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Temps de lecture estimé : 15 mn
08/07/17
Résumé:  Une femme mariée suit un inconnu dans une chambre d'hôtel et découvre un plaisir jusque-là inconnu.
Critères:  fh extracon inconnu fépilée hotel fsoumise hdomine ffontaine intermast fellation préservati pénétratio fdanus fsodo jouet confession
Auteur : Mark  (Le plaisir de la femme est au bout du chemin tortueux.)            Envoi mini-message

Série : Les nouveaux plaisirs de Cécile

Chapitre 01
Cécile et son inconnu



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Je suis Cécile, une quadra mariée à un homme charmant et mère de trois enfants dont une ado qui pense que le sex-appeal d’une femme est inversement proportionnel à la longueur de sa jupe ! Sylvie est ma meilleure amie et nous nous confions nos petits secrets de femmes. Un peu plus jeune que moi, mariée à un homme très attachant, trop peut-être, sans doute la raison de son infidélité. Ce jour-là, je lui ai demandé de venir me voir car j’avais une chose très importante à lui dire afin de soulager, un peu, ma conscience.


Hier, en fin de matinée, alors que j’allais au collège pour voir la principale au sujet de mon emploi du temps, je me suis assise à la terrasse d’un café. Paris sous le soleil est très agréable. Je n’avais pas remarqué l’homme assis à la table d’à côté. Un homme pas mal, la cinquantaine, petites lunettes.


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Je suis restée bouche bée ! Comment pouvait-il me demander cela ? Je ne suis pas une pute, quand même ! J’allais l’envoyer sur les roses, voire le gifler pour cette outrecuidance. Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais en une fraction de seconde j’ai pensé à mon mari qui ne m’a plus fait jouir depuis presque deux ans. Ma fidélité m’enferme dans cette vie d’épouse et de mère dans laquelle je ne m’épanouis plus. Alors j’ai répondu :



Il a paru surpris qu’une femme outragée lui réponde favorablement sans poser de question. Il fallait qu’il en profite avant que l’huître ne se referme à tout jamais. Mais il avait provoqué la chose que je ne voulais pas voir : mon désir de plaisir sexuel… en espérant que ce soit un bon amant. Car toi, ma chérie, avec tes rencontres sur Internet qui ne t’apportent que des goujats et des impuissants, l’infidélité ne t’apporte rien de bon.



Cet homme qui va devenir mon premier amant de femme mariée est non seulement courtois, mais également très bien organisé. Nous entrons dans un hôtel 4 étoiles, direction le 7ème ciel… Chambre 344 ; je me rappellerai longtemps de ce nombre. Très belle et grande chambre ; ce monsieur a les moyens. Je pose mon sac sur la table basse et regarde cet homme quelques secondes. Je peux encore tout arrêter : je suis toujours habillée et je n’ai pas pris cette foutue enveloppe qui fera de moi une pute. Et puis zut, au diable les bonnes consciences ! Mais si cet homme, qui n’est pas désagréable, arrive à me donner du plaisir…


Je file dans la salle de bain, retire tous mes vêtements, prends une douche bien chaude, enfile le peignoir et sors le rejoindre. Il me tend une enveloppe ; je l’ouvre. Il y a beaucoup de billets ; que des 20 €. Je suis très gênée. C’est évidemment la première fois que je suis dans une situation similaire.



Tu imagines ? Je suis en train de faire confiance à un type que je connais depuis 10 minutes et qui fait de moi une femme infidèle, une pute et une salope de surcroît ! Je rêve toute éveillée. Il se rapproche, dénoue doucement la ceinture du peignoir en me regardant dans les yeux. Prend les deux pans du peignoir et…



Et en plus c’est un véritable gentleman…



Il ouvre mon seul vêtement, découvre mon corps nu. Un corps de femme de 43 ans qui essaie de s’entretenir mais qui a ses défauts, comme beaucoup de quadragénaires.

