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Temps de lecture estimé : 9 mn
20/09/17
Résumé:  Mélissa est ma copine, celle avec qui je vis, avec qui je couche. Avant moi, elle a eu une vie, bien entendu. Son passé ne me dérange pas, au contraire...
Critères:  fh couple fépilée cérébral revede voir fmast hmast pénétratio confession -couple
Auteur : Ekkeko      Envoi mini-message

Série : Mélissa, son intimité, son passé : mon fantasme

Chapitre 01 / 04
Approche et découverte de son intimité

Je m’appelle Ludovic et je suis en couple avec Mélissa depuis trois ans. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée, j’étais nouveau dans la région et elle faisait partie du groupe d’amis d’un collègue de boulot, plus exactement mon chef de service, d’une grosse boîte de développement.


C’est un joli brin de femme, cultivée, drôle et avec un sourire à vous faire fondre. J’étais de cinq ans son cadet et je crois que l’âge était la seule différence entre nous tellement nous nous sommes trouvés de points en commun. Je m’étais laissé dire par certains qui la connaissaient d’avant, qu’il collait à Mélissa un lourd passé amoureux. Sans être une Marie-couche-toi-là, elle aurait enchaîné suffisamment de mecs pour que l’on en parle autour d’elle. Je n’y accordais pas vraiment d’importance et, quitte à choisir, je préfère franchement une femme avec de l’expérience qu’une frigide à qui il faut apprendre le plaisir…


Un jour que l’on se faisait un p’tit resto entre jeunes amoureux, et où nous parlions de tout et de rien, vint le sujet des ex. Avant de me rencontrer, elle était fraîchement célibataire, et sortait d’une relation de deux ans avec Emerick, une espèce de beau-gosse-surfeur-qui-sait-qu’il-est-beau. Mélissa l’a plaqué après s’être aperçu qu’elle le partageait depuis trois mois avec une connasse du coin. Bref, elle disait avoir perdu son temps avec, et qu’à 34 ans elle ne voulait plus en perdre, et s’était donc assez rapidement remis en quête de l’amour. Ce qui, du reste, m’allait très bien !


Elle me demanda mon propre passé, je lui listai sans grand orgueil mes quatre uniques ex-petites amies, dont une relation de presque sept ans avec la dernière, Marine, dont la séparation d’avec elle était à l’origine de la reprise à zéro de ma vie personnelle comme professionnelle, ce qui m’avait amené dans cette nouvelle région. Je ressortais un peu vrillé de cette dernière relation, et cet éloignement m’était nécessaire si ce n’est salvateur.


Je me risquai à lui demander son tableau de chasse, en d’autres termes bien évidemment. Mélissa m’avoua, un peu gênée, avoir connu un peu plus d’une dizaine d’hommes en quinze ans de vie sexuelle. L’espace d’un instant, je me suis surpris à me demander ce qu’elle entendait par avoir connu. S’est-elle fait sauter par tous ses mecs ? Ou bien juste une pipe ? Ou encore juste une relation platonique suffit pour elle à ce que ça compte…


Je suis assez curieux de nature, peut-être trop, et Mélissa s’en est bien aperçu lorsque je lui ai posé une flopée de questions sur ses ex, à commencer par leur nombre, leur style, si elle s’éclatait avec… Je sais qu’en général on ne parle pas de ses ex, en particulier avec son actuel… mais voilà, je ne suis pas le genre à m’enrager à imaginer ma copine avec un ex, en fait ça aurait même tendance à m’exciter. J’ai bien tenté de comprendre pourquoi, ou au moins de mettre un nom sur ce penchant.


Alors j’avais le choix entre voyeur, candauliste, curieux pervers, déviant sexuel, ou encore taré qui doit se faire soigner…


Bon, au final je me foutais bien dans quelle catégorie un psy coincé du cul pouvait me classer. Cela m’importait autant que de savoir qu’un émétoaérosagophile est un type qui collectionne les sacs à vomi d’avions. Eh oui, ça existe, et tous ne vont pas chez un psy pour autant, et personne ne les emmerde avec ça. Mais dès qu’un rapport est établi avec la sexualité, alors là, tabou !


Me concernant, c’est sûrement un mélange de tout ça – hormis les sacs à vomi, hein – voyeur c’est certain, candauliste je ne sais pas, pas encore en tout cas…


Mélissa avait coupé les ponts avec ses différents ex, pour elle ils ne comptaient plus, ils étaient sortis de sa vie. Mais pour moi ils comptaient, et j’ai eu quelques branlettes mémorables en imaginant ma belle Mélissa se faire troncher par l’un de ses nombreux ex. L’imaginer ainsi, à sucer ou baiser un autre, sachant que cela s’était réellement passé, m’excitait. Je ne retire aucun plaisir à imaginer un plan sexuel ubuesque entre Clara Morgan et moi, ce n’est pas possible et ne le sera jamais, et ne me fait donc pas plus d’effet que ça. Mais en revanche, quand je fantasme, même si c’est sur Mélissa, ce n’est pas forcement avec moi que, dans ma tête, elle baise…


Penser ma femme qui jouit, peut-être différemment qu’avec moi, me fascine et me fait bander. C’est ce qui motive la plupart de mes plaisirs solitaires, m’efforçant de trouver un porno amateur où je peux identifier la demoiselle à ma copine. Mais j’aime aussi à fantasmer sur Mélissa lorsque – et si – elle se donne du plaisir toute seule. Car ça, c’est même pas du passé, c’est sûrement d’actualité !



Telle fut la réponse de Mélissa, rouge comme une pivoine, lorsque je lui ai timidement demandé alors que nous étions en train de faire l’amour si elle se masturbait souvent. C’était la première fois que je m’aventurais à lui poser ce genre de question, certes déplacée, mais qui comblait, ô combien, ma vilaine curiosité, exacerbée par mon excitation du moment.



