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Temps de lecture estimé : 8 mn
23/04/17
Résumé:  La conclusion torride d'une dure journée de travail. Relation érotique à trois au bureau.
Critères:  ffh collègues travail intermast nopéné -hff
Auteur : FrancketSandra

Série : Sandra et Franck

Chapitre 01
Une soirée torride au bureau

Cette histoire marque le début des relations entre Frank et Sandra, prélude à multiples expériences.


Dans l’agence de communication que je dirige, j’ai la chance d’être entouré de jeunes femmes, jolies et dynamiques. Cette aventure m’est arrivée avec deux d’entre elles, Sandra et Manon.


Sandra, trente ans, est une brunette d’1,65 m environ, aux beaux yeux bleus dans lesquels il m’arrive de me perdre dans des réunions qui durent un peu trop longtemps.

Manon est une toute petite minette de vingt-cinq ans mesurant 1,50 m, sportive et menue.

Moi, je viens de passer la quarantaine, 1,75 m, cheveux châtains aux yeux gris-bleus.


Dans mon agence, nous terminons des dossiers parfois assez tard et il nous arrive alors de finir la journée en mangeant au bureau, histoire de s’accorder un moment de détente avant que chacun rentre chez lui.


Ce jeudi, nous avons trimé toute la journée sur un gros dossier avec un client exigeant qui nous avait mis la pression sur les délais, revenant sans cesse sur des détails, mettant en cause notre travail.

20 h passées, nous envoyons enfin nos fichiers finalisés et pouvons pousser un gros soupir de soulagement. Comme souvent donc, quelqu’un lance l’idée « pizza », mais nos collègues préférant rentrer, ne restaient que Sandra, Manon et moi.


On commande nos pizzas et dans l’attente, nous ouvrons une bouteille de rosé, cadeau d’un client, qui était restée au réfrigérateur. Après deux verres, contrecoup du stress et de la fatigue, le rosé monte aux joues de chacun. Les pizzas arrivent enfin et nous nous jetons dessus dans une ambiance joyeuse et détendue. La bouteille de rosé terminée, nous n’hésitons pas longtemps avant d’attaquer une pauvre bouteille de champagne, vestige elle aussi de bonnes relations clients.


J’étais aux anges, entouré de mes deux belles collègues. Divorcé depuis deux ans maintenant, je me consacre entièrement à mon travail et ai peu de temps, et d’envie, pour la drague. En manque affectif, je plonge de plus en plus souvent mon regard dans les yeux de Sandra… qui répond sans provocation, mais avec sympathie. On discute de tout et de rien, de notre client infernal du jour, de nos joies professionnelles, de nos petits malheurs. Le champagne ajouté au rosé nous ôte toute retenue ou pudeur excessive.


Petit à petit, la conversation s’oriente vers des sujets plus intimes, les relations de couple, les difficultés… et les relations affectives. Puis, sans en avoir conscience, nous en arrivons à parler de l’amour au bureau. Chacun a une petite anecdote sur des amis qui connaissent des personnes qui se sont rencontrées sur leur lieu de travail, celles qui se sont fait surprendre dans des situations inédites, la fatale attraction qui peut survenir entre collègues, etc.


Plus on avance dans la discussion, plus les regards se font hésitants et chargés de désir. Nous ne sommes pas des gamins et nous voyons bien sur quel chemin nous nous engageons. De mon côté, je fais attention de ne rien provoquer ou brusquer, on passerait alors vite à une situation de harcèlement. Par contre, j’accompagne avec un plaisir évident, les échanges de sourire et regards.


Sandra est sagement vêtue d’un jean 501, moulant son adorable petit cul, et porte un pull léger et moulant, fermé par trois boutons, le plus haut étant ouvert, sagement.


Manon est aussi en jean et son haut est constitué d’un adorable débardeur vert bien décolleté qui laisse découvrir un début prometteur de poitrine ronde et visiblement ferme. Entre le bleu des yeux de Sandra et la poitrine de Manon, mon regard est comblé… et elles s’en rendent bien compte. Elles me provoquent gentiment, surtout Manon, mais sans vulgarité.


