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Temps de lecture estimé : 13 mn
27/06/17
Résumé:  L'infirmité du mari de Véronique la privait de ces récréations amoureuses. Son amant l'avait larguée. A défaut d'être l'auteure de ses fantasmes, elle sera la victime complaisante du désir qu'elle provoque.
Critères:  f h fh jeunes grosseins fmast pénétratio fdanus jouet baillon -hplusag
Auteur : Patrick de Toscane            Envoi mini-message

Série : La professeure de musique

Chapitre 02 / 04
Désaccords

Résumé de l’épisode précédent : « Prélude »


L’infirmité du mari de Véronique la privait de ces récréations amoureuses qui faisaient autrefois son quotidien. Omar, contrarié de n’être qu’un amant occasionnel, l’avait larguée pour plus de stabilité. La « bombe » platine était sur le banc de touche, captive d’un malade et à défaut d’être l’auteure de ses fantasmes, elle sera la victime complaisante du désir qu’elle provoque.




Désaccords




Dans la salle de bains du premier étage, Quentin descendit son pantalon jusqu’aux genoux. Le creux de sa main cramponnée sur le soutien-gorge enroulé autour de son sexe, il renversa la tête en arrière et ouvrit grand la bouche… Il grogna en accélérant son étreinte dans le bonnet D.



Transporté par le plaisir, il immobilisa sa main pleine sur le bord du lavabo et il la « baisa » à grands coups de reins rageurs…



Le visage déformé par l’excitation, Quentin serra les dents : il bomba la poitrine et triompha… La satisfaction se dessina sur son visage et il gicla autant de râles que de sève dans le bonnet en dentelle.

Le jeune prétendant s’immobilisa et se voûta, abandonné par l’énergie de l’excitation, il expira… avant d’inspirer profondément… Ses doigts libérèrent l’étreinte et le bonnet s’ouvrit pour se décharger dans la vasque…

La porte de la salle de bains s’ouvrit sur le malaise grandissant de Véronique :



Véronique se fixa sur ses escarpins, le visage sévère, le regard assassin posé sur le sexe écarlate et luisant… Le soutien-gorge tomba à terre…



Quentin remonta son pantalon et Véronique lui envoya violemment sa main sur le visage, avant de le saisir par le bras.



Quentin fit le dos rond et reçut plusieurs coups de poing dans son épaule, avant de se précipiter dans le couloir.

Il descendit en hâte l’escalier.



Dans la chambre voisine, Jean-Paul commençait à s’inquiéter de l’étrange agitation qui animait tout l’étage…

Dans le couloir, immobile, Véronique se cramponnait fermement à la rampe et fixait le rez-de-chaussée :



L’apprenti musicien referma l’étui de son violon et fila en hâte hors de la maison.

La porte claqua et Véronique se redressa en soupirant. L’incident était clos, mais il restait à se calmer, avant de tout expliquer à son mari.

L’humiliation résidait dans son esprit et son agitation essoufflait sa poitrine.



Inquiète, Véronique leva les yeux en direction de la chambre de son mari…

Avant d’entrer, elle arrangea sa robe et inspira profondément. Dans la chambre, le regard de Jean-Paul l’accueillit avec bienveillance.



Véronique détourna le regard et s’en alla vers la fenêtre en serrant les dents.



Le septuagénaire la fixa avec crainte.



Le vieil homme commença à s’agiter…



L’homme tourna la tête de gauche à droite et ordonna :



Véronique fixa sa montre.



Son mari ne réagit pas et elle soupira, avant de quitter la chambre.

Dans le couloir, elle ralentit ses pas à la hauteur de la salle de bains ; elle baissa la tête et fixa le sol quelques instants, avant d’aller ouvrir.

Véronique découvrit son soutien-gorge sur le sol. Elle se baissa et saisit du bout des doigts l’élément déclencheur. Un filet de semence coula sur le sol et Véronique précipita les deux bonnets dans le lavabo. Elle s’avança devant le miroir qui refléta tour à tour, le visage grimaçant de Quentin, puis celui d’Omar la troussant sur le capot d’une grosse voiture… Son regard maquillé fixa ses bonnets, elle y dirigea l’index, l’humidifia au contact de la dentelle et le dirigea vers ses narines. Elle huma l’odeur de son doigt dressé, les lèvres frémissantes, avant de l’essuyer sur son large décolleté.


