n° 17891 | Fiche technique | 74248 caractères | 74248Temps de lecture estimé : 42 mn | 03/05/17 |
Résumé: Lise a-t-elle couché avec l'homme ? Pire. Mais lui, ne vaut pas mieux. Ses voisins le perturbent avec leurs idées libertines. | ||||
Critères: fh ff fhh hplusag fplusag couplus cocus voisins fête voir fellation cunnilingu pénétratio sandwich échange confession | ||||
Auteur : ViolaFleur |
Épisode précédent | Série : Dernier étage. Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent : « Avec ascenseur »
Louis a découvert que ses voisins, Martine et Marc, ses proprios, sont des libertins. Ils jouent à des jeux de rôles sexuels afin de remplir leur vie de retraités. Ils écoutent le jeune couple faire l’amour depuis leur chambre. Martine entraîne Louis à la piscine pour en faire son amant. En avouant ce faux pas à Lise, Louis découvre que sa compagne a peut-être couché avec le propriétaire pour obtenir le bail.
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Je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. L’hypothèse s’est transformée en certitude. Si nous avons obtenu cette location, c’est que Lise a couché avec le proprio. Couché ou autre chose, en tout cas assez pour avoir cette faveur. Le salaud a profité de sa faiblesse. Il a dû sentir combien nous étions intéressés.
Lise n’est qu’une victime. C’est lui le suborneur. Il va voir de quel bois je me chauffe.
Au matin, Lise semble avoir oublié notre conversation et mon aveu. Elle part. Je guette le passage du voisin. Je l’entends fermer la porte de son appart et attendre l’ascenseur. Je sors, remonté à bloc.
Martine lui a parlé, c’est évident. Mais c’est le cadet de mes soucis.
Il me regarde en silence. Il referme la porte de l’ascenseur.
Un silence et il reprend.
Il ouvre la porte de son appartement.
Martine me découvre derrière son mari.
Il part vers l’ascenseur et ajoute d’un air guilleret.
Martine me fait entrer. Elle est encore en peignoir, mais déjà coiffée et maquillée.
J’attends. Il ne lui faut que quelques minutes.
Je ne veux pas parler de ma conversation avec ma copine. La façon dont Marc a réagi est étrange. Que se passe-t-il ?
Elle me regarde. Je dois avoir le visage fermé.
Elle ouvre une armoire. Un moment elle cherche. Je l’entends parler seule ; « C’était en mai… Voilà ». Elle tient manifestement un disque dur externe en main. Elle se dirige vers sa télé, l’allume, branche le disque dur, choisit sur l’écran, parmi une série de fichiers, celui marqué « Visite locataire. Lise. Bail »
Un clic et l’écran s’éclaire :
C’est Lise qui sort de son grand sac, la chemise qui contenait les documents.
Marc lui montre un fauteuil profond et lui-même s’installe en face dans un autre. Une table basse les sépare.
On voit bien la déception sur le visage de Lise.
La déception sur le visage de Lise fait place à une sorte de volonté.
Elle ne termine pas sa phrase. Elle se lève et sans prévenir, je la vois tirer la fermeture éclair de sa petite robe d’été pour la faire passer par-dessus tête. Elle est en petite tenue. Sa lingerie blanche tranche à peine sur sa peau encore légèrement hâlée de l’été dernier. Si le soutien-gorge est « sage » avec cependant un voile très fin qui laisse voir les seins et leur pointe, on ne peut dire la même chose pour sa culotte. Lise est restée une adepte du string malgré une mode bien plus enveloppante.
L’homme la regarde. Il ne bouge pas, ne proteste pas. D’une certaine façon, je le comprends. Pourquoi se priver de ce spectacle ! Pourtant il réagit :
Et si j’ai prononcé ces paroles, c’était sur le ton de la plaisanterie, voulant juste dire qu’une requête venant d’une belle jeune femme était toujours mieux perçue. D’ailleurs, la preuve est jusqu’à il y a quelques jours je classais nos proprios dans la catégorie « retraités » ce qui signifiait pour moi « aucune activité sexuelle ». Alors loin de moi l’idée d’envoyer Lise « coucher » pour obtenir le bail. Comment a-t-elle pu penser cela ? Et comment a-t-elle pu le faire ?
Je connais bien cette expression sur ce visage alors qu’elle contourne la table basse. Ces yeux rieurs, ce sourire alors qu’elle vient vers moi avec l’idée de… Mais ce n’est pas moi qui suis assis dans ce fauteuil. Je la vois se baisser. Je la vois batailler avec la ceinture, tirer la fermeture éclair, tirer sur le pantalon, tirer sur le slip. Pendant ce temps l’homme ne bouge pas. À peine s’il se soulève légèrement afin que pantalon et slip lui soient enlevés.
Il est assis, confortable, le dos en appui sur le dossier, les mains bien à plat sur les accoudoirs. Son sexe est visible maintenant. Tige longue, alanguie, manifestement au repos, bien centrée sur les bourses. Pas un poil, pas un duvet. Pourtant les cuisses montrent qu’il a une pilosité naturelle importante. Il y a quelques jours j’aurais été surpris qu’un homme de son âge s’épile ou se rase, mais ayant goûté à la chatte épilée de sa femme et partagé les secrets du couple, cela me paraît normal. Lise n’a pas l’air de s’en étonner. Moi, à sa place, et Lise dans cette tenue, je serais déjà en érection. Avantage ou inconvénient de l’âge !
Mais ma Lise ne s’arrête pas là. Je pensais qu’elle allait faire un strip-tease devant l’homme. Mais que je suis con, alors ce n’était pas la peine de lui enlever son pantalon. La réponse me claque au visage. Elle se penche, se plie, s’agenouille. L’homme en écartant les jambes lui laisse toute la place nécessaire. Elle se saisit de la tige entre deux doigts, délicatement, comme on le fait d’un objet fragile, mais un objet qu’elle glisse entre ses lèvres, l’engloutissant sans préliminaire dans sa bouche chaude.
C’est à ce moment que je remarque que le point de vue change. Le proprio, retraité vicelard, a dû compléter son équipement pour mieux filmer les ébats de sa femme et peut-être les siens. Il en a fait un montage. Ce n’est pas un enregistrement brut, mais déjà une vidéo travaillée par le pervers pour n’en garder que le meilleur.
L’enfoiré ! Le voir « pépère », décontracté alors que ma copine le suce me fait bouillir. Une main sur ma jambe me fait souvenir où je suis et que Martine est à côté de moi.
Pépère ! Pas tant que cela. Je vois sur son visage que son masque d’indifférence se brise et qu’il devient plus humain. Il sourit, mais son regard est rivé vers Lise. Lise que l’on voit sucer, pomper, monter, descendre sur ce qui m’apparaît bientôt comme une queue raide, dont la taille n’a rien à voir avec le sexe au repos.
Pourquoi suis-je étonné de cette taille ? Il est si long que Lise ne peut en prendre qu’une partie et que pour le reste elle doit se contenter de le lécher tout au long d’une hampe qui n’en finit pas, ou plutôt qui commence sur deux belles couilles lisses et gonflées.
