n° 18312 | Fiche technique | 46144 caractères | 46144Temps de lecture estimé : 27 mn | 30/03/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Mon homme part pour le Brésil pour trois longs mois. Je vais me retrouver toute seule avec nos trois enfants ! Enfin... pas si seule... | ||||
Critères: fh hplusag grosseins cérébral voir exhib fellation pénétratio coprolalie -extraconj -voyeuract | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent : Philippe
Mon couple avec Philippe allait très bien, jusqu’au jour où Nathalie a fait son apparition. Ne vous mettez pas des idées saugrenues en tête : Nathalie, c’est le nom de mon bébé d’amour, ma petite dernière. Nous avions déjà deux enfants. Il faut dire que moi, Gally, je me suis arrangée pour tomber enceinte alors que mon mari m’avait demandé d’attendre un peu…
Il n’a pas beaucoup apprécié, mais pas du tout, que je le mette devant le fait accompli. Il m’a carrément fait la tête pendant des mois. De plus, je me suis retrouvée avec des seins énormes et douloureux ! La totale ! Heureusement, nous nous sommes réconciliés sur l’oreiller, mon homme jouant les gros bébés. Hélas, Philippe a accepté d’aller travailler au Brésil durant trois mois ! Je suis un peu responsable de son départ, car il a dit oui afin d’avoir une promotion non négligeable, ce qui nous permettrait d’avoir enfin une maison pour nous cinq et de quitter notre trop petit appartement.
Voilà, vous savez tout…
Ah non, j’oubliais, la guerre d’Indochine s’est enfin terminée depuis quelque temps. Mais hélas, ça s’agite maintenant très fort en Algérie, c’est la révolution ! On ne peut pas espérer vivre un peu en paix, surtout après cette fichue guerre avec le sinistre Adolf ?
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En fin de matinée, j’ai la surprise de recevoir un court télégramme de mon mari. Fébrile, je consulte le message qui m’indique que mon homme rentre ce soir avec Charles, le sous-directeur, mais que celui-ci ne reste pas dîner. Ah bon ? Et pourquoi ce sous-directeur viendrait à la maison, alors que lui et mon mari ne s’entendent pas beaucoup ? Ceci est étrange, mais c’est peut-être lié au prochain départ de mon conjoint pour le Brésil…
De ce fait, j’en profite pour ranger un peu mieux notre appartement. Même si Philippe m’a indiqué que son supérieur hiérarchique ne restera manger, par précaution, je prévois un peu plus pour ce soir. Ce ne sera pas perdu, j’en ferai mon repas de demain midi.
En songeant au télégramme, ce serait bien qu’on songe à se faire installer le téléphone. Mais c’est vrai que c’est cher ! Sans parler que si on nous l’installe, nous risquons de voir venir chez nous la plupart des voisins qui souhaiteront l’utiliser ! Je vois bien avec ma cousine, elle me dit qu’elle est souvent dérangée par diverses voisines qui souhaitent lui emprunter son combiné, et elle m’a avoué que la facture n’était pas triste dès qu’on téléphone un peu loin.
À bien y réfléchir, il vaut mieux attendre que nous déménagions dans une maison, ce sera plus simple. Même chose pour la télévision, c’est hors de prix, un seul canal de diffusion, et finalement pas beaucoup de films ou de spectacles. Autant aller au cinéma de quartier, c’est moins cher, c’est plus convivial et aussi plus animé !
Songeuse, je me demande si, un jour, tout le monde aura un téléphone et une télévision chez soi. Si ça arrive, je pense que je serai largement grand-mère, voire arrière-grand-mère ! C’est déjà bien beau que j’aie une bonne cuisinière à charbon, et une grosse boule à laver à l’appartement ! Quand je pense que, petite, je devais aller chercher de l’eau dans le puits du jardin de mes parents !
Houlà, en parlant de ça, il va falloir que je me penche sérieusement sur le sujet du repas du soir !
