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15/09/17
Résumé:  Cette année-là, mon entrée à l'université allait me permettre à coup sûr d'échapper à la surveillance étroite de mes parents. Cette idée me comblait de bonheur...
Critères:  fh hagé jeunes cérébral exhib fmast nopéné jeu fouetfesse confession -prememois -oncle
Auteur : Saturne  (Sexagénaire qui exagère, transgressif au clair de lune)      Envoi mini-message

Série : L'émancipation de Chloé

Chapitre 01 / 04
Le prix de la liberté

1. Liberté, liberté chérie !


Cette année-là, mon entrée à l’université allait me permettre à coup sûr d’échapper à la surveillance étroite de mes parents. L’établissement que j’avais choisi était bien trop éloigné de notre domicile pour que je puisse faire l’aller-retour quotidiennement : il allait me falloir vivre hors du carcan familial pour continuer mes études. Cette idée me comblait de bonheur…


En revanche, pour mes parents, laisser vivre seule dans un petit studio en ville leur fille qui venait tout juste d’avoir 18 ans, c’était impensable ! Je suppose qu’ils avaient trop bien deviné les raisons qui motivaient ma soif d’autonomie : ils savaient qu’une petite chambre en cité U ne servirait pas qu’à réviser mes cours, le défilé de mes chéris à la maison leur ayant servi de révélateur.


Après de nombreuses discussions, la solution qui leur parut acceptable fut de m’envoyer chez un de mes oncles d’une branche de la famille assez éloignée, mais avec qui nous avions des relations régulières. L’oncle André, ancien fonctionnaire en retraite, homme sérieux, dont la maison se trouve à une distance raisonnable de l’université, vivait seul depuis son divorce.

Les détails matériels furent réglés rapidement. Mon oncle vivait confortablement, il m’offrait le gîte et le couvert, mes parents financeraient mes études et mes autres dépenses personnelles, je reviendrais à la maison quand je voulais, à condition que cela ne nuise pas à mes études qui devaient rester ma priorité absolue.



2. Ce cher oncle André


La perspective de vivre chez l’oncle André n’avait vraiment rien de fascinant pour moi : il était plus vieux que mes parents, assez réservé, mais je me consolais en me disant que j’allais pouvoir le manipuler en utilisant mon charme (sur ce plan, j’étais suréquipée) et mon innocence (là, je devais plutôt compter sur mes talents de comédienne !). Bien entendu, mes parents avaient « briefé » tonton avant mon arrivée et fixé quelques limites :


• Des tenues décentes et un maquillage discret.

• Pas plus d’une sortie par semaine, et pas de retour après deux heures du matin. Les études d’abord !

• Ni alcool, ni cigarettes.


Avec un carcan pareil, mes envies de liberté prenaient l’eau ; il allait falloir jouer serré si je voulais concrétiser mes rêves d’adolescente, qui incluaient de longues nuits dans les bras d’un beau mec.



3. Laurel et Hardy


Je débarquai seule chez le tonton avec mes deux valises, bien décidée à me le mettre dans la poche. Je le connaissais bien, cet oncle ; je l’avais classé dans la catégorie des « gentils », mais jusqu’à présent il ne s’était pas beaucoup intéressé à moi, si ce n’est par quelques conversations à propos de mes études et de mes projets, avec des remarques qui m’avaient parues pertinentes.


Dès mon arrivée chez lui, je commence mon numéro de séduction : je lui saute au cou, l’étreins tendrement et le remercie de son hospitalité tout en lui faisant part du plaisir que j’ai à venir habiter chez lui. Il m’embrasse affectueusement et m’aide à m’installer dans une belle chambre lumineuse à l’étage de sa maison.

À peine avons-nous commencé l’installation que la sonnette retentit et que je fais la connaissance de Michel, un ami de mon oncle, qui vient souvent ici passer quelques heures, et qui avait eu vent de ma venue.


Autant mon oncle est grand, maigre et calme, autant son ami Michel est gros et remuant. Quand je les vois l’un à côté de l’autre, je les surnomme Laurel et Hardy, ce qui me fait sourire intérieurement ; mais au cours de la discussion qui suit, je comprends très vite qu’avec ce deuxième larron dont le regard pétille de malice, l’entreprise de conditionnement de l’oncle pourrait se révéler plus difficile. Ses premières remarques à propos des jeunes qui ont besoin d’une bonne poigne pour les contrôler mettent mes stratégies à mal.


