n° 18261 | Fiche technique | 32617 caractères | 32617Temps de lecture estimé : 19 mn | 12/02/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Autant mes deux premières grossesses se sont bien déroulées, sans accroc, comme du papier à musique, autant pour ma petite dernière, c'est la cata la plus totale ! | ||||
Critères: fh couple grosseins fellation pénétratio confession | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Lactose Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
J’ai déniché le thème initial de cette histoire sur le web.
Puis, par amusement, j’ai placé cette histoire dans les années 50.
Bonne lecture vintage :)
Autant mes deux premières grossesses se sont bien déroulées, sans accroc, comme du papier à musique, autant pour ma petite dernière, c’est la cata la plus totale !
En effet, je me retrouve avec un sacré problème au niveau de mes seins qui sont gonflés, énormes, carrément des baudruches ! Des gros nichons sont peut-être le fantasme de bien des hommes et de certaines femmes, mais là, trop, c’est trop ! Et en plus, mes lolos me font terriblement souffrir, c’est infernal, je suis souvent obligée de les soutenir à pleine main, c’est dire ! Avec ça, plus moyen de sortir, d’aller faire des courses, du shopping qui dure un peu. Quand j’ai une heure de répit, c’est beau ! Et mes nénés sont devenus tellement sensibles que j’ai du mal avec les soutifs renforcés !
De plus, mes tétons me font si mal que je ne peux plus donner le sein à ma petite. Un comble d’avoir des mamelles de vache et de ne pas pouvoir en donner à ma petite !
Et vous ne savez pas le pire ! Mon père, qui était féru de mythologie, m’a prénommée Galatée ! Tu parles d’un prénom dans le vent ! Ça vient du grec Galáteia, qui signifie « blanche comme du lait », un comble dans mon cas ! Depuis mon enfance, on me surnomme Galy, c’est plus simple.
Non, mon mari ne s’appelle pas Pygmalion, ni Acis, mais plus classiquement Philippe, ce qui est quand même d’origine grecque. Tiens, parlons-en de mon mari ! Il refuse de comprendre mes problèmes. Résultat : on se dispute tous les jours. Il faut avouer qu’il me reproche cette grossesse que je lui ai imposée. Je sais, ce n’est pas bien. Du coup, je commence sérieusement à culpabiliser, je ne veux pas que ma petite dernière soit moins aimée que mes deux autres enfants. Elle a quand même droit à un père…
Et coupant court à la conversation, il quitte la pièce en coup de vent. Même mes enfants me regardent d’un sale œil !
Avec cette poitrine énorme, je souffre tellement que, malgré mon aversion pour le corps médical, je me décide à consulter une spécialiste, je préfère que ce soit une femme. Celle-ci me donne un traitement censé vider mes seins de cette grosse quantité de lait. Mais voilà, rien de rien, échec sur toute la ligne au bout de presque deux semaines.
De ce fait, dépitée, je consulte une autre spécialiste. Celle-ci m’affirme doctement :
La gynéco réprime difficilement un sourire :
Sitôt sorti, j’achète illico cet extracteur de lait. Au point où j’en suis, je testerai même le vaudou ! On dirait un biberon pour la partie basse, avec deux ventouses en silicone pour épouser la forme des tétons et aspirer le lait. Quand j’ai essayé, j’ai dégusté, mes tétons brûlaient, mais après avoir retiré une grosse quantité de lait, je reconnais que ça allait mieux !
Maintenant, je vide mes réservoirs avec mes mains. Juste une petite pression sur le haut de mes mamelons et hop, c’est Niagara, ça coule tout seul. Le problème est que ça ne s’arrête pas toujours tout de suite, ça peut même durer toute une matinée !
Ma poitrine me fait enfin moins mal, elle dégonfle un peu, mais esthétiquement, ce n’est pas ça ! Elle coule souvent, ça tache mes robes, mes pulls, même si je mets une tonne de coton hydrophile. De plus, j’ai la nette impression que mon homme se détourne, je ne me sens plus désirable, plus femme, alors qu’il n’y a pas si longtemps que ça, j’étais assurément la pin-up de mon mari.
Vous voyez l’aide que j’ai du père de mes enfants ? J’ai la sale impression que je communique mon stress, mon désarroi à mon bébé. Je suis au bord de la dépression. Mon mari se venge, il ne m’aide vraiment pas, je n’arrive pas à voir une issue de secours…
Oui, c’est vrai, je n’aurais pas dû faire ma petite dernière dans son dos et le mettre devant le fait accompli. Le pire dans l’histoire, c’est qu’il n’était pas contre avoir un troisième enfant, mais pas tout de suite. Il évoquait notre appartement assez petit et aussi la voiture pas assez grande. Il m’avait demandé d’attendre une bonne année, voire deux, mais j’avais envie d’avoir d’un nouvel enfant, là, tout de suite.
