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Temps de lecture estimé : 15 mn
19/04/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Big Brother est arrivé en forêt ; je l'ai rencontré.
Critères:  fh ffh hplusag frousses cocus inconnu forêt travail strip fellation cunnilingu délire humour
Auteur : Radagast      Envoi mini-message

Série : Les affres du métier de forestier

Chapitre 02 / 02
Des fourmis et des loutres

Résumé : après l’automne et la chasse, voici la suite de mes mésaventures au travail, cette fois la fin du printemps et les bébêtes qui montent. (Épisode 1 : Qui va à la chasse… va à la chasse)



~o~o~o~



Des fourmis et des loutres



Voilà bien longtemps que je n’ai eu une semaine sans rendez-vous plus qu’urgents, sans devoir courir d’un bout à l’autre du canton, sans supérieurs, ouvriers, bûcherons, chasseurs pressés ou surexcités. Je vais pouvoir faire ce que je veux, pouvoir faire ces petits travaux que je reporte à la Saint-Glinglin ou aux Calendes grecques.

Pour ajouter à mon plaisir, il fait un temps sublime : juste un petit nuage pour faire beau, la température oscille entre 18° et 20° au lever du jour, 30° et 35° au plus chaud de la journée.


Tôt le matin, je me prépare un pique-nique, mets dans mon sac un appareil photo et des jumelles, le tout en silence.

Mon épouse dort encore ; je lui laisse un petit mot doux :


« je ne rentrera pas ce midi et je reviendra vers 21 heures, je t’embrassera partout »


Petit jeu entre nous, je lui laisse des messages bourrés de fautes ou en langage SMS : elle est prof de français et j’adore la taquiner.


À cette époque où volent demoiselles et libellules (Zygoptera et Epiproctophora pour les amateurs éclairés d’insultes en latin), je connais un endroit magnifique ; de petits ruisseaux serpentent entre les tapis de droseras, de minuscules poches d’eau regorgent de grenouilles, y traînent aussi des lézards vivipares et des vipères péliades. Je vais tenter d’en photographier quelques spécimens.


Avec un peu de chance, je trouverai une orchidée ou un busard Saint-Martin. Sylvie, une collègue du P.N.C,*** m’a certifié y avoir relevé des traces de loutres ; je ne me fais pas trop d’illusions : la loutre est nocturne, et surtout beaucoup plus futée que moi.


Je laisse ma voiture à l’entrée du chemin et me voilà parti avec mon petit sac à dos. Je voyage léger aujourd’hui : même pas de téléphone, je ne veux être emmerdé sous aucun prétexte.

Seule concession, une trousse de secours, au cas où… Mon épouse se fait toujours du souci quant à ma petite personne : elle craint les guêpes et les processionnaires. Du coup, je me promène avec mon adrénaline, une crème contre les piqûres d’insectes et un petit flacon de mercurochrome*.


Ce coin de forêt est propice à la rêverie. Il paraît que des elfes, des dryades ou des fées s’y promènent parfois. J’avance en songeant à toutes les créatures mystérieuses qui grouillent sous mes pas, tout en écoutant les cigales, les mésanges et pics noirs.


Après dix minutes de marche, j’approche de la zone en question, et ce que je perçois m’intrigue et m’irrite au plus haut point. Moi qui rêve de silence et de solitude, je suis servi !

Les bruits n’émanent pas d’elfes, de dryades, encore moins de créatures mystérieuses, mais d’humains mal embouchés.



Intrigué et exaspéré, je m’avance. En cette saison, je rencontre souvent des randonneurs plutôt calmes et discrets. Les personnes les plus bruyantes se rencontrent en automne : ce sont les ramasseurs de champignons, des citadins qui viennent en forêt une fois par an, qui ont peur de s’égarer et hurlent dès qu’ils ne voient plus leur véhicule.

Aux cris poussés, je devine des femmes en pleine crise de nerfs.