Une bonne heure après avoir été chercher les enfants à l’école, mon homme débarque à l’appartement avec le sous-directeur. Ce n’est pas la première fois que je rencontre Charles. Comme à chaque fois, il est bien habillé, sans être trop guindé. On va dire qu’il emprunte son style aux managers américains, ceux qu’on voit dans certains films, et ça lui va bien, d’autant qu’il est bel homme malgré qu’il ait dix ou douze ans de plus que mon mari.
Je vois bien durant notre échange qu’il louche sur mes seins qui sont eux aussi lourds à porter ! Et pas qu’un peu, ce petit vicieux, ou devrais-je dire, ce grand vieux vicieux ! Car Charles est particulièrement grand. Pour un peu, il devrait se baisser quand il franchit une porte. Mais pour un voyeur, je suppose que ça doit être pratique d’être si grand pour glisser un regard dans le décolleté des dames !
Mon mari me regarde d’un air un peu exaspéré, tandis que Charles est visiblement amusé de connaître le petit surnom de mon homme. Ah zut, tant pis, ce n’est pas grave, ce n’est pas comme si j’avais sorti le petit surnom que j’attribuais à sa queue au début de notre mariage !
Les deux hommes s’installent dans la salle à manger, avec plein de papiers devant eux, puis soudain Charles se met à parler dans une langue que je suppose être de l’espagnol ou du portugais. Plus tard, je saurai que c’est la seconde solution, car au Brésil, on ne parle pas espagnol mais portugais, un portugais plus chantant et différent de celui de l’Europe. Un peu comme le français de nos cousins canadiens.
Mon mari bute nettement plus sur les mots portugais que le sous-directeur. Je me demande pourquoi ce n’est pas Charles qui part là-bas, surtout s’il sait parler la langue du coin ! Mais il ne faut pas toujours chercher à comprendre la logique qui anime certaines entreprises. Oh non !
L’heure tourne, et soudain, Bébé réclame ! Nathalie est en avance d’une bonne heure sur ce que j’avais planifié, mais elle n’est pas encore réglée comme une horloge. Sans réfléchir et pour éviter que ma dernière-née ne se mette à hurler de façon phénoménale, je la prends avec moi, ouvrant mon chemisier et dégrafant mon soutien-gorge afin d’allaiter.
Ma petite se jette goulûment sur mon téton et se met à téter dans de grands bruits qui s’apaisent petit à petit. C’est alors que je réalise que le sous-directeur est dans la pièce et qu’il a certainement tout vu, y compris le déballage de son sein bien lourd et gonflé de lait ! D’ailleurs, je trouve que c’est devenu bien silencieux ! Je risque un coup d’œil à travers les quelques mèches de cheveux qui barrent mon front. Charles est comme figé, yeux bien ouverts, ne perdant pas une miette du spectacle. C’est mon mari qui met fin à ce moment de gêne en demandant :
Et la conversation reprend, mais je vois bien que le grand Charles louche beaucoup dans ma direction, c’est flagrant. C’est à la fois amusant et gênant. Quelques minutes plus tard, repue, la petite lâche enfin mon téton qu’elle a joyeusement maltraité. Je m’essuie assez rapidement, puis je replace mon sein, en le protégeant avec un petit mouchoir plié en huit. Bien sûr, notre invité du jour n’a rien perdu de toute la manœuvre. Je fais comme si de rien n’était, je dorlote mon bébé qui finit par faire son rot quelques instants plus tard.
J’en profite pour quitter la pièce avec la petite, histoire de ne plus être sous ce regard scrutateur. N’empêche, j’ai bien compris que je ne laissais pas indifférent ce sous-directeur. Ce qui est quand même flatteur, car j’ai beaucoup de doutes sur ma féminité et mon pouvoir de séduction.
