n° 18252 | Fiche technique | 13627 caractères | 13627Temps de lecture estimé : 8 mn | 07/02/18 |
Résumé: Après avoir partagé des moments riches en émotion la veille avec Johan, Sandy se réveille pleine de désir. Elle va définitivement faire taire ses peurs et faire preuve d'une audace inattendue... | ||||
Critères: fh jeunes amour fellation préservati init -prememois | ||||
Auteur : Mikado |
Épisode précédent | Série : Premiers émois Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Refroidie par des expériences passées désastreuses, Sandy avait mis sa relation en péril en refusant de se laisser aller dans les bras de Johan. Mais consciente d’être enfin tombée sur un « mec bien », elle avait su faire taire son stress et avait su savourer ses premiers plaisirs charnels. Après cette première nuit ensemble, Sandy se réveille aux côtés de son homme, le corps frémissant de désir…
Les souvenirs des sensations que Sandy avait ressenties la veille lui revinrent brusquement en mémoire. La douceur des mains de Johan qui parcouraient son corps, la délicate pression qu’il exerçait sur ses seins, l’odeur de sa peau, la chaleur de sa langue sur son bouton, et cette sensation indescriptible du membre dur pénétrant son intimité… Elle était tellement heureuse de s’être laissé aller dans ses bras ! Elle regrettait cependant d’avoir gardé les yeux fermés la majeure partie du temps, la privant du spectacle de leurs corps exaltés dans leur union charnelle.
Elle reprit alors la contemplation de l’anatomie de son homme, dont les mouvements réguliers du ventre démontraient qu’il était encore profondément endormi. C’était la première fois qu’elle se réveillait nue dans un lit à côté d’un homme nu lui aussi, et cette simple pensée parvint à raviver son excitation. La barbe de son amant avait poussé pendant la nuit, cela lui donnait un petit côté viril supplémentaire qui n’était pas pour lui déplaire. À la vision du torse et des biceps, elle ressentit une irrépressible d’y poser ses mains pour sentir la force des muscles, la douceur des poils… mais elle résista, elle ne voulait pas le réveiller, du moins pas tout de suite ! Son regard glissa ensuite sur ce sexe masculin que son intimité avait accueilli pour la première fois la veille. Même au repos, il lui donnait une impression de puissance, un côté « sûr de lui ». Un sourire se dessina sur son visage tandis que les souvenirs de la force de sa jouissance d’il y a quelques heures firent monter en elle un désir brûlant. Elle avait envie de son homme.
Elle se releva alors et, assise les jambes repliées sous elle, elle commença à faire courir ses doigts sur le torse de Johan. Elle appliqua d’abord de larges caresses, puis, effleurant la peau, elle décrivit de petits cercles sur les pectoraux, descendit vers le ventre. Sous la paume de ses mains, ce corps masculin livrait ses secrets de douceur. Pour le moment, Johan n’avait pas ouvert les yeux, mais Sandy avait cru entendre sa respiration s’accélérer, signe encourageant pour la suite de son projet…
En effet, son jeune amant avait été sorti du sommeil par cette exquise sensation d’une main féminine parcourant son corps. Sandy jouait maintenant à faire glisser l’ongle de son index le long de ses bras, remontant doucement vers l’épaule, alternant les pressions fortes avec des appuis un peu plus légers. Johan sentit alors la main s’enhardir vers son téton droit… De la pulpe des doigts, Sandy s’appliqua à titiller cette partie de son corps qu’aucune autre de ses amantes n’avait ainsi excitée. Il en avait la chair de poule. Elle l’avait mis en émoi, et cela produisit son petit effet sur sa queue.
Naturellement, les mains de Sandy se dirigèrent vers le bas-ventre de son homme. Elle se saisit alors de la verge qui prenait déjà un beau volume, l’enveloppant dans le creux de sa paume, puis referma les doigts et commença de lents mouvements de va-et-vient. Après quelques instants, elle s’enhardit vers les bourses, les enveloppant de la même façon. De la pointe de ses ongles, elle remonta ensuite vers le gland, appuyant légèrement par endroits. Le changement dans le rythme de la respiration de Johan prouvait qu’il n’était pas insensible au traitement qui lui était prodigué, et la belle érection qui prenait vie entre les mains de sa belle brune en était une preuve encore plus flagrante ! La vision de ce sexe, qui, grâce à ses caresses, durcissait et augmentait de volume de façon incroyablement rapide procura à Sandy une poussée supplémentaire d’excitation.