Par ailleurs, le regard de Michel est collant ; je sens à plusieurs reprises ses yeux sur ma poitrine alors que je suis habillée en petite fille modèle, car les vêtements que ma mère achetait n’avaient rien de sexy et mes formes étaient bien dissimulées par le tissu.


Alors que je m’apprête à serrer la main de Michel, il me prend dans ses bras, me serre et ne me lâche qu’après m’avoir embrassée à quatre reprises, en prenant tout son temps. Dès qu’il me libère, je file immédiatement dans ma chambre pour échapper à sa présence.



4. La liberté, ça se gagne !


J’étais arrivée chez l’oncle plusieurs jours avant le début des cours afin de découvrir mon nouvel environnement et faire quelques courses ; en particulier, j’étais bien décidée à compléter ma garde-robe selon « MES » goûts ! Et pour cause : mes parents ne me permettaient jamais d’acheter des robes courtes et décolletées alors que j’ai des formes magnifiques. Les choses devaient changer ; les vêtements que je m’apprêtais à acheter seraient emblématiques de ma nouvelle liberté.


Le lendemain de mon arrivée, je suis pressée d’aller faire mes achats, mes parents m’ayant laissé un petit budget pour compléter ma garde-robe. Bien entendu, j’ai tout prévu avant mon départ : j’ai emprunté en douce à une copine une petite robe légère que j’enfile ce jour-là, l’idée étant que mon oncle, pensant que cette robe faisait partie de ma garde-robe officielle, considérera que cet échantillon est représentatif de ce que mes parents jugent acceptable en matière de décence. Pas folle, la guêpe !


Quand l’oncle me voit partir pour les magasins dans une tenue si légère, j’ai l’impression qu’il s’apprête à me faire une remarque. Pour le court-circuiter, je l’embrasse vivement en me collant contre lui avant qu’il ne m’adresse la parole et lui dis que je serai de retour pour le repas, puis je m’enfuis sans demander mon reste.

Je n’ai pas fait dix pas que je l’entends derrière moi :




5. Va falloir négocier ferme


Préparée à l’éventualité de ce petit recadrage, j’avais eu tout le temps de cogiter ma réponse :



Le tout dit avec beaucoup d’innocence et un sourire immense. Ma réponse le laisse perplexe ; après tout, la notion de décence est une notion très relative. Mais il me faut maintenant porter l’estocade pour éviter que cette discussion ne s’enlise :



Sur ce, je lui claque une dernière bise et disparais à l’horizon.


Bien entendu, j’achète deux robes aussi sexy que celle que je portais, ainsi qu’une tenue de mi-saison sur laquelle personne n’aurait trouvé à redire. En rentrant de mon shopping, j’étais bien décidée à filer directement dans ma chambre pour échapper à toute forme de discussion sur mes emplettes.



6. Ce vieux gros cochon de Michel est redoutable


Cela commence mal… Lorsque j’entre, Michel est assis dans un fauteuil, occupé à discuter avec mon oncle qui lui est assis sur le canapé. Quand il me voit arriver légère et court-vêtue, le regard de Michel s’allume et me déshabille. Il s’enfonce même discrètement dans le canapé pour améliorer son angle d’observation.

J’envoie un bonjour à la cantonade et me lance dans l’escalier quand Michel m’interpelle :



Ses yeux avaient accompagné mon ascension dans l’escalier ; je les avais sentis collés à mes fesses, sous la petite robe courte et légère. Du moins j’en avais fortement l’intuition, car je ne porte jamais de caméra sous mes robes.


Je suis arrêtée net dans mon élan et dois rebrousser chemin, à mon grand regret. La manœuvre a échoué, il va falloir jouer plus serré.


Le petit gros ne bouge pas ; il attend ses bises au fond de son fauteuil. Je dois me pencher en avant pour l’embrasser. Avec la robe que je porte, cela signifie présenter ma poitrine à Michel et mes fesses à mon oncle ; dire que je ne peux le faire, c’est reconnaître que ma robe est vraiment trop courte, alors je plonge en avant pour la bise. Je sens le regard de Michel se poser sur ma poitrine, et je ne sais ce que regarde mon oncle pendant ce temps-là puisque je lui tourne le dos ; mais s’il regarde dans ma direction, il doit pouvoir compter les mailles du fond de ma culotte. À nouveau, il me serre dans ses bras et m’embrasse lentement pour faire durer son étreinte, puis je me redresse et file dans l’escalier quand Michel m’interpelle à nouveau :



Je n’avais vraiment pas envie de leur montrer les deux petites robes ; je sors donc l’ensemble de demi-saison en disant :



Je sors les deux robes une à une, les expose à son regard.