Résultat, rien ne va plus !
J’espère ardemment que mes seins vont dégonfler d’ici quelques semaines, et ma poitrine reviendra à la normale et qu’elle ne me fera plus souffrir le martyre.
J’espère aussi mon mari pardonnera, qu’il oubliera et que tout redeviendra comme avant. Je n’aurais jamais cru que ça dégénérerait de la sorte ! Et la plupart de mes amis, et même ma famille, donnent raison à mon homme, pas même un soutien :
Et vas-y que tout ce monde m’enfonce ! Comme si j’avais besoin de ça ! Je sais, j’ai fait une connerie, mais j’espérais quand même un peu de réconfort.
Ça va faire un bon bout de temps que mon mari et moi n’avons pas fait l’amour, alors qu’il était très demandeur avant. J’en suis arrivée à prier pour qu’il ne me trompe pas avec une collègue de travail, car ce n’est pas ça qui manque à son boulot, surtout des secrétaires ! Pour l’instant, il ne découche pas, mais il vient se coucher de plus en plus tard, à moins qu’il ne s’endorme sur le canapé ! Quelle vie de couple !
Néanmoins, il s’occupe sans problème de nos deux premiers enfants, c’est toujours ça.
Mon Dieu et tous les seins du monde, aidez-moi !
C’est alors que le coup de tonnerre, que je redoutais, retentit. Les yeux grands ouverts, après avoir entendu l’annonce de mon mari, je bafouille :
Un peu dépassée, je m’exclame :
C’est quelque chose que je n’aurai pas dû mettre sur le tapis, mon mari s’emporte aussitôt :
Je suis choquée :
Et paf, prends ça dans les gencives. J’en ai les larmes aux yeux. Décidément, tout va de mal en pis. J’ai trop peur que cette mission soit le prélude au départ définitif de mon mari. Et puis, il y va seul ou accompagné ? Je reviens à la charge :
Je pique un coup de sang :
Ça, c’est quelque chose que je n’aurais pas dû demander. La réponse me revient comme une gifle :
Je suis anéantie. Que répondre à ça ? Je reste prostrée sur ma chaise. Mon mari continue :
Prostrée, j’ai un petit geste de lassitude :
Non, ça ne peut pas finir comme ça, il faut que je fasse quelque chose, que je réagisse, sinon on va droit dans le mur. Alors je me lève, je m’approche de mon mari. Celui-ci me regarde intrigué. Je suis face à lui :
Il tombe des nues :
Oui, ça, j’avais remarqué. Le manque de place, le fait que je sois débordée, mal dans ma peau, et aussi les problèmes de place lors des balades en voiture. Je réponds faiblement :
Je sais trop bien ce qu’ils risquent de répondre, et un enfant prend rarement des gants ! En parlant de gant, capturant sa main entre les miennes, je décide de me jeter à l’eau :
Je serre sa main plus fortement, je respire un grand coup, et je me lance :
Je dodine de la tête, telle une gamine prise en faute :
Je respire un grand coup :
Mon mari est comme cloué sur place. Il cligne des yeux, il me regarde fixement, puis il finit par dire :
Il est tellement surpris qu’il en oublie de répondre. Je continue :
Il désigne du doigt ma poitrine :
Il devient songeur, et ça dure un certain temps, un peu longuet d’ailleurs. Je vois bien qu’il pèse le pour et le contre, s’il décide ou non d’enterrer la hache de guerre. Bref, de mettre fin ou pas à nos différents depuis que je lui ai annoncé que j’étais enceinte. Un peu crispée par ce silence et cette incertitude, je finis par rompre le silence :
Il me sourit, c’est déjà un bon début. Alors j’enchaîne :
Il reste pensif quelques secondes avant de répondre :
Puis il se penche sur moi pour déposer un baiser sur mes lèvres. Je suis si stupéfaite que je reste figée. Quand il quitte la pièce, je n’ai pas bougé d’un iota, tant ma surprise est grande !
Le soir est tombé, les enfants dorment déjà, y compris la petite. Je reprends espoir, mon homme m’a embrassée tout à l’heure. Par contre, je m’inquiète un peu de ce qui va arriver. Des galipettes, oui, mais lesquelles. Et même si j’ai envie, comment mon corps va réagir, mes seins surtout ?