Animale, elle avait envie de sexe.
D’un geste souple, elle se plaça à califourchon au-dessus de son amant, et se pencha en avant.
Oui, réveillé il l’était bel et bien ! Les caresses de Sandy lui avaient fait un effet fou, et sentir ses seins effleurer son torse n’allait pas faire redescendre la pression ! Il était surpris de l’audace de cette fille qui, hier encore, n’osait pas ouvrir les yeux pendant leur première étreinte. La jeune femme venait maintenant de poser ses lèvres sur les siennes. Leurs langues s’enroulèrent, leurs lèvres s’aspirèrent, leurs souffles se mélangèrent. Le baiser se poursuivit pendant de longues secondes, avant que Sandy commence à apposer des bisous pleins de tendresse sur son menton, son cou, le haut de son torse… « Elle n’allait quand même pas… » Il interrompit ses pensées lorsqu’il constata que sa belle continuait sa course plus bas, toujours plus bas…
Sandy avait une irrépressible de faire plaisir à son homme, même si, à l’instant, ce sexe à quelques centimètres de son visage, elle ne savait pas trop comment l’apprivoiser ! Suivant son instinct, elle saisit la queue gonflée, fit quelques rapides mouvements de va-et-vient, accélérant le rythme.
La surprise de Johan avait laissé la place à une véritable stupéfaction ! Jamais il n’aurait imaginé que la jeune fille qu’il avait mis des jours à séduire, puis des semaines à étreindre, pouvait se montrer si audacieuse ! Elle était en train de le branler avec douceur et… Oh !… cette sensation si particulière de lèvres qui se referment sur son gland !…
Sandy s’était décidée à prendre en bouche cette verge, le gland d’abord… doucement, la langue qui fait le tour, un peu de salive… Un peu plus profondément maintenant, quelques mouvements de haut en bas… les lèvres, qui serrent, qui desserrent… la langue, à nouveau, un tour encore dans un sens, dans l’autre… la respiration de son homme qui s’accélère… une main qui s’aventure vers les bourses, un doigt qui s’égare vers le périnée… la langue encore, qui titille…
Elle arrêta sa caresse, elle ne voulait pas aller trop loin, et à en juger par la respiration saccadée de Johan, elle avait cessé à temps ! Ce dernier venait de vivre un moment inoubliable, c’était la première fois qu’une fille lui administrait un tel traitement, en faisant preuve d’autant de délicatesse et de douceur… Il avait l’impression qu’il faisait 50° dans cette chambre, il était… scotché !
D’autant que Sandy était remontée à son niveau et s’attachait maintenant à frotter doucement sa chatte contre sa queue, faisant des petits mouvements rapides de haut en bas. Son amante l’effleurait à peine, veillant à s’écarter légèrement lorsque le gland s’approchait de son intimité. Ce contact brûlant, l’humidité qu’il devinait, le souffle chaud de son amante dans son cou, les légers soupirs qu’il entendait… Johan avait le cœur qui cognait dans la poitrine et il savait qu’il aurait du mal à tenir à ce rythme.
Sandy se releva alors légèrement, se pencha et ouvrit le tiroir de la table de nuit pour saisir un préservatif.
Pour toute réponse, Sandy lui tendit la capote avec un sourire enjôleur. Une flamme brûlait dans ses yeux, elle semblait être véritablement animée par le désir, débarrassée de toute pensée négative, prête à goûter à nouveau au plaisir charnel. La suite lui confirma son impression : à peine eut-il fini de d’enfiler la capote, qu’elle se saisit de son membre, le plaça à l’entrée de sa fente. Elle fit d’abord entrer le gland, puis, millimètre par millimètre, fit glisser la queue jusqu’au plus profond de sa chatte. Un petit cri aigu avait accompagné cette pénétration, tandis que Johan, surpris par la chaleur intense qui accueillait son sexe, avait émis un profond gémissement.
Les deux mains posées sur le torse de son homme, Sandy ondulait lentement. Cette position lui faisait découvrir des sensations inédites et, lorsqu’elle sentit un doigt titiller son clitoris, elle accéléra instinctivement ses mouvements. Libre de bouger, guidée par un instinct primaire, elle faisait osciller ses hanches de haut en bas et de gauche à droite, et elle sentait une chaleur douce dans son ventre en train de se répandre dans tout son corps.