Mon oncle, qui était resté muet jusqu’à ce moment, ajoute :



Et je reprends presto le chemin de l’escalier.



J’imagine à nouveau son regard sous la petite robe très courte accompagner mes fesses jusqu’en haut des escaliers. En entrant dans ma chambre, je fais semblant de fermer la porte mais la laisse entrebâillée pour écouter les éventuels commentaires, ce qui ne manque pas d’arriver. Bien entendu, c’est Michel qui prend la parole :



Ce à quoi l’oncle réplique :



Michel reste silencieux quelques secondes, puis ajoute à voix basse :



J’avais bien jugé Michel : il était en position de nuire à mes désirs d’émancipation. Heureusement, mon oncle met un terme à la conversation en disant que je suis sa nièce, que je suis une fille honnête et que j’ai sa confiance.



7. Adapter sa stratégie en fonction des circonstances


Les dernières paroles de Michel résonnent encore dans ma tête : « Elles sont rusées, les filles : tu devrais te méfier… » Je suis à peu près certaine que mon oncle doit entendre le même écho que moi, même si, comme il l’a dit, il me fait confiance.


Je viens de gagner la première partie de mon combat pour ma liberté, mais je sens bien que Laurel et Hardy ne sont pas dupes de mes agissements : il va me falloir être plus fine mouche et réviser ma stratégie, car j’avais prévu de mettre mon oncle dans ma poche ; mais le hic, c’est que Michel est souvent présent à la maison : je vais devoir le neutraliser également, mais comment ? Ce qui est sûr, c’est que je ne dois surtout pas m’en faire un ennemi, aussi répugnant qu’il me paraisse.



8. Donner de sa personne


Le soir même, mon oncle invite Michel à dîner, ou peut-être celui-ci s’est-il invité car il semble avoir une grande influence sur mon oncle. Je propose de cuisiner pour me concilier les bonnes grâces du duo de choc. Nous dînons dans la cuisine, sur une petite table où nous sommes à touche-touche ; je dis cela surtout pour Michel qui prend beaucoup de place et dont les coudes et les jambes me frôlent beaucoup plus qu’il ne faudrait.


Vers la fin du repas, mon oncle va porter les assiettes sales dans la cuisine pendant que je prends des assiettes à dessert dans le bas du vaisselier. Tournant le dos à Michel, je plonge la tête dans le meuble, et bien sûr je porte toujours la petite robe légère. En me relevant, je surprends le reflet de Michel dans le miroir du vaisselier ; il reluque mes fesses. Je me relève doucement pour m’assurer que ce n’est pas qu’une impression fugitive : gagné, ses yeux sont perdus dans la contemplation de ma culotte, mais il est tellement concentré qu’il n’a pas vu que je l’observais. Quand enfin je pose les assiettes sur la table, il a le visage écarlate car il vient de se rincer l’œil comme jamais, et moi j’ai la confirmation que Michel est un vicelard.


Mon oncle propose d’ouvrir une bouteille de champagne pour fêter mon arrivée, et pendant qu’il va à la cave, Michel me dit comme en confidence, en se penchant vers moi :



Et sur ces mots, il pose sa grosse paluche sur ma cuisse ; très dénudée aussi, la cuisse. Ah, cette petite robe ! Puis il ajoute sur un ton protecteur :



Je lui renvoie un sourire convenu en me disant qu’il peut toujours attendre ce jour et qu’il n’est pas près de revoir mes fesses.


Sa main se retire de ma jambe dès que le tonton refait surface avec la bouteille de champagne. L’oncle remplit deux verres ; le mien reste vide : j’ai juste la possibilité de tremper mes lèvres dans le verre de Michel. Quand je lui rends son verre, Michel le tourne délicatement pour poser ses lèvres là où j’ai posé les miennes et déguste son champagne avec gourmandise, les yeux fermés, en louant ce divin nectar. En le regardant faire son manège, j’ai l’impression désagréable qu’il m’embrasse sur les lèvres. Pendant qu’ils boivent leur champagne, je me lève pour finir de débarrasser la table et me sauve dans ma chambre.



9. C’est la rentrée, c’est la fête !


L’année universitaire commence ; de nouveaux locaux, de nouveaux professeurs, de nouvelles rencontres, de nouveaux liens, de nouveaux horizons, de nouveaux projets : que du bonheur…


Je suis une élève brillante ; mes professeurs et mes nouveaux camarades ne vont pas tarder à l’apprendre. En attendant, mes nouvelles robes font leur effet ! Il suffit de voir la tête des autres filles quand les garçons me reluquent ; jamais je ne m’étais sentie autant convoitée par les garçons ; il faut dire que mes nouveaux vêtements dévoilent des formes qui n’avaient jamais été visibles au lycée, la censure vestimentaire de mes parents ayant fait écran.