La nuit était tombée sur la propriété. Les fenêtres ouvertes permettaient aux courants d’air de rafraîchir toute la maison. Dans son grand lit, seule, Véronique ne trouvait pas le sommeil. Son corps nu sur le drap se tordait d’un côté ou de l’autre.

Un éclair lointain la fit objecter, avant qu’un coup de tonnerre ne la cloue dans son lit. Elle tourna le regard vers le réveil : trois heures ! Elle posa une main sur son ventre plat, secoua la tête, avant de se lever…


… Au rez-de-chaussée, nue dans l’obscurité, elle traversa le salon sur la pointe des pieds.

Elle sortit sur la terrasse encore tiède et s’immobilisa quelques mètres plus loin. Elle écarta les bras et une brise fraîche glissa sur son corps incandescent.


Un nouvel éclair zébra le ciel… Véronique descendit les quelques marches qui menaient au parc et ses pieds foulèrent l’herbe rase jusqu’à un petit bosquet. Les traits de son visage se relâchaient et un léger sourire s’affichait sur ses lèvres : elle revivait ! Sa poitrine remuait au gré de ses pas et ses cheveux respiraient la liberté : à la lueur de cette lune de juin, elle paraissait vingt ans de moins !


Véronique s’immobilisa près d’un arbre, elle plaqua ses fesses et son dos contre lui. Elle apposa ses mains à plat contre l’écorce rugueuse et s’enivra de liberté. Elle se retourna sur le tronc, se pressa contre lui et ses seins s’écrasèrent contre la peau végétale.

Elle l’entoura de ses bras durant plusieurs instants…


… Véronique poussa la porte de sa chambre et s’effondra à plat-ventre sur le lit. Elle étira une main en direction de sa table de chevet où, dans le tiroir, ses doigts s’emparèrent d’un gode et d’un bâillon.

Elle se retourna avec le sourire et fixa le plafond… D’une main, elle s’empara du phallus, elle glissa ses vingt centimètres entre ses seins, avant de le prendre en bouche, pendant que ses doigts disparaissaient entre ses cuisses… Son souffle s’accéléra et elle précipita ses dents sur le gland de six centimètres de diamètre, avant de le faire disparaître loin dans sa bouche…


Véronique se tourna sur le côté en pénétrant passionnément son sexe avec deux doigts rageurs. En chien de fusil, elle tendit sa croupe vers le gode qu’elle étreignait dans sa main libre. Le gland huilé de sa salive tutoya plusieurs fois sa bague anale qui subit une première contrainte, révélant ainsi que Véronique était une habituée de ce genre de plaisir.


Son anus se déforma à la première sollicitation et à la seconde, le sphincter avala la tête du jouet. Elle le poussa… loin… et entama un mouvement de va-et-vient sur une double pénétration.


Le tonnerre gronda… Véronique s’agenouilla sur le lit, le gode sodomite resta calé dans ses entrailles. Elle noua un bâillon boule sur sa bouche et pendant que ses doigts vibraient sur son clitoris, sa main libre pétrissait sa poitrine en marmonnant des mots incompréhensibles… Son excitation redoublait, quand elle s’empalait franchement sur le gode qui lui rappelait la vigueur de son amant. Le bâillon laissa échapper deux filets de salive qui coulèrent sur sa poitrine. Elle tritura ses tétons, avant qu’un coup de tonnerre ne déclenche sa jouissance « silencieuse » à travers le bâillon…

Elle s’écroula sur le lit en râlant un long instant, avant que le plaisir ne s’endorme avec elle…


Ce matin, dans le parc, Véronique arborait une robe mi-cuisses, boutonnée sur l’avant. Son allégresse chahutait sa poitrine et confirmait l’absence de soutien-gorge. Un panier en osier au bras, elle passait de massif de fleurs en massif de fleurs sur un large sourire.


