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Temps de lecture estimé : 10 mn
26/07/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Honteuse, désorientée... mais de plus en plus épanouie !
Critères:  fh extracon gymnastiqu sport voiture fellation
Auteur : Virginie84

Série : Une séance à la salle de sport, pourtant si banale

Chapitre 02 / 02
Honteuse, désorientée... mais de plus en plus épanouie !

Résumé de l’épisode précédent (17952) :


Moi, c’est V., 23 ans, jeune femme dynamique et pétillante, follement amoureuse de mon chéri J., militaire actuellement en mission à l’étranger. Je fréquente assidûment depuis plusieurs semaines une salle de sport ouverte il y a peu dans ma ville.

Et malgré tout mon amour pour mon chéri et le peu de considération que j’ai pour tous ces mecs adeptes de la "gonflette", je finis par succomber à une pulsion et au corps joliment dessiné d’un maghrébin dans les vestiaires, sans même savoir son prénom.

Un rapport court et intense qui m’a plongée dans un profond désarroi…


_________________________



Honteuse, je ne suis pas retournée à la salle de sport les deux semaines suivantes…

Longtemps je me suis demandé si je devais dire la vérité à J., mon chéri, actuellement en mission à l’étranger, au cours de nos échanges de courriels ou de nos quelques conversations téléphoniques. Mais j’ai fini par faire le choix de la lâcheté, ou de l’omission si l’on peut dire ainsi.


Me cachant derrière le prétexte qu’il y a si peu de probabilités pour qu’il apprenne quoi que ce soit de toute façon, donc autant le préserver… Oui c’est lâche, je le reconnais.

Mon chéri avait l’air en forme, content de sa mission, de se sentir utile, et sa satisfaction me rassurait, même si son affection et sa présence me manquaient terriblement aussi. J’aurais tant donné pour qu’il soit là et me serre fort dans ses bras ! Encore 5 à 8 semaines et il sera enfin de retour…


Il ne m’a jamais caché son goût pour son métier ; je ne peux donc pas me permettre de le lui reprocher ! Je l’ai accepté tel qu’il est, en connaissance de cause ; tant pis pour moi, faut assumer maintenant ! J’ai repris peu à peu mon train-train, parvenant à mettre le souvenir de cet "écart" plus ou moins de côté. Le boulot, mes amies, ma famille… J’ai même fini par retourner à la salle…


Mon cœur battait à tue-tête en franchissant la porte vitrée automatique ; je m’étais mis en tête que les regards se braqueraient sur moi, que des rires éclateraient et qu’on me montrerait du doigt… Mais rien de tout ça : la seule personne à m’accoster a été le moniteur qui m’a demandé comment ça allait et si mon programme me convenait toujours ; même lui ne s’est pas rendu compte de mes deux semaines d’absence !

Et ce qui m’a permis de totalement me rassurer, c’est de constater que mon "éphèbe" n’était pas présent… ouuuf ! J’ai donc repris mon programme, le sourire aux lèvres : elliptique, step, gainage… Puis douche.


Curieuse sensation de me retrouver sur le lieu du "crime". Personne n’est là. Mon cœur se met à battre intensément… Est-ce pour remuer le couteau dans la plaie que je choisis la même cabine de douche que la dernière fois ? Je n’en sais rien. Mais cette fois-ci je ne m’éternise pas. La douche est rapidement prise et je regagne rapidement ma voiture puis notre appartement.


Le soir venu, avachie dans notre canapé devant la télé, je ne cesse de me demander ce que j’aurais fait si mon "éphèbe" avait été là… Si en ouvrant la porte du couloir des vestiaires j’étais à nouveau tombée nez à nez avec son corps parfaitement dessiné et quasiment nu…


Je sens mes tétons qui se durcissent malgré moi. Je ferme les yeux, revoyant son torse puissant, réentendant ses mots crus lorsque sa queue si raide a plongé en moi… Mes mains commencent à se glisser doucement sous mon pantalon de pyjama lorsque mon téléphone sonne et me ramène à la réalité. Ma mère, en plus : de quoi me refroidir instantanément !


Les jours se suivent et se ressemblent : à peine quelques apéros ou restos avec mes amies pour me sortir de la routine boulot, sport, dodo. Oui, sport, car je vais désormais quasiment tous les jours à la salle. Mon défouloir est devenu un besoin quotidien. J’y entre à chaque fois avec un pincement, une légère crainte de tomber nez à nez avec mon inconnu ; mais non, les jours s’enchaînent et il ne réapparaît pas. En résulte pour moi un sentiment de soulagement, mais également une légère déception…


J’avoue m’être caressée plusieurs fois dans cette fameuse cabine de douche en repensant à tout ça, revivant cet intense moment, me demandant parfois si ça avait été bien réel finalement et si cet homme existe vraiment.