Désormais, je ne vais porter que des vêtements qui soulignent ma féminité. Je vis mon heure de gloire et mes sens en sont tout émoustillés ; je sens ma poitrine gonfler quand je surprends les regards des garçons qui se posent sur moi avec convoitise.


Depuis la rentrée, je navigue au sein d’un petit groupe qui se connaît déjà depuis le lycée. Les garçons m’ont intégrée rapidement et me proposent de venir le samedi même pour une soirée festive chez l’un d’entre eux. Je m’empresse d’accepter, certaine que mon oncle n’y verra aucun inconvénient (ce qui fut le cas, bien qu’il me remémorât l’heure limite de retour à la maison et la sobriété à laquelle je m’étais engagée).


Le samedi arrive très vite. La soirée est une vraie réussite, nous sommes heureux de nous retrouver pour faire la fête. Je danse comme une folle, heureuse de me sentir libre et de découvrir le désir dans les yeux des garçons quand nous dansons au corps-à-corps. Je fais l’impasse sur l’alcool, mais le temps passe trop vite ; à vrai dire, je ne le vois pas du tout passer.

En rentrant à la maison sur la pointe des pieds, lumière éteinte, alors que je vais entrer dans ma chambre, j’entends la voix de mon oncle qui me dit :



Et il m’apparaît en robe de chambre. Fort heureusement, j’ai eu tout le temps de préparer une justification :



Ma justification ne semble pas lui convenir car il me répond :



Heureusement, j’ai d’autres arguments : je me jette dans ses bras, pose ma tête sur sa poitrine, et de mon air le plus innocent lui dis que cela ne se reproduira plus.



Je promets et pars me coucher, non sans l’avoir embrassé et serré étroitement contre ma poitrine avec toute la féminité dont je suis capable. Encore une fois j’ai gagné la partie, mais c’est une toute petite victoire et mon image ressort encore un peu écornée.


L’incident est clos. L’oncle n’a pas eu la mauvaise idée d’en parler à Michel, ni à mes parents ; je m’en sors à très bon compte, mais l’avertissement a porté ses fruits : je rentre dans le rang.



10. Bis repetita placent


Les semaines suivantes, j’applique les directives parentales à la lettre : les limites horaire et éthylique sont scrupuleusement respectées mais, de ce fait, mes soirées deviennent ternes : je les quitte quand la fête bat son plein, à mon grand regret. Après mon départ de la soirée, l’attention des garçons se porte sur d’autres filles ; je ne suis plus la reine du bal, et cela me désespère, même si je ne suis plus là pour le constater.


Lors d’une autre soirée, je renouvelle mon retard de deux heures : nouvelle justification alambiquée pour le retard, attitude innocente, promesses, câlins et bisous. Encore une fois, je roule l’oncle dans la farine ; ma technique fait ses preuves, mais après chaque incident je dois me limiter dans mes écarts : c’est une entrave à ma liberté que je ne peux supporter…


Nos soirées atteignent leur rythme de croisière ; je n’ai pas trouvé l’âme-sœur, mais les prétendants ne manquent pas, je suis sur mon nuage.


Une nouvelle fois, je rentre en retard ; il est six heures du matin. Je fais mon entrée chez mon oncle dans le plus grand silence, je monte l’escalier sur la pointe des pieds en m’efforçant de ne pas tituber, mais une marche craque, et presque instantanément les lumières du salon s’allument.

Mon oncle est assis en bas, sur le canapé, en robe de chambre et me regarde avec colère. Je redescends l’escalier en me tenant à la rampe pour ne pas tituber.



L’oncle a remarqué l’indécence de ma tenue car, circonstance aggravante, ce soir-là j’ai un peu bu et lors d’un jeu un peu coquin dont j’étais la grande perdante, j’ai reçu un gage : offrir ma culotte au gagnant.



En prononçant ces mots, je m’agenouille sur le canapé et commence à pleurer sur la poitrine de mon oncle. Il me prend dans ses bras, mais continue son interrogatoire.



Alors je continue mon récit :



Je me garde bien de préciser à mon oncle qu’avant qu’il ne retire ma culotte devant les invités, le garçon était autorisé à la frotter contre mon minou pour l’imprégner de mes sucs intimes.



