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n° 18386Fiche technique20451 caractères20451
Temps de lecture estimé : 12 mn
22/05/18
Résumé:  Je suis bombardé PDG ; une liaison commence avec Marie, mon assistante.
Critères:  fh fplusag collègues travail hmast fellation hdanus -travail
Auteur : Balbon      

Série : Histoire de bureau

Chapitre 01
Promotion

J’ai 38 ans et je travaille depuis quinze ans dans une entreprise industrielle qui a des clients dans certains pays étrangers. J’étais en poste aux États-Unis dans notre bureau d’études quand notre patron a disparu brutalement. N’ayant pas d’enfant, il avait décidé de confier la direction de son entreprise à son neveu : moi. Nous n’étions pas très proches et je n’ai jamais montré une telle ambition, mais la famille souhaitant que j’assure la pérennité de l’entreprise, j’ai accepté le poste.


Me voilà donc au siège historique depuis une semaine avec des collaborateurs qui m’initient à des domaines tels que : comptabilité, marketing, management, etc. La marche est haute, car j’étais sur le premier barreau de l’échelle et me voici sur le dernier. Mes compétences techniques ne me serviront sans doute pas… Je ne suis pas à l’aise et tout le monde me met la pression pour apprendre vite. Les journées sont longues et quand je rentre dans mon hôtel, je pense encore au boulot. Étant célibataire, avec des amis à 7000 km, je me sens un peu seul et ma timidité ne m’aide pas à rencontrer des femmes.


Depuis ma promotion, je travaille avec Marie, mon assistante de direction qui est une sorte de bras droit. Officiellement, c’est une assistante sans pouvoir autre que celui de déléguer à sa secrétaire Tiffany, mais officieusement elle m’aide à faire tourner la boîte tout comme elle aidait mon oncle. Marie est une petite femme brune séduisante, mais d’apparence froide. Ses yeux marron sont mis en valeur par des lunettes rectangulaires de couleurs variées, sa bouche est large avec des lèvres pulpeuses mises en valeur par son maquillage discret. Elle porte systématiquement un chignon et un tailleur / jupe bleu marine avec un chemisier blanc. Sa tenue est stricte et seules ses chaussures à talons ou ses lunettes changent d’un jour à l’autre. Elle a un peu plus de 40 ans et je ne connais rien de sa vie privée, si ce n’est qu’elle travaillait autant que mon oncle.


Tiffany est une très jeune femme blonde aux yeux bleus et à la peau claire. Sa tenue n’est pas stricte, mais elle invariablement en pantalon et chaussures plates. Elle est décontractée, malgré une charge de travail élevée. J’ai principalement affaire à Marie, sauf quand nous déjeunons tous les trois au bureau. Tiffany nous parle beaucoup d’elle, de ses aventures, de ses amis et de ses voyages.


Lundi 8 h. Ma deuxième semaine commence, après un week-end sans repos à chercher un appartement. Marie est déjà là ; je passe devant le bureau vide de Tiffany, avant de m’arrêter à celui de Marie, qui me salue et me remet un message d’un client mécontent. Bon début de semaine ! Aujourd’hui la monture des lunettes de Marie est rose comme ses chaussures. Je suis surpris par le mélange des couleurs. J’ouvre la porte de mon bureau, allume mon ordinateur et décroche le téléphone. Pendant que je me fais remonter les bretelles par notre client sur la qualité insatisfaisante de nos produits, Tiffany entre et pose une tasse de thé sur mon bureau en me faisant un signe de la main. Je réponds d’un signe de tête en promettant à notre client que notre prochaine livraison sera de meilleure qualité. Après quelques minutes d’excuses et de promesses, je raccroche et appelle Marie au téléphone.



Je regrette mon boulot aux États-Unis et Lambert frappe déjà à la porte du bureau. Une heure de souffrance avec des comptes, des filiales, des impôts, alors qu’il suffit d’additionner les produits et de soustraire les charges pour savoir si on gagne de l’argent… Après le départ du comptable, j’ai mal à la tête et me lève pour aller aux toilettes alors que Bertrand de la technique se pointe. Merde, on peut même pas pisser dans ce boulot de c… ! Je repense au coup de fil de 8 h et la tension monte. Je passe le message du client sans filtre et Bertrand m’explique ses problèmes de personnels intérimaires pas assez nombreux, car le patron tient les cordons de la bourse serrés.