Un bon quart d’heure plus tard, mon mari m’appelle :
Nous nous disons au revoir sur le palier, mais je sens bien que le regard de Charles sur ma petite personne a changé de nature…
Mon mari vient me rejoindre au lit. Je pose le livre que j’étais en train de lire, car je vois bien qu’il a quelque chose à me dire. Depuis le temps, je commence à connaître mon homme. De plus, je me doute un peu de quoi il a envie de me parler. Je suis fixée dès les premiers mots qu’il prononce :
Mon mari se fige sur place, puis il se tape dans la main :
L’affirmation de mon homme est un peu rapide, je fais la moue en lui répondant :
Sans me demander quoi que ce soit, il ouvre ma nuisette pour en extirper sans vergogne un sein lourd et pesant qu’il se met à téter tout de go ! Tandis qu’il aspire goulûment mon lait, je caresse ses cheveux. Je ne peux m’empêcher de lui faire remarquer :
Il quitte momentanément mon téton pour répondre, les lèvres maculées de lait :
Ça me démange de répondre « À qui la faute ? » Mais dans certains cas, il vaut mieux s’abstenir, surtout que depuis quelques jours, mon mari et moi, nous nous sommes retrouvés. Nos nuits sont devenues épiques, encore plus qu’avant, mais je sais aussi que dans peu de temps, mon homme part pour trois mois au Brésil et que je ne reverrai plus entre-temps. J’espère simplement qu’il ne va pas tomber nez-à-nez avec une salope de Brésilienne et qu’elle ne lui retournera pas la tête ! Les hommes sont si friands d’exotisme !
Bref, je ne dis rien, mais je n’en pense pas moins. Et il serait stupide que ça s’envenime pour si peu, je tiens à mon mari, et je ne tiens pas à ce que mon couple s’écroule alors que le ciel bleu est revenu.
Ce qui ne l’empêche pas de continuer à me téter de façon assez poussée, comme s’il cherchait à aspirer tout le lait de mon sein. Quelque part, ça me rendrait service, mais j’ai de sérieux doutes sur le fait que ce soit aussi simple que ça !
Soudain, mon homme arrête de s’occuper de mes seins pour ordonner :
Depuis notre réconciliation, mon homme a un langage plus cru et une attitude plus macho. Ce n’est pas pour me déplaire, du moment qu’il n’abuse pas trop. De plus, je peux bien lui passer ce genre de lubie, d’autant que dans quelques jours, il sera parti au loin pour trois mois.
Comme hier, à quatre pattes sur le lit, cul en buse, telle la vulgaire chienne que je suis, mon homme est en train de me tringler bestialement ! Il me ramone à grands coups de reins bien puissants, ponctuant chaque entrée par un « han » bien sonore ! C’est un peu avilissant mais c’est aussi très excitant !
Et pour me confirmer ses dires, il s’empare de mes mamelles qui ballottent sous ses coups et les presse assez frénétiquement, ce qui fait que des petits jets jaillissent de mes tétons pour venir s’écraser sur le lit.
Oh oui, ma chatte est bien limée par la bonne queue de mon homme. Je ne me connaissais pas cette façon de jouir, animale, mais jouissive. Comme quoi que l’on ne connaît jamais vraiment. Toujours à quatre pattes tandis que mon mari me bourre bestialement, je me laisse aller à ce désir trouble, mes mamelles distendues, étirées, telle une vulgaire vache qu’on trait, et je n’ai même pas honte du spectacle dégradant que j’offre !
D’ailleurs, la jouissance qui s’empare soudainement de moi ne me laisse pas le temps de réfléchir à ce genre de choses, si déshonorantes soient-elles…
Le lendemain soir, tandis que nous sommes au lit et que mon homme s’amuse avec mes seins, celui-ci m’annonce d’un seul coup :
Il a de ces questions, mon homme ! Je suis un peu embêtée pour répondre, d’autant que je ne saisis pas bien où il veut en venir.
Mon mari prend le temps d’une petite réflexion.
Ah ces hommes ! Ils sont toujours en train de jouer à celui qui aura la plus grosse ! Et dans le cas de mon homme, c’est une question de gros seins, de mes seins ! Alors que je cherchais quoi répondre, Philippe continue sur sa lancée :
Mon mari se redresse puis s’explique :
Je suis assez surprise, voire interloquée.
Il y a des réponses que je voudrais bien faire, mais je sais que ça ne tournerait pas à mon avantage. Car si mon homme me propose ce genre de chose, c’est à cause de ma récente grossesse qu’il n’avait pas désirée. Décidément, je me suis fichue dans une sale situation avec mon envie de maternité ! Jamais il n’aurait osé évoquer ce type de truc inconvenant, il y a quelques mois. Jamais.
