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Temps de lecture estimé : 17 mn
07/07/17
Résumé:  Fin 2012, je fricote allègrement depuis quelques semaines avec Véronique, une libertine au sang chaud que m'offre complaisamment son mari.
Critères:  fhhh extraoffre inconnu collègues prost nympho taille parking collection fellation partouze gangbang -totalsexe -tarifé -attirautr -lieuxpubl
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Mémoires mirifiques de Michel

Chapitre 01 / 04
Idée de routier

Petite idée


Fin deux mille douze, je fricote allègrement depuis quelques semaines avec Véronique, une libertine au sang chaud que m’offre complaisamment son mari. Une sacrée chaudasse, et pourtant j’en ai connu plus d’une avec mon métier de routier au long cours ! Tandis que je suis en train de récupérer, suite aux très bonnes dispositions en la matière de mon amante, j’ai alors un flash de fantasme, juste après que nous ayons terminé notre délicieux trio…



Faire l’amour avec Véronique, c’est à la fois excitant et épuisant : on dirait qu’elle n’en a jamais assez, et qu’elle a plein de choses à découvrir encore et encore. Elle est insatiable ! Je comprends mieux pourquoi son homme la prête à d’autres ; il ne tient pas mourir d’épuisement avant l’âge ! Je pense que je ferais pareil que lui, si j’étais marié avec Véro.


J’ai rencontré ce couple par le biais d’une petite annonce sur Internet. Quand sur le parking où nous nous étions donné rendez-vous j’ai vu pour la première fois cette grande brune à longs cheveux et de haute taille (qui me dépasse), je me suis instantanément dit « Celle-là, elle doit être pas triste au plumard ! » Elle était habillée gentiment sexy, un large sourire sur le visage, des yeux qui brillent, et un air très gourmand. En moi-même, je me suis encore dit « Banco ! »


Et en effet, très vite, j’ai eu la preuve – et j’ai toujours la preuve – que je ne me suis pas trompé. Le feeling fonctionne très bien entre nous. Ma nouvelle découverte est visiblement « no limits » comme disent les Angliches. De plus, elle fait l’amour avec un plaisir évident, un grand sourire gourmand aux lèvres, lèvres dont elle sait parfaitement se servir !



Elle s’approche lascivement de moi et s’empare de ma flûte avachie. Suavement, elle demande :



Et sans chichi, elle ouvre la bouche et commence à me suçoter. En quelques coups de langue, j’ai la surprise de sentir que ma queue est passée de la flûte molle à la clarinette dure, et que je sens que je vais passer dans peu de temps à l’instrument supérieur !

Je proteste mollement :



Elle enlève ma bite bien raide de sa bouche :



Et elle délaisse ma queue pour aller s’occuper de celle de son mari. Ce faisant, elle met ses fesses presque sous mon nez. Je ne peux résister à l’envie de déposer quelques baisers bien sonores sur ce beau cul.


Mon idée commence à se remettre en place, malgré ce popotin qui s’agite frénétiquement sous mon nez ! Ah celle-là, quand elle est partie, on ne l’arrête plus ! Un peu comme une avalanche : on laisse rouler une petite boule de neige au sommet de la montagne, et on récupère en bas dans la vallée un cataclysme ! Néanmoins, traiter Véronique de cataclysme, c’est quand même faire injure à ses bonnes dispositions en matière de sexe. C’est précisément le genre de femme qu’il faut avoir rencontré au moins une fois dans sa vie pour ne pas mourir idiot.



Aussitôt, elle délaisse la bite de son homme pour se tourner vers moi. Elle pivote sur les draps froissés puis elle pose sa tête sur ma cuisse, mon sexe entre son visage et le mien. Installée confortablement, elle demande tandis qu’elle taquine à présent du bout de ses ongles rouges ma bite :



Se servant toujours de ma cuisse comme oreiller, elle me regarde un peu étonnée, sans toutefois s’arrêter de jouer avec ma bite bien dressée.