Le peignoir est au sol. Je suis entièrement nue, à sa merci. Il a posé une main sur ma hanche, l’autre dans mon cou. Elle descend sur mon petit sein gauche qu’il caresse doucement. Il frôle l’aréole puis le téton. Je frissonne…


Il passe derrière moi ; la main sur ma hanche a glissé en me caressant les fesses. Je ferme les yeux. Ses deux mains sont sur mes hanches ; elles remontent et prennent mes seins par dessous. Cet homme est un adepte des longs préliminaires, et c’est exactement ce que j’aime.


Il prend mes seins et les caresse plus fermement. Il prend les mamelons et les fait rouler entre ses doigts, les pince légèrement, puis de plus en plus fort. C’est incroyable : cet inconnu m’excite de plus en plus ! J’aimerais qu’il me prenne en levrette, maintenant, que je jouisse sans voir son visage. Mais non, cet homme est un amant délicat et surtout patient. Il ouvre le lit et me demande de m’allonger. Enfin, le ton qu’il emploie pourrait faire croire à un ordre.



Ça ne fait plus aucun doute : le tutoiement et le ton plus sec sont en train de faire de moi une femme soumise. C’est la première fois qu’on me parle ainsi, et ça m’excite encore plus. J’ai donc obéi et j’ai dévoilé mon sexe épilé façon ticket de métro, sur tes conseils, en espérant faire de mon mari un amant plus attentionné. Cela ne lui a rien fait, mais mon inconnu du jour a apprécié mes lèvres lisses et douces.


Il a posé sa main sur mon sexe déjà humide et a glissé un doigt sur ma vulve en me regardant dans les yeux ; j’étais toute rouge de honte. Il a continué à me caresser doucement en remontant sur mon bouton, ce qui m’a fait échapper un gémissement. Il s’est attardé sur ce clito qui trahissait mon plaisir tellement il était gonflé !

Il a laissé mon sexe en mettant deux doigts dans ma bouche pour que je les suce longuement. J’ai resserré les cuisses.



Je ne suis pas très souple, mais j’ai écarté le plus possible. Ses doigts sont sortis de ma bouche et sont entrés directement dans mon sexe ! J’ai crié de surprise mais aussi d’excitation, je l’avoue. Mais ce n’est rien comparé à ce qui allait suivre. Sache que je n’ai jamais crié avec un homme, même avec Jean-Pierre au début de notre mariage, quand nous faisions l’amour tous les jours et que je jouissais à chaque fois…


Il a mis ses doigts en crochet vers le haut et m’a caressé l’intérieur du vagin de plus en plus fort. Je sentais la jouissance arriver à une vitesse… Quand je me suis mise à gémir très fort, il a frotté mon clito avec son autre main, très vite, et là, j’ai crié, j’ai hurlé, j’ai éjaculé ! J’étais en transe tant le plaisir était fort ! Quand il a arrêté de me caresser, je sentais encore les spasmes de l’orgasme dans mon ventre. Un plaisir extraordinaire ! J’ai découvert que j’étais une femme fontaine !


Cet homme prenait de plus en plus de place en moi, me révélant le vrai plaisir féminin. Jamais je n’aurais imaginé prendre un tel plaisir avec un homme, encore moins avec un inconnu ! Il était toujours habillé, je m’en suis rendu compte en reprenant mes esprits. Il s’est dénudé, me dévoilant un sexe de taille moyenne, circoncis et très raide.



Encore un ordre. J’ai pris son sexe dans ma main, je l’ai caressé. Puis j’ai posé mes lèvres sur son gland et j’ai ouvert la bouche pour le sucer doucement. Je le caressais tout en le suçant de haut en bas. Je n’ai pas beaucoup d’expérience, mais j’aime beaucoup ; j’ai l’impression de prendre le dessus sur mon amant. Une simple impression en fait, car cet amant-là dirigeait tout : même lorsque j’étais plus active, je ne faisais qu’obéir à ses ordres.


