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n° 17960Fiche technique17611 caractères17611
Temps de lecture estimé : 10 mn
22/06/17
Résumé:  Une ancienne enseignante, sexy à souhait, endure les misères du temps qui passe en vivant pleinement sa sexualité.
Critères:  f hplusag fplusag fagée profélève grosseins handicap hdomine cérébral fetiche fmast hmast facial -extraconj
Auteur : Patrick de Toscane            Envoi mini-message

Série : La professeure de musique

Chapitre 01 / 04
Prélude

Dans les cales sombres d’un vieux navire, un enchevêtrement de poutres et de canalisations rouillées courait sur l’arche supérieure. La résonance sourde des courants d’air s’accordait mal avec le travail de la structure métallique du tanker… La pression se déplaçait dans les couloirs et au détour d’une écoutille, on pouvait percevoir un grognement inhumain…


Un claquement mélodique et sensuel se dissocia du climat lourd et angoissant… La silhouette sombre d’une femme chaussée d’escarpins à talons hauts se déplaçait prudemment en faisant claquer ses pas sur le sol d’acier… Qui était-elle ? Que faisait-elle en un tel lieu ? Ses jambes étaient habillées de bas et l’étrangère était prisonnière, corps et âme de cette immense geôle d’acier. Elle s’immobilisa. Son épaisse coiffure accompagna son affolement… Sa respiration s’accéléra, elle plaqua son dos, ses mains contre la cloison du navire et son regard balaya les pourtours inhospitaliers. Un nouveau râle la fit tressaillir… Ses cheveux couleur platine se figèrent… Ses paupières étaient lourdement maquillées et le contour de sa bouche laissait paraître quelques rides. Sa poitrine était soutenue par de solides bretelles et les bonnets profusément garnis.


Un nouveau râle détourna son regard, elle pinça ses lèvres peintes et ouvrit plus grand les yeux. Elle sortit légèrement sa langue, avant d’être atteinte par un fluide blanchâtre qui s’écrasa sur sa poitrine. Le liquide épais coula entre ses deux seins parsemés de taches de vieillesse. Par réflexe, elle posa ses doigts sur l’outrage ; ils s’imprégnèrent de ce liquide épais et laiteux. Rapidement, ce fut une certitude lorsque commença une série de jets qui souilla peu à peu tout son corps. Elle ne lutta pas pour s’extraire de la cible, les râles étranges de la bête redoublèrent et la proie capitula. Un nouveau fluide effleura cette fois-ci son visage… La lutte était vaine, mais le plaisir tout de même présent… Elle fit glisser sa main sur son ventre ridé, ses doigts s’engluèrent de semence pour mieux la refouler sur son sexe lisse. Son désir frotta sa vulve gonflée jusqu’entre ses cuisses où elle barbota. Sa main libre remonta vers son soutien-gorge imprégné, les deux superbes boules contraintes par la passion de ses doigts lui arrachèrent un râle de plaisir, avant qu’une nouvelle salve n’atteigne lourdement son visage… Véronique sursauta !



Dans son grand lit atteint par les lueurs d’une matinée ensoleillée, elle se rassura en décrivant son immense chambre et réalisa la profondeur du silence. Une nouvelle fois, elle avait fait cet étrange rêve, déstabilisant, mais actuellement, c’était un sentiment de délivrance qui parcourait son corps tout entier.


Elle culbuta capricieusement la couette et se leva totalement nue. Sa poitrine trop fièrement dressée pour son âge était opulente et grâce à la chirurgie, son corps continuait d’éveiller le désir chez les jeunes mâles. Près de l’oreiller traînait discrètement un petit vibromasseur. Elle chaussa ses mules à talons hauts et marcha jusqu’à la baie vitrée où elle remonta les volets roulants. Elle ouvrit les portes et sortit sur le bord du balcon pour apprécier le parc qui encerclait la riche propriété. Elle passa les doigts dans ses cheveux et apprécia les sollicitudes d’un air frais sur son corps.

La « quinquagénaire » revint près de son lit pour l’aérer et dissimuler son jouet de la nuit. Elle le déposa parmi d’autres calibres dans le tiroir de son chevet. Rapidement, elle enfila un « minuscule » kimono et sortit de la chambre.



La voix d’un vieillard résonna dans une pièce de l’étage. Une toux grasse précéda un inquiétant silence. Véronique s’empressa et son « voilage » s’entrouvrit naturellement sur sa nudité…

Elle s’immobilisa devant une porte au fond du couloir et la voix prit un ton despotique.



Dans une chambre plus petite, un vieil homme aux cheveux blancs et au teint blafard s’agitait dans son grand lit… Sa respiration était difficile, glaireuse et il fixait comme une étrangère celle qui n’était autre que sa femme.



L’homme se calma et fronça les sourcils détaillant la pièce du regard. Il laissa tomber à terre un mouchoir taché de sang.