11. C’est l’heure de l’addition, il va falloir payer


La réponse de l’oncle est sans appel. Très calmement, il me dit :



En entendant ces mots, je suis catastrophée ; j’imagine les murs d’une prison qui s’élèvent autour de moi, une vie de recluse, et cela juste au moment où je commençais à goûter à la liberté. De grosses larmes roulent sur mon visage. À cet instant, je suis prête à tout, à mordre, à griffer, à frapper. NON ! Pas les parents, à aucun prix. Plutôt mourir.


Je réfléchis très vite dans ma tête. Ma marge de manœuvre est quasiment nulle ; je dois jouer le tout pour le tout. L’effet désinhibant de l’alcool fait sauter toutes mes barrières morales, je suis prête à tout. Je me jette dans les bras de mon oncle en le suppliant :



Je me colle contre lui, essayant de le faire céder. Je sens un peu d’hésitation chez lui. Mes larmes commencent à l’attendrir, mais il me répond :



Je n’ai plus le choix. J’ai déjà anticipé cette extrémité, alors je joue ma dernière carte en ayant conscience que si je ne réussis pas maintenant, la partie sera définitivement perdue.



Après un silence interrogateur de mon oncle, je m’explique :



Avant qu’il n’ait eu le temps de répondre ou même de réfléchir, je me positionne à plat-ventre sur ses jambes et relève ma robe au-dessus de mes fesses en cambrant discrètement mes reins pour bien faire ressortir mes rondeurs.


Mon oncle ne dit rien, ne fait aucun geste. Il a probablement porté son regard sur mes fesses nues et offertes. J’ai là un argument beaucoup plus puissant que tous ceux que j’ai avancés jusqu’à présent. Je suis dans l’attente d’un refus ou d’une claque ; cette attente n’en finit pas, les secondes me paraissent des minutes et les minutes des heures. J’ai un nœud au ventre, une boule dans la gorge. Je suis tétanisée. Cette attente m’est très vite insupportable.

Pour le décider, je renchéris :



Encore quelques très longues secondes d’attente, et une première claque sonore s’abat sur mes fesses et me fait sursauter. Je pousse un cri de surprise. C’est presque un soulagement, un soulagement douloureux, mais un soulagement quand même. Les claques s’enchaînent et la douleur augmente progressivement, mes cris également. J’avais oublié l’effet que cela faisait d’être fessée car je ne l’avais pas été depuis très longtemps – en réalité quasiment jamais – et cette nuit-là, mon corps réagit comme un corps de femme.

La douleur est très vive, mais supportable ; ce n’est qu’avec la répétition que la chose va se corser. Pour l’instant, je suis prête à tout endurer : c’est le prix à payer pour ma liberté !



Il m’obéit : les claques s’enchaînent avec beaucoup de régularité. Très vite, mes fesses sont en feu, l’incendie contamine mon entrejambe, une sensation inattendue se diffuse dans mon bas-ventre. Ce mélange douleur/plaisir va crescendo. Je perds mes repères. La douleur devient cuisante, je pousse des cris de douleur, des larmes inondent mon visage.


Mon oncle me fesse avec force et en mesure ; ses longues mains sont d’une efficacité redoutable. Je pleure maintenant à chaudes larmes, tente de remuer les jambes pour échapper aux claques, mais les grandes mains de mon oncle m’ont bien stabilisée sur ses genoux. Les coups ne faiblissent pas ; bien au contraire, leur rythme s’accélère encore et encore. Je pleure, je crie, je supplie, je gesticule, mais la fessée se poursuit et ne connaît pas de trêve. Mon bas-ventre est en fusion… Cette fessée est interminable ; rien à voir avec les trois petites claques de mes fessées de petite fille.


Je prie maintenant que mon oncle s’arrête. Je regrette vivement de l’avoir encouragé à frapper plus fort. Aussi je crie et je supplie, pleurant à chaudes larmes comme une petite fille, gigotant dans tous les sens, sanglotant et reniflant :



Mais il a pris son rôle très au sérieux et semble vouloir rendre la punition mémorable. Les claques continuent de pleuvoir encore longtemps, de plus en plus rapprochées. Je vais devenir folle, je crie ma douleur, le supplie à nouveau jusqu’à ce que, après une série de claques très rapides qui me coupent le souffle, il s’arrête enfin.

Je suis épuisée par la douleur et l’émotion, mon corps tremble, secoué par les sanglots, des larmes inondent mon visage, mes fesses irradient.