Il s’est retiré et s’est placé à genoux entre mes cuisses ouvertes. Après avoir mis un préservatif, il a glissé son gland sur mon sexe, a caressé mon clito avec son sexe puis est entré très doucement en moi. Il faisait des petits va-et-vient sans aller très profondément en moi. Il entrait juste son gland. Les hommes – le mien en l’occurrence – débutent tout de suite de longs va-et-vient rapides et fougueux. Lui non. C’est vraiment un amant extraordinaire. L’excitation que me procurait cet ersatz de coït allait crescendo, et j’allais lui demander de me prendre à fond lorsqu’il s’est enfoncé au fond de mon sexe toujours très lentement, ce qui m’a fait gémir longuement.


Il ressortait complètement de mon sexe pour me prendre à nouveau à fond, toujours très lentement. Je n’en pouvais plus d’attendre, j’étais à la fois excitée et frustrée. Je voulais jouir et je sentais que j’allais jouir encore très fort.


Il m’a relevé les jambes, s’est allongé sur moi et a commencé à me prendre très fort, mais toujours lentement. À chaque fois que son sexe allait au fond de moi je poussais un cri, je voyais des étoiles scintiller. Il a ensuite accéléré le rythme, et là j’ai joui encore et encore ; ça ne s’arrêtait plus. Je criais, je hurlais, je gémissais, j’implorais… mais je jouissais toujours. Je ne sais combien de temps cela a duré, je ne sais combien d’orgasmes j’ai eus, mais une chose est sûre : je n’ai jamais joui autant avant avec un autre homme.


À la fin, il s’est mis à râler, à grogner. Il est sorti de mon sexe, a retiré son préservatif et m’a demandé d’avaler. Je me suis jetée sur son sexe pour le sucer à fond. Il a joui en moi et j’avalais des gorgées de sperme avec envie, avec reconnaissance. C’est la première fois que j’avalais la jouissance d’un homme, et j’ai adoré le faire avec lui alors que cette simple idée jusqu’à présent me dégoûtait.


Il m’a dit que l’heure était écoulée. Il m’a remerciée puis est allé prendre une douche.

J’ai attendu quelques minutes, allongée sur le lit. J’ai repensé à tout cela, et je me suis dit que j’avais une chance inouïe d’avoir connu un amant tel que lui. Je n’avais qu’une envie : recommencer ! Le revoir ! M’offrir à lui encore et encore, obéir à ses ordres.

Je suis allée le rejoindre sous la douche et je l’ai embrassé à pleine bouche. Il ne l’avait pas fait pendant cette heure extraordinaire. Il a répondu à mon baiser et m’a laissée seule.


Quand je suis sortie de la salle de bain, il était habillé. Je lui ai dit que je voulais le revoir, lui obéir et jouir encore autant qu’aujourd’hui. Il m’a demandé mon numéro en me disant qu’il allait réfléchir à cette proposition et il est parti. Et je ne connais même pas son prénom. Je me suis rhabillée et je t’ai envoyé le SMS pour que l’on se voie très vite. Voilà, tu sais tout. Suis-je folle de vouloir le revoir ? J’ai peur que ça aille trop loin ; j’ai peur de tomber amoureuse et d’être malheureuse entre lui, Jean-Pierre et les enfants.



Mon téléphone sonne ; c’est un SMS de mon inconnu : « Je vous donnerai bientôt un rendez-vous par SMS. Si vous ne venez pas, je ne vous reverrai plus jamais. »



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« Rendez-vous mardi prochain à midi dans la même chambre. Une clé t’attendra à la réception. Tu m’attendras entièrement nue. »


Cela faisait une semaine que j’avais rencontré mon inconnu, et je n’avais plus de nouvelles. Enfin un SMS de sa part, et une semaine de plus à attendre. J’ai hâte d’y être. Rien que d’y penser je suis tout excitée, mon cœur bat la chamade !