Toujours est-il que pour marquer le coup, après avoir été dans la salle de bain soutirer un peu de lait, j’ai sorti un peu de lingerie de mon tiroir spécial, celui qui peut se fermer à clé pour éviter les jeunes regards curieux.
Resté dans le salon, mon mari tape trois petits coups sur la paroi qui sépare cette pièce de notre chambre. Notre code à nous, quand tout allait bien… Je réponds moi aussi par trois petits coups. Toujours derrière le mur trop fin, il demande à voix basse :
Aussitôt, j’entends son pas dans le couloir, il entre dans la chambre que j’ai volontairement plongée dans le noir. La porte à peine entrebâillée, je lui lance aussitôt :
Je l’entends qui referme la porte et pousse le verrou ; on ne sait jamais. Nous sommes à présent tous les deux dans une pièce noire comme un four, pas la moindre lumière ne perce des lourdes tentures qui recouvrent la fenêtre. De plus, dehors, par économie, l’éclairage public est éteint. À voix feutrée, je le préviens :
La lampe de chevet illumine notre chambre de façon très tamisée. Surpris par ce qu’il découvre alors, mon homme s’exclame :
Il y a de quoi. Je suis agenouillée dans le lit, vêtue d’un redresse-seins noir. Plus bas, mes jambes sont gainées de bas de la même couleur et accrochés à un porte-jarretelles tout aussi sombre. Je ne sais dire si je suis sexy comme une pin-up américaine, ou si je fais plutôt pute. En tout ça, ça fait son petit effet sur mon homme.
Debout devant le lit, un chapiteau assez marqué dans le pantalon, mon homme se fait un plaisir de me regarder de haut en bas et de droite à gauche. En se raclant la gorge, il finit par dire :
Lentement, tout en enlevant chaussures puis vêtements, il contourne le lit, tandis que je m’allonge confortablement. Juste avant de s’agenouiller nu au bord du lit, il constate :
Quand j’y songe, j’aurais dû me pointer devant lui, habillée comme ça, il y a des semaines, voire des mois, et nous aurions fait la paix sur l’oreiller en toute simplicité. Je suis conne de ne pas y avoir songé plus tôt ! Comme quoi qu’on ne voit pas toujours les solutions les plus évidentes ! Sexe bien dur et pointé vers ma petite personne, mon mari s’allonge à mes côtés, posant sa large main sur un de mes seins :
Alors, il pose une main plus possessive sur mon sein encore bien gonflé. Il constate :
Il commence à me caresser, à me tripoter délicatement. Ce n’est pas désagréable. Je lui réponds :
Tripler de volume, je ne sais pas, mais doubler de volume, c’est certain. Il s’enhardit de plus en plus, puis soudain, il me questionne :
Là, il m’étonne un peu. Il aime les vaches à lait ? Tout en me laissant toujours tripoter, je lui demande d’une petite voix taquine :
Un peu de lait vient de sortir de mon téton. Mon homme lève la tête vers moi :
Il penche sa tête, et lèche voluptueusement la rigole lactée qui ruisselle sur l’arrondi tendu de mon sein. Ça me fait frissonner, et c’est loin d’être désagréable ! Une fois qu’il a fini, je ne peux m’empêcher de lui demander :
Mon mari presse voluptueusement mon sein, avalant tout le lait qui en sort. Et visiblement, il se régale ! Encore un truc auquel j’aurais dû songer plus tôt, mais il fallait que je fasse le premier pas. S’il me vide les lolos de la sorte, ça va être un plaisir, car ça m’émoustille d’avoir un gros bébé suspendu à mes tétons !
Soudain, il abandonne mon sein pour venir m’embrasser, ses lèvres maculées de lait. Je réponds fiévreusement à son baiser. Son torse presse mes seins dont s’échappent toujours quelques fins filets liquides. Quand nos bouches se séparent, puis lorsqu’il s’éloigne de moi, je ne peux m’empêcher de pouffer :
Je m’empare de son sexe bien dur, ce qu’il apprécie grandement. J’énumère :
Et je me pense sur son sexe pour y déposer un petit baiser bien mouillé qui fait frémir d’aise son propriétaire. L’instant d’après, j’avale une bonne partie de sa bite pour commencer une fellation dont il se souviendra longtemps ! Du moins, je l’espère vivement !
Son gland turgescent laisse déjà échapper quelques gouttes que je goûte par petites lapées. J’avais presque oublié que ça pouvait être bon de sucer son mâle ! Mon corps s’embrase, ça fait si longtemps que je n’ai plus fait l’amour, et je constate que ça m’a manqué. Je me sens toute chaude, brûlante, incandescente.