Mais oui, je sais pourquoi je suis surpris. J’ai encore en mémoire la remarque du mari qui était censé découvrir l’infidélité de sa femme et qui lui avait dit : « Alors il a une plus grosse queue que moi ? » en parlant de celle du jeune amant. Simple phrase pour lancer un reproche, ou vérité ? Peu importe.
Maintenant, Lise caresse d’une main les deux bourses alors que de l’autre elle branle l’homme tout en le pompant sans retenue. Tout de même, elle aurait pu en faire moins ! Si je ne savais pas qu’elle se sentait investie d’une mission, prête à se sacrifier pour notre couple, je pourrais penser qu’elle y prend du plaisir.
Martine toujours à côté de moi doit sentir ma surprise et je sens que sa main se crispe sur ma cuisse, comme une façon de me réconforter.
Lise suce, branle, caresse. Moi depuis longtemps j’aurais craché ma purée, mais Marc résiste.
Quel dommage que le son ne soit pas à la hauteur des images. J’aurais aimé entendre le…, les…
« Louis ! Voyons. Ce n’est pas n’importe qui, c’est ta copine que tu vois ainsi. Ce n’est pas normal de souhaiter cela », dit une voix dans ma tête. La voix de la raison, de la sagesse, de la droiture, de la fidélité.
Et je comprends que l’homme va jouir ! Ses deux mains qui reposaient sur les accoudoirs, même si elles avaient commencé de bouger et de se crisper à mesure que l’homme perdait son contrôle, ses deux mains viennent se saisir de la tête de Lise. Comme dans un étau, elles bloquent la tête alors que la queue est encore dans la bouche. Il va jouir et veut que Lise le recueille. C’est la première vraie intervention de Marc. Un tribunal pourrait reconnaître qu’il n’a rien demandé, rien favorisé. Qu’il s’est juste laissé faire. Et qui le lui reprocherait ? Après tout, la femme est majeure et c’est elle qui a tout fait. C’est juste alors que les sens prennent le pas sur la raison que l’homme n’a pu se retenir de ce geste.
Il jouit. C’est évident. N’importe qui reconnaîtrait cette crispation des lèvres, ces secousses qui poussent le bas-ventre. Lise est bloquée. Statue de chair rivée à la queue. Dans sa bouche doit se déverser le foutre de l’homme. Un foutre dont elle est la responsable.
Il suffirait d’un geste. D’une claque de la main. D’un mouvement de tête. D’un grognement indistinct, mais obligatoirement traduit comme un refus de laisser sa gorge en réceptacle. Mais non. Lise ne proteste pas. Dois-je la considérer comme un brave petit soldat qui va au bout de sa mission ? Bien entendu ! Je suis injuste avec elle. Lorsque je vais la revoir, je n’aurai pas le droit de lui faire des reproches. Elle est de bonne foi et si c’est un malentendu qui la conduit à faire cela, j’en suis la cause.
Mais les mains libèrent la tête. Marc a craché son jus dans la bouche de ma Lise. Une bouche qui abandonne une queue toujours aussi raide, toujours aussi longue. Mais une bouche aux lèvres serrées, conservant le jus précieux pour…
Non, pas cela ! Non Lise tu ne vas tout de même pas le boire, l’avaler, faire couler dans ta gorge le jus de cet homme, de cet inconnu ? Alors que le mien, malgré mes demandes muettes, mes regards implorants, tu le refuses !
Non. D’un mouvement de tête, c’est sur le slip de l’homme que tu laisses couler la mixture infâme. Enfin, la sienne ! Pas la mienne !
On entendrait voler une mouche. Lui est toujours assis, spectateur heureux d’avoir été choisi pour participer. Elle, assise maintenant sur la table basse. Ils sont face à face :
Elle a gagné. Son sacrifice n’a pas été vain. Le proprio vient bien de lui accorder cet appart.
Cette remarque interpelle ma copine comme elle me surprend. Le salaud va-t-il revenir sur sa parole, même si c’est par son silence qu’elle a été formulée.
Mais elle est comme moi, elle cherche le piège ou ce que veut dire l’homme en face d’elle. Ils se regardent. Ils se toisent. Et elle comprend lorsqu’elle voit que l’homme bande encore. Mais oui, son bâton est encore vert.
Tous deux parlent et si leurs paroles semblent bien anodines, leurs regards les trahissent. Que de sous-entendus ! Lise semble se décider. Elle se lève. Je la vois enlever les derniers remparts de sa vertu. Ses atours sont magnifiques. La légère trace des maillots de bain ne fait que tirer les regards vers ses seins, son ventre. Oh, oui son ventre dont le triangle blanc du pubis montre le chemin. Il reste peu du soleil de l’année dernière, mais c’est suffisant.
L’homme un instant fasciné se lève à son tour. La chemise, vite enlevée, montre un torse puissant avec une toison fournie. Lui aussi est bronzé, mais par contre aucune trace de maillot. Il doit se faire bronzer nu. Lors de notre visite, il nous avait montré leur terrasse « plein sud et sans vis-à-vis », avait-il insisté. À moins qu’il soit nudiste ? Ils sont face à face. Un long moment, rien ne se passe. Lise doit comprendre alors qu’il ne fera rien sans qu’elle lui montre son accord. Qu’encore une fois, c’est elle qui donne et non lui qui demande. Arrivé à ce stade, c’est un peu ridicule. À moins qu’il soit plus pervers que prudent. Elle lui saisit une main et la dirige vers sa poitrine.
C’est comme un « top départ ». La première main est vite rejointe par l’autre et elles commencent leur exploration. Lise frissonne. Ma chérie se retrouve embarquée dans un voyage dont elle n’avait certainement pas prévu les escales. Certainement, juste une fellation devait suffire, en tout et pour tout. On sait que même dans le bureau ovale et dans l’hémicycle du Congrès américain la fellation de Clinton, n’avait pas été considérée comme un vrai acte de chair.
Elle frissonne, ma pauvre chérie. Sentir ces mains qui parcourent ses épaules, ses seins, ses hanches doit être une torture. Mais la vidéo montre un autre plan. Un plan où l’on voit l’homme de dos et Lise de face. Je vois bien sûr son visage une expression de… elle ferme les yeux pour ne pas… pourtant, je reconnais bien cette façon de mordre ses lèvres lorsque je la caresse. De fermer les yeux lorsque ma bouche, mes mains découvrent son intimité.
Comment peut-il penser que Lise… ?
Que de vice dans ses paroles. Parler de Lise comme d’une voisine lui confirme que le bail est à nous.
Il insiste. Le plan change. Je revois le couple face à face. Je vois la main de l’homme qui caresse un téton alors que l’autre est plaquée sur la chatte. Je vois aussi, terrible vision, que Lise fléchit un peu les jambes comme pour faciliter la caresse. Il a raison. Lise se comporte comme une Salope. Le sacrifice n’est donc pas si grand ! Elle se laisse emporter par l’homme, l’ambiguïté de la situation, les caresses dont elle n’est plus maîtresse.