Il s’agaça une nouvelle fois.



Véronique prit place sur le bord de la literie. Elle lui prit la main et cela eut pour effet de le rassurer. Elle croisa les jambes… et le regard du vieil homme détailla la tenue négligée de sa femme ; il dirigea une main vers la poitrine aux trois quarts offerte…



Ses doigts hésitèrent sur le tissu qu’il n’eut pas de mal à dégager pour dévoiler l’aréole d’un sein. Il le respecta du bout de son index tremblotant. Soudain, la fierté s’afficha sur son visage : le gros téton avait pris la forme d’une appétissante petite framboise.



La main de Jean-Paul chuta sur le drap. Son regard resta hypnotisé par le fruit qu’il venait de ressusciter et il tourna la tête en grognant. Véronique décroisa les cuisses et le spectacle attira une nouvelle fois le regard du vieil homme, avant que ce ne soit sa main.



La main du vieil homme glissa laborieusement vers le sexe de sa femme et il la contraint à s’offrir. Sévèrement, il viola son regard et peu complaisante, elle écarta les cuisses… Les doigts maladifs purent se frayer un passage jusqu’à une source encore humide des fantasmes marins. Les traits souffreteux disparurent immédiatement et un sourire se dessina sur le visage rosé.



Véronique ne voulut pas refuser cet instant de bonheur et elle s’offrit dignement. Elle ferma brièvement les yeux et poussa un petit gémissement, avant qu’il ne glisse sa main libre sous le drap pour se caresser.



Véronique repoussa la main de son mari, se leva et s’éloigna.



Véronique s’immobilisa devant la porte, avant de se retourner vers lui. Le regard du malade descendit le long du kimono vulgairement entrouvert et il poursuivit sa branlette… Bouleversée, elle baissa les yeux et quitta la pièce.


Jean-Paul n’avait jamais pris sa retraite. À bientôt soixante-dix ans, il dirigeait son entreprise de transport avec son associé, Omar Ferrage. Bien que leurs rapports ne soient pas « au beau fixe », il avait préféré confier les rênes de son entreprise à un ambitieux inconnu plutôt qu’à ses deux enfants issus d’un premier mariage.


Véronique supporta sa condamnation durant une partie de la matinée. Elle fut rythmée par le passage de l’auxiliaire de vie et d’une infirmière. Depuis plusieurs mois, la jeune retraitée encaissait les coups bas de la vie et son tempérament l’avait amenée à répliquer avec la même hargne ! Puisque la vieillesse était une déchéance, alors elle rivaliserait contre elle en jouissant le plus longtemps possible. Le plaisir serait ses victoires ! Ce matin, elle avait revêtu une robe légère suffisamment ajustée aux bons endroits et accomplit un maquillage soigné pour nuancer ces années qui voulaient prendre le pas sur sa séduction.


Divorcée par deux fois, sans enfant, elle avait épousé en troisièmes noces un homme qui sut combler ses fantasmes. Malheureusement, un début d’Alzheimer et une infection respiratoire chronique mirent un frein aux fastes années.

Véronique erra dans le salon pour s’y calmer. Une bibliothèque abritait un violon et sur l’un des murs, le diplôme d’un conservatoire de musique de Paris faisait sa fierté. À l’écart du soleil, un stand soutenait un autre violon près d’un pupitre. Véronique avait fait toute sa carrière dans l’Éducation nationale comme professeure de musique et en retraite, elle continuait à donner des cours particuliers.


À 11 heures, la visite du médecin conclut sur une note d’optimisme qui ne réjouit pas Véronique. Les antibiotiques finiraient bien par avoir le dessus sur l’infection purulente et concernant l’Alzheimer, bien que fatal, il laisserait à Véronique quelques années de « répit », avant qu’il faille songer à l’internement de Jean-Paul.


En début d’après-midi, une petite voiture arborant un « A » vint s’immobiliser dans la cour de la riche demeure. Un jeune homme maigre et à grosses lunettes traversa le jardin avec un étui à la main.

Particulièrement tendu, il eut du mal à appuyer sur la sonnette… Son visage marqué par des vésicules disgracieuses s’anima de quelques tics, avant que la porte ne s’entrouvre sur la maîtresse de maison. En une fraction de seconde, il détailla l’objet de ses fantasmes : la contrainte du tissu au niveau des seins, des hanches et la fermeté des cuisses de sa professeure.



Ils se serrèrent la main et elle lui ouvrit plus grand sa porte. Il entra avec prétention et il marcha en direction du salon. Alors qu’elle rassemblait quelques habits traînants sur le canapé, le jeune homme en profita pour rêvasser sur les fesses tendues et surtout la « bougeotte » d’une poitrine confinée dans un soutien-gorge trop petit.



