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n° 18238Fiche technique31883 caractères31883
Temps de lecture estimé : 19 mn
27/01/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Le jour du mariage est arrivé, la Mustang et son pilote aussi : c'est une caricature vivante ! La nuit s'avère surprenante, inattendue.
Critères:  fh fhh extracon inconnu alliance amour voir miroir odeurs ffontaine fellation cunnilingu anulingus fist double sandwich fsodo jouet
Auteur : Broutchoux      Envoi mini-message

Série : Mustang Sally marie sa fille

Chapitre 02 / 02
Ride Sally Ride

Résumé de l’épisode précédent : Une soirée surprenante


« All you want to do is ride around Sally, ride Sally ride. » Je ne pensais pas que je fredonnerais un jour cette chanson à double sens de Wilson Pickett en ressentant à la fois du plaisir et de l’inquiétude. « Ride Sally ride »…

Une soirée chez les parents du marié ou exhibition et provocation rivalisent avec caresses discrètes et qui se termine en extase profonde à la maison pour Sally ; seulement pour Sally…



________________________




Quelle belle journée pour un mariage ! Il fait beau, la chaleur réchauffe les corps et les découvre. Ma belle Sally est vêtue pour l’occasion d’une robe caftan rouge qui n’est maintenue fermée que par une ceinture de soie noire. Elle s’est habillée discrètement dans la salle de bain ; j’aimerais bien savoir ce qu’elle porte, dessous. Pour ma part, je porte un costume léger bleu nuit d’un célèbre couturier italien, et pour l’occasion chemise blanche et cravate rouge, assortie à la robe de mon aimée.

Nous attendons chez nous l’arrivée du cortège de voitures, et notamment l’arrivée des mariés dans la fameuse Mustang.


Un klaxon des années 50 nous annonce leur arrivée ; nous sortons. La voiture est magnifique, gris métallisé, intérieur cuir, jantes larges, sans excès de tuning : la classe et la puissance. Je trouve juste d’un goût douteux le drapeau sudiste sur la plage arrière. La portière du chauffeur s’ouvre et je vois d’abord une santiag style croco, puis un jean noir à franges ; enfin le personnage sort complètement, chemise texane noire brodée en blanc sur les épaules et la petite cravate en cuir assortie. Le tableau est complet quand il revêt le célèbre chapeau Valley blanc d’une grande marque américaine. Le cow-boy s’approche de nous sous le regard étonné des voisins ; il me prend dans ses bras et m’étreint comme si nous nous connaissions depuis toujours.



Et il éclate de rire, un rire un chevalin qui complète le tableau. Une caricature vivante, ce type ! Il se donne en spectacle, parle fort pour que tout le monde le regarde, lui et sa bagnole. Il m’agace déjà lorsqu’il se tourne vers Sally.



Il la serre dans ses bras, tout contre lui, l’embrasse sur les joues puis se recule, s’incline, lui prend la main et l’embrasse doucement.



Les voisins se foutent visiblement de ma gueule tout en admirant la bagnole et le guignol qui s’en approche. Il repart vers son bolide, s’adresse aux mariés assis à l’arrière du coupé Mustang et reprend le volant pour faire rugir son moteur.


Je suis sidéré. Quel culot, ce frimeur ridicule tout droit sorti d’un western ou de la série Dallas qui se permet d’étreindre ma femme et de la draguer ouvertement devant la famille et les voisins ! Je le hais ! Sally, quant à elle, est rayonnante. Elle arbore un sourire béat ; son regard est fixé sur la Mustang qui rugit.



San détourner son regard, parlant dans le vide :



Elle me fait une bise sur les lèvres et se dirige vers notre petite voiture fabriquée en Roumanie.

Le cortège s’élance vers la mairie. Arrivé à l’hôtel de ville, tout le monde se gare sur le parking attenant. Par hasard, nous sommes à côté de la berline allemande de Vladis et Guenièvre.


C’est mon fantasme qui descend de la voiture.

D’abord un escarpin blanc surmonté d’un bas à couture gris fumée, dont je vois, une fraction de seconde, l’attache de la jarretelle sous la courte jupe droite blanche. Guenièvre sort sa tête par la portière, son maquillage est splendide, discret, tout en finesse, avec un rouge à lèvres flamboyant hyper sexy mais pas vulgaire, plutôt glamour. Elle porte un tailleur tout aussi blanc, fermé, serré, qui met en valeur sa taille fine, sa chute de reins vertigineuse et laisse apparaître discrètement le liseré couleur chair de la dentelle du soutien-gorge.