C’est Martine qui en rajoute une couche. Ce n’est pas très délicat. Et soudain je comprends. Pour elle, comme pour son mari, Lise était venue avec ma bénédiction et que si elle se « prostituait », c’était avec mon accord, pire, à ma demande. Alors, Martine avait beau jeu de me faire remarquer que le mari avait su inspirer du désir à ma copine.
Merde, comment une phrase lancée sur le ton de la plaisanterie, avait-elle pu déclencher un tel chambardement ? Je comprends mieux aussi pourquoi Martine avait distillé si facilement ses confidences sur la sexualité du couple. Évidemment, pour eux, le copain de Lise était partageur ou tout le moins n’était pas jaloux ou « coincé » du cul.
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Je me revois questionner Lise à son retour :
Et elle remonte ses seins d’une main, tout en claquant ses fesses de l’autre.
Et elle s’était déshabillée devant moi avec provocation.
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Sur le moment j’avais pris cette conversation à la lettre. Il a su profiter de ce que je lui offrais.
Pour moi, c’était offrir au regard. Juste le regard sur une belle jeune femme de notre époque. Elle était partie habillée normalement, en robe d’été, pas en pute qui devait coucher.
Oh que oui, il avait su profiter ! Profiter au point de la faire installer à quatre pattes sur le fauteuil. Au point de s’accroupir derrière elle et de la lécher. Une langue qui glisse, écarte, explore. Une langue qui sait extraire des gémissements à celle qui est là, offerte, la croupe cambrée, provocante. Mais oui, le salaud, il la fait gémir.
Mais il veut autre chose et je le comprends. La vision de ma copine est terrible. Un eunuque sentirait son sexe repousser devant ce spectacle. Il se lève. Sa queue pointe, horizontale, longue et certainement assez dure pour, oui, pour se glisser dans la fente, repousser les petites lèvres, découvrir la tiédeur de la chatte, la pression des chairs encore jeunes, encore souples, que des muscles non déformés par la maternité transforment en grotte enveloppante.
Putain, il est entré comme dans du beurre.
La voix de Martine qui me fait découvrir sa main sur mon pantalon. Elle a raison. Je découvre ma queue étouffée par les tissus. Mais ma voisine a pitié de moi. En s’agenouillant devant moi, me laissant ainsi la vision directe sur l’écran de la télé, je la sens tirer sur le zip et en repoussant le slip en extraire ma queue libérée.
L’homme bourre la femme. Le pervers a su trouver le bon angle afin qu’une de ses caméras soit aux premières loges. La queue sort un instant du fourreau et y replonge sans difficulté. La salope est ouverte. Elle se donne sans réserve et il est évident que, si sacrifice il y avait, il a cédé la place au plaisir. Je sais que Lise a eu beaucoup d’amants avant moi, mais jamais je n’aurais pensé qu’elle céderait si facilement. Et si je ne lui suffisais pas ? Et si elle avait sauté sur l’occasion pour se faire baiser ? Et si elle avait d’autres amants que moi ?
Le quoi, est une vraie question, une question chargée d’angoisse.
Le silence est de courte durée.
C’est une supplication. La salope est si chaude que la proposition de l’homme n’atteint même pas sa raison. Mais je vois au sourire de Marc que c’est un jeu pour lui.
Elle est exaucée. La bite la fouraille de nouveau. Elle a retrouvé la chaleur de la grotte. L’homme laboure une terre fertile et grasse.
Une claque sur les fesses accompagne sa demande. L’homme est un vrai pervers. Il veut plus qu’une baise. Il veut que sa partenaire participe. Une façon de la contrôler, de l’humilier, de la soumettre à son désir. Nouvelle claque.
Nouvelle claque.
Nouvelle claque. Lise ne se rebiffe pas. Jamais je n’aurais osé la « battre » de cette façon. Je me suis toujours comporté en amant délicat, soignant les préliminaires, attentif au plaisir de ma copine, essayant toujours de la faire jouir avant moi.
Silence. Il lève la main…
Je ne vois que ma copine et son amant de profil. J’aimerais voir le visage de Lise. Son expression alors que cet homme la soumet, la domine, lui impose sa loi.
Ohhhh. J’ai le regard rivé à l’écran, mais plus bas, plus près, Martine s’occupe de moi. Elle me suce la queue. Une queue bien raide.
J’ai honte. Oui, j’ai honte. Quel homme suis-je donc pour bander alors que je constate que ma copine se comporte comme une pute. Après tout si ce n’est pas de l’argent qu’elle reçoit en échange, c’est comme si. Et jamais, non jamais, moi je ne lui ai demandé cela. Et encore si je l’avais demandé, si elle avait obéi, consciente de l’importance de sa mission, elle n’aurait pas dû se comporter comme celle que je vois sur l’écran.
Ohhhh. La langue de Martine me déguste et c’est bon. La cochonne ! Déjà hier, sa façon de me séduire montrait une expérience que seul l’âge apporte. Et elle me pompe.
Alors que ma salope de Lise se fait tringler.
Justement, c’est elle qui râle.
Le pouce que Marc vient de glisser dans le cul de ma copine semble une vrille qui s’enfonce en tournant. Il disparaît totalement. La main orpheline de son pouce se plaque sur les reins.
Le rappel de la raison de ce « rendez-vous » me donne à réfléchir. Je suis injuste. De quel droit je condamnerais ma copine ? Elle croit bien faire et si elle se laisse emporter par ses sens, c’est bien normal. Elle est jeune. Elle est belle. Son corps demande du plaisir. D’habitude c’est par moi qu’elle l’obtient.
Moi-même, je ne suis pas exemplaire. Oui, qui suis-je pour condamner alors que, oui, alors qu’hier je me laissais moi aussi séduire et encore juste pour le plaisir, même pas pour une faveur. Et pire, à l’instant qui suis-je, alors qu’on me pompe et que je regarde en bandant ma copine se faire baiser ?
Pardon, mon Amour d’avoir douté de toi. Merci d’avoir accepté de te sacrifier, même si c’est par un quiproquo, afin que nous trouvions un toit pour notre amour.
Je te pardonne. Non, je ne te pardonne pas : je te remercie du spectacle que tu m’offres bien involontairement et qui me fait prendre conscience que je t’aime encore plus dans ce moment-là. Oui, j’aime te regarder jouir par un autre. J’aime voir ton corps bouger sous les assauts d’un autre. J’aime découvrir cette bite, si longue que j’en suis jaloux, et qui t’arrache ces gémissements annonciateurs de ta jouissance.
Jouissance qui est aussi la mienne. Oui, moi aussi je jouis. Je crache mon jus dans la gorge de cette femme. Et c’est encore meilleur, car cette femme c’est celle de ton amant.
Enfin l’homme se libère. Pas besoin d’être devin ou petite souris pour savoir qu’il éjacule. Il remplit Lise. J’ai rempli sa femme.
Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Martine est plus vive que moi.
Elle a raison. En quelques phrases elle m’a mis à nu.
Elle sourit. J’acquiesce : c’est vrai.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte retentit.
Comme je souris, elle ajoute.