Quentin fouilla son étui et s’empressa de glisser ses preuves entre les doigts bagués, avant de sortir son violon.



Véronique se posa sur une chaise. Elle croisa les jambes et saisit ses lunettes pour corriger les devoirs de son élève. Quentin se prépara en appréciant une dernière fois les cuisses pressées l’une sur l’autre en rêvant d’y voir ce paradis qui hantait ses nuits.

Sa désillusion fut à la hauteur des premières notes et Véronique leva les yeux au ciel.



Véronique se dressa furieusement sur ses talons hauts et prit sa chaise pour la placer à côté de Quentin qui commençait à virer à l’écarlate. Le jeune élève se leva et confia son instrument. Solennellement, Véronique prit place, cuisses jointes et buste bien droit.



La professeure de musique joua une agréable partition qui tranquillisa le jeune homme.



Le jeune homme hésita…



Quentin s’exécuta et posa sa main sur la poitrine de Véronique. Il tenta de se concentrer en ressentant le gonflement d’une poitrine prête à exploser sous ses doigts.



Le jeune homme resta silencieux tout en mordant sa lèvre et Véronique poursuivit sa démonstration avec une étonnante concentration.



Malgré l’anxiété que lui inspirait Véronique, Quentin commençait à bander et rapidement, il se sentit investi d’un pouvoir sur la ferme poitrine. C’était le moment ou jamais ! Son cœur s’emballa et une boule monta dans sa gorge… Soudainement, quelqu’un frappa à la porte.



Elle bourra l’instrument de musique dans les mains du jeune homme et se leva. Véronique entrouvrit sa porte et chuchota quelques mots, avant de s’excuser auprès de Quentin, avant de disparaître.

Sur la terrasse, un homme noir dans la quarantaine était plein d’embarras. Il portait un élégant costume et Véronique se rapprocha de lui pour l’embrasser, mais il fit un pas en arrière. Inquiète, elle posa une main sur sa cravate, avant de la rajuster :



L’inquiétude de Véronique redoubla et elle s’en alla marcher avec lui sur toute la longueur de la terrasse.



Il ne répondit pas. Elle se retourna sur lui, posa une main sur la braguette du pantalon :



Il esquissa un léger sourire, avant de se reprendre.



Véronique s’immobilisa, avant de s’éloigner de lui avec sa peine… Omar retourna vers sa grosse voiture en se retournant une dernière fois.

Dans la demeure, Quentin s’en alla vers la fenêtre qui donnait sur la terrasse. Il vit sa professeure poser une main sur la braguette de l’associé et il ne put s’empêcher de sortir son portable et de prendre un cliché de l’instant. Il prit d’autres photos plus focalisées sur les courbes de la professeure, avant de poser ses doigts sur sa braguette. Ce soir, il pourrait se donner du plaisir avec les photos de Véronique plutôt que de la fantasmer en salope.


Quentin quitta la fenêtre pour le centre de la pièce, avant de saisir son violon et s’asseoir pour être raccord. La porte d’entrée s’ouvrit et Véronique entra, la démarche lourde et les yeux humides. Il se leva.



Elle s’en alla vers la télévision en prenant un mouchoir en papier et tamponna ses yeux. C’était la première fois qu’il la voyait si vulnérable, elle, la femme du monde qui le castrait par son énergie. En quelques instants, elle était devenue « humaine » pour ne pas dire « baisable ». Avec un peu plus de courage, il allait pouvoir se la faire et réaliser le fantasme qu’il faisait en solitaire dans son lit.



Depuis plusieurs minutes, Quentin bandait et il ne protesta pas pour sortir du salon. Le désir précipitait sa respiration… Devait-il la prendre dans le salon ? La chambre ? Son visage était en feu et il avait besoin de fraîcheur, de passer la tête sous le robinet d’eau froide à défaut de prendre une douche glacée. Il monta à l’étage avec l’énergie d’un Touareg assoiffé. Il poussa la porte et la fraîcheur de la pièce d’eau calma à peine ses ardeurs. Il ouvrit le robinet d’eau et accueillit la source fraîche entre ses deux mains avant de la projeter précautionneusement sur son visage. Une fois, deux fois, trois fois, il resta ainsi penché sur la vasque pour éteindre la folie qui embrasait son esprit. Il se redressa, prit un torchon à portée de main et s’essuya le visage.


Quand il ouvrit les yeux, son regard s’immobilisa sur deux larges bonnets qui constituaient l’un des soutiens-gorges de Véronique. Il séchait là et Quentin se retourna sur lui. Il en apprécia la précieuse dentelle et l’image des seins de la professeure de musique confinée le rendit fou…


Il posa une main sur sa braguette, avant de baisser son pantalon et sortir une érection ferme, mais assez moyenne. Il décrocha le soutien-gorge, enroula un bonnet autour de son sexe et commença lentement à se masturber…



À suivre…