Elles sont en couple chacune et semblent plutôt sages, aussi je ne me fais aucune illusion. Nos regards deviennent hésitants, presque intimidés. La journée est terminée, nous arrivons à la fin de notre repas et de nos verres, mais personne ne veut casser cette ambiance.


Puis tout bascule quand Manon me demande quel est mon fantasme. Je la regarde un peu étonné, mais plutôt content et lui réponds :



À peine ces mots prononcés, je me dis qu’elles vont me prendre pour un pervers et partir en furie. Mais au contraire, Manon sourit largement et regarde Sandra. Celle-ci, intimidée et craintive de la suite, me regarde à son tour. Je me noie dans ses yeux bleus.

Manon, finit son verre de champagne cul sec et demande :



Pris au dépourvu, je réponds :



Manon répond :



Je me lance avec un petit sourire :



Manon enchaîne :



Là, c’est moi qui suis un peu pris de court :



Bon, au pire, elles vont estimer que mon humour est douteux et que je suis un peu lourd…

Mais Manon surenchérit en regardant Sandra :



Sandra hésite et répond timidement :



Son regard, yeux bleus brillants, se tourne vers moi. J’y vois un appel et j’ai envie de la prendre dans mes bras. Que se passe-t-il ? Ai-je vraiment une opportunité là, tout de suite ?

Je me lance à nouveau :



Je suis surpris moi-même… mais c’est l’excitation de la situation qui parle.


La soirée est bien entamée maintenant, tout est calme, nous sommes bien éméchés tous les trois, mais pas bourrés et une certaine tension sexuelle nous entoure.


Manon me regarde, je baisse mon regard dans son décolleté. Elle jette un œil à Sandra, guettant un geste. Mais celle-ci joue la timide, un adorable rouge montant à ses joues.

Je sens qu’on y est presque. J’approche ma chaise de celle de Manon.



Je m’approche encore un peu de Manon. Je touche son avant-bras dénudé et remonte en la caressant tendrement. Arrivé à l’épaule, je redescends et remonte doucement. Manon frissonne d’envie. Elle a envie de se laisser aller, mais veux aussi rester maître de la situation et garder son honneur intact.



Elle soupire et ferme les yeux.

Je poursuis mes caresses et redescends sur ses mains. Je les prends et les pose sur mes cuisses. Manon sourit, rouvre les yeux, regarde Sandra qui ne perd rien du spectacle, mais reste à l’écart. Je continue mes caresses sur ses bras, remonte sur ses épaules, frôle ses hanches.


Les mains de Manon ne restent pas inactives et palpent mes cuisses (je fais un peu de sport, tout de même). Je sens sa chaleur au travers de mon pantalon de toile… qui commence à se déformer un peu plus haut d’ailleurs.


Je dis à Manon :



Je déplace lentement mes mains vers sa poitrine, passe furtivement sur les seins pour repartir.

De son côté, elle remonte les siennes vers mon sexe et vient le caresser franchement. Je touche ses seins maintenant, ce qui lui arrache un petit soupir de bien-être.


Elle prend à nouveau l’initiative, ouvre ma braguette et tente de sortie mon sexe. Étant bien gonflée par l’excitation, elle n’arrive pas à le sortir. Alors je soulève mes fesses de ma chaise et descends mon pantalon. Nous atteignons un point de non-retour. Manon n’attend pas pour sortir complètement ma bite de mon shorty et commence une douce caresse. Je frémis avec un grand sourire de gratitude envers Manon. Je me tourne vers Sandra. Elle est clairement excitée aussi et captivée par ce qui se déroule devant elle. Sur un signe de tête que je lui fais, elle approche sa chaise de la mienne.