Et arriva ce qui devait arriver…


J’arrive aujourd’hui dans la salle et il est là, au fond, au milieu de ses amis aux muscles exagérément gonflés. Mon cœur semble s’être arrêté, je pensais être débarrassée de cette épée de Damoclès, mais non. Que faire ? Demi-tour alors qu’il ne m’a pas encore remarquée ? Faire comme si de rien n’était et faire ma séance ? Trop tard : il m’a vue et… oui, oui, il me sourit discrètement… Pourvu qu’il ne dise rien ! Oui, c’est le mieux : rester et trouver le moment pour exiger de lui qu’il ne parle JAMAIS de notre… erreur !


Faire le plus normalement possible… Mon elliptique… Je sens ses coups d’œil plus ou moins furtifs. Ses compères ne font pas attention à moi, par contre : il n’a donc rien dû dire ! Ouf ! Mais qu’il continue à tenir sa langue, par pitié ! Et il faut qu’il arrête de me regarder aussi ! Comment faire pour lui parler ? Trop de monde dans la salle, là. Je continue donc ma séance le plus normalement possible. Ah, je m’agace toute seule à me sentir comme une lycéenne timide et gênée !


J’arrive au terme de ma séance ; il n’a pas quitté ses amis, donc pas moyen de lui parler…

Peut-être que demain j’y parviendrai… Direction les douches, mon rituel. Je retrouve la cabine du fond, comme si celle-ci m’appartenait désormais.

Ne pas m’éterniser ce soir : sa réapparition me fait trop cogiter ! De suite sous la douche, comme le jour de notre bêtise. La température me semble exagérément chaude. Ma tête bouillonne ! J’en sors rapidement.


Qu’est ce que c’est que ça ? Au sol un petit papier en évidence. Je le saisis : "Hakim 06… "

Mon cœur s’emballe ! C’est lui ! Je voulais lui parler mais c’est lui qui finalement a pris les devants. Sans m’accorder le temps de me sécher, je m’enroule dans ma serviette et récupère mon téléphone niché dans mon sac. Un SMS clair et net, et enfin tout ça sera fini ! Je mets plusieurs minutes pour parvenir à écrire ce petit texto, bloquant sur chacun des mots comme si ce message avait une importance capitale pour l’humanité : "C’était une erreur, n’en parle à personne stp, je suis mariée. Bonne continuation."


Je pousse un long soupir de soulagement lorsque l’envoi est effectué. Une vraie délivrance, l’impression d’être parvenue à m’échapper d’une prison psychique, pouvoir respirer profondément à nouveau. Je me sèche et m’habille tranquillement, le sourire aux lèvres. Culotte, mon simple survêtement par dessus, baskets aux pieds. Mes affaires en boule dans mon sac. Un simple petit coup de brosse à cheveux rapide face à l’immense miroir. Et hop, direction la sortie. En traversant la salle, je sens son regard. Il me fixe, je le sais, mais je prends sur moi et l’ignore. Je sors de l’établissement. Quelques dizaines de pas ; je déverrouille ma voiture et y prends place.


Un petit passage à la pompe à essence et je rentre ; après une fin de journée si forte en émotions, je suis pressée d’y être. Le plein effectué, mon téléphone vibre : un message…

J’espérais secrètement une réponse pour clore définitivement cette histoire ; elle est là.

MMS… J’ouvre…

Je suis surprise de découvrir sa main en photo… Main sombre, doigts épais d’homme plutôt manuel, pourvu – et je comprends là le but de ce cliché – d’une alliance. "Marié aussi, t’inquiète pas. Parking de… dans 5 minutes."


Mon cœur s’emballe… Je ne m’attendais pas à ça… Je suis une menteuse… Si, j’espérais ça, ma petite voix dans ma tête jubile de satisfaction alors que ma raison me hurle de rentrer ! Mon corps a instantanément réagi, je le sens… Mes seins se sont érigés et se devinent à travers le coton de mon survêt, et que dire de mon entrejambe… J’hésite… Non, je fais semblant d’hésiter plutôt car ma décision est prise… Je roule déjà en direction du parking indiqué, un restaurant fermé depuis assez longtemps maintenant situé le long de la nationale, à quelques centaines de mètres de la salle.

Le parking est sombre et vide. Je me gare au fond, devant le bâtiment, voiture dans le sens du départ…


Mon cœur bat la chamade ; j’observe la nationale et son flot de véhicules…

Je coupe le moteur. Presque instantanément une voiture noire entre sur le parking. Elle roule tout doucement et va se garer, prête à partir, à une vingtaine de mètres à côté de ma Mégane. Ses phares s’éteignent et son plafonnier s’illumine : c’est lui. Mon cœur semble vouloir s’évader de ma poitrine. Il me sourit ; je suis tétanisée ! Vibration de mon portable sur le siège à côté de moi. SMS. J’ouvre : "C’est bien que tu sois là. Maintenant tu sors de ta voiture et tu viens me sucer."


Mon cœur n’a jamais battu aussi fort ! Presque mécaniquement j’ouvre ma portière, sors de mon véhicule que je ferme et verrouille. J’avance, regardant mes pieds, imaginant tous ces inconnus roulant sur la nationale qui me regardent et devinent ce que je fais là. Plus que quelques mètres. Hakim m’ouvre la portière passager en me souriant ; son regard noir me glace et m’excite à la fois. J’entre sans un mot et referme la portière. L’autoradio fonctionne, l’animateur rit ; l’impression que c’est de moi qu’il se moque.