Le soleil était à son zénith et il avait obligé Véronique à tirer le store du salon. La sérénité régnait dans le parc jusqu’à ce que le véhicule d’un jeune conducteur ne s’aventure dans l’allée, avant de s’immobiliser à côté d’une vieille Porsche 911. Quentin fixa la sportive aux formes captivantes, avant de se diriger vers la maison. Il avait décidé de s’expliquer avec sa professeure. Malgré sa faute, il espérait le pardon de la femme qu’il « honorait » chaque nuit et qui ne voulait pas de lui. Quentin avait usé de gel pour se faire une coiffure à la Clark Kent, mais, hélas, les spots qui marquaient son visage arrêtaient toute comparaison.


Comme hier, le jeune violoniste hésitait à sonner, lorsque soudain, il détourna le regard en baissant sa main. Il fronça les sourcils et contourna la maison… Sur la terrasse, il perçut dans le salon, une intense conversation à trois voix. Devait-il revenir demain ? La maladive curiosité de Quentin l’amena plus près de la baie :



Le premier fils avait dans la cinquantaine. La sueur naissait sur son crâne entre quelques cheveux gris blanc et coulait sur le front du ventru.



Luc essuya son front du dos de la main et dévisagea sa belle-mère : il apprécia l’étroitesse de sa robe et Véronique vint près de lui sur ses talons hauts. D’égale taille, elle le défia, il s’inquiéta et son frère enchaîna :



Véronique tourna la tête vers son second beau-fils. Elle fit quelques pas dans sa direction.



Le joufflu agita son gros bras :



Véronique marcha vers lui, la mâchoire crispée :



Elle leva la main, mais Luc bloqua son avant-bras et l’immobilisa sur un sourire. Il en profita pour lorgner sur le décolleté :



Le costaud ne bougea pas, Véronique tremblait et elle affronta le regard immoral. Il l’attira plus près de lui, les deux corps se percutèrent au niveau du ventre et de la poitrine. Il posa sa grosse main moite sur les fesses de sa belle-mère qui se calma…



Il fit un clin d’œil à son frère, tout en frottant son corps contre celui de Véronique qui commençait à défaillir.



Elle grimaça brièvement.



Elle retrouva un brin d’énergie libérée de l’étreinte de Luc.



Luc la déshabilla du regard.



Tous les deux abusèrent de la situation et les quatre yeux détaillèrent la poitrine nue sous la robe d’été.



Poussé par la sensualité de la professeure de musique, Claude s’approcha d’elle… Elle ne bougea pas, lui montra qu’elle n’avait pas peur de lui en se laissant faire… Il effleura son corps d’une main… Une hanche… Un sein…



Véronique esquissa un sourire moqueur, avant de le gifler.



Quentin poussa la baie coulissante et entra comme un diable en brandissant son téléphone portable :



Les trois jouteurs dévisagèrent le visage rougissant de Quentin.



Luc tourna la tête vers la poitrine de Véronique et grimaça :



Quentin bomba le torse et tenta de gagner en maturité :



Un silence s’installa, Luc pencha sa bouche vers l’oreille de sa belle-mère :



Les deux frères n’enchérirent pas et préférèrent quitter le salon.


Quentin resta seul auprès de Véronique qui foulait le sol de colère. Le coupable de la veille resta immobile et muet à faire tourner son téléphone dans sa main.

Il marcha vers la sortie du salon :



Le jeune homme s’immobilisa. Il se tourna vers elle et glissa son appareil dans la poche.



Véronique racla sa gorge en fixant Quentin.



Ils restèrent tous les deux à distance :



Véronique toussa :



Quentin revit dans ses pensées cette main dite « amicale» posée sur la braguette d’Omar et le jeune soupirant capitula.

Véronique le raccompagna silencieusement à la porte en lui fixant rendez-vous pour la semaine prochaine.