Rhalala ! Je crois que cette rengaine doit carrément être enseignée à toutes les femmes tant je l’ai entendue et lue de la part de nombre d’entres elles, en vrai comme sur le Net !



Je m’empressai de la rassurer que ma question n’était pas un piège, qu’il me plaisait seulement de l’imaginer le faire, et que par conséquent ça ne me gênait pas qu’elle se donne du plaisir en mon absence, et que je ne ferais pas l’amalgame avec une éventuelle insatisfaction !


Il m’arrive de bosser en service décalé de nuit, elle pas, et il se peut que l’on passe trois ou quatre jours sans se croiser au plumard, ce qui a mon sens donnait de bonnes raisons à l’éventualité de la chose. D’autant que de mon côté je ne m’en privais pas. Cela, par contre, je le gardais pour moi…



Qu’est-ce que c’était bon de l’entendre parler de ça, comme ça, pendant que je la pénétrais. Ces quelques mots m’avaient donné une telle vigueur que j’avais instinctivement accéléré le rythme, je bandais fort et Mélissa me le fit remarquer et m’en flatta.



Était-ce mon propre état qui la rendait ainsi ou le souvenir de ce qu’elle contait ? Toujours est-il que je sentis comme si la chatte de ma Mélissa se liquéfiait tellement elle mouillait. Le bruit de nos sexes qui se mêlaient s’amplifiait, tout comme notre sournois désir de jouir.



Joignant le geste à la parole, elle glissa sa main droite entre nos ventres et entama une lente mais appliquée masturbation de son clitoris, et en gémissant me dit :



Mon rythme devenait incontrôlable, elle ne disait plus rien, respirait fort, se mordait la lèvre, deux doigts comme fous sur son bouton d’amour et ma bite qui la fourrait profondément, notre extase n’était pas loin. Je fermai les yeux, des images dignes de mes pornos préférés se formaient dans ma tête, me renvoyant des visions de Mélissa sur notre lit, ma belle brune dans sa simple nuisette de soie mauve, son corps svelte se tordant gracieusement sur ce coussin, je voyais son visage d’ange encadré de son carré plongeant, ses yeux fermés et la bouche haletante, oui, je revivais ce moment. Tout en lui faisant l’amour, je voyais ma petite chérie se masturber et je l’imaginais jouir toute seule, en mon absence. Qu’est-ce que j’aimerais être une petite souris, cachée, invisible, et la voir dans son intimité la plus totale, se tordre de plaisir et, pourquoi pas, pénétrer son esprit, savoir à quoi, à qui elle pensait en ces moments-là… Et qu’est-ce qu’elle me plaisait et qu’elle était belle en cet instant précis, cet instant qui n’était qu’à elle et qui maintenant m’appartenait un peu aussi…


J’accélérai soudain mes va-et-vient, Mélissa m’agrippa les épaules, elle se cambra pour sentir encore plus chaque centimètre de mon chibre qui la remplissait, se raidit et jouit en étouffant un cri strident et plaquant sa bouche contre mon torse en sueur. Les contractions de son vagin autour de mon sexe finirent par m’achever et je me déversai en elle, en de puissantes giclées qui tapissèrent sa chatte de sperme. C’était la première fois que nous jouissions en même temps ; je le lui fis remarquer, et pour toute réponse elle m’embrassa goulûment et avidement, mais tout en continuant d’onduler du bassin, elle me plaqua par les fesses sur elle, et me souffla :



La forme, elle aurait pu revenir sans trop de problème mais je n’allais pas laisser l’occasion de voir en vrai de vrai ma coquine se masturber seule ! Je me retirai alors d’elle et lui dis de ne pas se priver plus longtemps ! Toujours sur le lit, elle se tourna de dos, fourra un coussin sous elle et je m’agenouillai derrière elle, à ses pieds, ce qui me donnait une vue parfaite sur sa fente et son cul. Elle commença alors de petits mouvements circulaires avec son bassin, écrasant son clito déjà mûr sur l’oreiller. Je la voyais contracter ses muscles, ses fessiers se serraient et se desserraient, contribuant à expulser ma semence de son antre.



Je m’exécutai avec plaisir. Ma queue en main reprit peu à peu une bonne taille, et alors qu’elle se masturbait seule et sous mes yeux, je vis mon sperme dilué de sa cyprine qui bavait de sa chatte et qui venait engluer le coussin sur lequel elle se frottait. C’était la première fois que je voyais, autrement que sur un écran, une femme se masturber. J’avais bien eu une ex, Cécile, qui aimait se caresser les nichons quand je la bourrais, mais ce n’est pas pareil…


Je n’ai jamais rebandé aussi vite au point d’avoir déjà envie de jouir, et Mélissa de son côté aussi semblait arriver proche de la jouissance. Je ne sais pas si elle est si rapide d’ordinaire dans ses plaisirs solitaires, mais il est clair quelle sait prendre son pied toute seule. Je vis son corps parcouru de spasmes tandis qu’elle laissait échapper toute tremblotante un petit « Ouuiiii… » de contentement jouissif. Elle s’affala ensuite sur le lit et me tendit son cul en l’air, sa chatte à demi collée au coussin par deux filets de sperme récalcitrants.


N’y tenant plus, le gland en feu, je m’approchai de la chatte lisse mais poisseuse de Mélissa et la constellai de quelques faibles giclées de foutre puis m’étalai de tout mon long, repu, aux côtés de ma belle, l’esprit embrumé de sensations, dans ce lit témoin de notre plaisir, dans notre chambre embaumée d’odeurs de sexe…


Je la regardai, les yeux brillants ; elle me sourit.