Durant ce temps, son homme a commencé à faire quelques privautés au cul qui est sous son nez. Je vois bien que Véro apprécie ce genre d’hommage à son anatomie. Je me redresse un peu, l’air pensif.



Tandis qu’elle est toujours entreprise plus bas par son mari, elle tripatouille mon sexe du bout de ses ongles vernis.



De son côté, bien que très occupé par une belle paire de fesses, son mari assiste placidement à notre étrange conversation. Il est évident que c’est un jeu pour lui, et aussi pour sa femme. Pour moi aussi. Quoique, quand on y réfléchit, ça laisse songeur. Par goût du défi, je relance :



Aussitôt, arrêtant ses léchouilles, celui-ci répond :



Songeuse, et toujours en train de s’amuser avec ma bite, elle murmure :



Son mari et moi la regardons, un peu surpris : ce ne sont que des bites ? Faut pas demander ! C’est justement Patrice qui prend le relai, s’adressant à sa femme :



Ma tripoteuse s’exclame :



Intrigué, je m’adresse à Patrice tout en désignant sa femme :



Véronique revient à la charge, s’adressant à son calculateur d’homme :



Je m’immisce dans ce dialogue, apportant une nouvelle option :



S’accroupissant auprès de sa femme, Patrice intervient :



Un brin provocatrice, Véronique répond à son mari, les yeux dans les yeux :



Celui-ci ne sourcille pas ; l’habitude, sans doute.



Dubitative, Véronique grommelle :



Patrice pose sa main sur l’épaule de sa femme qui me tripatouille toujours la nouille.



Je sens que mon idée est en train de faire un flop. Alors que je suis en train de chercher une bonne idée pour sauver mon projet, Patrice offre la solution sur un plateau :



S’amusant à me décalotter lentement pour me calotter à nouveau, elle soupire :



Son mari lui tend une perche :



Véronique rigole franchement :



Elle ne répond rien, mais je vois bien que tout ceci fait son petit chemin dans son esprit. Puis lentement, lascivement, elle commence sur ma bite une telle fellation d’enfer que je n’ai plus du tout envie de cogiter à quoi que ce soit !



Petit parking


Nous sommes arrivés tous les trois dans un petit parking peu connu situé à côté d’une ancienne scierie désaffectée, située pas loin d’une grosse route nationale. Nous garons nos voitures derrière un gros monceau de troncs d’arbre, à l’abri des regards indiscrets. Un petit rayon de soleil arrive à percer la grosse couche nuageuse située au-dessus de nos têtes. J’aurais préféré un meilleur temps, mais ça va, il ne pleut pas. De plus, avec Véro, quelque chose me dit que la température va vite monter.


Son mari et moi avons mis les choses en place depuis quelques jours. Il a même imprimé de la fausse monnaie sur un papier spécifique que je ne connaissais pas. Par amusement, j’ai cherché à obtenir ce même papier, et je n’ai pas réussi. Je me demande d’où Patrice le sort. En tout cas, la fraude semble difficile. Alors que nous attendons, je demande quand même :



Je sens que je n’en saurai pas plus. Peu après, j’entends le bruit familier d’un moteur ; on peut faire confiance aux routiers pour la ponctualité, surtout quand ils savent qu’il y a quelque chose d’amusant au bout du compte ! Prévoyant, Patrice dépose une couverture pliée en quatre aux pieds de sa femme. Peu après, nous voyons un premier camion qui arrive un peu en avance sur l’horaire. Véro est fébrile.


C’est Momo qui ouvre le bal. Je connais Maurice depuis bien des années. Nous avons fait pas de mal de trucs ensembles, des avouables comme des pas avouables. Pour aujourd’hui, je n’ai sélectionné que les routiers en qui je peux faire confiance ou envers qui Momo a confiance. Il ne faudrait pas que cette première soit un ratage !