Je me dirige au son ; avec le boucan qu’elles font, difficile de les rater ! À part leurs hurlements, plus aucun bruit ; silencieux oiseaux, cigales ou grenouilles, tout le monde aux abris !


Je contourne une tache de semis de pins sylvestres et de sapins ; le spectacle que je découvre dans une petite clairière me laisse pantois : deux jeunes randonneuses gesticulent et trépignent en criant.



Elles se figent sur place, ne m’ayant pas entendu approcher ; voilà deux jolies jeunes femmes qui me regardent, bouche bée. Une petite rousse potelée et une grande brune longiligne.


J’éprouve des difficultés à trouver mes mots car la rousse est torse nu ; elle agite un bout de tissu qui ressemble vaguement à un débardeur. Deux merveilleux seins blancs aux tétons roses clair, piquetés de taches de rousseur, fermes et appétissants, s’agitent et frémissent certainement des conséquences de sa respiration haletante, de sa peur, mais surtout de ses gesticulations.


La brune ne vaut guère mieux ; elle a ôté son short qu’elle secoue aussi en tous sens. Elle ne possède plus que son marcel et une culotte de coton rose, une large culotte de randonneuse, pour être à l’aise du fion, un sous-vêtement qui évite les irritations et les échauffements.

Ce sont les jambes de l’une et les nénés de l’autre qui me font bégayer.


Détail amusant, elles ont toutes deux gardé leurs chaussures de randonnée, chaussures à tiges hautes qui tiennent la cheville, avec les chaussettes qui grimpent au genou. Cheveux courts et bouclés pour la rouquine, longs et lisses pour la brunette, en bataille pour les deux. Deux gros sacs à dos délaissés attendent, posés au pied d’un pin.



Elles me refont une crise ; les voilà qui baissent leurs culottes. Elles recommencent à trapizer** tout en m’apostrophant.



Allons bon ! Bon, la brune est aussi à poil maintenant, elle vient de retirer son tee-shirt. Je reluque ses petits roberts qui frétillent sous mes yeux : elle semble adepte du bronzage topless. Pour faire dans l’allusion gastronomique, si la rousse me présente deux gros melons bien fermes et juteux aux doux pédoncules roses, la brune possède des pamplemousses bien appétissants, aux tétons et aréoles foncés.

Ces exhibitions provoquent des effets secondaires sur ma petite personne.



Je regarde d’un peu plus près, et effectivement une fourmi se balade sur le sein droit de la mignonne rouquine. Le petit insecte semble perdu et fait le tour du téton rose comme un automobiliste le ferait sur un giratoire, indécis quant à la direction à prendre.

J’hésite à le retirer avec les doigts. J’interpelle la brune.



Elle crie et trépigne, s’ébouriffe les cheveux, agite les bras en tous sens tel un télégraphe Chappe. Je vais devoir m’y coller. Je souffle en même temps sur le sein et le terrifiant animal, mais la bête s’accroche à la belle.


« Pourvu que ma femme ne voie jamais ça… » Je pose mon index sur le téton, le petit insecte grimpe sur mon ongle et je le jette sur le sol. Ouf.



La brune me fourre son croupion juste sous le nez. Effectivement, là aussi, quelques fourmis prennent son cul pour une piste de danse.

« Pourvu que ma femme ne le sache jamais… » Je fais tomber la première en caressant une croupe ronde et douce ; les autres se réfugient dans la vallée interdite. Tel Moïse écartant les eaux de la mer Rouge, j’écarte les fesses si gentiment offertes et en retire une à une les bestioles trop curieuses. Il faut me comprendre ; j’évite les hérissons sur une route, ce n’est pas pour écraser une fourmi sur une paire de miches.



La rousse s’affole ; elle me montre maintenant sa jolie fourrure. Elle ne pratique pas l’épilation : c’est dru et dense. J’aime bien.



Agenouillé devant elle, je m’efforce de rester calme. « Reste zen, mon grand. Pourvu que ma femme… »


Chercher des Formica Rufa dans une toison rousse n’est guère chose aisée, mais lorsque cette toison domine et entoure deux jolies dentelles de chair tendre, c’est presque mission impossible.