12. Reprendre l’avantage


Mais ce n’est pas le moment de me laisser aller : je dois reprendre mes esprits et la situation en main. Je me lève doucement et me frictionne les fesses en pleurant, face à lui, laissant régulièrement échapper de petits sanglots. Il est toujours assis sur le canapé et me regarde avec un air abattu. Il est tout essoufflé ; je le sens presque aussi éprouvé que moi. Nous sommes comme deux boxeurs à la fin d’un combat. Je viens à califourchon me coller à lui, tremblant de la tête aux pieds et recommence à pleurer à chaudes larmes. Je sanglote toujours en lui parlant :



Je renifle, l’embrasse, répétant inlassablement les mêmes phrases.


Maintenant il me rassure, me caresse les cheveux, puis essuie mes larmes en m’embrassant, comme le ferait une mère. Nous restons longtemps l’un contre l’autre à nous consoler mutuellement, car lui semble souffrir terriblement de m’avoir fait du mal.


Je reprends mes esprits, tout en continuant de frotter mes fesses endolories. J’ai pleinement conscience que chacun de mes mouvements provoque un appui de mes fesses sur son bas-ventre, mais je reste collée contre lui, désireuse d’augmenter son trouble. D’ailleurs, depuis l’instant où je me suis allongée sur ses genoux pour y recevoir la fessée, j’ai perçu son érection contre ma jambe mais n’ai fait aucun mouvement pour m’y soustraire, comme si je ne m’étais aperçue de rien. Cela aussi faisait partie de mon plan…


Quand enfin je me lève au bout d’un long moment, je jette un œil à la robe de chambre de mon oncle : comme je m’en doutais, des sécrétions vaginales recouvrent une bonne partie de la surface où je me suis assise. La chose ne peut lui avoir échappée, mais il ne fera aucune remarque à ce sujet. Je devrais être gênée d’avoir laissé sur lui les manifestations de mon émoi mais, bien au contraire, je souhaite vivement qu’il s’en aperçoive, que l’ambiguïté de nos rapports le déstabilise.


Nous sommes debout et nous nous regardons en silence, un peu gênés. Je le remercie à plusieurs reprises pour sa fessée, sa gentillesse, sa compréhension ; il semble ému, ne dit toujours rien. Je me colle encore contre lui. Plusieurs minutes se sont passées depuis la fin de la fessée, mais nos cœurs battent fort. Je l’embrasse à nouveau plusieurs fois avant d’aller me coucher. Je n’ai plus besoin de consolation, mon oncle si : il n’a pas prononcé un seul mot depuis la discussion qui a précédé la fessée. La victime, c’est lui !


Je viens de gagner une partie décisive car malgré lui, mon oncle est devenu mon complice ; il n’aurait jamais dû accepter de me fesser, mais moi, j’ai su l’amener là où je voulais qu’il arrive. J’ai payé cher pour cela ; mes fesses s’en souviendront longtemps. Mais j’ai pris l’ascendant sur lui.



13. Petites récompenses sur l’oreiller


Dans mon lit, tout en caressant mes fesses endolories, je revois le film de cette fin de soirée. J’essaie d’imaginer le regard de mon oncle sur mes fesses et sur mon intimité. L’effet est immédiat : mon bas-ventre s’émeut aussitôt. Mes mains quittent mes fesses pour mes petites lèvres et mes seins ; quelques caresses suffisent à me provoquer un orgasme dont je mets plusieurs minutes à me remettre.


C’est donc bien la fessée qui m’a mise dans cet état, car dès que j’y pense à nouveau mes sens s’affolent aussitôt. Pour mieux analyser l’effet qu’elle a eu sur moi, je me remémore dans le détail le déroulement de mon châtiment.


Déjà, j’ai ressenti une énorme excitation quand j’ai demandé à mon oncle de me fesser ; mes paroles avaient du mal à sortir de ma bouche, puis ont résonné dans ma tête pendant quelques secondes. Mes entrailles se sont mises en marche instantanément ; je peux même dire que l’effet avait déjà commencé quand j’ai résolu de lui demander de me fesser : l’idée de me retrouver exposée fesses nues au regard de mon oncle m’avait intimement troublée.


Puis, quand je me suis positionnée sur ses genoux en cambrant mes reins, je l’ai vécu comme une offrande de mon cul à mon oncle ; le mot « cul », dans son sens cru – que je n’utilise jamais dans le langage parlé – est le mot que j’ai utilisé dans ma tête à cet instant. J’ai ressenti une puissante excitation dans mon bas-ventre, excitation entretenue par l’attente qui n’en finissait pas.


C’est lors des toutes premières claques que j’ai senti avec certitude la cyprine envahir mon minou, mais cela avait certainement commencé auparavant. Par la suite, la douleur a tempéré l’ivresse de mes sens.


