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Temps de lecture estimé : 18 mn
10/04/17
Résumé:  Mon métier évolue, mais il évolue, vous ne pouvez pas imaginer.
Critères:  fh ff ffh hplusag frousses rousseurs alliance fépilée forêt travail entreseins cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo hdanus humour
Auteur : Radagast      Envoi mini-message

Série : Les affres du métier de forestier

Chapitre 01 / 02
Qui va à la chasse...va à la chasse.

Mon métier n’est pas toujours de tout repos, travailler dehors, sous la pluie, la neige ou la canicule nécessite de posséder une bonne constitution.


En outre, soi-disant pour nous faciliter le travail, mais plus sûrement pour nous embarrasser, nos supérieurs nous obligent à utiliser de plus en plus l’informatique, et à passer des heures devant un ordinateur, quand ces engins diaboliques daignent fonctionner correctement.

Je ne déteste pas, mais à doses homéopathiques ou alors pour mon propre plaisir. Lorsque ces choses sont imposées, elles deviennent beaucoup moins marrantes.

Des heures assis sur une chaise inconfortable, à fixer l’écran d’un regard vide, à subir les balbutiements de formateurs aussi soporifiques qu’un discours de Balladur sous Prozac !

Il faut cependant s’y plier, ordre de nos élites, selon celles-ci nous sommes censés savoir tout faire, établir un budget ou un programme de travaux sur une bécane, tout en ne cessant pas nos anciennes fonctions, nous occuper des exploitations de bois, gérer les ouvriers, les touristes, la chasse et autres.


Parmi les autres, je m’occupe d’une vieille ferme fortifiée transformée en maison forestière de vacances pour collègues fatigués.


Une aile de cette construction tombant malheureusement en ruine, mon patron entreprit de transformer ces vestiges en gîte ; un gîte de luxe. Quatre personnes peuvent y loger à l’aise et dans le plus grand confort.


Je dois avouer que les pièces voûtées, les poutres apparentes et parquets en chêne sont du plus bel effet.

Seul problème, les chasseurs y sont prioritaires à partir de septembre. Heureusement, ils ne se bousculent pas au portillon, laissant la place à des vacanciers civilisés. Le point d’achoppement se trouve dans la literie, deux lits de deux personnes rafraîchissent les ardeurs de ces trappeurs du dimanche. Quand on vote pour Chasse-Pêche-Nature et Tradition, on ne partage pas le lit d’un autre homme.


Vers la fin du mois d’août, mon grand chef méphistophélique me convoque toutes affaires cessantes dans son quartier général avec mon collègue Louis, l’expert en cynégétique.



Il commence à m’inquiéter. Pas le mauvais bougre, ce barbu hirsute à la dégaine de bûcheron canadien, mais son esprit génère souvent des idées bizarroïdes.



Il a dû avaler un truc pas comestible notre pépère, un machin à la date limite de consommation dépassée, ou alors des psilocybes, ces champignons hallucinogènes endémiques de nos régions. Nous nous regardons mon collègue et moi, stupéfaits.



Il nous fait son sourire machiavélique, tout heureux de jouer un bon tour.



Il nous caresse dans le sens du poil. Il va nous demander du lourd.



Voilà le lourd !



Manquait plus que ça. Heureusement que mon épouse soit allée aider ma fille à déménager à l’autre bout de la France, sinon je prenais une engueulade monstre, quatre jours à trimballer des bonnes femmes, mêmes septuagénaires, jalouse comme elle est, elle serait capable de m’arracher les yeux.


Nous organisons notre semaine de corvée avec mon collègue. Départ à la chasse pour lui vers 6 heures, retour vers 21 heures, pour faire le coup du matin et le coup du soir, l’heure d’été favorisant les choses.

Moi je vais chercher ces dames à 8 heures 30, elles veulent faire la grasse matinée.


Le dimanche soir, le gus vient récupérer les clefs du gîte. Il n’a pas l’air très frais, faut pas que Louis le secoue trop fort sinon il ne repartira pas entier.

Si sa femme et sa fille sont dans le même état, ça va pas être la joie.



– Lundi –


Lundi matin je me présente à la porte du gîte, rasé de près, frais et dispos, le teint clair et la truffe humide, un petit porte-documents sous le bras, garni de moult cartes, photos et autres pense-bêtes.


