confiance. Je poursuis :
À nouveau, Bruno intervient, lui tapant sur l’épaule :
Puis, sa main toujours sur l’épaule de son comparse, il se tourne vers moi :
Je ris franchement :
Je demande à ma soumise de revêtir une simple robe légère. Elle s’exécute tout en se remaquillant un peu. Et c’est à deux voitures que nous nous dirigeons vers le restaurant choisi par mes soins, ma petite chienne étant dans l’autre voiture, et je suppose qu’elle est en train de faire quelques privautés…
J’en ai la confirmation quand nous arrivons. Olivier, qui était avec elle, me confie :
Derrière lui, Mélanie se fait à présent lutiner par Robert qui était monté avec moi ; il rattrape le temps perdu. Olivier se gratte la tête :
Peu après, nous sommes attablés dans un restau italien. Nous avons choisi une table un peu en retrait. Installée dans l’angle de la salle, Mélanie est encadrée par Olivier et Robert, le troisième larron, Bruno, lui faisant face. Je comprends très vite que ses deux voisins laissent leurs mains se balader impunément sur ma compagne. Quant à Bruno, il semble visiblement très content. Je ne tarde pas à savoir pourquoi ; c’est lui-même qui m’explique en catimini :
Je comprends mieux les frémissements de la nappe. Mélanie me regarde avec un large sourire et des yeux brillants. Son visage lumineux respire la lubricité ; c’est assez étonnant, mais compréhensible !
Le repas se passe très bien, même si parfois certains soupirs étranges se font discrètement entendre, aussi bien du côté masculin que du côté féminin. Et diverses fois je vois de larges sourires éclairer les visages. Bruno me confie :
Puis les desserts arrivent. C’est alors que Mélanie glisse sous la table sous le regard étonné de nos invités. Ils ne mettent pas longtemps à comprendre ; c’est Olivier qui, le premier, a droit à un autre dessert, gâterie très à son goût si j’en crois son actuelle expression. Entre deux cuillerées, Bruno se penche à nouveau sur moi :
Tour à tour, tous les hommes y passent. Il est flagrant qu’ils finissent par jouir, sans toutefois faire trop de bruit. Alors que nous ne l’attendions pas, le serveur vient à notre table pour voir si tout va bien. C’est à ce moment précis que Mélanie, une fois son service souterrain achevé, émerge de dessous de la table, la bouche et le menton luisants. Sans se démonter, elle s’assied puis elle s’essuie négligemment le bas du visage avec sa serviette, sous l’œil éberlué du serveur, pour ensuite entamer sa crème brûlée…
Nos trois invités sont particulièrement impressionnés par son calme olympien, puis, une fois le serveur éloigné, ils partent dans un grand éclat de rire collectif.
Nous sommes sortis du restaurant, et nous nous dirigeons vers nos voitures. Une fois de plus, je pars en avant pour indiquer la route tandis que Mélanie monte dans l’autre voiture. Alors que nous sommes presque arrivés, je bifurque puis, après deux kilomètres, j’immobilise mon véhicule sur une petite route isolée bordée d’arbres. La voiture qui me suit fait de même.
Tout le monde descend, et c’est Olivier qui me demande :
Je fais face au reste du groupe :
Les quatre personnes qui me font face marquent un temps d’arrêt. Puis Bruno prend la parole :
Mélanie s’approche de moi :
Elle s’exécute, enlevant lentement sa robe légère pour apparaître totalement nue, sauf ses chaussures. Le spectacle qu’elle offre sous les phares de la voiture est très excitant, ce contraste entre corps éclairé et noirceur de la nuit, ses ombres projetées… D’ailleurs, les trois hommes regardent cet effeuillage avec un grand intérêt ! Puis Mélanie jette sa robe dans ma direction ; je rattrape le tissu d’une seule main. Elle me questionne :
Je souris, suite à cette réponse latine. Bruno demande :
Bruno devint songeur. Il explique rapidement ce qui lui trotte dans la tête :
L’idée m’amuse, mais je préfère couper court :
Puis nous tournons tous nos regards vers elle. Docile, elle commence un lent effeuillage qui met tout de suite de la fête dans tous les caleçons ! Il n’y a pas à dire, ma femme sait comment s’y prendre pour faire monter la tension, et elle sait aussi parfaitement se faire désirer !