Comme je la quitte et que je croise l’homme, je comprends qu’il vient bien pour des travaux. Gros, gras, adipeux, rien d’un amant…
Je ne dis rien à ma copine. D’ailleurs les voisins partent en vacances. Je le sais, car ils nous demandent de veiller sur leurs plantes. Une maison en Provence. Ils se la coulent douce. Est-ce que nous aussi nous aurons droit à une retraite si agréable ? Rien n’est moins sûr !
Mais leur absence n’est pas totale. Chaque fois que je ferme les yeux, je revois Lise et cet homme. Mais pas seulement, lorsque Lise me suce, je crois voir Martine. Tout se mélange dans ma tête. Mais ce mélange est un terrible aphrodisiaque et si Lise met mon ardeur sur la chaleur et les tenues légères des filles, moi je sais que ce n’est pas la seule raison.
Déjà la ville s’est vidée d’une partie de ses occupants. Nous, il va falloir attendre août pour que Lise puisse avoir des congés. Moi, c’est déjà plus calme. Les entreprises, clientes principales pensent à la rentrée et si mon planning est chargé en septembre, je suis actuellement en roue libre. Seul le pont du 1er juillet nous donne un peu d’espoir. Lise a obtenu ce jour. Mais c’est trop tardif pour organiser, surtout trop cher en réservations du dernier moment.
Le fixe sonne. C’est Lise qui répond. Un importun ? Non, elle salue son interlocuteur, écoute un moment, me regarde et je l’entendre dire :
Elle me tend le téléphone tout en me montrant le mur. Je dois dire que je ne comprends pas ses mimiques jusqu’à ce que le correspondant me dise.
Le geste vers le mur voulait dire les voisins. Comment j’aurais pu me douter ?
Pourquoi est-ce que je perçois un ton ironique ? Mais si c’est le cas, l’homme embraye aussitôt :
Je questionne Lise du regard. Elle me fait « comme tu veux » avec ses lèvres.
On raccroche. Quelques minutes plus tard, l’homme me rappelle. La proposition qu’il me fait peut difficilement être refusée. Il paye le transport. Lise est invitée. Il me paye plus que bien. Pour nous coucher, toutes les chambres sont occupées dans la propriété qu’il loue, mais il va demander à Marc s’il peut nous loger. Je demande quelques minutes pour réfléchir. J’en parle avec Lise. Elle est d’accord. Coucher chez nos voisins n’a pas l’air de la déranger.
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On arrive tard le soir, car le client n’a pas trouvé de places plus tôt, mais Marc nous attend à l’aéroport. Il est minuit passé quand Martine nous fait une rapide visite de la maison. Il fait nuit, mais on devine au loin la Méditerranée. La maison est à flanc de colline. C’est beau d’avoir de l’argent. « Pas de vis-à-vis ». Telle est la devise des riches.
Moi, le lendemain, alors que les autres se prélassent, on vient me chercher pour faire connaissance avec le client, la mariée, le marié, etc.
S’en suit une matinée consacrée aux demandes de l’un, de l’autre. L’après-midi, c’est mariée seule, couple, famille, etc. Puis Mairie. Puis Église. Enfin repas. Mais si Lise en profite, installée avec Martine et Marie, moi je grignote. Je souffle enfin lorsque la valse des mariés se termine. Pourtant pas question de danser, il faut immortaliser. Par contre, j’en connais une qui s’en paye une tranche. Ma Lise qui adore danser ne manque pas de cavaliers, Marc entre autres. Avec Martine, elles font une démonstration de rock à couper le souffle. Je ne me prive pas de la filmer. Même si elle n’a pas eu le temps d’acheter une robe plus adaptée à un mariage, elle n’en est pas moins la plus belle.
Je t’aime, ma douce Lise.
Un jour, je te marierai et c’est un autre qui me filmera te prendre dans mes bras pour franchir le seuil de notre maison. La tradition a du bon. Il est plus de deux heures du matin quand la fête se termine. Je n’ai pas eu le temps d’en profiter. Ce n’est pas comme Lise et les voisins qui sont euphoriques. Au point que c’est moi qui dois conduire tout ce beau monde.
Le trajet ne les calme pas. Arrivés à la maison, c’est Lise qui demande de la musique en prétextant :
Vraiment la vue depuis la terrasse est splendide. Pour en profiter, Marc a coupé la lumière et c’est la lune qui enchante le paysage. Là-bas, au loin, la ville, avec le halo qui pollue les étoiles. Juste derrière un grand espace sombre. La mer.
C’est Martine. Martine qui danse avec son mari. Lise est lovée entre mes bras.
Nous dansons. Heureusement Marc a choisi une musique langoureuse. Lise est tout contre moi. Son corps épouse le mien. Je suis bien. Enfin du repos. Et je sais que nous restons encore une journée pleine pour ne reprendre l’avion qu’en fin de journée. Nous irons à la mer. J’offrirai à Lise le plus beau des maillots de bain. J’en ai les moyens avec ce que je vais toucher. J’ai déjà la moitié. Le solde à la livraison des photos et surtout des montages vidéo. De toute façon, même un torchon habillerait ma douce. Elle est si belle. Je sens que mon désir arrive :
Que c’est joliment dit. Je comprends que la danse avec les autres l’a échauffée un peu, sans oublier que l’alcool a tendance à la libérer. C’est bien normal. Certains cavaliers la tenaient bien près d’eux. Je les excuse. Qui ne serait pas attiré par tant de beauté et de sensualité ? Et c’est moi qui vais en récolter les fruits.
C’est encore Martine, bien allumée aussi par l’alcool et que je soupçonne également d’être bien chaude de ces étreintes simulées par les danses lascives de ses cavaliers.
Par sa main posée sur mon épaule, il m’arrache à la chaleur de Lise. Je le suis. Lui aussi est bien allumé. Pas ivre au point de tituber, mais d’une ivresse qui le rend presque chaleureux. Le temps de trouver une bouteille, le seau à glace, d’extraire une cascade de glaçons et nous revenons sur la terrasse.
Les femmes dansent ensemble. Je les regarde. Lui aussi. Je vais aller les séparer, mais il me retient.
C’est vrai que c’est beau. La longue chevelure blonde de Lise cache son visage. Sa robe, juste au-dessus du genou, tranche avec celle de Martine, robe de cérémonie. Les deux moulent sans ostentation, mais avec sensualité les deux corps de nos femmes.
Nous regardons. Elles dansent.
Il devient poète. Mais il a raison. Ce couple au clair de lune, c’est un concentré de femmes.
L’allusion est évidente. Il a raison. Il connaît Lise comme moi je connais sa femme. Je tourne la tête, me privant un instant de ce spectacle, pour découvrir Marc qui me regarde. Son regard parle encore plus que ses paroles. Comment ne pas acquiescer à cette évidence.
Son visage s’illumine comme s’il attendait ce « oui, je sais » pourtant bien anodin. Oui, je sais que tu as baisé ma Lise. Oui, tu sais que j’ai baisé ta Martine. Chacun a goûté au fruit de l’autre, à ce qu’il a de plus cher. Mais toi, ta Martine est un fruit qui a déjà désaltéré bien d’autres avant moi, alors que ma Lise est une jeune pousse.