Le jour J, je me rends dans le même hôtel, m’approche de la réception. Le regard de la femme vers laquelle je m’approche me donne l’impression qu’elle sait qui je suis et ce que je fais ici. Je suis rouge de confusion quand je lui demande la clé de la chambre 344. J’arrive au 3ème étage, j’ouvre la porte.

La chambre est vide, je m’en doutais un peu, vu le SMS. Il y a un mot sur la table de basse :

« Prends une douche, mets ton sexe entièrement à nu et attends-moi assise sur le lit, les cuisses écartées. »


« Mets ton sexe entièrement à nu… » Qu’est-ce qu’il a voulu dire ? Je comprends en entrant dans la salle de bain : il y a un rasoir posé sur le lavabo. Je prends donc une douche et je rase le ticket de métro que j’avais laissé sur les conseils de Sylvie. Une fois sèche, je vais m’asseoir sur le lit et j’écarte largement les cuisses. Je ne veux pas décevoir mon amant.

Je suis très excitée. Je mouille déjà. Je ne vais pas être longue à jouir dès qu’il me caressera.


Après 15 minutes d’attente à m’exciter toute seule, la porte s’ouvre. Je me lève pour aller à la rencontre de cet homme qui n’est plus tout à fait un inconnu mais dont je ne connais rien, même pas son prénom.



Moi qui pensais être courtoise… Je retourne m’asseoir et écarte les cuisses. Il pose ses affaires, se met torse nu et s’approche de moi. Il pose directement sa main sur mon sexe en y faisant pénétrer son majeur. Je gémis tout de suite, tellement je suis excitée.



Comment peut-il le savoir ? Je ne lui ai pas dit ! Il me connaît par ailleurs ? Le père d’un de mes élèves ?



L’ordre est arrivé brutalement, sèchement, mais je ne veux pas me caresser : je veux qu’il me baise à fond comme la dernière fois, que je hurle ma jouissance. Mais j’obéis et je me caresse. Pendant que je me touche, il continue à se déshabiller. Je commence à gémir doucement. Il retire son boxer. Il est nu et excité lui aussi. Il bande déjà très bien. Il est face à moi, à un mètre. Je fixe son sexe en essayant de l’attirer par la pensée. Il ne bouge pas et commence à se masturber lui aussi. Je mets deux doigts dans mon sexe car l’excitation devient très forte. Je gémis de plus en plus fort. Lui se branle de plus en plus vite en me regardant droit dans les yeux. Ma main devient frénétique sur mon sexe. Je commence à lâcher quelques petits cris, je vais jouir sous ses yeux. J’ouvre la bouche en grand en jouissant, je me force à garder les yeux ouverts pour le voir se caresser en attendant sa jouissance.


Il se rapproche d’un pas et met son sexe dans ma bouche tout en continuant à se branler très vite. Je suce, j’aspire son gland. Je sais déjà ce qui va arriver, il n’a pas besoin de me le dire cette fois. Il veut que j’avale son sperme. Il va-et-vient entre mes lèvres, il me baise la bouche. Il pose une main sur ma tête et la rapproche de son ventre. Je sens ses giclées de foutre au fond de ma gorge. Je les avale avec plaisir. J’aspire encore pour ne pas en perdre une goutte. C’est un amant surprenant, qui aime provoquer et me surprendre là où je ne l’attends pas.



Le moment de la levrette est arrivé. J’attends ce moment depuis notre première rencontre. C’est ma position préférée, sans doute parce que je suis comme une petite chienne offerte à son mâle en rut.

Je sens que Mark met une sorte de crème sur mon anus ; je crains de comprendre ce qui va arriver… Ça ne va pas me faire jouir !



Se détendre… J’aimerais bien me détendre, mais quand Jean-Pierre a eu cette idée de me sodomiser, j’ai eu tellement mal que j’en ai pleuré ! Mon amant me masse doucement le petit orifice bien serré. Il y entre une première phalange bien lubrifiée par le gel. Il masse et pénètre doucement ; aucune sensation douloureuse pour le moment. Je sens sa paume sur mes fesses. Le doigt est entré entièrement sans que j’aie mal ; c’est déjà un exploit en soi. Décidément, il sait y faire pour me surprendre.