Quand je me suis assise à califourchon sur mon oncle, je l’ai fait comme si je m’empalais sur lui. Les sanglots qui me secouaient le corps ont masqué les réactions de mon bas-ventre, mais les nombreuses traces laissées par mon sexe sur la robe de chambre de mon oncle ont témoigné de mes émois… Le coton de la robe de chambre a absorbé une partie de ma cyprine, mais ce qui restait témoignait d’une très vive excitation.


J’essaie maintenant d’imaginer mon oncle avec sa robe de chambre. Qu’en a-t-il fait ? L’a-t-il portée à son visage ?A-t-il reniflé mes sécrétions ? Les a-t-il léchées ? Peut-être est-il en train de se caresser avec son peignoir ? De détailler ainsi cette montée du plaisir ravive mon excitation, et à nouveau mes doigts de magicienne font merveille : une nouvelle jouissance couronne rapidement leurs efforts.


Puis je repense à mes manœuvres pour mettre mon oncle dans ma poche. Mon intuition me dit qu’il ne pourra plus me contrôler : je vais pouvoir prendre les commandes du navire, il me faut l’assujettir… complètement. Je suis bien décidée à profiter de mon avantage dès le lendemain matin, au petit déjeuner : faire une arrivée en toute petite tenue pour raviver la flamme de la veille.


La nuit a été courte, amputée de quelques heures par ma soirée, ma terrible fessée, mes réflexions et le ballet sensuel auquel mes mains se sont livrées, mais ma détermination reste intacte. Conformément au plan que j’ai établi la veille, je descends prendre mon petit déjeuner nue sous une nuisette transparente. Je justifie ma tenue en disant que je ne peux rien porter d’autre car j’ai terriblement mal aux fesses. Mon oncle va dans la salle de bain et revient aussitôt avec un tube de baume apaisant et le pose sur la table sans faire de commentaires. Je m’imagine un instant lui demandant de me passer la crème sur les fesses mais renonce, me disant qu’il ne serait pas dupe de mon intention de le troubler.


Par le jeu des miroirs du vaisselier, je l’observe discrètement pendant mon repas. Son émoi est manifeste ; il ne dira jamais que ma tenue est indécente : ce serait reconnaître qu’il peut en être troublé. Mais il ne quitte pas la cuisine, allant et venant, vidant le lave-vaisselle, faisant mille choses lui permettant de tourner autour de moi et de me contempler à la dérobée ; je suis devenue le centre de son univers.


Dans la salle de bain, après la douche, en me massant les fesses j’imagine que c’est mon oncle qui me passe la crème sur les fesses en ne pouvant s’empêcher de déborder sur mes parties intimes… Cela provoque un grand trouble en moi, non pas parce que je désire sexuellement cet oncle, mais parce que constater l’emprise que j’ai maintenant sur lui – un homme d’âge mûr – m’excite au plus haut point.


Dans les semaines qui suivent, il lui arrive de me surprendre nue dans la salle de bain ou dans la maison ; je prétends avoir oublié de fermer la porte, ou bien ignorer qu’il était dans la maison. À chaque fois, il me trouve dans une position que j’avais préméditée, impudique au possible. Je prends alors mon air le plus innocent, ris naïvement en lui disant « Tu m’as fait peur, je pensais être seule dans la maison. De toute façon, tu as tout vu, maintenant ; je n’ai plus rien à te cacher. » et je ne fais alors aucun geste pour préserver ma pudeur. Il ne commente jamais ces exhibitions, même quand ce comportement devient presque quotidien.


C’est son trouble et son silence qui me conférèrent mon ascendant sur lui, mais aussi les barrières qu’il s’imposait de par son éducation ; barrières qu’il ne pourrait jamais franchir, alors que moi je me sens libre de le provoquer chaque jour un peu plus, dépassant les ultimes limites de la décence, ce qui m’excite considérablement.


Quand il fait chaud, je dors nue et repousse les draps, espérant qu’il me découvre dans des positions très provocantes. Un matin, il a frappé à ma porte. Il faisait grand jour dans la chambre et j’étais sur le ventre, nue, cuisses écartées, fermant les yeux, sans bouger. Il est entré et est ressorti presque immédiatement en fermant la porte. Depuis, il n’est plus jamais entré sans que je l’y invite préalablement.