Je me rends compte que le patron, c’est moi maintenant.



Je me lève sans attendre qu’il soit parti et sors de mon bureau. Un coup d’œil machinal aux jambes des secrétaires, et je réalise que leurs bureaux sont en verre donc transparents ce qui me permet de voir leurs cuisses entre le téléphone et l’ordinateur. J’arrive enfin aux toilettes. Avant de ressortir, je me passe de l’eau sur le visage pour essayer de me détendre, mais je me sens prisonnier de ce boulot.

De retour à mon bureau, je suis à peine assis que Marie frappe à la porte de deux coups comme toujours. Je voudrais juste qu’on me fiche la paix pendant un moment !



Elle passe la tête par la porte, interrogative.



Le ton est sec, trop sec, mais le mal est fait. Le visage de Marie reprend son masque froid.



Tiffany a entendu et regarde Marie retourner à son bureau.



Pourtant, Tiffany voit bien que Marie semble préoccupée. Je n’arrive pas à me calmer, j’ai envie de tout plaquer et de partir. Le téléphone sonne et ce n’est pas un numéro interne. Heureusement que mon oncle n’avait pas de portable. J’hésite encore à répondre quand la sonnerie s’arrête. J’apprendrai plus tard que Marie a pris l’appel, encore un client mécontent… Au bout de quelques minutes, je me décide à rappeler Marie. Elle ouvre la porte et je vois qu’elle est tendue à sa façon de fermer la porte du bureau. Elle s’assied devant mon bureau en croisant les jambes et en me regardant, impassible.



Je la regarde en attendant une réponse qui ne vient pas. C’est mauvais signe.



Je la regarde se lever et sortir du bureau, Marie a des jambes galbées et malgré quelques kilos en trop, elle est attirante.

La journée a continué avec son lot de problèmes, de comptes à équilibrer, de banque à rassurer, etc.


19 h. Je décide d’en rester là pour aujourd’hui. Je sors du bureau pour dire à Marie de rentrer chez elle. Tiffany est déjà partie. Marie me souhaite une bonne soirée et me dit qu’elle partira dans quelques minutes. Je retourne dans mon bureau que je ferme à clé. J’ai besoin de me détendre, et je vais faire un tour sur mon site porno préféré. Je mets mes écouteurs pour entendre les femmes crier leur plaisir, ça augmente mon excitation. Je vais dans la rubrique secrétaire et je cherche une secrétaire brune à lunettes qui ressemble vaguement à Marie. Je n’en trouve pas, tant pis, je me contenterai d’une Latina aux courbes sublimes. Mon pantalon est sur les chevilles et ma main droite sur mon sexe pour le stimuler doucement. Je me sens très excité. Ça fait plusieurs jours que je ne me suis pas vidé et mes testicules commencent à s’en plaindre. Je suis complètement absorbé par la fellation sous le bureau de la Latina, quand je vois une ombre du coin de l’œil : Marie est au milieu de la pièce ! Elle me regarde de son visage impassible. J’enlève les écouteurs d’une main et essaie de remonter mon pantalon de l’autre, mais en étant assis, je n’y arrive pas.



Inutile de dire que je suis écarlate. Je débande à grande vitesse.



Depuis que je travaille ici, c’est la première fois que je la vois exprimer une émotion. Son regard est fuyant. Elle est gênée pour moi.



J’ai l’impression d’avoir été surpris par ma mère, mais je n’arrive pas à détacher mon regard de ce visage. Il y a de la vie derrière ce masque et la curiosité l’emporte sur la gêne.



J’ai vraiment dit qu’elle était âgée. Son expression passe de la gêne à l’agressivité.



Là j’ai l’impression que Marie va de donner une claque, que j’aurais un peu méritée. Elle regarde la vidéo qui tourne toujours, avec la Latina qui dispense une gorge profonde sur le patron musclé et tatoué.



Elle s’interrompt, rouge de colère, ayant conscience d’en dire trop. Je la regarde en essayant de comprendre. Je suis plus jeune et Marie a cru que j’allais la virer.



Elle contourne mon bureau, vexée, s’assoit en croisant les jambes et plante son regard dans le mien.



