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Temps de lecture estimé : 8 mn
19/10/18
Résumé:  Notre soirée torride au bureau bouleverse ma vie et celle de ma collaboratrice. Celle-ci m'avoue son amour et nous cédons à nos pulsions.
Critères:  fh hplusag travail amour pénétratio -amourcach
Auteur : FrancketSandra

Série : Sandra et Franck

Chapitre 02
Une passion torride confirmée

Une passion torride confirmée



Résumé de l’épisode précédent : « Une soirée torride au bureau »


Après une grosse journée de travail, l’équipe de l’agence s’octroie un moment de détente. Celui-ci se transforme vite en chaude séance érotique avec mes deux collaboratrices, Manon et Sandra. Si la première avait su me prendre en mains (au sens littéral), la seconde avait toute mon admiration.



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La journée suivante se révèle tout aussi inédite. Manon, à son arrivée, montrait son habituel entrain et sa bonne humeur communicative. Dans un premier temps, elle évite toute référence aux « événements ». Sandra, elle, ne devait arriver qu’en fin de matinée, récupérant une partie des longues heures de travail des derniers jours. De mon côté, j’étais assez mal à l’aise dans ma position de patron. Je commençais à avoir des remords et à m’interroger sur les conséquences de nos actes. À la pause-café du matin, Manon, la plus jeune, mais décidément mature, me rejoint dans mon bureau et me rassure d’entrée :



Soulagé, j’ai confirmé :



Et Manon de conclure de façon énigmatique :



En effet, pour Sandra qui est donc arrivée un peu plus tard, la situation était plus compliquée, même si, paradoxalement, je n’avais échangé que regards et baisers avec elle. Nous avons à peine osé nous saluer et nous sommes réfugiés dans nos bureaux respectifs. Heureusement, c’était le dernier jour de la semaine et nous allions pouvoir passer à autre chose puis redémarrer sur de bonnes bases le lundi suivant. Mais tout n’est pas si simple et j’ai passé un week-end difficile, entre rêveries et remords. Qu’allait-elle penser de moi, qui suis plus âgé et son boss ?


Le retour du lundi confirme mes craintes. Sandra annonce son absence pour la journée, semble-t-il indisposée. Je commençais à sérieusement m’inquiéter et me suis retenu de l’appeler.

En fin de journée, une fois les autres collaborateurs partis, alors que je m’apprêtai à quitter le bureau à mon tour, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Sandra entre d’un pas décidé. Elle entre directement dans mon bureau et ferme la porte derrière elle.

Manifestement, elle a pleuré récemment. Ses yeux bleus n’en sont que plus beaux, me dis-je, vraiment obsédé par eux. Elle me regarde, les joues rosissant et dit :



Estomaqué, m’attendant au pire, j’essaie de prendre la parole, mais elle enchaîne aussitôt :



Elle s’arrête de parler, ose à peine me regarder dans l’attente de ma réaction. Elle paraît à la fois fragile et décidée. Eh bien moi, je suis scotché ! Non seulement, la femme de mes fantasmes ne me rejette pas, mais en plus elle m’avoue son amour. Et moi qui ne voyais rien ! Je bafouille :



Je me tais alors et porte un nouveau regard, admiratif devant sa beauté naturelle, mais aussi face à cette posture de femme qui assume et affronte, alors que moi…

Elle est belle, ses cheveux bruns, presque noirs, mi-longs sont ramenés en queue de cheval. Elle porte une jupe beige qui s’arrête juste au-dessus des genoux et un débardeur noir à fines bretelles sous un simple gilet bleu marine. Je m’approche lentement, lui prends les mains. Nous nous tenons debout tous les deux devant mon bureau. Maladroitement, je caresse ses mains, ses avant-bras, en remontant jusqu’aux épaules, par-dessus son gilet.


J’essaie de me retenir pour profiter pleinement de ce moment, mais c’est elle qui m’enlace et plaque ses lèvres sur les miennes. On s’embrasse passionnément, nos langues s’entremêlent. Pour moi, c’est le bonheur total ! J’ai l’impression d’être le gamin qui emballe la plus belle fille du lycée !