Nous sommes tous les trois, assis sur nos chaises, collées les unes aux autres en triangle. Manon approche ses fesses au bord de sa chaise et empoigne mon sexe plus franchement. Mes mains reprennent leurs douces caresses, mais descendent désormais vers les seins de Manon. Ils sont fermes, assez gros finalement pour sa taille. J’en caresse gentiment le haut pour l’instant. Elle sourit, m’encourageant à aller plus loin. Je baisse alors les bretelles de son débardeur et laisse apparaître son soutien-gorge, en tissu de couleur verte comme son haut. Je glisse ma main droite pour envelopper son sein gauche. Je fais pareil de l’autre côté. Ils sont doux et chauds. Les mamelons réagissent à mes caresses et Manon ferme les yeux, goûtant l’instant.


Sa main entame désormais un va-et-vient, pas trop rapide, mais décidé tout de même. Compte tenu de mon excitation, je n’ai pas vraiment besoin de lubrifiant. Le problème est que je ne vais pas tenir longtemps ! Je suis bien trop en manque et dans une situation qui répond à mes fantasmes les plus aboutis.


Je me tourne vers Sandra. Elle ne bouge toujours pas, mais ne manque rien du spectacle, qu’elle trouve éminemment excitant on dirait. Elle lève ses yeux vers moi, et j’y vois tellement d’envie que du regard, je lui fais signe de déboutonner le haut de son pull-over.


Elle n’hésite plus et fait sauter les deux derniers boutons. C’est trop peu, mais je vois un joli sillon entre ses petits seins. Ils sont plus petits que ceux de Manon. Sandra a la peau mate et le spectacle est là encore sublime d’érotisme.


Je me retourne vers Manon qui poursuit sa branlette, mes mains toujours sur ses seins, ou son soutien-gorge plus précisément. Je stoppe mes mouvements et pose mes mains sur ses cuisses. J’atteins la limite qu’elle s’est fixée. Elle fait « non » de la tête et sa main gauche replace mes mains sur sa poitrine. Clairement, elle veut pas que j’aille plus loin. Je tente une nouvelle approche et me penche vers ses mamelons pour les prendre en bouche, mais là encore, elle me retient en faisant un petit non de la tête.

C’est notre accord, je ne tente pas plus loin. Je reviens donc vers ses seins et reprends mes caresses circulaires. C’est trop excitant et j’ai un premier spasme qui laisse envisager une libération proche. Manon sourit, satisfaite de son œuvre visiblement.


Je respire plus rapidement et me tourne à nouveau vers Sandra. Ses yeux se bloquent sur les miens, sa bouche est entrouverte. Pris par l’émotion, je me penche et pose doucement mes lèvres sur les siennes. Je m’attends plutôt à un refus, mais elle ne recule pas. Bien au contraire, sa bouche et tout son corps viennent au contact. Elle avance sa langue et nous nous roulons alors une pelle d’enfer, échangeant un long baiser passionné et fougueux.


C’est le signal qu’attendait Manon pour accélérer ses mouvements sur mon sexe. Je tente de me retenir, mais je n’en peux plus. J’éjacule avec bonheur, gémissant la bouche rivée à celle de Sandra, nos langues s’activent de plus belle. Aucun de nous ne souhaite arrêter le premier, mais épuisé et comblé, c’est moi qui romps cette union. Mais Sandra revient, me donne de petits baisers et à nouveau nos bouches s’unissent, offrant le spectacle à Manon qui devient spectatrice du coup.


Nos bouches puis nos corps se désunissent finalement et nous échangeons à nouveau un profond regard. Ah ces splendides yeux bleus qui m’ont tant fait rêver !


Un petit moment de gêne s’ensuit. Manon a du sperme plein les mains ; de mon côté, je suis pantalon baissé, sexe en repli et poisseux ; Sandra semble étonnée de se trouver là.


Manon prend l’initiative encore une fois :



Je la regarde :



Je regarde Sandra qui baisse lors les yeux. Il n’y a pas eu de contact sexuel entre nous en fait, mais j’ai l’impression que notre union a été plus forte encore…


… et la suite vous le montrera si vous le souhaitez.