C’est Sally qui me sort de mes rêves, très agacée.



Vladis nous rejoint, dans un costume crème discrètement rayé. Il porte des chaussures blanches pointues, à l’italienne, classe mais un peu proxénète à mon goût. Il prend le bras de ma Guenièvre, et d’autorité l’emmène avec lui.



C’est au tour de Guenièvre de me tendre son bras avec un sourire radieux et un clin d’œil pétillant.



Ce couple me surprend une fois de plus par son naturel, séducteur et ambigu, même aujourd’hui.


Tout le mariage se déroule à l’avenant ; certains invités des jeunes mariés me félicitent pour la beauté de ma femme, en parlant de Guenièvre. Quant à Sally, elle s’éclate toute la soirée, passant de mes bras – rarement – à ceux de Vladis ou encore de Bob qui lui apprend les finesses de la danse country et… du zouk.


Qu’elle est belle, Sally en fin de soirée, les cheveux légèrement décoiffés, quelques mèches collées par la sueur sur son front. Cette même sueur qui colle délicieusement la robe caftan contre son corps et met en valeur ses formes généreuses. Elle est habillée, mais plus que déshabillée : impudique involontaire.


En fin de soirée, lorsque la pièce montée arrive, elle se colle à moi. Son odeur, mélange de Numéro 5 et de sueur m’envoûte. Elle plonge son regard dans le mien et me susurre doucement « Je t’aime… » Elle me tend une coupe de champagne et, pour la première fois, elle en prend une. Elle ne boit jamais une goutte d’alcool, ni champagne ni quoi que soit d’autre, même à notre mariage. Sally me regarde dans les yeux, un sourire sensuel. Un petit coup de langue sur le bord de la coupe pour lécher sensuellement une goutte du breuvage, puis elle boit le breuvage doucement, déglutissant gorgée par gorgée. Quand elle repose la coupe, elle est vide. Aussitôt elle en prend une deuxième, me regarde toujours dans les yeux.



Elle boit, tout aussi sensuellement que la première fois. Elle s’approche alors et m’embrasse langoureusement, passionnément, comme à notre premier jour. Le monde n’existe plus. Je la serre contre moi, mes mains glissent sur ses hanches. Le goût de sa bouche est différent : le champagne sur sa langue est divin, pétillant, étrangement excitant, dans tous les cas nouveau. Je sens une main sur ma fesse, et les mains de Sally qui me caressent la nuque.

C’est bon, c’est sensuel… Sally n’a pas trois mains !



C’est Guenièvre qui intervient et nous fait la morale sur un ton de reproche sec mais avec un regard brillant après avoir retiré sa main de ma fesse, la troisième sur mon corps.


La soirée continue ; Sally découvre à présent la vodka, plus que de raison.



Puis, plus bas :



Elle m’embrasse rapidement et s’éloigne en titubant.


La soirée se termine ; Vladis est parti avec Bob pour déposer du matériel, je finalise le rangement avec la belle Guenièvre. Elle ne rate pas une occasion de se pencher en avant pour ramasser une bricole au sol, me laissant une vue splendide sur ses fesses, le haut de ses bas, et parfois sa fine culotte en dentelle assortie à son soutien-gorge.



J’accepte.

Quelques minutes plus tard elle monte sensuellement dans la voiture, s’assied à côté de moi et remonte sa jupe plus que de raison « pour être plus à l’aise ». J’ai à nouveau une vue splendide sur ses bas, les jarretelles qui les retiennent et sa charmante culotte de dentelle chair, légèrement humide.



La route, bien que courte, est un supplice. Cette femme splendide assise à mes côtés, fatiguée mais diablement sexy, la jupe impudiquement remontée qui dévoile un spectacle hyper bandant. Et d’ailleurs je bande.

Nous arrivons chez Guenièvre ; je gare ma voiture derrière la berline allemande.



J’ouvre le coffre et remets un carton à Guenièvre en le portant devant mon bas-ventre.



Elle se penche, me fait un rapide smack sur la bouche et se dirige vers le garage en dandinant des fesses. Je suis scotché ! Cette femme est une tigresse ; elle me rend fou avec son naturel sensuel et provoquant à la fois.

Le déchargement se termine ; par maladresse elle renverse sur moi un carton qui contient des confettis, des paillettes et des bouteilles de sirop. C’est la catastrophe, j’en ai plein mon costume tout neuf.



Elle me dit cela en prenant un vieux chiffon pas très net et commence à frotter mon pantalon, juste au point sensible. Non seulement elle se fout de ma gueule, mais en plus elle m’excite terriblement : elle frotte mon sexe à travers le pantalon tout en m’offrant une vue plongeante sur son décolleté.