Mais on est un peu plus âgés et on assume. Mes mains parcourent ses épaules, son dos, sa taille (fine, elle pratique la gymnastique). Je pourrais l’embrasser comme cela pendant des heures. Je stoppe les baisers, avec regret, fais un demi-pas en arrière et la contemple. Je ne rêve pas. Sandra me sourit, visiblement heureuse et soulagée. Dire qu’elle avait des doutes sur mon intérêt pour elle.


Je reviens vers elle, on se regarde dans le blanc des yeux. Le désir est puissant. On s’embrasse à nouveau passionnément. Je caresse ses épaules, repousse son gilet. Je m’attends à ce qu’elle m’arrête, mais au contraire, elle dégage ses épaules, laisse tomber son gilet. Ma main droite caresse son épaule gauche. Je descends, passe délicatement sur son sein, remonte. Je répète le mouvement plusieurs fois et finis par insister sur son sein gauche, par-dessus son débardeur. Je fais glisser la bretelle de son top qui tombe sur son bras, dévoilant un soutien-gorge blanc en coton, sage, mais sexy. J’ose à peine poser ma main sur sa poitrine, d’abord par-dessus le soutien-gorge, mais sa bretelle suit rapidement celle du top et je peux empaumer un petit sein. J’apprendrai plus tard qu’elle fait du 85B, Sandra a le teint mat et ses seins sont à peine plus clairs que le reste de son corps.


Je la caresse doucement et nos baisers reprennent de plus belle. Ma bouche descend alors vers ce joli sein. Je le couvre de baisers avant de lécher, gober puis sucer son téton qui pointe timidement. Ma main gauche parcourt son corps, se glisse sous le débardeur. Je caresse son dos à même la peau. Sandra dénoue ses cheveux, renforçant son statut de femme libérée. J’ai une folle envie de la dévorer. Sa peau est douce, son odeur m’affole.


On ne se lâche pas. Sandra s’appuie sur mon bureau, totalement réceptive. Mes lèvres redescendent vers son sein, remontent sur sa bouche. Mes mains caressent désormais ses cuisses. D’abord l’extérieur, puis s’égarent à l’intérieur, remontent jusqu’à la lisière de sa culotte. Sa jupe ne constitue pas vraiment un obstacle. D’ailleurs, Sandra décolle ses fesses du bureau pour me permettre de soulever ce frêle rempart et découvrir ses fesses. Je les malaxe par-dessus sa culotte en coton, sage elle aussi, légèrement échancrée.


Pendant ce temps, ses mains ne restent pas inactives non plus. Elles parcourent mes épaules (ma fierté, larges et développées grâce à la pratique du squash). Elles descendent dans mon dos jusqu’à mes reins, par-dessus ma chemise.


Puis elle passe ses mains dans son dos pour dégrafer, avec habileté, son soutien-gorge. La deuxième bretelle suit le chemin de la première et dévoile son sein droit, tout aussi mignon et attirant que le gauche. Je m’empresse de porter lèvres et langue sur ce sein, délaissé jusque-là. Son mamelon s’érige immédiatement. Mes mains empaument cette adorable poitrine. Sandra se cambre et dresse fièrement ses petits seins.


Mes mains reviennent ensuite vers son dos puis vers le bas de son corps. Je les passe sous sa culotte. Que ses fesses sont douces. Je les caresse, passe devant et caresse sa chatte. Sa culotte ne fait plus illusion et je l’écarte pour laisser passer mes doigts. Je pars à la recherche de son clitoris. Sandra se cabre m’indiquant que je suis sur le bon chemin. Je le titille doucement et sa réaction confirme sa totale réceptivité. Je glisse un doigt dans sa chatte, humide, et le ramène sur son clitoris. Son désir est au moins aussi fort que le mien.


