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Temps de lecture estimé : 20 mn
26/05/18
Résumé:  Les relations avec Marie évoluent.
Critères:  fh collègues travail fellation cunnilingu préservati pénétratio
Auteur : Balbon  (76balbon76)      

Série : Histoire de bureau

Chapitre 02
Plus qu'une assistante

Résumé de l’épisode précédent : « Promotion »

Bombardé directeur de ma boîte suite au décès de mon oncle, j’ai du mal à prendre mes marques. Un soir, je me lance dans une masturbation au bureau mais mon assistante, Marie, me surprend. Elle finira par me faire une gâterie…




____________________



Mardi 8 h. La soirée d’hier m’a vidé. J’ai eu du mal à trouver le sommeil malgré la fatigue. J’arrive au bureau en ne sachant pas à quoi m’attendre. Marie est déjà là et elle n’a pas l’air à l’aise.



J’ouvre la porte de mon bureau et avant que je la ferme, Marie me dit impassible :



Je me dirige vers mon bureau et allume mon ordinateur. Nous nous regardons sans rien dire quand Tiffany passe la porte.



Tiffany avait accès à mon agenda électronique donc elle a pu prendre la suite et m’aider à préparer certains rendez-vous. La matinée se passa normalement.

12 h 15. Tiffany rapporte les sandwichs.



13 h 40. Le téléphone sonne, c’est le bureau de Marie.



Elle raccroche et deux secondes plus tard elle frappe à ma porte. Elle entre et referme la porte. Marie s’approche de mon bureau, mais reste debout.



Marie tourne les talons sans un regard et sort.


19 h 30. Je ferme la porte de mon bureau à clé et je m’installe, écouteurs sur les oreilles et pantalon sur les chevilles. Je cherche la vidéo de la veille mais avant que je ne la trouve, on frappe à la porte. Je me rhabille en vitesse et ferme le navigateur.



Elle me regarde et j’ai l’impression qu’elle ne croit pas un mot de ce que j’ai dit.



J’aimerais pouvoir dire que je n’ai pas regardé ses courbes mais c’est faux. Je me surprends à la trouver moins attirante que Marie. Tiffany est jolie mais il lui manque quelque chose. En se retournant, elle voit que je l’observe. Son visage rosit, mais elle ne dit rien d’autre que "merci et bonne soirée".


Vendredi 11 h 30. Je sors de mon bureau en souriant.



Tiffany vint m’aider.



Marie ne dit rien jusqu’à ce qu’elle monte dans ma voiture.



Je stoppe la manœuvre pour sortir du parking et plante mon regard dans le sien. Je cherche comment répondre à cette question sans passer pour un nul.



Marie oublie de parler des relations plus qu’amicales qu’elle entretenait avec sa coloc. Elle n’était pas en couple car Marie ne s’est jamais imaginée dans la peau d’une lesbienne, c’était deux amies qui partageaient leur lit.



La conversation cesse et je ne suis pas pressé qu’elle reprenne. Arrivé à un feu rouge, je mets la radio et au passage regarde les jambes de Marie. Talons bleu marine aujourd’hui, bas ou collants transparents, jupe bleu marine qui remonte plus haut que le genou.



J’accélère et mes yeux ne quittent plus la route. Je me fais encore avoir à mon âge, on dirait un ado en chaleur ! Marie m’observe du coin de l’œil. Elle a l’habitude que les hommes la regardent. Mais avec celui-là, elle est partagée entre la gêne de se faire reluquer par son patron et de tomber dans la catégorie secrétaire-pot-de-fleur, et l’envie de jouer avec cet homme étrange.


Nous entrons dans le restaurant. Giovanni s’occupe de la conduire à notre table pour trois avec un sourire charmeur. Marie lui répond par un sourire quand son portable sonne :



Giovanni accourut avec son sourire.



Marie se mit à rire soit à cause du ridicule de l’Italien soit à cause de son charme… Elle le regarde s’éloigner puis m’observe. Je fais mine d’être occupé à lire la carte mais je ne sais pas si je fais illusion.



Nous parlons de tout et de rien : immobilier, les affaires de la boîte, les plats que nous aimions, bref rien de personnel.



Le déjeuner continue avec d’autres thèmes de discussion : les différences culturelles notamment entre les USA et la France, la situation politique. J’apprécie de pouvoir parler de sujets variés avec Marie. Elle a un esprit vif et cultivé.

À la fin du repas, je me lève pour aller payer. Marie objecte, mais je lui réponds que la boîte nous invite. Pendant que je fais la queue à la caisse, Giovanni passe à notre table et échange quelques mots avec Marie. Il lui tend une carte avant de passer à une autre table.