Osera-t-il me dire par la suite des mots plus crus ? Je me le demande. Pour lui indiquer le chemin sans rien lui dire, je délaisse momentanément sa queue, décidant de changer de tactique en venant lui titiller les boules du bout de ma langue. Celles-ci frémissent sous cette caresse audacieuse et visiblement, mon homme aime ça ! Je l’entends soupirer d’aise !
La température commence à monter, j’espérais plus cru, mais c’est un bon début. Excitée, je capture fermement sa verge d’une main, tandis que du bout des doigts de mon autre main, je caresse délicatement son gland devenu luisant de ma salive. Je regarde mon homme droit dans les yeux, son regard est luisant, comme le mien ; je distingue même comme une pointe de surprise, car je ne l’ai pas trop habitué à ce que je prenne ce genre d’initiative. Ce gland luisant, mes doigts qui emprisonnent sa tige palpitante, le regard de mon homme, tout ceci m’excite, me chamboule le ventre et la chatte.
Je me jette à l’eau :
Je fais la moue ; il rétorque alors :
Je lui réponds par un sourire radieux. Puis, doucement, je commence à branle cette bite, glissant mes doigts sur sa peau si fine. Quelques gouttes s’évadent, je les lèche avec application. Oh que j’ai envie qu’il gicle dans ma bouche.
Pour toute réponse, ouvrant largement mes lèvres, j’enfourne sa belle bite. Elle est si bonne à déguster, j’ai plein de temps à rattraper ! ! Je l’avale posément, je me mets à le pomper, j’enfonce cette bonne queue le plus loin, le plus profondément possible. J’en bave et j’en mouille en même temps ! Mes tétons suintent, je me liquéfie de partout !
J’enfonce ce mandrin de chair jusqu’à en suffoquer. Je suce, je lèche, j’aspire, je pompe, il gémit, mais rien ne vient encore ! Je veux qu’il lâche dans ma bouche, je veux qu’il me la remplisse ! Je le veux complètement dans ma bouche, je veux tout prendre de lui, je ne veux rien perdre de son sperme, de tout son foutre !
Soudain, mon homme cède ! Un long râle sonore retentit tandis qu’il se décharge dans ma bouche, m’en mettant partout et abondamment. Tel un barrage qui cède, il inonde ma gorge en longues saccades gluantes. Avide, j’avale tous ces flots visqueux, que je veux conserver au plus profond en moi-même. Je sens son regard sur moi, d’autres jets explosent dans ma bouche, puis lentement, le flot se tarit, tandis que mon homme repose à présent, les bras en croix…
Fin de la première étape ! Je sens que cette mise en condition va donner des idées à mon mari et qu’il ne me décevra pas. Ça m’a beaucoup plu de jouer les salopes avaleuses de foutre !
Oh oui que mon homme a eu plein d’idées, dont certaines étaient étranges, osées ou farfelues ! Mais une femme mariée et respectable se doit de ne pas en causer, sous peine d’y prendre son honorabilité ! Mais j’aime bien que mon mari me déshonore de la sorte !
À quatre pattes sur le lit, telle une vulgaire chienne, je suis en train de me faire bestialement tringler par mon mari qui me ramone à grands coups de reins bien puissants. Ça fait bien longtemps qu’il ne m’avait plus prise de cette façon peu respectable, mais ô combien excitante ! Avide, il s’empare de mes seins, de mes mamelles, devrais-je dire et les presse assez frénétiquement. Je constate avec stupéfaction que des petits jets fusent de mes tétons pour venir s’écraser sur le lit. Il faudra que je lave tout ça demain !
En attendant, ma chatte toujours bien limée par la bonne queue de mon homme, je me laisse faire, telle une vache prise par son taureau, mes seins ballottants se vidant sans répit. Je devrais avoir honte, me sentir avilie, salie, de me vautrer dans cette bestiale ignominie, mais je m’en fiche, voire même, je m’en fous. J’ai encore quelques jours devant moi à jouer les salopes et les putes, en espérant le rapide retour de mon homme dans trois mois. Et puis, peut-être qu’avec un peu de chance, mon mari fera des pieds et des mains pour rester, préférant me baiser chaque soir, plutôt que d’aller au loin dans un pays qu’il ne connaît pas.
Oui, un pays lointain qu’il ne connaît pas, mais en attendant, c’est moi qu’il doit découvrir, explorer ! Et tant pis si je dois passer pour la dernière des catins, je vaux bien toutes les Brésiliennes de la planète !