Pour arriver à la salle de bain, nous passons devant la chambre du couple ; la porte est fermée, une petite lueur passe dessous.



Je la suis dans la salle de bain. Elle verrouille la porte immédiatement, m’enlève ma veste et mon pantalon avec une dextérité impressionnante.



Elle glisse le miroir sur un rail prévu à cet effet et laisse apparaître une pièce à peine éclairée. Elle éteint la lumière de la salle de bain, et c’est une partie de la chambre qui apparaît.

Là, j’ai un choc ! Le spectacle est irréel.


Je vois le cow-boy à la Mustang, son fameux chapeau sur la tête, des tatouages indiens sur les bras, à genoux sur le lit. D’une main il tient la nuque d’une femme à quatre pattes qui lui fait une fellation ; elle a un bandeau noir sur les yeux. Je ne vois que son dos et le haut de ses fesses, l’angle de vue m’empêche de voir plus bas sur le lit ; pourtant je suis certain qu’elle s’empale sur une queue : son corps monte et descend régulièrement. Par moments, la femme ne bouge plus ; elle écarte sa tête du ventre du cow-boy et prend visiblement une grande respiration avant de replonger sur le sexe, et certainement l’engloutir au fond de sa gorge. Dans ces moments-là, le bas de son corps est secoué fortement. Le mec qui la baise, qui doit être allongé sous elle, en profite pour la prendre encore plus vigoureusement.


Je devine ce qu’ils font plus que je ne vois en détail ; ils ne sont pas dans une exhibition : ils baisent pour eux, pour leur plaisir. Ils se foutent complètement de positions acrobatiques pour satisfaire le voyeur que je suis à cet instant.



Elle se glisse derrière moi. Je sens ses seins qui s’écrasent contre mon dos ; je sens aussi ses mains qui déboutonnent ma chemise, m’enlèvent ma cravate et commencent à me caresser le torse. Je ferme les yeux et profite des sensations. Ses mains descendent jusqu’à mon sexe qu’elles caressent délicatement, puis elles l’entourent de leurs doigts et commencent un lent va-et-vient sensuel.

Elle me susurre à l’oreille « Ouvre les yeux. Regarde, ils vont jouir. »


La femme à glissé sa tête sous les couilles du cow-boy qui a ses mains sur la tête et le visage de sa suceuse ; on ne voit d’elle que son dos très secoué, le bandeau noir, et une main qui branle énergiquement la matraque du cow-boy. Il est sacrément monté : pas une bite cheval, mais elle fait bien 20 à 25 cm, et plutôt de gros calibre. Le visage de John Wayne se crispe ; il a des gestes plus brutaux, il tire les cheveux de la brune et lui enfourne la queue au fond de la gorge en lui bloquant la tête.

J’entends ses gémissements et ses mots ; sa voix est déformée :



Vladis n’est pas moins élogieux :



Ah, les hommes… Pas très originaux ! Toujours les mêmes questions à la con ; le complexe de celui qui pisse le plus loin ou de celui qui a la plus grosse. Et comme en plus à les entendre ils baisent une femme mariée, leur ego de mâle les rend encore plus cons.

J’entends à peine la réponse de la truie qui tousse fort après avoir visiblement englouti une bonne rasade de sperme :



J’ai joui moi aussi : Guenièvre m’a branlé tous ce temps. Obnubilé par ce que voyais, je l’ai à nouveau oubliée. Je me retourne et la vois qui se pourlèche les doigts, gluants de mon sperme.



Pour toute réponse, je me lève, me retourne, l’enlace et lui roule une pelle passionnée. Elle a un goût et une consistance bizarre dans la bouche, mais à cet instant je l’aime passionnément. Je veux la rendre heureuse, la remercier du plaisir qu’elle me donne. Je lui caresse le dos, descends vers ses fesses que je prends à pleines mains pour mieux plaquer son corps contre le mien. Elle me rend le baiser avec fougue. Nos langues s’emmêlent dans un ballet furieux ; elle me suce la langue, me lèche le visage. Je lui lèche le cou, lui mordille le lobe de l’oreille. Elle reprend mon sexe dans sa main, me malaxe les couilles.

Je la repousse doucement.



Je déboutonne lentement son chemisier, le lui enlève et contemple ses petits seins que je libère en lui ôtant son soutien-gorge sexy et transparent. Je les caresse l’un après l’autre, effleure légèrement les tétons déjà tendus. Un coup de langue sur l’un pendant que je pince légèrement l’autre. Puis l’inverse.