Il a raison. C’est une évidence. Ce couple soudé. Cette musique si douce. Cet éclairage indirect. Il faut le figer pour l’éternité.
Les batteries de la caméra que j’ai utilisée sont toutes à plat, mais il me reste la petite, mon caméscope HD bien plus léger et moins encombrant.
En quelques secondes, le couple est centré. Martine me voit et sourit. Lise est dissimulée derrière sa chevelure, mais il me semble voir un bras se raffermir. Pendant quelques secondes, rien ne change et puis je vois apparaître Marc dans le champ. Le couple tourne lentement sur lui-même, indifférent à cet importun. Et puis Marc leur parle. Je n’entends pas, tellement il parle bas, tout en me montrant du doigt. Que leur dit-il ? Je ne sais pas. Pourtant les deux têtes appuyées l’une contre l’autre comme un couple enlacé, se séparent. Un moment, elles me regardent. Lise de ce geste si banal repousse les cheveux de son visage. Elles sont belles, les joues roses, les yeux soulignés, les lèvres pulpeuses d’un rouge vif pour Martine, plus discret pour Lise. Je me rapproche.
On aurait dit un signal. Martine pose une main derrière la tête de Lise et je la vois s’incliner comme lorsqu’on veut embrasser. Et c’est ce qu’elle fait. Les lèvres se joignent. Ce n’est d’abord qu’un effleurement, mais Martine devient plus entreprenante. Elle embrasse ma Lise. Le mouvement est sans équivoque et Lise n’est pas insensible. Je le vois et je le filme, à sa façon dont sa tête s’incline, à sa façon de bouger. C’est un baiser, un vrai, un de ceux où les lèvres se frottent, les langues jouent, les salives se partagent. Oui, un baiser où, petit à petit, tout le corps participe, prend connaissance, si ce n’est déjà fait, de celui du partenaire. Un baiser qui déclenche des ajustements, des mains qui ne sont plus des mains de cavaliers, mais des mains de partenaires, des mains exploratrices.
Je ne réponds pas. Même si le micro est directif ma réponse serait enregistrée et je ne connais rien de pire qu’une voix qui vient perturber l’enregistrement.
Je réponds d’un « non » du doigt.
Je vais répondre non, mais mon geste se transforme en un « Je ne sais pas ». C’est vrai que je ne sais pas. Avant de me connaître, peut-être a-t-elle goûté à des expériences saphiques. Mais Marc retourne vers elles. Je le vois se plaquer contre sa femme, se frotter à elle, lui parler, à elle ou à Lise, ou aux deux. Toujours est-il que lorsqu’il se décolle de sa femme la fermeture Éclair de la robe est ouverte. Il ne s’attarde pas. En me faisant signe d’approcher, je le vois faire glisser les manches. Il me sourit en me montrant son épouse en petite tenue et la longue robe, chassée d’un pied négligent.
Le couple s’est défait. Lise semble perdue. Son regard passe de l’un à l’autre, sur la robe, vers la caméra. Mais Marc n’en a pas fini. Il fait tourner sa femme qui se présente de dos à la mienne. Lise ne sait que faire. Alors Marc lui prend une main et la dirige vers le crochet du soutien-gorge.
L’homme fait-il exprès de reproduire le geste que Lise avait déclenché afin qu’il la caresse lors de la fameuse rencontre ? Je ne saurais le dire, mais pour moi cela me ramène à cette vidéo.
Lise s’exécute. Le crochet n’est plus qu’un souvenir, que les mains aident les bretelles et que l’enveloppe de soie tombe. Un silence. Une respiration. Le temps qui s’arrête.
On attend. Serait-ce le regard insistant de Marc, mais Lise reprend. Elle tire sur la culotte, dégageant les fesses et puis se penche pour la faire descendre jusqu’aux pieds.
Il faudrait deux caméras pour vraiment saisir la beauté et la sensualité des gestes. Une devant qui, partant de la poitrine dressée, descend le long du ventre, s’attarde aux hanches, suit la progression de la culotte qui chute le long des jambes et puis remonte lentement pour faire languir le spectateur et lui faire découvrir la chatte lisse, une fente avec des lèvres ourlées. Et l’autre, plus centrée sur Lise, son visage, ses mouvements et ses mains qui déshabillent. Et puis un plan général d’une femme totalement nue et une autre, maintenant spectatrice.
C’est fou ce que la terrasse est silencieuse. On entend seulement au loin le grondement de quelques véhicules qui passent sur une autoroute. Mais autrement, rien que nos respirations, même pas le bruit de la caméra, sauf peut-être celui de l’objectif alors que je zoome. Je zoome sur Lise, son visage, ses yeux. Ah ce regard qui brille ce qu’il peut me parler ! Je sais qu’elle est ivre, mais pas que cela. On dirait qu’elle attend.
Voilà, je saisis cet instant où son expression change. Elle sourit. Je comprends alors que Martine s’est tournée vers elle. Les deux femmes se saluent. Lise ne peut que regarder sa complice, ses seins si gros, mais si arrogants malgré leur poids, mais aussi tout le reste. Une inspection de femme à femme. Lise prend la mesure de ce que lui montre Martine.
À moi ? Que veut dire Marc qui me parle à l’oreille ?
Et puis je réalise. Je lui confie le caméscope et me dirige vers Lise. C’est moi qui tire sur le zip, dégageant ses épaules, puis la laissant en lingerie. Le soutien-gorge est une formalité. Le string ne cache pas grand-chose.
Elle n’a pas bougé. Elle a juste frémi alors qu’elle se retrouve nue. J’espère que Marc a bien cadré la scène. Toujours derrière mon amie, je lui caresse la nuque de mes lèvres.
Elle penche sa tête contre la mienne, en signe de remerciement.
C’est moi qui prends l’initiative de lui faire faire le pas qui la rapproche de sa complice. Martine la happe entre ses bras, mante religieuse qui se précipite sur une proie.
Qu’elles sont belles. Marc a raison, la jeunesse et la maturité. La maturité qui enlace la jeunesse. La maturité qui embrasse à pleine bouche. La maturité qui ne se prive pas de caresser et d’explorer la jeunesse. Mais une jeunesse pas si innocente que cela. Une jeunesse qui vibre sous les caresses et qui commence à répliquer par des attouchements sensuels.
J’ai récupéré mon caméscope et je les filme. Les corps ondulent, les seins se frottent, les pubis se soudent. Et puis Martine pousse sa partenaire contre une banquette. Lise ne peut que s’y asseoir, puis s’y allonger toujours soudée et maintenue par celle qui la guide. Une guide qui abandonne la chaleur des lèvres pour couvrir de baisers le corps magnifique. Un lent cheminement ralenti par de longues haltes sur les seins, le nombril, le ventre, le pubis et bientôt la tiédeur humide de l’intimité.
C’est beau, délicat, d’une élégance naturelle. Martine lèche mon amie. Elle s’est installée entre ses cuisses et sa chevelure transforme les cuisses ouvertes en forêt.