Espèce de lâche ! Je ne suis pas d’accord, je le lui dis à ma façon, mais sans trop hausser le ton :
Mon mari rigole franchement :
Puis sa phrase à peine achevée, il se jette gloutonnement sur mon sein gonflé de lait, pour continuer son incongrue tétée jusqu’à ce qu’il se lasse. La bite bien tendue qu’il me met sous le nez indique clairement le changement de tétée qu’il souhaite. Docile, j’avale posément la quasi-totalité de sa queue pour lui offrir une suave sucette comme je sais les faire et comme il les aime. Je n’ai pas besoin de me forcer beaucoup pour qu’il jaillisse dans ma bouche, inondant ma gorge de son sperme chaud et poisseux. Bien sûr, je me fais un plaisir de tout avaler puis de nettoyer. Il me regarde faire avec une évidente satisfaction.
« Crois-moi, mon Philou, je vais te faire regretter le fait de partir loin de moi, tu vas voir ! »
Je chiale comme une madeleine, je ne sais pas pourquoi, mes larmes coulent toutes seules sans que je puisse les arrêter. Mes deux grands me regardent d’un drôle d’air, et Charles, qui nous a accompagnés à l’aéroport, ne sait pas quoi dire, ni quoi faire :
Pour le retour, Charles nous raccompagne dans un véhicule utilitaire, les enfants sont ravis, ça les change de notre petite Panhard. Mon bébé dort à poings fermés, sans se soucier de son environnement. Pour un peu, je l’envierais !
Trois mois sans mon mari, ça va être difficile. Je sais que je suis à l’origine de son départ pour le Brésil, car il y a à la clé une promotion qui se traduira par un salaire plus confortable, ce qui nous permettra ensuite de changer d’appartement ou même d’avoir une maison, et de remplacer la voiture qui est devenue trop petite avec trois enfants, et surtout avec un landau ou une poussette.
Ça va être dur, car mon homme s’occupait de pas mal de petites choses. Depuis notre mariage, nous nous sommes répartis les tâches d’une façon très simple : il s’occupe de l’extérieur, et moi de l’intérieur.
Je me dis parfois qu’il serait bien que je passe le permis de conduire, mais ce n’est pas très bien vu qu’une femme conduise, on dit que c’est une histoire d’hommes que de tenir un volant. Et puis, ce n’est pas avec un bébé qui vient juste de naître que je pourrais tenter de décrocher mon permis. Mais il faudra que j’en cause à mon mari, je pense qu’il serait d’accord, il n’est pas aussi macho que certains de nos voisins pour qui une femme ne doit pas sortir de chez elle.
Les yeux toujours fixés devant lui, il hoche la tête :
Et spontanément, je lui claque un gros bisou sur la joue. C’est alors que je réalise mon geste ! Gênée, je pose mes doigts sur mes lèvres :
Charles m’adresse un grand sourire :
Ah, il m’a appelée Gally et non Galatée, un progrès. De plus, quand il sourit, il est mieux, il est plus… plus beau, carrément. Un peu troublée, je le remercie tandis que les enfants sortent du véhicule utilitaire. Je m’empare du couffin, et après un dernier merci ponctué qu’un petit signe de la main, je m’engouffre dans le couloir de mon immeuble.
De retour à l’appartement, je me sens comme vide, abandonnée. Mais je me ressaisis bien vite, j’ai trois enfants à gérer, et il ne faut pas que je me laisse aller.
Le soir, quand je suis allongée dans notre grand lit, celui-ci me semble vide. Même quand Philippe me boudait, je ne ressentais pas cette sensation de vacuité. Mes seins me font un peu mal, il va falloir recourir à l’extracteur, maintenant que mon mari est à des milliers de kilomètres. Je me dirige vers la salle de bain, puis quelques instants plus tard, je soupire de soulagement en extrayant un petit verre de lait.
Je songe alors à notre dernière nuit, le rouge me monte aux joues. Oh non, ce n’est pas racontable ! Je me suis surprise à me comporter comme une sale pute, une salope dévergondée, comme si c’était la toute dernière fois… Je ne sais pas si je le ferais deux fois, quoique j’aie été moi-même surprise de la facilité avec laquelle je me suis offerte, mais il va falloir te lever de bonne heure, mon cher mari, pour qu’une catin brésilienne te fasse la même chose !