Et nous rigolons de concert. Après quelques échanges du même style, je présente Véro et son mari. Je vois distinctement une lueur s’allumer dans les yeux de mon comparse. Il faut dire que Véro n’est pas mal de sa grande personne et que sa tenue parle encore plus pour elle ! Si les flics ou les gendarmes débarquent, on aura du mal à démontrer qu’elle est là simplement en balade !

Momo s’approche de Véro et demande sans fioriture :



Véronique se contente de sourire. Alors il extirpe de sa poche quelques faux billets et les cale sans sourciller entre les seins plantureux de la fausse hétaïre qui sourit de plus belle. Elle s’agenouille aussitôt sur la couverture qui est à ses pieds, puis elle s’attaque sans plus tarder à la braguette de son client. En rien de temps, sa dextérité fait surgir une assez grosse tige bien nervurée, déjà au garde-à-vous.



Elle lui démontre aussitôt qu’il n’a pas tort, en commençant par une série de baisers bien sentis sur la verge bien dure et son gland luisant. Puis sans chichi, le chibre est englouti dans une bouche suave et chaude. Maurice soupire d’aise, se laissant faire.


Il ne lui faut pas très longtemps pour qu’il lâche toute sa semence dans une ultime tension. Il se vide dans de longs spasmes tandis qu’elle avale tout sans broncher.

Soudain, une voix résonne derrière nous :



Je me retourne : les trois autres routiers que j’avais conviés sont déjà là. Je m’étonne :



Les lèvres maculées de sperme, l’intéressée approuve :



L’un des nouveaux arrivants se détache du lot, et voyant les billets déjà nichés entre les seins de Véro, il fait de même. Mais contrairement à Maurice, c’est lui qui révèle au grand jour une bite assez trapue.



J’interviens illico :



Tendant la main, les doigts écartés, Véro intervient :



L’asphalteuse débutante s’exécute aussitôt, engloutissant la queue bien raide. Elle la suce longuement, arrondissant ses lèvres autour du bout du gland, pour ensuite faire disparaître la totalité de la verge dans sa bouche. Son propriétaire s’exclame :



Encore quelques va-et-vient et autres suçoteries (j’aime beaucoup cette expression à large sens) bien appliquées, et il est flagrant que le dénommé Jeannot est déjà au bout de sa résistance ! Il gémit, il serre les dents, mais moi je sais bien que c’est justement ça qui excite Véro et qu’elle va se faire un plaisir de le faire craquer ! Ce qui ne manque pas d’arriver. Notre apprentie tapineuse s’en donne à cœur joie !



Et n’y pouvant plus, il décharge entre les lèvres avides qui continuent leur petit manège. Il se déverse dans un long gémissement tandis qu’elle s’active toujours autour de cette bite qui se vide impudiquement en elle. Imperturbable, elle continue de sucer cette queue qui s’avachit, qui perd de plus en plus de sa superbe. Sa dernière goutte évacuée, son propriétaire souffle :



Intriguée, Véro interrompt sa suçouille pour demander :



Le Jeannot ricane :



Étant de nature conciliante, Véro s’applique à nettoyer. Puis sitôt cette bite toute propre hors de la bouche de ma poulette préférée, une autre queue se fait un plaisir de prendre illico sa place, après avoir placé des billets entre les seins. Quelques mouvements plus tard, cet autre homme se déverse à son tour entre les lèvres avides et dociles. Puis tout le monde y passe : les autres, son mari et même moi, son simili-proxénète du jour, en dernier comme il se doit dans pareil cas. Un peu ailleurs, je regarde ce cortège d’hommes pompés digne d’une bonne vidéo porno. Je regrette de n’être pas venu avec un caméraman pour immortaliser cet excitant moment, sans parler du fric que ç’aurait pu me rapporter. Il faudra que j’y songe impérativement pour la prochaine fois…


Véronique nous a tous pompés avec une joie évidente, nous suçant, nous aspirant, nous vidant à la chaîne, l’un après l’autre, comme si elle avait toujours fait ça dans sa vie. Même si elle n’est pas ma femme, il y a une évidente satisfaction de la voir s’occuper d’autres hommes et de savoir que cette femme, vous en avez presque l’exclusivité, que c’est vous qui en profitez le plus et que les autres hommes découvrent à quel point vous êtes chanceux !