Aussi saugrenu que cela puisse paraître, je ne peux m’empêcher de penser à Sylvie. Elle aussi a horreur de la sodomie. Son mari n’a jamais essayé, mais ses amants de passage essayent à chaque fois de passer par derrière. Un jour, l’un d’eux lui a fait une feuille de rose. Elle a adoré la caresse, mais pas la suite. Quand le monsieur a mis son sexe à la porte d’entrée, Sylvie s’est transformée en chatte hystérique. Le type en question s’est pris un coup là où il fallait et s’est barré en l’insultant. Sylvie est restée vierge ! Je ne sais pas comment elle réagirait à ma place.


Maintenant un deuxième doigt tente l’immersion. Le massage de mon anus est plutôt agréable, d’autant plus que ses autres doigts n’arrêtent pas de frôler mon sexe toujours excité malgré mes états d’âme vis-à-vis de la sodomie en cours. Le deuxième a pénétré entièrement mon fondement, je n’en reviens toujours pas. Mais je ne ressens aucune douleur. J’ai le petit trou dilaté et très lubrifié.


Les doigts se retirent et y retournent sans aucun problème. Je suis peut-être prête. Ah non, pas encore. Que fait-il ? Un plug, oui c’est cela. Il met un plug à la place des doigts. Il le fait aller et venir. Mon trou s’élargit en fonction du diamètre variable de ce genre de sextoy. Je suis de plus en plus excitée, mais là il ne touche plus du tout mon sexe. C’est donc la sodomie qui me met dans cet état-là ; je n’y crois pas !


Il change de plug pour un plus gros, toujours très lubrifié, toujours très lentement, toujours sans douleur et toujours excitée.

Oh non, je gémis… Il va se rendre compte que j’aime ça ! Il fait aller et venir le plug de plus en plus vite ; j’adore. S’il continue comme ça, je vais…

Il le retire déjà ? Ah oui… son gland, sur mes fesses… Je le réclame dans mes pensées les plus secrètes.


Ses mains se posent sur mes hanches. Il m’attire vers lui, vers son sexe qui entre en moi, toujours sans douleur. Au contraire, j’adore cette pénétration qui n’en finit pas tellement elle est lente et progressive. Attentif à mes réactions qui ne sont que gémissements et petits cris de plaisir, il m’empale. Son ventre touche mes fesses : il est entré jusqu’à la garde. Il ne bouge plus et me tient fermement entre ses mains. Puis il me lâche et me donne une grosse tape sur une fesse. Comme une jument que l’on veut faire avancer. Et je me mets à bouger doucement. J’avance et je recule… comme dans la chanson.


Oh, que c’est bon ! Mais pourquoi mon mari me faisait-il si mal alors que l’on peut faire ces choses tellement bien ? J’accélère le rythme, je m’empale sur son sexe avec fougue. Je le fais sortir doucement et je m’empale d’un coup. Je sais que je vais défaillir… Je n’imaginais pas qu’un jour je jouirais, enculée par un amant quasi inconnu !


Il reprend les choses en mains. Une main sur la hanche et l’autre sur ma croupe, il va-et-vient très vite et très fort. Il me baise. Non, il m’encule à fond sous mes gémissements qui sont de plus en plus forts.



Je n’en reviens pas, c’est moi qui parle, là ? Il me prend les deux hanches avec une grande fermeté et accélère encore et encore. Mes fesses claquent sur son ventre.



Il continue ainsi quelques secondes de plus, encouragé par mes cris. À lui ensuite de crier, de râler et de jouir en moi. Je m’effondre sur le lit, sans force, haletante par tant de plaisir autant physique que cérébral.



Il sait que je suis prof… c’est incroyable ! Mais qui est ce type ?