Johan vivait des moments magiques, jouissant de la vue de sa bite coulissant lentement dans l’antre humide de sa chérie. Il s’amusait à agacer le clitoris tandis que son autre main s’était emparée du sein droit. La peau d’une douceur incroyable, les tétons qui pointent à mesure que l’excitation monte… Le jeune homme vouait un culte aux poitrines des femmes et pouvait passer des heures à les caresser… Mais il décida brusquement de prendre le contrôle du rythme et donna des petits coups de reins rapides. Surprise par ces nouvelles sensations, Sandy planta ses ongles dans la peau de son amant. Étonné plus que gêné par la douleur, Johan pensa furtivement qu’il allait se faire chambrer par ses potes avec qui il jouait du hand, lorsqu’ils verraient le lendemain dans les vestiaires, les traces rouges que le plaisir de Sandy aura immanquablement laissé sur son torse !
Mais il se reconcentra rapidement. Voulant profiter autrement du désir et des intentions coquines qui animaient de façon surprenante Sandy depuis son réveil, il la saisit sous les aisselles et, d’un geste délicat, l’incita à se libérer de leur étreinte. Alors que la jeune femme, le rose aux joues, le regardait avec un air interrogateur, il releva le buste. Mais alors que la belle brune allait s’allonger sur le dos, il la rattrapa et l’incita doucement à se mettre à quatre pattes. La jeune femme eut une petite hésitation mais, portée par le désir, elle ferma les yeux et attendit en agrippant les draps.
Johan se positionna derrière elle et se ravit de la vue qui lui était offerte. L’excitation fit tressauter sa verge, et sachant que sa partenaire était bouillante aussi, il la pénétra sans plus attendre. Sandy hoqueta sous l’assaut. Elle ne s’attendait pas au rythme nouveau que son homme était en train de donner à leur étreinte. Les mains sur les hanches de son amante, il faisait coulisser son membre en donnant des petits coups rapides. Découvrant une nouvelle fois des sensations inconnues, Sandy ressentit un plaisir intense, la faisant gémir à chaque fois que le bas-ventre de son amant cognait contre ses fesses. Mais alors qu’une douce chaleur commençait à se répandre dans son ventre, Johan se retira, laissant sa chatte frustrée par le vide ressenti subitement.
Elle ne voulait pas que ça s’arrête, elle voulait une queue en elle, elle la voulait dure, elle la voulait chaude et elle la voulait maintenant !
Elle tourna la tête et son regard fut immédiatement attiré par ce sexe fièrement dressé derrière elle, ce qui décupla encore son désir. Elle constata que Johan prenait des grandes inspirations, et comprit que, lui, avait besoin de ralentir le rythme. Elle se laissa alors tomber lentement, saisit l’oreiller qu’elle plaça sous son ventre, glissa sa main contra sa chatte et commença à caresser doucement son clitoris.
Johan ne put résister à l’invitation de cette croupe tendue vers lui. Tant pis s’il ne tenait que quelques minutes, ses plus bas instincts lui intimèrent de pénétrer ce sexe de femme et ne plus lui laisser de répit jusqu’à l’ultime libération. La chatte était encore plus brûlante et plus humide, il avait rarement connu de telles sensations.
Sandy accueillit cette nouvelle pénétration avec un petit cri aigu qu’elle ne put contrôler. Solidement appuyés sur ses bras, Johan effectuait de longs mouvements. Il prenait soin de ne laisser que son gland à l’intérieur pour mieux faire ensuite glisser son sexe jusqu’à la garde. Après quelques minutes à ce rythme, ses doigts titillant toujours son bouton, l’orgasme saisit Sandy sans prévenir. Au moment où tout bascula, Johan vit le corps en-dessous de lui pris de mouvements incontrôlés. Sa queue enserrée dans ce fourreau qui se contractait sous l’effet de la jouissance, il atteint lui aussi le point de non-retour et savoura cet instant indescriptible où la tension cumulée se libéra en jets puissants.
À bout de souffle, les jambes coupées et le cerveau anesthésié par le plaisir, les deux amants s’embrassèrent longuement avant de sombrer à nouveau dans un sommeil rempli de bien-être.