Ma voix chevrote et je raconte n’importe quoi. Je tente de retirer les bestioles sans arracher les poils. Mon métier m’amène à faire beaucoup de choses, mais là c’est une première ! Pour retirer ces insectes, je suis obligé d’écarter la fourrure ; je caresse et presse le mont de Vénus, point culminant du coin. Une par une, j’extrais les petites ouvrières laborieuses et trop curieuses. Mon ouvrage terminé, j’ébouriffe la touffe en y passant les doigts, presque d’un geste tendre et familier.



Elle me sourit et me passe la main dans les cheveux en guise de remerciement. La brune se rapproche, me montre son nombril et me dit d’une petite voix pleine de trémolos :



Ce que je vois surtout, c’est cette jolie toison sombre et bien taillée qui m’hypnotise.

Nul ne peut m’accuser de rester indifférent à la détresse de deux randonneuses, aussi passé-je un doigt délicat sur les petites taches.



Consciencieux, je tâte alternativement la brune et la rousse. Je viens de faire une formation de secouriste, autant mettre mes connaissances en pratique.



Le chou en question sort son tube de pommade, et comme elles ne font aucun geste pour me le prendre, toujours à genoux, j’étale. Une petite noisette de-ci, une autre de-là, sur une fesse, un sein, l’intérieur d’une cuisse, sous la douceur d’une toison. Il fait de plus en plus chaud ; je ne vais pas pouvoir me relever sans paraître indécent.



Elles viennent tout contre moi et m’embrassent sur les joues ; enfin, moitié sur les joues, moitié sur les lèvres.



En amateur de bières, je n’ai jamais su résister à une blonde ; encore moins à une brune et une rousse réunies. Puis c’est vrai que je suis courageux : les fourmis sont petites, mais nombreuses.


« Ça va me prendre un temps fou…

Pourvu que ma femme ne sache jamais ça !

Pourvu qu’elle ne lise jamais ça. »



~o~



Quelques jours plus tard, je croise dans le village ma collègue du PNC***.

Je m’entends bien avec Sylvie, une jolie blonde enjouée et appétissante d’une quarantaine d’années. Nous n’hésitons pas à nous rendre service mutuellement, bien que travaillant dans des organismes différents.


Depuis quelque temps, je la sens pensive, renfrognée, et même légèrement dépressive. Je me suis dit qu’elle devait avoir quelques problèmes au boulot : certains « chefs » dans nos administrations se prennent pour des cadors et en font baver à leurs subordonnés. Aujourd’hui, je lui trouve les yeux gonflés, le nez rouge, comme une femme qui vient de pleurer le décès d’un être cher.



Elle ne m’emmène pas dans son bureau, mais dans son salon et me sert un Arran pur malt de quinze ans d’âge. Elle n’arrête pas de s’éponger les yeux ; elle doit faire une crise d’allergie mahousse.

Assis côte à côte dans le canapé, elle me présente son ordinateur portable.



J’ai un mauvais pressentiment… Je bois une gorgée de whisky ; je crois que je vais avoir besoin d’un second verre d’ici peu.



Je vais faire un malaise.



Elle laisse passer quelques instants.



Je vois d’abord la petite clairière traversée par un écureuil. Puis deux jeunes femmes, une rousse et une brune s’y arrêtent. Les images muettes font un petit film parfaitement lisible, un peu comme les courts métrages du début du XXème siècle ; Histoires sans paroles, mais en couleurs.



Les jeunes femmes sont assises et examinent une carte IGN. Soudain elles semblent s’affoler, se lèvent et frictionnent leurs bras et jambes, ôtent leurs vêtements.

Les images défilent, et j’entre en scène. Zorro est arrivé ! Je vole à leur secours. Je lutte contre les féroces bestioles, je soigne, je calme. Et les choses dérapent. Elles me désapent, je ne mets guère d’énergie à résister et me retrouve vite à poil, un beau stylo à yaourt au bas du ventre.