Marie me regarde et demande très doucement :



Elle me regarde, sur la défensive, et je comprends que ce n’est peut-être pas une rumeur.



Je regarde le masque tomber avec surprise. Je ne l’aurais jamais imaginée "seule".



Là, on nage en plein délire : mon assistante me surprend la main dans le pantalon et me propose de me trouver une fille pour que je bosse mieux.



Là j’avoue que j’ai tout de suite pensé à Marie ! Mais jamais je n’aurais amené ça sur la table.



Je la trouve attirante, mais j’ai dit cela pour la mettre en boîte. Après quelques secondes de réflexion, Marie me donne son accord. Elle se lève et enlève sa veste.



Marie ne dit rien et me regarde. Le masque se fissure à nouveau et je lis de la compréhension sur son visage. Elle ramasse sa veste, sort sans se retourner et ferme la porte à clé.

Je m’installe à nouveau, écouteurs sur les oreilles, pantalon sur les chevilles et remets la vidéo au départ. La Latina a besoin d’une augmentation et son patron sort sa queue dès le début de l’entretien. Si seulement la réalité était aussi simple…


Après quelques minutes, la secrétaire est nue avec ses talons noirs, les cuisses écartées en train de se faire défoncer par un patron musclé et tatoué. Je vois du coin de l’œil une ombre. Marie s’avance vers moi, l’air déterminé. J’enlève mes écouteurs en lui demandant ce qu’elle fait là.



Marie commence à déboutonner son chemisier en regardant ma queue.



Mon excitation fait un bond en la voyant s’agenouiller. Je me tourne d’un quart de tour et Marie se jette sur ma queue. Ses lèvres sont douces, chaudes et humides. Elle commence par sucer mon gland puis descend progressivement. J’arrive à voir ses fesses de temps en temps et la vue m’excite encore plus. Je commence à avoir les testicules qui me font mal, l’excitation continue de monter. Marie me regarde dans les yeux en me suçant, puis commence une gorge profonde avec un bruit de succion. Mon ventre se contracte. Je la regarde me sucer en me crispant. Je vois ses yeux pleins de malice et d’excitation. Elle commence à gémir puis se redresse. Elle déboutonne son chemisier jusqu’au soutien-gorge blanc en soie. Elle écarte les pans du chemisier pour dégager sa poitrine et commence à jouer avec ses tétons. J’ai l’impression que mon sexe va exploser sous la pression. J’ai rarement eu une érection aussi dure.



Marie rougit au compliment et recommence sa fellation. Elle me suce comme si c’était sa dernière fellation. Elle tient la base de ma queue de sa main gauche et son index droit passe à la base de mes testicules, puis il s’aventure plus bas et ça m’excite davantage. Je m’avance sur mon siège pour faciliter le chemin vers ma prostate. Elle comprend et commence à masser la zone. Elle me regarde de temps en temps et je vois un sourire au coin des lèvres malgré la fellation. Son index arrive à mon anus et elle commence à tournoyer à l’entrée, puis elle pousse doucement en avalant plus profondément ma queue. Mon ventre se contracte de manière involontaire sous l’effet du plaisir. Je suis au bord de la délivrance. Marie accélère sa fellation et accentue la pression sur mon anus. Je sens venir l’orgasme de ma prostate. Marie resserre sa main gauche pour retarder l’éjaculation et accélère encore avec des bruits de succion. La base de ma queue est recouverte de sa salive. L’orgasme part brutalement. Ma prostate se contracte violemment, mes testicules me font mal. Mon corps se contracte quand mon sperme envahit sa bouche. Marie me regarde à travers ses lunettes et aspire ma queue. Mon éjaculation est importante, mais elle avale en plusieurs fois, tout en continuant à me sucer pendant une dizaine de secondes. J’ai l’impression qu’elle m’aspire en entier. Mon corps est secoué de spasmes. Elle retire sa bouche et me regarde en souriant avec une goutte de sperme au coin des lèvres. Son visage rayonne.


Je m’approche d’elle et je l’embrasse pour la remercier. Sa bouche est salée et sensuelle. L’excitation commence à retomber, mais je ne peux pas décoller mes lèvres des siennes. Quel plaisir !

Marie recule et nos lèvres se séparent.



Je la regarde se rajuster et partir. Quelles formes et quelle bouche !