Lise gémit déjà. À peine a-t-elle cherché mon regard que déjà ses yeux se troublent. Martine a pris possession de ce corps sublime, jouant la plus belle des gammes avec ses mains qui sont remontées vers les petits seins et leur téton érigé, avec sa bouche, sa langue que je surprends dans une longue glissade venant d’une reconnaissance de la rondelle intime, plongeant dans une fente sublime pour réapparaître un peu plus haut, là où la nature a caché ce qui devait être une verge, mais que dans sa sagesse elle a réduit à une tige cachée et qu’il faut chercher. Une tige que Lise a peu développée et que j’ai du mal à trouver pour la dégager de sa gangue. Mais Martine est une femme et une exploratrice hors pair, aussi Lise signale immédiatement la découverte.
Rapporter par des mots ce genre de gémissements, grondements, respirations, est une gageure. Cela n’existe pas des mots aussi forts et précis pour expliquer ce que nous entendons, ce que nos cerveaux savent traduire par plaisir, sexualité, jouissance. Pas la jouissance, car elle sait se faire reconnaître. Il fut un temps ou l’expression « tomber en pâmoison » était le summum de l’écriture. Le monde a changé et les femmes de maintenant savent extérioriser leur plaisir.
La bouche aspire. La langue doit caresser. Des doigts s’activent dans la fente. Lise est aux anges. Que je filme ne la dérange pas, ou si cela l’a dérangée, ce n’est plus le cas. Elle est seule au monde et ses yeux clos la protègent de nous. Seul son corps parle. Il bouge, ondule, s’arque. Et puis soudain ses mains se saisissent de la tête de Martine et la terrasse résonne de sa jouissance. Le Ouiiiiiiiiiiiiiii doit résonner là-bas, en mer et certains plaisanciers doivent se réveiller, inquiets d’un tsunami qui pourrait les submerger.
Mais c’est mon amie, mon Amour, ma Chérie qui crie son plaisir. Et moi, je regarde…
Lise revient doucement à elle. En rouvrant les yeux, elle semble perdue un instant, réalisant que ce n’est pas dans l’intimité de notre chambre ni par moi, que son plaisir a été donné. Martine est toujours agenouillée, moi je filme et Marc est à côté de moi. C’est Marc qui semble être son centre d’intérêt. Elle le fixe. Je regarde à mon tour et comprends la surprise de Lise. Il est nu, le sexe érigé, barre horizontale avec son bout rose découvert.
C’est bien lui qu’elle regarde. Lui qui avance vers les femmes, passe à portée de main de Lise, mais c’est vers son épouse qu’il se dirige. On dirait qu’elle sait. Déjà sa bouche s’entrouvre et passant de l’intimité d’une femelle c’est la queue d’un mâle qu’elle accueille. Je ne suis pas le seul à suivre. Lise s’est redressée pour les regarder et, comme moi, suivre la progression du mandrin dans la gorge. A-t-elle déjà eu l’occasion de suivre ce genre de spectacle dans sa vie d’avant ? Moi j’ai par contre le souvenir que cette bite c’est dans sa bouche que je l’ai vue la dernière fois.
Le couple s’active, enfin je veux dire la femme s’active sur l’engin. Il paraît encore plus gros que dans la vidéo. Elle le suce et le recouvre de salive, le restituant à chaque fois encore plus gluant, encore plus brillant.
Mais Marc la fait cesser. D’un geste, il lui demande de se déplacer et je comprends aussitôt que c’est pour prendre sa place. Mais pas la place de suceuse, non la place de l’homme en érection devant la femme allongée.
Lise aussi comprend. Comment pourrait-elle ne pas comprendre ? Déjà, dans un mouvement guidé de sa main, il frotte son gland contre son intimité. Ce geste semble la terrifier. Elle me regarde. Son regard parle avant même qu’elle me dise :
Je m’agenouille à côté d’elle, approche mon visage du sien. Ses yeux ne me quittent pas.
Pourquoi ne suis-je pas vraiment surpris de l’attitude de Marc ? Pourquoi depuis des jours chaque fois que nous faisons l’amour j’ai la vision de ma Lise dans les bras de cet homme. Une vision qui me perturbe. Une vision qui me fait bander. Une vision que j’ai apprivoisée et analysée. Une vision qui me fait imaginer d’autres choses. Une vision qui se mélange avec les confidences de Martine, qui déclenchent des rêves éveillés. Des fantasmes dont l’érotisme est si puissant que je m’y plonge avec volupté. Oui, moi, je l’ai déjà vécu par la pensée ce moment. Et c’est instant où, mari candauliste, j’assiste vraiment à la possession de mon amie par un autre.
Marc continue son jeu et je sais qu’il écoute.
Le regard n’est déjà plus celui de la peur, il vire à l’interrogation.
Mais elle a déjà répondu « Oui ». Pas un « Oui » qui sort de sa bouche, mais alors qu’elle s’était redressée pour regarder Martine sucer son mari, elle se rallonge, la tête sur la table basse.
J’insiste, autant pour être vraiment rassuré, que par perversité. Je veux l’entendre.
Rien n’est plus doux à entendre. Rien n’est plus beau à voir. Le visage qui se transforme alors que Marc avance. La lente progression de la queue qui ouvre un chemin déjà préparé par Martine, déjà humide d’une jouissance, et j’en ai la certitude par une envie inavouée. Lise ne peut pas avoir oublié leur baise pour le bail, une baise que sa jouissance avait immortalisée dans son esprit. Eh oui, son visage qui se détend, ses yeux qui se plissent et surtout, surtout, les lèvres qui s’entrouvrent pour laisser échapper un soupir.
Le souffle du bonheur. Un souffle qui s’arrête alors que le mandrin est au plus profond et que l’homme plaquant son pubis contre celui de la femme. Un homme qui commence ses mouvements du bassin.
Bien sûr que non il ne lui fait pas mal. Je le sais. Je l’ai déjà vu posséder ma copine avec autrement plus de puissance. Mais je veux entendre ma Douce me le dire. Je veux qu’elle me dise qu’elle aime. Que c’est bon.
Voilà, c’est dit ! Cela peut paraître anodin, mais ces quelques mots ont une telle puissance érotique que ma queue déjà dressée semble vouloir déchirer mon pantalon.
Et cela ne risque pas de s’arrêter, car Marc commence son doux labeur. Il a certainement, comme Martine, conscience que c’est notre première fois et qu’il ne faut rien brusquer. Il bourre lentement Lise. Mon caméscope semble vivre sa propre vie.
Il filme longuement, la longue tige ressortir de la grotte humide et y replonger dans un mouvement d’une lenteur éprouvante. Le gland est magnifique, rose, pointe émoussée, mais au combien efficace alors qu’il repousse les chairs entraînant la hampe dans sa progression.
Lorsqu’il zoome le visage de la belle on peut y lire comme dans un livre ouvert. Mon esprit imagine déjà le montage où les deux "approches" sont projetées en parallèle.