En remontant dans la voiture, Marie me dit que Giovanni lui a fait son numéro de dragueur italien. Je ne réagis pas. Marie omet de me dire qu’ils se verraient ce soir pour un apéro dans un bar italien…


La journée continue avec son enchaînement de réunions, coups de fil et problèmes urgents à traiter. Je quitte le bureau tôt pour continuer les visites d’appartements. Je me décide pour un appartement à deux pas du bureau. L’agence me donne rendez-vous le lendemain pour l’état des lieux.


19 h. Marie s’est changée et a opté pour une robe noire moulante et décolletée avec des talons assortis. Elle rejoint Giovanni qui l’accueille avec un grand sourire et une bise appuyée. Il la complimente sur sa tenue et la flatte. Elle n’est pas dupe mais ça fait plaisir de se faire courtiser. Elle veut du sexe sans complication. Après des antipasti et des bruschette, elle lui demande s’ils peuvent aller chez lui. Giovanni se lève d’un bond en disant que ses désirs sont des ordres. C’en est presque ridicule mais Marie a besoin de se sentir le centre du monde.


Arrivés chez lui, les vêtements tombent rapidement. Giovanni l’embrasse avec empressement puis descend sur sa poitrine, qu’il malaxe et embrasse. Il descend entre ses cuisses et commence un cunnilingus. Elle sent l’excitation monter en elle. Un plan cul, c’est exactement ce qu’il lui faut avec cette longue semaine. Giovanni abandonne rapidement son clitoris et se lève. Il passe sa main derrière sa nuque et dirige sa bouche vers son sexe. Il était gros et long. Marie gobe le gland et commence à jouer avec en donnant des coups de langue. Il appuie encore sur sa tête pour qu’elle descende plus profondément. Elle se laisse faire même si elle préférerait prendre son temps. Elle le suce pendant quelques minutes et les muscles de sa mâchoire commencent à se contracter sous l’effort. Son sexe est vraiment gros.


Elle se relève, l’embrasse et il la dirige vers le lit. Elle s’allonge sur le dos et écarte les jambes. Il prend un préservatif, l’enfile puis vient se mettre entre ses cuisses. Il lui dit qu’elle est magnifique et avant qu’elle puisse dire quelque chose, il la pénètre. Malgré l’excitation de Marie, il doit s’y reprendre à plusieurs fois en forçant un peu le passage. Marie ferme les yeux puis sent l’Italien commencer ses allers et retours. Il la pénètre de plus en plus vigoureusement. Celui-là n’est pas là pour le romantisme. Marie non plus. De nouveau, il embrasse sa poitrine et continue de longues minutes sur un rythme mécanique.


Marie pousse des cris pour faire monter sa propre excitation. Soudain, Giovanni sort et se redresse. Surprise, elle regarde la capote mais il n’y a pas de sperme. Giovanni lui dit qu’il veut la prendre par derrière. Elle se retourne, se met à quatre pattes. Quelques secondes plus tard, le membre italien est de retour. Giovanni l’attrape par les hanches et se met à la pilonner. Marie sent l’excitation monter. Elle n’est qu’un objet sexuel et le membre imposant lui procure des sensations nouvelles. Giovanni accélère et tape de plus en plus fort. Elle sent ses couilles taper sur son clitoris. Giovanni s’appuie tellement fort sur Marie qu’elle cède et se retrouve à plat-ventre sur le lit. Giovanni rajuste sa position et la pilonne, la tête dans les coussins. Soudain, il se raidit et crie. Il reste quelques secondes puis s’affale sur elle. Elle a droit à un baiser rapide sur la nuque et Giovanni sort de sa chatte puis de la chambre.


Marie reste à plat-ventre, frustrée car elle n’a pas joui. Le plan cul ne s’est pas déroulé comme elle le voulait. Aucune sensualité, pas de partage. Il a juste tiré son coup. Elle se lève et croise Giovanni qui sort de la salle de bains. Il la remercie sans même s’arrêter. Elle se rafraîchit pendant quelques minutes, puis se regarde dans la glace et décide de partir. Ils se rhabillent sans un mot. Giovanni lui fait la bise et lui propose de la raccompagner à sa voiture. Marie décline et quitte son appartement.