Elle me caresse les cheveux, du moins ceux qui me sont resté fidèles…


Je la sens fondre, alors je me rassieds sur le tabouret, toujours face à elle, glisse mes mains derrière sa jupe, descends lentement le zip puis laisse tomber le vêtement au sol. Je fais de même avec sa magnifique culotte de soie et dentelle.

Je suis face à sa toison finement entretenue ; c’est une vraie blonde. Son parfum intime envahit mes narines. Je repose mes mains sur ses fesses, nues cette fois, et je l’attire vers moi. Je me régale de ses effluves. Tout d’abord des petits bisous sur son bas-ventre, le haut de ses cuisses. J’encadre ma cible sans y toucher tout en lui malaxant les fesses de plus en plus franchement.



Effectivement, j’entends distinctement la voix de Vladis :



Pas de réponse, juste des borborygmes étouffé : « Onmf, humm, salaud, humf… »

Cette femme était à la fête ; certainement cette brune hyper sexy, en bas résilles et toute habillée de cuir qui a passé son temps à suivre son homme comme son ombre.



Pour faire taire Guenièvre, je me jette littéralement sur sa belle chatte qui dégouline depuis longtemps. Ma langue descend, remonte, agace son bouton d’amour, redescend boire à la source. Je fais durer la dégustation tout en lui caressant les fesses en alternant douceur et vigueur ; de temps en temps, un doigt se glisse vers son entrée des artistes.



Elle vibre ; son corps est tendu comme un arc mais sa musique est belle, et mon visage est recouvert d’un masque de plaisir qui m’inonde complètement.


Elle se calme doucement, se détend ; ses jambes flageolent. Je lui laisse le tabouret pour qu’elle puisse s’asseoir face au spectacle de son mari et de Bob. Je m’installe debout derrière elle, lui caresse les épaules, les seins. Ma queue se raidit à nouveau contre son dos. Je la laisse récupérer un peu.


Le spectacle que nous voyons est cru. La femme est couchée sur le dos, sa tête vers nous, mais nous ne voyons que sa chevelure brune tenue par le bandeau noir sur ses yeux. Il brille comme de la soie. Elle fait une fellation à Vladis, mais sa fellation est très irrégulière : elle s’arrête souvent, tellement elle est secouée. En effet, le cow-boy qui a gardé ses santiags aux pieds lui a glissé trois doigts dans la chatte et s’en sert comme d’un sexe ou un gode ; il la baise très rapidement. De l’autre main il appuie sur le bas-ventre de la femme. Il va de plus en plus vite, puis il ajoute un quatrième doigt, le pouce percutant le clitoris à chaque passage. Cet acte ressemble plus à de la sauvagerie qu’à un homme qui fait l’amour à une femme. La femme ne s’occupe plus du tout de la pine de Vladis ; nous ne voyons plus du tout sa tête qui doit être sous les oreillers. On entend ses cris étouffés, de plus en plus forts. C’est bestial, sauvage. Je ne saurais dire si ce sont des cris de douleur, d’appels au secours ou de plaisir.


Brusquement, c’est presque le silence : plus de cris, juste un souffle qui cherche désespérément de l’air. Un corps pris de convulsions qui tremble, hors de contrôle. Le cow-boy ridicule retire sa main et un flot inonde le lit : elle se vide. Je n’ai jamais vu ça, une femme fontaine ; je pensais que ça n’existait pas, que c’était de la mise en scène porno, pour faire du fric. Je suis abasourdi par ce que je vois.



Ce prétentieux parle de lui à la troisième personne : J.R. devient César maintenant.



C’est Guenièvre qui m’adresse ces mots d’une voix suave, délicate. Elle se lève, avance d’un pas vers la glace, pose ses mains en appui sur le rebord de la vitre, recule et écarte une jambe, puis l’autre. Qu’elle est belle, la diablesse, offerte tout en sensualité, les fesses et le sexe offerts… Comment résister à cet appel ?

Elle tourne la tête vers moi, plonge ses yeux dans les miens, bouge lentement ses fesses dans une ondulation lascive.



Alors je viens ! Je m’approche d’elle, couvre son dos de baisers, remonte vers son cou. J’en profite pour regarder dans la chambre : ils sont affalés, inertes sur lit. La femme liquéfiée a toujours sa tête enfouie sous les oreillers. Les deux mâles parlent doucement et ricanent ; je ne comprends pas ce qu’ils disent.