Quentin marcha lourdement en direction de sa voiture. Il sortit son téléphone portable et afficha la photo qu’il avait prise de la professeure de musique : on la voyait se faire peloter par les frères sur un léger sourire.


À l’étage, la chambre du malade était intentionnellement privée de la chaleur du soleil. Les deux bras sur le lit, Jean-Paul contempla silencieusement Véronique.



Elle croisa les bras sous sa poitrine et baissa les yeux, pensive, avant de s’immobiliser face au lit. Sa robe mi-cuisses collait particulièrement à ses hanches.



Véronique s’avança près du lit.



Malgré la fatigue, Jean-Paul eut une lueur dans le regard. Il l’invita sur le bord du lit et elle s’exécuta.



Il leva sa main et la posa sur la poitrine libre sous la robe. Il estima le galbe des deux seins et Véronique se prêta au jeu.



Il détacha un à un les boutons qui lui permirent d’avoir accès à sa peau tiède. Ses doigts engourdis glissèrent jusqu’au nombril, avant de remonter pour dénuder ces seins qui faisaient fantasmer bon nombre de mâles. Jean-Paul n’était pas naïf quant à la fidélité de sa femme, mais pour le moment c’était sa main qui caressait sa poitrine.

Une quinte grasse rompit le charme… La faiblesse du malade plaqua sa main sur la cuisse dénudée. Son regard fatigué glissa sur le drap où son sexe l’humiliait par son absence.



Véronique glissa une main sur le drap et la posa sur le bas-ventre de son mari. Ses doigts s’animèrent sur le sexe amorphe…



L’homme ferma les yeux et se laissa faire… Un léger sourire s’afficha sur le visage de la blonde platine… alors que sa main semblait rencontrer un obstacle.



Rapidement, les doigts de Véronique chahutèrent une petite béquille sous le drap. L’épouse infidèle se leva et finit par déboutonner sa robe qui, d’un mouvement d’épaules, tomba à terre. Irrésistible, elle effleura son corps de ses doigts… Les paumes de ses mains accueillirent ses seins pour les présenter au vieil homme.



Le visage de Jean-Paul se crispa, sa respiration s’accéléra et il repoussa le drap pour saisir son érection d’une dizaine de centimètres.

Véronique posa un genou sur le bord du lit, jonglant avec le corps chétif, puis son second genou enjamba son mari. Il posa ses mains sur les cuisses, le regard hypnotisé par la paire.



Leurs regards se croisèrent, une lueur de culpabilité captiva l’intérêt du septuagénaire qui esquissa un sourire…



Véronique fronça les sourcils en ondulant du bassin.



Véronique se perdit dans ses pensées… et mima un « oui » de la tête.



Véronique s’immobilisa sur lui.



Elle resta sans voix et fixa l’oreiller voisin.



Elle esquissa un léger sourire.



Véronique se caressa et précautionneusement, elle souleva sa croupe pour tendre ses doigts entre ses cuisses à la recherche du membre…

Les mains du vieil homme se régalèrent de ses énormes seins. Jean-Paul développa une troublante érection, malgré sa maladie et Véronique contraignit le sexe dans le sien. Elle l’accueillit délicatement, avant de commencer à se dandiner…


Le couple se renvoya des sourires et alors qu’elle se penchait vers lui pour presser sa poitrine sur le vieux visage, il s’époumona en essayant d’aller et venir dans sa femme…

Ses vieilles mains ne savaient plus où se poser et les râles qu’il poussait n’étaient pas de l’hostilité, mais le témoignage d’un plaisir qui montait rapidement dans son ventre…

Véronique se redressa et joua le jeu, poussant à son tour quelques gémissements… Les ongles de Jean-Paul se plantèrent dans les aréoles et Véronique s’inquiéta en serrant les dents sous la pression du regard.



Véronique secoua sa chevelure et agita plus vite son fessier sur le malade. Ses mains tremblantes glissèrent sur les hanches de la cavalière et Jean-Paul s’immobilisa pour gicler. Il se libéra plusieurs fois en gueulant pendant que Véronique s’activait à le vider jusqu’à la dernière goutte.



À suivre