Allongé sur le sol, j’ai les deux randonneuses agenouillées à mes côtés, les fesses tournées vers mon visage. Mes mains vadrouillent sur les rondeurs de rousse et de brune, mes doigts semblent s’égarer dans de douces et secrètes contrées. Les deux dryades s’embrassent ; leurs lèvres se rejoignent autour de ma barre à mine. De temps à autre, l’une d’elles vient jouer un petit air de flûte sur le bout du gland.



Elle me regarde en coin ; je rougis comme une pivoine.


Je suis toujours allongé sur le dos ; j’ai la brune plantée sur le jonc tandis que la rousse est assise sur ma bouche. Les deux jeunes fées semblent trouver l’expérience intéressante, et à voir leurs visages, hautement bénéfique. Puis la rousse se retrouve sur mon nœud et la brune sur ma bouche. Les deux randonneuses, face à face, s’embrassent et se caressent les seins. Le changement de position permet de voir le petit manteau de latex qui protège Monsieur Popaul ; prévoyantes, les coquines : elles ont pensé au K-Way au Cas-Où.


Nouvelle prise de vue ; agenouillées côte à côte, croupes relevées, elles me font l’offrande de leurs fesses.



Les scènes suivantes me montrent passant de l’une à l’autre, les tenant par les hanches et m’activant avec ferveur.


Elles ont retiré le préservatif. Nous sommes tous trois agenouillés face à face ; elles m’astiquent la tige et me caressent les burettes. Je balance la purée sur leurs poitrines ; elles rient. À examiner mon visage extatique, je semble contempler le paradis, le Jardin d’Éden tandis qu’elles récurent de la langue les restes de sauce sur mon engin.


Fin du spectacle : nous nous quittons sur un dernier baiser, non sans avoir nettoyé les outils dans un petit ruisseau. Les grenouilles vont avoir un drôle de goût, cet été…

La petite clairière retrouve son calme, l’écureuil repasse.


Voir ce film devant une jolie collègue me met vraiment mal à l’aise. L’expression est même faible. Je me demande où elle veut en venir.


Font chier aussi à mettre des pièges photo partout sans nous en avertir : tu peux plus pisser tranquille en forêt sans qu’une caméra te chope ! Il va bientôt y avoir autant de caméras dans les arbres qu’autour de la tour Eiffel.



Quel con je fais… Que peut-elle croire ? Que je jouais au scrabble ou à saute-mouton ?



Je m’attendais à un chantage odieux, pas à des pleurs. Je passe un bras protecteur autour de ses épaules.



Lucien, c’est son mari, un autre collègue du parc ; il s’occupe d’un autre service.



Et de repartir dans une crise de larmes.



J’avoue que je suis un peu déboussolé.



J’hésite quelques instants avant de comprendre.



Elle opine énergiquement du chef tout en se mouchant.



Elle est très jolie, avec ses yeux rougis et implorants. Ajoutons aux yeux de sublimes seins et de merveilleuses fesses. « Mamma mia ! Quel con ce Lucien. »



Tout ça à cause des fourmis et des loutres.

« Pourvu que ma femme… »




~o~



Seules cinq séances sont nécessaires pour remettre sur pieds Sylvie. D’abord de douces caresses sur ses seins et ses tétons turgescents. Elle veut participer, mais je l’en empêche. Je suis le thérapeute, je fais ce qui me semble bon. Elle pleure de joie, oui, de joie quand je lui embrasse les escalopes à crinière, quand je trempe ma truite dans son ruisseau privé, quand je lui ramone les écoutilles, lui rebouche la fente.


Lors de la cinquième séance, elle m’embrasse et me dit :




~o~



Quelques semaines plus tard, les soins prodigués à Sylvie terminés, elle se sent beaucoup mieux et sûre d’elle. Lors d’une entrevue mémorable avec son mari, elle vient de lui flanquer une paire de baffes monumentales.