Aujourd’hui, je devais me rendre dans la ville voisine pour régler divers papiers administratifs, et les transports en commun ne sont pas très pratiques. De ce fait, Charles s’est proposé de nous conduire, moi et ma fille. Maintenant, tout est bon, tout est réglé, je viens juste de remonter dans la voiture de Charles.
À ces mots, je rougis un peu. Le service auquel il fait allusion est celui d’être présent quand je donne la tétée à ma petite dernière. La toute première fois, ce fut très gênant pour moi, mais déjà le lendemain, ce fut plus simple. C’est fou comme on s’adapte. Assez gênée, je bafouille :
En parlant justement de « oui », je ne sais pas exactement en quels termes choisis mon mari a présenté la chose à son sous-directeur, mais d’après mon homme, celui-ci a dit oui tout de suite, sans même marquer un temps de surprise. Je pense plutôt que Charles a tellement été surpris de cette proposition qu’il n’a pas réalisé tout de suite ce que Philou lui suggérait. Et je n’ai pas osé en demander plus au principal intéressé…
Moi, j’ai dit oui parce que je n’avais pas trop le choix ! Mon mari ne me l’a pas dit explicitement, mais comme notre relation était au plus mal, il y a peu de temps, et que nous venions à peine de nous réconcilier, j’ai cru comprendre que ce serait bien pour notre avenir…
La route du retour est pleine de nids de poules, ce qui fait allègrement ballotter mes seins ! Mon conducteur s’en rend vite compte. Mais je ne pense pas qu’il le fasse exprès, toutes les routes n’étant pas toujours refaites depuis les événements de la dernière guerre. Le problème est que ma poitrine commence à me faire mal !
Comme ça devient douloureux, je finis par me décider ; je demande à mon chauffeur :
Deux minutes plus tard, la voiture s’arrête, j’ouvre la portière pour sortir et me dissimuler derrière le bosquet. Là, je dévoile ma poitrine afin de la presser afin de me soulager en lait. Je présume que ce sont les vibrations de la voiture qui ont dû activer la production, du moins, je le suppose.
Un dernier jet évacué et essuyé, je reviens vers la voiture, pour m’installer à nouveau auprès de Charles qui me demande :
Soudain, je réalise que mon chauffeur fixe mon chemisier, je me demande bien pourquoi. C’est en baissant le regard que je constate que je me suis mal reboutonnée, et que Charles a droit à une vue non négligeable sur mes lourds appas. J’amorce un geste pour rectifier ma tenue, mais il m’arrête :
Lentement mais sûrement, Charles déboutonne posément mon chemisier, révélant ainsi mes seins qui débordent de mon soutien-gorge. Il contemple longuement ma poitrine, disant simplement :
Il caresse mes deux masses tendues du bout des doigts, c’est très doux. Puis il me reboutonne lentement, ne fermant pas les deux derniers boutons, afin que je conserve un petit décolleté.
Je sais que je ne suis pas très originale dans mes réponses, mais je me trouve quand même dans une situation assez particulière !
Aujourd’hui, comme hier et les autres jours, Charles est venu pour me voir allaiter la petite. Flegmatiquement, il s’installe dans le fauteuil qui est face au canapé sur lequel je suis assise, mon bébé dans les bras. Sa présence ne me gêne plus, je dirais même qu’elle m’excite. Je pense que lui et moi jouons un jeu assez trouble, sans parler de mon mari, qui me pousse dans cette direction un peu incongrue. Pour ma part, j’ai revêtu une robe plissée, assez ample, dont le corsage est croisé, ce qui me permet d’accéder à mes seins de façon plus pratique.
Lentement, afin que mon visiteur puisse mieux profiter, je dévoile mon sein afin de l’offrir à mon bébé qui s’empare goulûment de mon téton. Quelque chose me dit que Charles aimerait bien être à sa place. Est-ce que ça me dérangerait ? Il y a quelques jours, j’aurais sûrement répondu que oui. Aujourd’hui, je n’en suis plus certaine. Et peut-être que demain, je pourrais dire oui pour que Charles prenne la place de la petite.