La porte s’ouvre et je reste bouche bée. J’ai dû rater un épisode.

Une jeune femme en nuisette translucide m’ouvre la porte. Outre sa nuisette, elle ne porte qu’une petite culotte rose.

Elle me regarde et bâille.



La femme du débris, çà? Elle doit avoir trente ans à tout casser, et rien à jeter. Blonde aux yeux bleus, grande, un visage angélique, des rondeurs partout où il faut, pas le genre mannequin anorexique. Plutôt un modèle à la Rembrandt, une statue grecque aux seins de marbre, mes deux grosses mains auraient des difficultés à en tenir un seul.



Une autre déesse grecque apparaît à la porte. Rousse, juste une serviette devant son île au trésor. Des courbes à faire décrocher celles de la bourse, sans parler des miennes de bourses !



Je n’ai pas vu son côté face, je découvre son côté fesses.

Je suis athée, mais ne vais pas tarder à aller déposer un cierge à la chapelle la plus proche.



Me faut bien ça pour me requinquer.



Je me brûle en avalant mon café. C’est une vraie rousse. Je peux le vérifier de visu, presque de tactu tant elle est proche de moi. J’éprouve toutes les peines du monde à ne la regarder que dans ses yeux gris.



La blonde vient s’asseoir sur mes cuisses.