Et ce, en plein milieu du village.


Ma psychanalyse bénéfique lui procure le plus grand bien, car suite à cette mandale mémorable, elle empile les effets de son ex, les arrose d’essence et y flanque le feu.

Toujours au milieu du village.


Le lendemain de ce feu de joie, une lettre a été déposée dans ma boîte ; sur l’enveloppe, un simple « À l’attention de Monsieur Pierre ». Intrigué, je la décachette et trouve à l’intérieur une page blanche signée d’une amie qui te veut du bien.


Merde, une lettre anonyme ! Au fond de l’enveloppe, je sens une protubérance ; je découvre une carte, de celles qui servent dans les appareils photo : une carte mémoire, une SDXC.


Je regarde de nouveau la lettre ; il me semble reconnaître l’écriture de Sylvie. Intrigué, je charge la carte dans mon ordinateur et lance la lecture du contenu. Il s’agit d’un film. « Ça va pas recommencer, ces conneries ; je pensais le film détruit. »

Au lieu de mes randonneuses, je vois entrer dans ma clairière deux hommes et deux femmes, dont une que je connais très bien, mon épouse, et trois de ses collègues.


Je regarde la date du film en haut de l’écran : le 24 à 12 heures, il y a trois jours. Elle m’a dit passer la journée avec ses amis sur un projet de randonnée botanique et entomologique en forêt. Ils sortent du sac des assiettes en carton, des verres, de la nourriture et des bouteilles. Pas que de l’eau minérale : du muscat et du Châteauneuf du Pape. On ne s’emmerde pas, à l’Éducation nationale !


Au bout de quelques minutes les effets de l’alcool commencent à se faire sentir : ça se marre, éclate de rire, et s’ils ont amené de l’eau c’est uniquement pour se la balancer sur la tête. Bientôt les deux femmes me font plus penser à des candidates à l’élection de miss tee-shirt mouillé qu’à deux profs bien sages ; les tétons tendent le tissu.


Les deux hommes – Philippe et Patrick, si mes souvenirs sont exacts – retirent leur chemise et exhibent des pectoraux de roitelets. Ils semblent demander à leurs collègues féminines d’en faire autant. À ma grande surprise, ma chère et tendre ne se fait pas prier. Comme à son habitude, elle ne porte pas de soutien-loloches. Elle fait tourner son vêtement mouillé au-dessus d’elle et le jette à la tête du dénommé Philippe. Ses petits seins tressautent alors qu’elle rit aux éclats.


Sa collègue, Monique – quant à elle sévèrement nichonnée – ne tarde pas à se retrouver dans la même tenue. Elle entraîne ma chérie dans une danse, un truc entre la bourrée et le slow. Les deux hommes se concertent à l’écart, et d’un commun accord s’approchent en douce, tels des renards sournois convoitant des poulettes innocentes. D’un geste vif ils abaissent pantalons et petites culottes qui se retrouvent sur les chevilles de ces dames ; elles trébuchent et chutent sur les fesses, hilares.


Les deux énergumènes ôtent leurs bermudas et se jettent tête-bêche sur leurs victimes.


Je regarde abasourdi ma chérie avaler une couleuvre de calcif tandis qu’elle se fait gougnotter le hérisson. À cet instant crucial, j’entends un hoquet derrière moi : mon épouse vient de rentrer et regarde l’écran.



Elle pleure de plus belle. Je réalise soudain que je n’ai pas de leçons à lui donner ; je ne suis pas non plus exemplaire, même si je ne vais pas jusqu’à lui avouer mes propres dérapages.



Je la prends dans mes bras et la console.



Un petit point me titille.



Les enfoirés !



~o~o~o~



* mercurochrome : t’as vu, Ldcc, je l’ai placé ! Voir Pour ou contre de cet auteur, sur ce site.

** Trapizer : trépigner, en patois lyonnais.

*** P.N.C. : Parc National des Cévennes.