Hier, j’ai pu enfin avoir mon homme au bout du fil. La communication n’était pas fameuse, mais ça m’a fait du bien. J’aurais voulu dire certaines choses, mais il y avait du monde autour de moi. Même constat du côté de Philippe, j’entendais bien qu’il n’était pas seul, lui aussi, mais nous avons pu parler allusivement, et lui comme moi, nous avons parfaitement compris les sous-entendus !
Depuis que mon mari est parti vers cette terre lointaine, par-delà les mers, Charles est très souvent fidèle au poste. Tout au plus n’est-il pas venu mardi, car il avait un chantier lointain à visiter. Il m’a d’ailleurs carrément avoué que l’idée de me prendre avec lui l’avait effleuré.
J’ai rougi, je n’avais pas saisi sur le coup le double sens. Et j’ignore si Charles l’avait fait exprès.
J’ai néanmoins beaucoup apprécié qu’un homme recherche ma compagnie…
Mon bébé marque une petite pause dans sa tétée, elle vient d’abandonner momentanément mon téton. Je la cale mieux sur mon bras et ce faisant, ma poitrine est bien dégagée, parfaitement visible pour mon seul et unique spectateur du jour. Celui-ci prend la parole pour me complimenter :
C’est alors que je lui réponds tout naturellement :
Il ne faut pas le lui dire deux fois. Prestement, Charles s’approche à un mètre de ma personne. Néanmoins, il demande :
Je sens qu’il aurait aimé venir encore plus près, mais chaque chose en son temps.
Je ne réponds rien, je me contente de sourire et j’en profite pour changer de sein. Mon prétexte est qu’il faut alterner les tétées de mon bébé. En réalité, ça m’amuse de dévoiler ma poitrine à cet homme et lui mettre sous les yeux des seins nus et lourds rien que pour ses yeux. En est-il dupe ? Je ne sais pas. Néanmoins, il fait comme si…
Il s’amuse de ma répartie :
Je vois bien qu’il est un peu interloqué, ce qui ne l’empêche pas de demander :
Il joue au crétin ou c’est naturel chez lui ? Je lui offre une opportunité, une sacrée perche et il ne la saisit pas ? Néanmoins, je crois comprendre ses réticences vis-à-vis de mon bébé. Je le rassure :
Rassasiée, ma petite est en train de fermer les yeux. J’attends un peu, mais elle est déjà partie dans le royaume des songes, un air béat aux lèvres. Alors après quelques minutes d’attente, je me décide à la coucher dans son lit. Je la veille un peu pour m’assurer que tout va bien, puis je reviens auprès de Charles. Celui-ci me demande :
Comme rassuré, il hoche la tête. C’est en le voyant ainsi que le déclic se fait. Je suis incapable de dire le pourquoi du comment, mais c’est à ce moment précis que je décide de franchir un pas. Et c’est d’un ton décidé que je dis à mon visiteur :
Peu après, nous sommes dans la cage d’escalier. Je vérifie en catimini : personne. Charles est déjà sur le palier du bas alors que j’ai à peine descendu quelques marches. Je l’interpelle :
Il se retourne et ce qu’il voit lui plaît beaucoup ! En effet, j’ai tout simplement extirpé mes deux seins de ma robe, et je descends très lentement les marches, ma lourde poitrine oscillant à chacun de mes pas. Mon invité apprécie visiblement le spectacle que je lui offre. Il attend patiemment que j’arrive presque à sa hauteur, ou plutôt que ce soit mes nichons qui arrivent à la hauteur de sa bouche.
Il ne répond pas, car il vient de s’emparer avidement d’un téton qu’il commence à sucer, tandis que mon autre sein est capturé sans vergogne par une main rapace qui commence à me caresser, me soupeser, à me tripoter. Je le gronde gentiment :
Il quitte à regret mon téton pour en convenir :
Puis il s’empare de ma main pour remonter les escaliers. Quelque chose me dit que Charles est très empressé de découvrir mes charmes et mes rondeurs ! Quelques secondes plus tard, nous nous retrouvons dans le même canapé, moi toujours mes seins lourds à l’air, et lui sa bouche et ses mains très occupées sur mes lolos et tétons !