C’est décidé, je ne m’exprime plus que par onomatopées.





~~~




J’ignore toujours si la très belle belle-mère est une vraie blonde, vu que son mont de Vénus est aussi velu que le crâne de Fabien Barthez*, bien que beaucoup plus agréable à regarder et à caresser, je dois l’avouer.


Je ne sais pas ce que mes supérieurs avaient fumé lorsqu’ils commandèrent ce gigantesque canapé, mais je les bénis. Nous y sommes plus qu’à l’aise.

Allongée les jambes écartées, Valérie se laisse pourlécher le sphinx**, je passe la langue sur ses lèvres gonflées, je masse son pubis, frôle son pistil délicat.

Sa belle-fille assise à mes côtés regarde et apprécie mon travail de sape.



Je viens de prendre entre mes lèvres son interrupteur orgasmique tandis que mes doigts lutinent sa fente qui commence à rosir et s’inonder.

J’envoie une autre main en reconnaissance sur un sein, saisis un téton rose, heureusement je suis ambidextre.



La rouquine ne reste pas inactive, elle me caresse la tige et les boules, pour s’occuper les mains, dit-elle.


Le lundi se déroule trop vite, à faire des jeux de bouche, je passe de l’une à l’autre, je goûte, compare, savoure. Quel crétin raconte depuis la nuit des temps que les rousses possèdent une odeur forte, elles sentent, oui, l’amour et la volupté. Une odeur aphrodisiaque.


Toutes deux ont les petites lèvres saillantes, véritables dentelles de chair.



J’ai le chic pour rassurer ces adorables créatures.


Nous innovons et inventons des figures, tel le triangle isocèle.

Pour me laisser le temps de souffler, elles se dégustent mutuellement les babines. Parfois je me retrouve avec une jolie fente sur la bouche sans savoir qui me suce le gland.


Elles me rendent la pareille. Valérie initiant sa belle-fille à la dégustation et à son savant vocabulaire.



Mon métier ne m’a pas préparé à ça, mais il faut un début à tout, accompagnateur sexuel, il y a pire. Peut-être existe-t-il des formations, des stages ?



Je ris, mais je n’en peux plus. Œnologue, c’est pour le vin, mais pour le sperme, comment nomme-t-on cela ?


Je n’attends pas le retour des Nemrod en herbe et rentre chez moi, en promettant de revenir demain séance tenante.




– Mardi –


Manque de pot, à 8 heures 30 un brouillard à couper au couteau empêche mon collègue et son client de sortir.

Mes deux clientes, habillées et pomponnées me supplient de les emmener hors de cette purée de pois.



Mon ange ? Les anges possèdent vraiment de bien beaux sexes, je vais devoir en avertir le Vatican.



Nous embarquons dans mon véhicule de fonction, sous le regard intrigué de mon collègue.

Mes deux clientes ne perdent pas de temps. À peine hors de vue du gîte qu’elles se déshabillent déjà.



Effectivement, au bout de quelques kilomètres dans la brume épaisse, nous émergeons à la lumière. Au-dessus de nous un ciel azur, à quelques dizaines de mètres sous nos pieds, les nuages à perte de vue, une mer de nuages blancs, lumineux, seuls quelques petits bouts de terre surgissent des flots vaporeux, tels des îlots dans un océan de rêves.



D’abord, les baisers, deux longs baisers langoureux et baveux. Quand j’en embrasse une, l’autre me déshabille pour ne pas perdre de temps.



Outre une couverture, j’ai aussi amené un matelas gonflable, de la boisson et de la nourriture. Nous serons à l’aise.



Je me le tiens pour dit.



Je suis peut-être vieux jeu, mais je suis d’accord avec elles, il faut laisser une part à l’imaginaire, ne pas tout dévoiler du premier regard.

Trêve de philosophie, consacrons-nous aux choses sérieuses, tout d’abord un petit baiser sur chaque fesse.



Non contentes de posséder des corps de déesses, ce sont d’adorables poétesses.

Je ne peux que me plier à leurs désirs. Plier est un verbe bien inapproprié vu mon état.


Toutes les positions y passent, le Missionnaire, la Levrette, le Koala en folie, le Kangourou bulgare, la Cavalière déchaînée, le Tonneau de Marlenheim et le Flamand Rose.


Debout, assis, couchés, moi dessous, ou l’inverse, en travers, la tête en bas, en biais, sur une jambe, tout est tenté.

Je pétris des fesses et des seins à ne plus savoir où donner des doigts.


Elles m’ont usé. Six fois le grand chauve dépose ses offrandes dans les précieux tabernacles, six fois en une journée, presque un record, veillant bien à ne point faire de jalouses, autant à l’une qu’à l’autre.

La dernière fois, je dois avouer qu’il ne reste pas grand-chose à déposer, à ma décharge – si j’ose m’exprimer ainsi – je n’en peux plus. Elles s’en rendent compte et me remercient.


Entre chaque épisode de frénésie, nous sortons pour récupérer des forces, manger un peu, boire un coup et prendre quelques photos des environs. Un pin tordu, une montagne au loin, un circaète qui nous épie, de la bruyère en fleurs.


Assises sur une roche, mes deux beautés laissent s’écouler de leur fleur un abondant mélange fait de mes offrandes et de leurs propres sécrétions.

Des abeilles viennent butiner avec avidité cette provende, Dame Nature me surprendra toujours.



Nous prenons les dernières photos, celles du coucher de soleil. Je les laisse devant leur habitation en promettant d’être là demain à la même heure.


Un message sur le répondeur me félicite, c’est mon patron.



Je m’endors satisfait du devoir accompli.




– Mercredi –



Je suis allongé, doté d’une belle érection, belle-maman me tient la queue bien verticale. Accroupie devant moi Lise abaisse son fessier vers mon missile, c’est une première pour elle.



Valérie me chatouille l’anus, je me cambre, m’enfonçant brusquement entre les fesses parsemées de taches de rousseur.



Je la prends par la taille, la soulève et la fais redescendre.



Mais elle continue d’elle-même le mouvement en se triturant le bout des seins.



Elles se marrent et m’embrassent.


Lorsque je change de fesses, ou qu’elles me remettent en forme par une petite gâterie, elles prennent bien soin de faire ma toilette intime. Popaul n’a jamais été savonné autant de fois en une journée, il brille comme un sou neuf.


Lise se venge un peu de sa belle-mère.

Valérie, empalée sur moi, se laisse aller le dos contre mon torse, je lui caresse les seins et lui mordille le lobe de l’oreille.

Un sourire coquin aux lèvres, la jeune rousse introduit deux doigts dans l’orchidée de Valérie et lui caresse le pistil avec le pouce.



Quatre fesses remuent devant moi, pour me faire pardonner je passe une langue délicate sur les orifices malmenés par mes soins, je fais le tour de chaque périphérique.



Prendre une douche avec deux femmes qui ne songent qu’à me savonner à un certain endroit de mon anatomie pose de nombreux problèmes, l’anatomie en question ne reste jamais au repos.

Nous sommes décents, lavés, habillés et buvons une tasse de thé lorsque les chasseurs rappliquent, accompagnés de sangliers morts.





– Jeudi –


Dernier jour de chasse aujourd’hui.

Mes deux jolies clientes me sautent au cou.



Ce matin, j’ai eu des difficultés à me lever, mes genoux grinçaient, ma hallebarde, si prompte à hisser les couleurs dès potron-minet, peinait à lever la tête ce matin. La pauvre, elle a trop fait la fête ces derniers jours.



Toutes deux de me câliner, de me servir un café, quelques fruits secs et des croissants.



Valérie va farfouiller dans une valise.



Un plagiat porno de « L’Empire contre-attaque ».


Elle me met entre les mains deux godes tellement étranges que même Georges Lucas n’aurait pas osé en rêver.

Ils ressemblent aux sabres lasers des Jedi, l’un émet une lumière verte, l’autre rouge. Ils vibrent et produisent les mêmes sons que les engins de la saga, des zoooooz et des bzzz.




J’approche le sabremichet vert de son Faucon Millénium, l’engin vibre, je le passe délicatement sur ses lèvres purpurines, sans oublier son petit bourgeon. Elle démarre au quart de tour, elle va bientôt atteindre la vitesse supraluminique.

Je fais pénétrer le gode dans sa nébuleuse de la Lyre tandis qu’elle pousse un Rahh de satisfaction.



Elle est agenouillée, me présente son adret et son ubac en une seule vision.



Je ne me débrouille pas trop mal, je fais coulisser mes lasergodes dans les deux fourreaux, aux petits cris qu’elles poussent elles semblent apprécier.


J’oubliais qu’elles étaient à l’huile et au vinaigre, elles décident de se rejoindre, tête-bêche, histoire de me donner des idées, disent-elles.

Des idées j’en ai à revendre. Je les admire se dévorer le mille-feuille.

La belle-mère au-dessus m’offre une jolie perspective. Je nettoie, lubrifie les deux godes et en introduit un dans son popotin, l’autre dans sa mandoline, la belle-fille lui écarte les fesses pour m’aider.



Lise éclate de rire, placée comme elle est, elle ne rate rien du spectacle offert.

Les deux femmes s’acharnent l’une sur l’autre, le regard de la plus jeune se voile, ses doigts se crispent sur les fesses de Valérie.



Affalée sur le ventre de sa belle-fille, Valérie reprend son souffle.


Je les embrasse, je passe un linge humide sur leur visage et je dépose trois Ti’ punchs sur la table.

Tandis que nous dégustons, Lise jette un regard sur ma boussole qui indique fièrement le Nord.



Il n’en faut pas plus pour qu’elles s’occupent de nouveau de moi.