Sur la route de la maison, elle fait le bilan. Elle s’est fait baiser mais elle est déçue malgré la taille de son engin. Elle n’en avait jamais eue de si grosse mais elle était frustrée. Ça aurait dû être mieux et il ne s’est pas beaucoup occupé d’elle. Ce n’est pas son premier plan cul décevant, mais aujourd’hui elle avait besoin de plus. Arrivée chez elle, elle prend une douche puis avale un dessert glacé au chocolat et va se coucher. Elle a du mal à trouver le sommeil. La situation au travail est inconfortable : elle a cédé à une pulsion mais elle regrette. Elle finira par s’endormir tard dans la nuit.


Samedi 10 h. Marie décide d’aller travailler quelques heures pour s’avancer. De toute façon, elle n’a la tête à rien d’autre. L’usine travaille H24, week-end compris, donc elle sort un tailleur bleu marine, un chemisier blanc au cas où elle croiserait un superviseur de l’usine ou un cadre d’astreinte. Elle n’a pas le courage de se maquiller. Elle fait son chignon serré comme à son habitude et part travailler.

En arrivant à son bureau, elle voit un homme de dos en jean, baskets et T-shirt devant la photocopieuse. Elle met quelques secondes à me reconnaître.



Je me retourne, surpris.



Je ne sais pas quoi en penser…



Voyant que je ne comprends pas, elle s’explique.



Ses joues rosissent et je remarque qu’elle n’est pas maquillée. Elle sourit et je découvre des rides naissantes en plus des rides d’expression. Ses rides donnent de la chaleur à son visage. Je souris à mon tour.



Elle s’installe à son bureau, sort un dossier et se plonge dedans. Je la regarde pendant quelques secondes puis retourne à mon bureau. Après avoir répondu à des mails de clients reçus la veille, je relis quelques dossiers pour préparer la réunion de lundi avec un client important. Je ne suis pas l’aise de le rencontrer : j’ai l’impression de ne pas être prêt. Il me faudrait encore plusieurs mois pour être prêt…

Marie frappe à ma porte.



Marie me regarde quelques secondes. Je m’attends à ce qu’elle me traite d’idiot mais elle s’approche du bureau, amène une chaise et s’assoit à côté de moi.



Marie semble dans son élément. Elle connaît les rouages de la boîte et m’explique avec pédagogie. Je la regarde. Le masque n’est plus là. Est-ce à cause de l’absence de maquillage ? Son regard est moins froid qu’à son arrivée.



Elle se tourne vers moi. Je suis en train de rire.



Marie rougit.



Marie rougit. Elle se penche un peu plus sur le dossier ouvert sur mon bureau et fait mine de chercher quelque chose. Je ne peux résister à la tentation de voir la courbe de ses fesses se marquer un peu plus. J’ai envie de découvrir ce galbe avec mes mains mais je dois résister à la tentation. Ça serait malvenu après l’épisode de lundi. Marie me regarde sans rien dire. Zut ! Depuis combien de temps je la mate comme ça ? Je suis vraiment trop con quand je m’y mets. Je deviens écarlate.



Encore une fois, je passe pour un con avec Marie. Avec Tiffany, ça ne m’arrive pas, elle est plus compréhensive. Je ne veux pas admettre que Marie me plaît. Sa silhouette, son esprit, sa personnalité que je découvre chaque jour un peu plus m’attirent. Il y a quelque chose de fort chez elle qui me déstabilise. Elle me regarde et prend conscience de ma gêne. Elle sourit et pose sa main sur la mienne.



Une petite voix me dit « Vas-y sors ta queue ! » et l’autre petite voix répond « Encore des emmerdes sur le plan professionnel. » Je dois m’avouer vaincu encore une fois. Mon sexe grandit à vitesse grand V et il me fait mal. Je remonte mon T-shirt, défais ma ceinture, glisse ma main dans mon caleçon et repositionne verticalement mon sexe avant de faire descendre mes vêtements sur les chevilles. Marie se lève et me dit d’enlever mes chaussures et mon pantalon pendant qu’elle va fermer la porte à clé. Elle s’approche de moi avec assurance et s’assied sur sa chaise. Elle m’offre son flanc droit et se rapproche de ma chaise. Je suis nu. Elle regarde ce corps qui n’est pas sportif avec sa dizaine de kilos en trop et prend mon sexe. Elle sourit et me dit :



Incroyable ! Après quelques secondes de réflexion, je réponds :



Elle rougit et sourit. Sa main est douce et commence à me branler. Elle regarde mon sexe et rit toute seule. Elle me dit qu’elle a une idée et se lève. Je vois la courbe de sa fesse droite. Elle remonte sa jupe jusqu’au bas de sa culotte. Je vois ses bas blancs qui enserrent ses cuisses. Elle se rassied et se tourne vers moi en écartant les cuisses. De sa main gauche, elle défait deux boutons de son chemisier et se penche vers moi. Je vois son soutien-gorge et surtout le canyon formé par ses seins. Mon excitation bondit, ma tension crève le plafond. Mon sexe devient dur à me faire mal.