En ce qui me concerne d’ailleurs, je suis franchement à l’étroit dans mon boxer. Sandra devance à nouveau mon désir et s’attache à retirer à ma ceinture. Elle baisse d’autorité mon pantalon. Elle caresse mon membre emprisonné dans le boxer et descend mon sous-vêtement sans ménagement. Moi qui la croyais timide, je suis agréablement surpris. Elle prend mon sexe en main. Sa poigne se fait douce et ferme à fois. Mon désir est tellement fort que je crains de ne pouvoir me retenir bien longtemps. Sandra lève alors son bassin pour me permettre de lui baisser sa culotte. Elle repose ses fesses au bord du bureau, lève ses jambes pour que me permettre de la retirer complètement.


Nous sommes en totale harmonie. Sandra repose ses fesses sur le bord du bureau et écarte les jambes en me souriant. Sa chatte s’offre à mes doigts qui la pénètrent. Mon pouce s’écarte pour venir titiller son petit bouton. Sa respiration s’accélère. Nos langues se mêlent à nouveau et mes doigts s’activent. La répétition des mouvements lui procure un orgasme libérateur. Sandra lâche un long soupir de satisfaction accompagné d’un regard espiègle et rieur. Sa poitrine est fièrement dressée, ses mamelons pointés. Que cette femme est belle !


Mais reprenant l’initiative, elle saisit à nouveau mon sexe d’une main et me guide elle-même vers l’entrée de son vagin. Le temps est suspendu. On se regarde intensément et je la pénètre avec délectation. La sensation est divine. Sandra m’enserre la taille de ses jambes. Je pousse mon sexe plus profond possible dans cet antre chaud et humide. Dans un premier temps, j’essaie de ne pas bouger. On en profite pour se caler le plus confortablement possible. Ses fesses sont posées sur le bord de mon bureau, à la bonne hauteur pour que je me tienne debout entre ses jambes. Puis, ses mouvements de hanches m’invitent à entamer des va-et-vient d’abord mesurés puis de plus en plus rapides.


Nous haletons tous les deux, souriants et fous d’envie. Nos corps sont soudés. Mes mains tiennent ses hanches, ses jambes m’enserrent, ses mains agrippées à mes épaules. Elle pousse des petits cris, qui gagnent progressivement en intensité m’incitant à accélérer le mouvement. Le désir est tel que je ne tiens plus longtemps. Mes mouvements deviennent désordonnés et je m’enfonce profondément en elle dans un dernier coup de reins. L’éjaculation est intense et abondante. Sandra l’accueille avec un cri rauque.

Nous restons collés pendant un long moment, soulagés et heureux. La tension sexuelle retombe progressivement. Nous sommes en sueur. Notre souffle à peine repris, nous échangeons à nouveau des baisers passionnés.


Je n’avais pas connu de rapport sexuel aussi intense depuis longtemps. Nos corps finissent tout de même par se séparer, découvrant nos quasi-nudités pour la première fois. Pour ma part, j’ai encore ma chemise sur les épaules, mon pantalon et mon boxer sur les pieds. Sandra a un débardeur tirebouchonné autour de la taille et la jupe remontée au même niveau. Malgré tout, je la trouve toujours plus jolie et désirable que jamais.


Exténués, nous essayons de remettre nos tenues en ordre, passons rapidement faire chacun un brin de toilette dans le coin cabinet-douche du bureau. J’essaie de camoufler les dégâts sur le bureau et la moquette.


Autant nous étions intimidés l’un par l’autre auparavant, autant nous assumons tout naturellement notre nouvelle orientation dans nos relations. Tout naturellement, je propose à Sandra de m’accompagner jusqu’à mon nouvel appartement, accessible à pied depuis mon bureau, ce qui se révèle bien pratique pour un récent divorcé. Elle m’avoue alors que ses affaires sont dans sa voiture au pied de l’immeuble et qu’elle attendait de savoir si elle dormait à l’hôtel… ou pas. Elle avait tout prévu !


C’est ainsi qu’a débuté notre relation. Ma collaboratrice timide et réservée s’est transformée en femme épanouie et libérée qui m’accompagnera dans la réalisation de mes plus beaux fantasmes.