La bite avance. On la voit disparaître dans la fente. Le visage s’anime, les lèvres soufflent, les yeux se plissent.
La bite se retire. Elle semble sans fin jusqu’à ce que le gland apparaisse. Le visage se fige, les lèvres se pincent, les yeux s’ouvrent. Chaque fois on devine l’angoisse que cela s’arrête.
Je suis concentré, en harmonie avec ce que vit le couple. Pourtant, je sens qu’on s’occupe de moi. Martine vient vers moi. Elle se charge de me déshabiller. Enfin, ma queue s’ébroue. Elle attire l’attention de Lise qui regarde mon mandrin si tendu qu’il se plaque contre mon ventre. Mais pas pour longtemps. Une bouche s’en empare. Martine me suce.
Lise regarde. Le spectacle est pour elle. Le plaisir est pour moi. Que peut-il y avoir de mieux dans la vie d’un couple qui s’aime. Partager. Offrir. Donner.
Martine s’applique. Elle sait y faire. Je connais son expérience. Ma bite disparaît dans sa gorge comme une sucette dont il ne reste que l’extrémité du bâton.
Une question ? Une constatation ? Peu importe ! Ce qui compte c’est que ce soit Lise qui le dise.
C’est aussi cela l’amour. Chacun est heureux du bonheur de l’autre, du plaisir de l’autre, de la jouissance de l’autre. Surtout ! Oui surtout, c’est un étranger qui en est le messager.
Je pense que le professionnel a failli à sa mission de filmer. Comment rester maître de soi, dans ces moments-là ?
Marc qui accélère ses mouvements et qui se saisit des jambes, puis des mollets de Lise pour les dresser au ciel et en former un « V » majestueux. Un « V » dont la pointe est le centre de tout. De la bite qui maintenant s’active avec beaucoup plus de puissance, secouant le corps de la coquine qui se laisse baiser.
Coquine, qui se caresse les seins et son clito. Mais aussi, qui ne quitte plus Martine des yeux et, je veux le penser, à la bite qu’elle suce et engloutit, aux couilles qu’elle me caresse.
Et ma jouissance arrive. Elle attendait tapie dans l’ombre dès la première danse. Elle se préparait alors que mon cerveau ne faisait qu’envisager quelque scène érotique. Elle se déverse telle une source provençale que l’hiver pluvieux a réveillée.
Putain que c’est bon. Martine qui me garde en bouche, le gland scellé par des lèvres étanches, la main qui me branle doucement pour extraire, jet après jet, le jus de mes couilles. Mais aussi Lise qui regarde sans regarder, le regard vitreux, dans un autre monde, celui de sa propre jouissance. Il faut dire que Marc ne se retient plus depuis longtemps et que cela fait de longues minutes que ce n’est plus une jeunette qu’il baise, mais une femelle qui ne demande que cela, que de se faire labourer sans retenue, de se sentir cochonne, une pute qu’un mâle bien monté, possède.
Il y a des jouissances plus fortes que d’autres. Des moments dans une vie. Des situations particulières. Une excitation poussée à son paroxysme. Mais rien de comparable à ce que je ressens. L’extase de l’esprit. La jouissance de la chair.
Et Martine qui abandonne ma queue, un sourire aux lèvres closes, un regard qui transpire toute la perversité du monde. Une Martine qui se tourne vers ma copine. Une Martine qui se penche sur elle, sur son visage. Une Martine qui embrasse Lise.
Mon Dieu ! Que fait-elle ? Elle ne va pas ? Ce serait trop !
Mais si elle le fait. Elle embrasse à pleine bouche celle que son mari laboure. Lise ne peut refuser l’offrande. Sa bouche ne peut que recevoir mon foutre. C’est obscène, fort, dérangeant. Pourtant mon Amour, transportée dans un autre monde ne proteste pas.
Lorsque Martine se relève, des filets de sperme et de salive se tendent entre les lèvres.
Marc ne se retient plus. Lui aussi doit déverser des flots de sperme. Mais c’est dans la vulve de ma copine. Ma copine qui vient d’être abreuvée de mon propre jus. Sa bouche entrouverte me laisse deviner des restes du festin. Des coulures aux commissures des lèvres sont des signatures qui ont bien la valeur d’un Picasso ou d’un Gauguin.
Il faut un long moment pour que Lise se reprenne. Je la tiens dans mes bras, couvrant son cou de baisers, attendant qu’elle revienne de cette petite mort. Je veux qu’elle sache que je suis avec elle et que l’expérience que nous venons de vivre est à nous deux. Elle me sourit enfin. J’effleure ses lèvres d’un doux baiser. J’y découvre l’odeur de ma liqueur et cet échange me paraît le plus belle des récompenses.
Marc nous sert le champagne qui a eu tout le temps de se rafraîchir. Je suis le plus heureux des hommes. Lise à ma droite. Martine à ma gauche. Nous buvons après avoir tous trinqué comme on paraphe un document, un contrat. Plus rien ne sera plus comme avant. Marc est assis un peu plus loin, grand ordonnateur de cette nuit mémorable.
Des flashes torrides me saturent les rétines alors que je regarde au loin. Pourvu que le caméscope ait bien fonctionné. Je me vois déjà réaliser le montage de ma vie et l’offrir à mon Amour, ma Lise. Une vidéo qui ne pourra que nous inciter à d’autres aventures. Une vidéo que j’offrirai à nos désormais complices. C’est grâce à eux que nous sommes là, tous les quatre. Grâce à eux, mais aussi à ce quiproquo qui m’a fait envoyer sans malice, ni arrière-pensée, ma Lise pour obtenir le bail. Mais surtout, et je lui en serai toujours reconnaissant, à Lise qui a « détourné » ma demande pour s’offrir au propriétaire.
Justement Lise me regarde, me sourit et en suivant son regard, je découvre que je bande. Sa main en juge la réalité. Je ne suis même pas étonné qu’elle bouge pour venir sur moi. Elle va s’empaler sur mon pieu. Pourtant elle ne le fait pas. Elle se penche vers moi et demande avec une voix trouble :
Mais de quoi veut-elle parler ? Elle doit voir mon incompréhension et reparle :
Je réalise l’indécence de sa remarque. Elle parle du sperme de son amant. Un sperme qu’elle doit avoir conservé au moins en partie en elle. Le reste étant… Putain, que de vice maintenant dans nos propos.
Elle sourit de ma réponse, mais surtout se laisse aller sur moi. Elle s’empale. Déjà elle est assise. Déjà je suis en elle. En elle, ma queue rencontrant le foutre de Marc. Ma copine se baise sur moi, encore chaude, humide, poisseuse de son amant. Mais déjà elle s’active en ondulant sur moi. Une danseuse orientale ne ferait pas mieux dans le déhanchement. C’est divin. Elle se baise.
Martine s’est jointe à nous. Elle caresse ma cavalière, joue avec ses seins, l’embrasse à pleine bouche. Marc aussi s’est rapproché. Lui aussi rebande. Qui resterait insensible à tant de beauté. De sensualité. D’érotisme. Nos voisins se régalent de leur conquête, de ce jeune couple qu’ils ont apprivoisé et qui fait l’amour devant eux. Mais surtout de ma Lise, cavalière aguerrie connaissant sa monture sur le bout des doigts, des seins, de son clito.