Une nuit, je suis venue me coucher dans son lit, nue sous ma nuisette, prétextant que j’avais peur de l’orage ; il s’est tourné de l’autre côté pour trouver le sommeil. J’ai attendu quelques minutes, puis j’ai collé ma poitrine contre son dos et mon pubis contre ses fesses. J’ai renouvelé l’expérience à plusieurs reprises, sans plus jamais me justifier : il n’a jamais eu un geste déplacé. Pourtant, plus d’une fois au matin, il a dû me découvrir offerte, la nuisette retroussée jusqu’à la poitrine.


J’étais souvent émoustillée par ma propre perversité ; il m’arrivait alors de me caresser longuement dans ma chambre ou dans la salle de bain, porte entrouverte, et de jouir sans chercher à limiter le volume sonore de mes gémissements et de mes orgasmes ; et cela, mon oncle ne pouvait pas ne pas l’entendre. Savoir qu’il pouvait écouter augmentait considérablement l’intensité de mes orgasmes.


J’étais aussi de plus en plus câline avec lui, me blottissant contre lui comme le font les petites filles avec leur ours en peluche ou leur papa. Ces va-et-vient incessants entre innocence et sensualité, tendresse enfantine et exhibitions impudiques brouillaient ses capacités d’analyse. Il semblait incapable de porter un jugement objectif sur mon attitude ; du moins, jamais il ne m’a dit une phrase qui pouvait le laisser penser : c’était bien ce que je voulais !


En résumé, je devenais une vraie femme, habile et déterminée, capable de souffrir dans sa chair pour arriver à ses fins, et je le vivais comme un grand accomplissement…



14. Grande surprise


Un soir, peu après l’épisode de la fessée, j’ai une excellente surprise en rentrant à la maison.


Je rentre de la fac ; mon oncle est seul dans le salon, occupé à ranger quelques babioles. Je l’embrasse tendrement, l’aide pour son rangement, puis, comme chaque jour, nous discutons quelques minutes de nos journées respectives. La mienne n’ayant rien eu de particulièrement intéressant, il me raconte d’un ton neutre qu’il vient d’appeler mes parents. Je me redresse ; mon visage se fige, ma gorge se noue. J’attends la suite.



Aussitôt mon sang reflue à nouveau, mon cœur se gonfle et je suis tout ouïe.



Je le regarde avec des yeux incrédules ; j’ai du mal à comprendre, j’ai vraiment besoin d’une reformulation.



En posant la question, des larmes de bonheur me montent aux yeux.



Je lui saute dessus, m’écrase contre sa poitrine, l’embrasse sur les joues, sur le front, sur les yeux, dans le cou tout en pleurant de bonheur. Il fait semblant de se débattre et ajoute :



Je n’en reviens pas : sans que je lui demande, il a intercédé en ma faveur. Connaissant mes parents, il a certainement dû batailler ferme pour réussir là où j’avais toujours échoué. C’est vraiment un mec bien ; je l’apprécie de plus en plus.



Je suis toujours sur lui ; je ris, je pleure, je le chatouille, je fais la folle. Nous restons longtemps au corps-à-corps, à célébrer mon émancipation. Puis tout à coup je prends un air de fillette boudeuse et lui demande d’une petite voix innocente :



Il me regarde, interloqué, ne sachant pas si je plaisante ; puis voyant mon sourire malicieux :



Nous rions longtemps… Ma question était moins stupide qu’elle ne paraissait : j’avais bien compris que si moi j’avais souffert dans ma chair de cette fessée, lui en avait souffert dans sa tête. Je voulais dédramatiser la chose. Qu’il puisse maintenant en plaisanter montre qu’il avance à grands pas sur le chemin de la résilience.


Nous restons longtemps dans les bras l’un de l’autre ; je vois quelques larmes couler sur ses joues : ce sont les signes annonciateurs de sa guérison. Je les embrasse une à une, comme le ferait une mère avec son enfant. Je prends conscience que j’ai énormément d’affection pour lui, et j’ai honte des manipulations auxquelles je me suis livrée depuis mon arrivée et du mal que je lui ai fait. Je suis fermement résolue à me comporter désormais en adulte responsable car je veux sincèrement gagner son estime. Bien sûr, je continuerai à m’amuser, mais je le ferai avec plus de mesure.


Et c’est vraiment ainsi, que ma première année universitaire se déroula.


Nous sommes arrivés au joli mois de mai ; l’année universitaire se termine. Mes résultats sont excellents, je me sens plus belle que jamais, j’ai eu une relation épisodique avec un étudiant du groupe mais je n’ai pas ressenti les émotions tant attendues. J’ai rompu, et comme je ne suis pas du genre à passer d’un lit à l’autre pour trouver le prince charmant, je termine l’année en célibataire.



À suivre…