Comme un chiot un peu foufou, il niche sa tête entre mes seins, les embrasse, suce mes tétons, caresse voluptueusement mes masses gorgées de lait. Puis se calmant, un peu, tel un gros bébé, il s’empare d’un de mes mamelons qu’il tète longuement, tandis que je caresse ses cheveux.
Quelques instants plus tard, il détache sa bouche pour me dire ce que je devinais déjà :
Oui, c’est vrai, j’avais déjà vu Charles lors de ces réunions d’entreprise, mais avec plein d’autres personnes en même temps. Néanmoins, je suis quand même très étonnée de ses révélations.
J’essaye de mettre un peu d’ordre dans mes idées, tout ceci étant assez inattendu, il me faut le temps d’assimiler tout ça. Je bafouille :
C’est alors qu’il m’embrasse carrément sur les lèvres. Sur le coup, je ne réagis pas. Je pourrais le repousser, mais son baiser est si tendre, si doux, qu’il me fait fondre, et ça me fait un bien fou après tous ces mois de mésentente avec mon mari, même si nous nous sommes réconciliés une semaine avant son départ. Mais Philippe était quand même resté assez dur avec moi…
Je me laisse faire, tandis que ses mains caressent amoureusement ma poitrine. Je me sens comme une jeune fille, belle, désirable, découvrant de nouveaux horizons. Alors, une chose en entraînant une autre, je réponds à son baiser…
Depuis quelques jours, Charles et son adoration de mes seins (et aussi de ma petite personne) sont devenus un élément presque quotidien de ma vie, et j’avoue que ça me plaît, ça m’égaie, « Une touche de fun », comme disent les Américains. Néanmoins, je sens bien que sa passion pour mes lolos a envie de s’étendre à d’autres parties de mon corps, mais pour l’instant, ça me va très bien comme ça. Et j’adore ses baisers, à la fois tendres et fougueux, cette façon qu’il a de me considérer comme la plus belle femme du monde…
De plus, je dois avouer que je recherche sa présence, elle m’apaise. Avec Charles, j’ai droit à un doux mélange de bébé, d’amoureux et de figure paternelle. Je sais, ça frôle l’inceste, mais en tant que femme, j’aime être chouchoutée, dorlotée, adorée.
Je sais aussi que dans pas longtemps, je lui permettrai d’aller découvrir mes autres paysages, j’ai envie qu’il m’explore, mais ça m’effraie aussi…
Nous avons recommencé par deux fois l’épisode de la voiture, mais ces fois-ci, ce fut plus torride. Charles sait me capturer les seins à pleines mains, les presser fortement et fermement pour me les vider, mais sans me faire mal. Et j’adore quand il torture de la sorte mes nichons bien gonflés !
Ce fut la première fois que je l’ai tutoyé ! J’ai rougi aussitôt. Il s’en est amusé :
C’est alors que j’ai compris ce qu’il attendait de moi, et là, je me suis carrément lâchée :
J’ai souri et j’ai répondu aussitôt, spontanément :
Ce qu’il a fait en y mettant tout son cœur, ses mains et sa bouche. Un autre virage dans notre étrange relation. C’était avant-hier…
Au final, j’ai remplacé mon gros bébé de mari par un autre gros bébé, qui est quand même plus délicat et attentionné, et au panorama plus vaste. Il est vrai que mon époux, même s’il s’en défend, continue à me reprocher en sourdine ma grossesse. À l’époque, je n’avais pas envie d’attendre un an ou deux, mais si j’avais su, je crois que j’aurais fait l’effort de patienter un peu.
Toujours est-il que je suis quand même dans une drôle de situation, pareille à cette drôle de guerre que nous avons vécue en France, il y a presque quinze ans. Je reconnais que c’est très plaisant d’avoir un galant comme Charles, mais que va-t-il advenir de nous tous quand mon mari reviendra du Brésil ?
Un grand merci à Vinc.