Hakim est en survêtement. Son sublime corps d’athlète se devine sans mal. Il baisse son pantalon et son caleçon d’un seul mouvement à mi-cuisses, libérant ainsi cet engin qui m’a procuré tant de bien il y a quelques semaines.

À demi dur, étendu de toute sa longueur jusqu’au-dessus du nombril, le gland intégralement décalotté et sans aucune pilosité… Hakim semble fier de son attribut, et il y a de quoi… Je fixe ce dard que je connais si peu et auquel je pense tellement depuis plusieurs semaines… Je sens sa main dans mes cheveux, douce et ferme à la fois.



Je suis aimantée. Nul besoin de sa main : je me penche de mon propre chef. Plus je m’en rapproche, plus son odeur puissante m’enivre. Ma langue vient lécher tour à tour ses couilles rondes et lisses. Il gémit. J’insiste, les aspirant, les léchant à nouveau. Puis ma bouche remonte tout doucement le long de sa longue tige qui tressaute et que je couvre de petits baisers. Arrivée à son gland arrogant, ma langue s’en empare, s’enroule autour. Je me surprends à gémir alors que lui soupire de satisfaction… Sa main dans mes cheveux se crispe, il me tient fermement. Je gobe sa queue raidie et me laisse maintenant guider. Il me fait aller et venir à sa guise.



Sa main desserre maintenant peu à peu son étreinte alors que l’une des miennes se pose à la base de son membre… Je le branle au même rythme que mes lèvres vont et viennent, au même rythme que mes gémissements s’accentuent… Je me surprends, prends de l’assurance, le suce du mieux possible. Ma langue s’enroule autour de son gland épais, puis je prends sa tige au maximum dans ma bouche, manquant m’étouffer toute seule tant j’ai envie de lui faire du bien…



Mes yeux se lèvent vers les siens, sans pour autant arrêter mes mouvements de langue.

Je pousse un gémissement de surprise et tente d’un coup de me dégager de son membre en constatant la présence de son téléphone portable dans sa main qui me fixe. Mais son autre main se pose instantanément sur ma tête et me maintient fermement.

La panique dans mon regard semble le faire sourire ; mon étalon me force à reprendre les va-et-vient.



Sa main ferme ne me laisse de toute façon pas le choix. Je continue à prendre soin de sa superbe tige, mon regard alternant entre son visage et son téléphone. Je reprends progressivement confiance, l’excitation étant trop forte. Ma langue lèche sa queue sur toute sa longueur puis ses couilles rondes et lisses… Je passe son gland luisant de ma salive sur mes joues en fixant ses yeux d’un noir intense puis je reprends son engin en bouche et le suce plus frénétiquement, mes gémissements ayant repris sans retenue.



Je le sens tressauter, vibrer entre mes lèvres. Je l’entends poser son téléphone sur le tableau de bord. Sa main se pose à nouveau sur ma tête, serrant fermement mes cheveux. Ma bouche s’active au maximum de mes possibilités. Son autre main remonte son haut de jogging, dénudant son ventre plat et musclé, puis vient saisir la base de son sexe. Il recule de quelques centimètres mon visage, libérant ainsi son engin tremblant qu’il branle frénétiquement.



Je m’exécute, le fixant docilement dans les yeux. J’ai un mouvement de recul en sentant sa première giclée arriver à la fois dans ma bouche et sur ma joue, mais sa main ferme me maintient. Il grogne, râle son plaisir au fur et à mesure que les giclées s’enchaînent. Joues, nez, langue, bouche… Il tire encore mon visage en arrière, souriant et tout essoufflé… Il me fixe ; son regard noir m’excite tant… De sa main libre il reprend son téléphone en main et le braque vers mon visage.



J’obéis docilement. Déglutis. C’est âcre, salé, tiède. Je grimace un peu, mais pour la première fois de ma vie je viens d’avaler le sperme d’un homme… Je me sens honteuse, mais également épanouie, découvrant une facette de moi que je n’imaginais pas.



Tout en me parlant, il réajuste sa tenue après avoir rapidement essuyé son sexe avec un mouchoir.



Il se penche et ouvre ma portière. Je comprends le message et sors de sa voiture, toute ébouriffée et le visage encore couvert de son jus. La saveur de son sperme en bouche me paraît par contre de moins en moins déplaisante… Je regagne ma voiture, à moitié dans le cirage… Mon cerveau n’est plus en état de fonctionner : les émotions ont encore une fois pris largement le dessus.


Ce n’est qu’une fois garée sur le parking de mon bâtiment que je me rends compte que j’ai fait les quelques kilomètres de route sans avoir pris la peine de me nettoyer et de retirer ces traînées de jus opaque sur mon visage…

Qu’importe, ça attendra désormais d’être dans mon chez moi…