Une fois de plus Guenièvre me rappelle à l’ordre. Alors je reprends mes baisers, descends le long de son dos. Je descends par petits baisers le long de sa jambe gauche jusqu’à baiser son pied. Je repars sur le chemin inverse, toujours lentement. Je passe sur ses fesses sans m’y attarder et je descends sur l’autre jambe. La peau de la belle se hérisse ; elle prend vie, vibre. Son goût est sublime, mélange de doux parfum et de sécrétions corporelles ; c’est enivrant !



Alors je rapproche le tabouret, m’assieds dessus, le visage légèrement au-dessus de son joli cul. Je lui prends fermement les fesses et les écarte. Je plonge mon visage dans sa vallée sacrée et je déguste à nouveau son fruit juteux. Placé comme je suis, positionnée comme elle est, je passe aisément de son con à son cul. Je lui lèche l’un et l’autre, sans oublier son bouton sensible que je titille de ma langue ou du bout des doigts, suivant l’inspiration du moment.



Cette fois-ci c’est moi qui le lui demande en l’attirant vers moi, toujours assis sur le tabouret. Elle descend sur moi et s’empale sur mon pieu. Que c’est bon ! Elle est trempée. Je suis au fond de son corps, elle coule sur moi, ondule des fesses qui frottent contre le bas de mon ventre. Mes bras font le tour de son corps ; une main caresse son sein droit, l’autre descend taquiner son point sensible dressé tel un petit sexe mâle.



Alors elle se cale contre moi et n’exerce plus que des petits mouvements de son bassin accompagnés de contractions internes ; c’est divin.



Comme je suis placé, je ne vois rien que le dos de cette maîtresse en amour physique ; je veux entendre sa voix quand elle prend du plaisir, l’obliger à se concentrer à la fois sur son plaisir et sur le récit qu’elle me fait. J’ai bien l’intention de la perturber de quelques coups de queue au moment où elle ne s’y attendra pas.



Cette fois c’est elle qui accélère le mouvement, frénétiquement. Ma tension monte. Je lui attrape les hanches et je la bloque.



C’est la brune sexy, j’en étais sûr. J’aurais peut-être dû en profiter ce soir quand elle me collait comme une sangsue ; sur le coup, elle m’avait choqué.



Guenièvre tourne la tête, tend une main vers un tiroir à côté de nous ; elle en extrait un œuf vibrant et une huile de massage. Pendant qu’elle continue ses ondulations du bassin, elle fait couler un peu d’huile sur l’œuf puis me tend le flacon.



En disant cela elle se relève, se penche en avant comme tout à l’heure, écarte bien ses jambes, et je la vois introduire l’œuf dans son sexe baveux.



Je me place derrière elle, enduis sa fleur plissée d’huile de massage ; j’en couvre également abondamment mon sexe et je me glisse en elle. Pas à la sauvage : délicatement, pour qu’elle s’habitue progressivement. Une fois mes fesses collées sur les siennes, c’est divin. Non seulement je n’ai pratiquement jamais sodomisé Sally, mais en plus, là, je ressens les vibrations de l’œuf dans le vagin de Guenièvre. Je me penche sur elle, lui mordille l’oreille.



Je lui attrape les hanches, et comme elle le demande, je l’encule vigoureusement et je regarde.

C’est le choc, émotionnel autant que physique.


Je vois le visage de cette salope dans la chambre déformé par le plaisir, bouche ouverte, du sperme dans les cheveux, le maquillage qui coule de ses yeux. Je les vois tous les trois très nettement à présent. Ils jouissent ensemble. La femme a la bouche grande ouverte, les yeux fermés.


Cette femme, cette chienne, c’est Sally !


Le choc, la vibration de l’œuf, Guenièvre qui jouit en tremblant de tout son corps, son cul qui se resserre sur ma queue… Je fonds, j’explose, je me vide, j’expulse, je tonne mon plaisir dans un « Oui ! » hurlé à tous les saints. Je m’effondre sur le tabouret, Guenièvre s’effondre sur moi, et le tabouret s’effondre à son tour. Nous sommes deux, collés l’un à l’autre, le souffle court, couchés sur le carrelage froid de la salle de bain.


Ce n’est qu’après quelques secondes que je perçois cette musique provocatrice dans la chambre d’à côté : « All you want to do is ride around Sally, ride Sally, ride. » Je ne sais plus où j’en suis. J’ai pris un pied phénoménal avec cette diablesse. Ma femme s’est fait baiser comme la pire des salopes. Première fois, ou cocu depuis des années ? Mes larmes montent.