Un peu chagriné, je réalise que je ne suis que le deuxième sur la liste : son mari passe avant moi en ce qui concerne l’usufruit de cette charmante dévergondée. Mais je ne vais pas le lui reprocher, d’autant qu’il est partageur…


Les hommes émergent de leur torpeur. L’un d’eux s’exclame :



Véronique est assise par terre, en tailleur sur la couverture ; elle récupère de sa belle prestation et des litres de foutre qu’elle a ingurgités. Une pensée saugrenue me vient à l’esprit ; je suis en train d’imaginer où tout ce sperme est actuellement niché : dans son ventre ! Décidément, moi et mes idées à la con !



C’est Véro qui nous apostrophe tous ainsi. Nous nous tournons vers elle, assez intrigués. L’un de nous demande :



Véro projette ses bras en arrière, prenant appui sur eux. Elle incline de la tête. Je connais cette mimique : elle annonce souvent quelque chose de pas triste. J’attends donc la suite avec une certaine impatience. La réponse arrive presque aussitôt :



Nous nous consultons tous muettement du regard. La plupart d’entre nous sont partants ; néanmoins, deux hésitent, mais je vois bien qu’ils ne seraient pas contre eux aussi, mais ils sont un peu dépassés par la situation. Après un dernier coup d’œil circulaire, je m’avance lentement vers notre tentatrice, exhibant à nouveau mon service trois-pièces.



Ma phrase décide visiblement tout le monde. À présent, nous sommes six hommes autour de Véro, formant un cercle salace. Notre séductrice se prend au jeu, s’agenouillant, puis elle pivote paisiblement sur elle-même, prenant son temps pour jauger la marchandise que nous lui offrons. De temps à autre, elle caresse des couilles, flatte des virilités, taquine des queues, puis elle lance :



Ce que nous faisons aussitôt. Elle s’enhardit nettement plus, lançant le signal de départ en déposant un furtif baiser au bout de chaque gland, et à sa tête je constate qu’elle y prend goût.



Malgré ses protestations, elle ne se fait pas prier pour entamer sur ma personne une belle sucette comme cette belle pute sait si bien les faire ! Peu après, devant son enthousiasme, Véro a à sa disposition plein de bites bien gonflées de concupiscence. Ces queues ne bandent que pour elle, et d’ailleurs notre gourmande en profite joyeusement ! C’est un vrai délice que de la voir prendre toutes ces bites en main et en bouche, qu’elle les fasse palpiter sous ses doigts ou entre ses lèvres. Avec une grande satisfaction, je constate qu’elle adore goûter leurs diverses saveurs, qui vont pour certaines du sucré à l’aigre ou l’acide, sans parler du jus bien épais au plus liquide. Je me dis que ça ouvre de sacrées perspectives !


Les autres verges qu’elle n’a ni en main et ni en bouche se frottent à présent sans vergogne sur son corps lascif, laissant plein de traces luisantes. N’y pouvant plus, certaines bites éjaculent parfois sur son corps souillé de belle salope. Je crois que je me souviendrai tout ma vie de son expression radieuse de belle pute comblée.



Fin


Le parking est à présent vide ; la séance est terminée. Elle ne s’est pas tout à fait déroulée comme prévu, mais au final ce fut une belle réussite. Je demande à Véro, qui est assise négligemment sur un tronc d’arbre, billets en mains, ce qu’elle pense de tout ça :



Elle ajoute avec une petite moue :



Je me racle la gorge ; cette question me brûle les lèvres depuis un certain temps :



Son mari s’introduit dans la conversation :



Puis, allègre, elle se relève. Son homme et moi, nous nous regardons, complices. Déjà les idées fusent sous nos crânes en ébullition. Et quelque chose me dit, ma poulette, que tu vas être pleinement satisfaite !