Mars est si prêt que… oui, que Martine oriente le visage de Lise, la pousse vers son mari, lui donne la queue à sucer. Cinéma 3D. Non 4D. Tous mes sens sont excités. Voir à quelques centimètres de moi la bouche aimée, gober cette belle tige qui lui a déjà donné tant de plaisir. C’est magnifique. La langue est une vipère qui s’enroule autour de sa proie. La salope. Mais oui, ma Lise est une belle salope et je l’aime encore plus pour cela. Deux bites pour elle. Et cette perversité. Cette façon de s’empaler sur moi.
Mais aussi ce mouvement. Elle pousse vers moi la bite grasse. Elle me la donne. Elle me l’offre. Elle attend. Elle attend. Comment refuser ce geste si pervers alors que je ne cesse d’apprécier cette liberté nouvelle. Alors je le fais. J’y pose mes lèvres. J’y presse ma langue. J’en gobe le gland. Ce n’est pas si petit ! Je dois vraiment ouvrir mes lèvres. Je ne vais pas plus loin, mais ce n’est pas désagréable. C’est d’une douceur parfaite, d’une rondeur enivrante. J’ai déjà la bouche pleine du gland, comment les femmes peuvent elle en prendre plus ?
Je ne connaîtrai pas la réponse cette nuit. Marc me retire son engin. Il recule. Je le vois se pencher puis disparaître derrière Lise. Il pousse Lise à se pencher sur moi. Il réapparaît. Il est impressionnant de puissance. Ses poils qui recouvrent son corps lui donnent une masculinité animale. Un animal qui me fait un clin d’œil.
Marc fait allusion à cette scène où il baisait sa locataire en levrette et lui avait glissé un pouce coquin dans le cul.
Je n’ai pas le temps de répondre que déjà Marc pousse.
Je sens nettement la pression qui s’exerce. Instinctivement j’ai pris ma copine dans mes bras. Son visage est tout contre mon épaule. Je sursaute en même temps qu’elle. Marc vient de lui claquer la fesse.
J’entends Lise souffler dans la chaleur de mon cou. Moi aussi je sens la différence. Marc est entré. La base de ma queue est pressée. Le bas, puis le reste. Je sens le mandrin se glisser dans le cul, frayer son chemin dans le boyau étroit, mais surtout me disputer de la place. Nos deux tiges se frottent.
Le râle ne cesse que lorsque Marc couvre totalement la femelle que je tiens dans mes bras.
Je demande tout de même inquiet et conscient du volume de ce qui occupe son cul. Sans ma présence, je ne serais pas inquiet. Le cul de ma Chérie est assez "rodé", même pour la bite de Marc.
Marc reste un moment ainsi. C’est Lise qui bouge imperceptiblement au début et un peu plus ensuite. Et puis il commence. Moi, je reste figé de peur que ma queue sorte de son étui.
Il bouge doucement. Il enfile ma copine par le cul comme on déguste une première fois. Il me sourit. Je lui réponds. Complicité d’homme ! Je suis pas à pas ses mouvements. Ma queue est une sonde parfaite d’une sensibilité extrême. En bougeant, non seulement Marc décontracte Lise en lui massant le cul, mais il me caresse la bite.
Longtemps il est seul à bouger. Lise se décontracte de plus en plus. Elle se laisse aller. La bite de Marc la laboure de plus en plus facilement.
Je sais traduire l’incompréhensible. Chaque mot indistinct, chaque souffle, chaque grognement est chargé de sensations. Lise commence vraiment à apprécier. Marc le comprend. Il la chauffe doucement. On dirait qu’il la connaît comme moi. La bite est un pieu qui s’enfonce de plus en plus fort, de plus en plus profond. Pourquoi ai-je l’impression que Lise pousse son cul vers lui, se cambrant au risque que je sorte de sa fente. Moi aussi je pousse en avant.
Voilà, elle se libère. Elle quitte la chaleur de mon cou pour se redresser un peu. Son visage est en face du mien. C’est elle et ce n’est pas elle. Elle grimace. Ses lèvres se pincent. Ses yeux sont remplis de larmes.
Et puis dans un éclair de lucidité.
Marc est un piston. Le cul, un gouffre sans fond.
Elle me fixe une seconde d’un regard perçant, mais cela ne dure pas. Déjà elle repart dans son plaisir. Elle retombe sur moi. Sa tête retrouve la chaleur de mon épaule. Marc se penche à son tour. En appui sur les deux bras, il couvre la femelle qu’il encule à grands coups de reins.
Lise gémit, gronde, souffle. Elle parle. Des mots sans suite, à moitié mangés. C’est bon, mais je voudrais plus.
Mais je comprends qu’elle est déjà emportée. Alors je me lance.
Je ne sais si c’est cet échange ou la montée d’un désir à assouvir, mais elle se redresse, repoussant Marc qui un instant est chassé de son cul.
C’est Lise, moitié implorant, moitié commandant. Marc retrouve d’une poussée la chaleur de son cul.
Elle est en appui sur ses bras, mais n’est plus la Lise passive, subissant les assauts de son enculeur, savourant ma bite dans sa chatte. C’est une furie. Une femelle en chaleur qui se possède elle-même à grands coups de reins, cherchant à nous sentir au plus profond d’elle.
Elle bouge. C’est magnifique. Elle ruisselle de sueur. Ses cheveux se collent sur son visage et c’est moi qui les repousse afin de pouvoir la regarder. C’est un champ de bataille en perpétuel mouvement. Ange, démon, masque du plaisir, traits de la souffrance. Tout un monde souterrain…
Elle est belle. Je l’aime. Oui j’aime la Lise compagne sage. Mais que j’aime cette Lise-là. Déchainée, libérée, sans conscience, sans limites.
Elle se tétanise. Elle ne semble plus maîtresse de son corps. Je ressens sur ma bite des contractions dignes d’un tremblement de terre.
Elle jouit. C’est beau. Quelques secondes où statue de chair figée dans un orgasme que les déesses de l’amour pourraient lui envier et elle s’effondre sur moi. Anéantie, brûlante, sa sueur la collant à moi.
Marc bouge un peu, mais son visage marque la jouissance. Il est comme moi. Combien je suis heureux ! Combien je suis fier ! Fier de Lise qui a troublé son enculeur, amant expérimenté et qu’elle a littéralement forcé à éjaculer. Moi, c’est déjà fait. Pourtant, ma tige me paraît encore dure. Elle baigne dans mon foutre qui est venu se mélanger à celui de Marc. Quelle perversité d’apprécier une telle chose. Et Marc qui doit lui inonder les entrailles.
Lise semble insensible à notre hommage. Elle se reprend. Il faut un moment pour que sa respiration ralentisse. Marc s’est retiré. Il a fait quelques pas en arrière. De toute façon une bulle d’amour et de tendresse nous isolent des autres.
Un long moment se passe et puis je l’entends me dire.
Que répondre ?