~~~



Tel un coin, mon levier tente de séparer deux globes moelleux, je passe d’une paire de seins à l’autre, elles en profitent pour me faire la conversation.



Je vais poser une journée de congé pour demain, un week-end de trois jours ne sera pas de trop pour me reposer.

Je vais aussi demander à mon collègue Jean-Michel de me remplacer de temps en temps, si elles sont toutes comme ces deux-là, je ne tiendrais pas le coup, c’est mon intérimaire tout de même.

Pour l’instant, je bois un délicat Talisker pour me remettre de mes émotions.




~o~




Ce soir, mon patron, Louis et moi-même sommes invités au restaurant par le chasseur pour nous remercier de nos efforts, de nos compétences et de notre accueil. Il rentre avec deux chevreuils, une biche et quatre sangliers. Morts, bien évidemment.


Nous portons un toast à cette fructueuse semaine et à la réussite de cette première.

Mes deux voisines ne cessent de presser leurs cuisses contre les miennes, de temps en temps une main s’égare sur mon entrejambe.



Il réfléchit un peu.



Devant l’assemblée qui pousse un « Oh » admiratif, il pose ses pouces sur son crâne et écarte les doigts, se parant d’une très belle ramure.




~o~




*Sphinx : après concertation avec les membres de l’Académie française, les doctes correcteurs de Rêvebébé sont tombés d’accord, en parlant de sphinx, l’auteur songe à une célèbre race de chattes sans poils.


**Barthez : Radagast tient à rassurer ses fidèles lecteurs, pour lui un pubis féminin, épilé ou non sera toujours plus intéressant qu’un crâne de fouteux, chauve ou non.