Il ne lui faut pas longtemps pour être à présent nue devant nous. Il est vrai qu’elle ne portait pas grand-chose sur elle. Mais son effeuillage lascif a été très efficace sur nos libidos ! Aussitôt, nos invités entourent ma femme, leurs mains ne sachant plus où se placer, quoi cajoler, quoi caresser sur tout ce corps offert.
Un sourire pervers aux lèvres, les yeux brillants, Mélanie se laisse faire, jouissant intérieurement de son pouvoir passif sur ces hommes avides d’elle et de ses courbes, se laissant aller à cette mer de mains, ces vagues de caresses, de frôlements, de possessions. Du grand art dans cette fausse inaction, je le reconnais.
Ces caresses durent quelques minutes, puis curieusement, les trois hommes s’écartent d’elle. Ils se regardent, s’interrogeant muettement. Je ne comprends pas bien ce qui est en train de se passer. Quelques gestes sont échangés sous nos regards étonnés. C’est en dévisageant ma femme et son expression amusée que je devine qu’ils sont en train de se mettre d’accord pour la suite.
Puis la situation se débloque. L’air décidé, Bruno s’approche de ma femme :
Obéissante, Mélanie s’aplatit sur le capot encore tiède, présentant ainsi un beau cul prêt à être défoncé. Sa délicate rondelle est encore un peu rouge de la séance d’il y a une bonne heure, et j’imagine très bien les quelques traces de sperme restées dans son conduit cannelé…
Posément, Bruno se poste derrière elle. Il sort de sa poche un lubrifiant et s’en badigeonne allégrement le sexe, puis il en fait de même avec l’anus frémissant de ma petite chienne. Ceci fait, il pose son engin dans le sillon offert et luisant.
Donnant un bref coup de reins, son gland s’enfonce dans l’anus. Mélanie sursaute un peu, mais tient le coup. Puis petit à petit, avec une savante progression faite parfois de légers retraits, je constate que la totalité de sa puissante verge est entrée dans l’intimité de ma petite chienne, et que celle-ci semble avoir très bien accepté cet énorme morceau de chair en elle. C’est assez impressionnant !
Tout comme est impressionnant le pistonnage dont ma femme fait à présent l’objet tandis qu’elle suce deux autres bites en même temps, alternant ses sucettes suaves, absorbant les queues pour les rendre luisantes de salive.
Alors que je vois sans doute possible que Bruno essaye de se retenir tant bien que mal, celui-ci se tourne vers moi pour me déclarer entre deux ahanements :
Je tente de le modérer :
Il continue à pistonner sa partenaire, ses mains agrippant ses hanches, son gros mandrin fourrageant l’étroit anus. Soudain, il clame :
Il part dans un grand râle de jouissance, semblant éjaculer des litres de foutre afin de remplir cette belle enculée si permissive. À son tour Olivier se lâche, inondant la bouche de ma femme qui tente plus ou moins bien d’absorber le flot. C’est alors que, dans un grand cri, Robert s’abandonne, éjaculant sans but précis, maculant son cou, son visage, et même son épaule. Une débauche de sperme simultanée de trois hommes qui n’en peuvent plus. Un beau spectacle !
Il n’y a pas à dire, je suis incontestablement fier de ma soumise et de son obéissance, même si je lui soupçonne fortement une indéniable tendance à aimer être une fieffée salope. Néanmoins, je me plais à imaginer d’autres soirées qui seront encore plus épiques que celle-ci.
Oh oui, plein de soirées épiques et vicieuses…
L’avenir nous le dira… mais je suis prêt à parier que oui, et ce n’est pas l’appétit vorace de ma petite chienne qui risque de me faire changer d’avis…