Elle ouvre la bouche et se passe la langue sur les lèvres. De sa main gauche, elle attrape son sein gauche et le masse lentement. Je regarde ses cuisses et ses seins et je sens venir l’éjaculation. La première giclée tombe sur sa main elle sourit et accélère le rythme. La deuxième semble venir de mes entrailles et atterrit sur ma joue. Marie a un cri de surprise et rit tout en continuant à me branler. Les deux dernières giclées tombent sur mon ventre puis du sperme s’écoule lentement de mon gland sur sa main. Marie ralentit le rythme de sa caresse mais elle continue en souriant, ses yeux brillent. Elle sait que le plaisir n’est pas encore fini pour moi. Je ne débande pas mais une sensation de chatouillis et de douleur me prend au gland. Je me redresse instinctivement. Elle lâche mon sexe et prend un mouchoir pour s’essuyer. Je fais de même. Il m’en faut plusieurs. À mon âge, je ne pensais pas pouvoir éjaculer aussi loin. Quel effet, elle a sur moi…



Elle rit, gênée, et se lève. Elle redescend sa jupe et commence à reboutonner son chemisier. Je l’arrête en posant mes mains sur les siennes. Elle me regarde étonnée :



Mes mains dégrafent son chemisier. Elle me regarde étrangement : un mélange de "vas-y" et de "stoppe, t’es pas mon mec". J’enlève son chemisier et je fais descendre sa jupe. Elle retire ses talons hauts. Son corps était très attirant malgré les quelques kilos en trop. Je luis ôte son soutien-gorge et sa culotte. Elle ne garde que ses bas. Elle me regarde, immobile. J’embrasse sa poitrine et commence à jouer avec ses tétons. Sa respiration s’accélère. Elle était tendue et ferme les yeux. Je l’invite à s’asseoir sur mon bureau. Je repousse sur le côté du bureau écran et téléphone pour qu’elle puisse s’allonger. Je lui baise le ventre, le nombril en descendant vers sa toison. Sa respiration s’accélère encore.


Je me mets à genoux et relève ses jambes. J’embrasse l’intérieur de chaque cuisse en progressant vers son sexe. Elle commence à gémir. Ma langue arrive sur son sexe en passant sur ses lèvres puis elle se fraie un chemin jusqu’au clitoris. Je prends mon temps. Elle dit "Oui" mais comme je ne demandais pas d’autorisation, je continue à titiller son clitoris. De temps en temps, je lèche tout son sexe et introduis ma langue dans son vagin. Ses hanches commencent à rouler. Elle met sa main sur ma tête et me presse contre son sexe. Je décide de passer à la vitesse supérieure. Ma langue devient dure comme un dard et je stimule son clito de droite à gauche, très vite. Je sens son muscle se contracter et son jus coule sur mon menton.


J’entends « Putain c’est bon, continue ! » Je fais une pause et lui dis « On ne vouvoie plus son patron ? » d’un ton joueur. Elle relève la tête et avant qu’elle ne parle, j’aspire son clito et toute la zone. J’ai le nez dans la toison taillée de près et son jus dégouline sur mon menton. Ma langue bat frénétiquement le clito de bas en haut. Ses cuisses m’emprisonnent. Elle agrippe ses tétons et les tord. J’ai de la difficulté à respirer et je souffle comme une baleine sous l’effet de l’excitation et de l’effort. Mon cou tendu me fait mal. Mes mains tentent d’écarter ses cuisses pour garder le maximum de pression sur son clito et pour ne pas mourir étouffé. Elle crie. Son ventre est parcouru de spasmes et ses cuisses tentent d’arracher ma tête. Mes épaules me font mal mais je ne lâche pas la prise. Je veux son plaisir. Son clito a des contractions et sa tête se relève. Elle me regarde dans les yeux et l’orgasme la libère. Je continue la stimulation jusqu’à ce qu’elle ouvre les cuisses et repousse gentiment ma tête.


Son jus a dégouliné sur mon torse, mon ventre et mon sexe dressé. Son visage rayonne, ses yeux brillent, j’ai la femme la plus désirable devant moi. Elle me remercie et m’embrasse. Ce baiser est intense, long et parfumé. Elle se met debout et regarde mon sexe dressé.



Ce n’est plus la même femme. Elle s’agenouille et commence la meilleure pipe qu’on ne m’a jamais faite. Toute le répertoire y passe : coups de dents sur le gland, coups de la langue sur le frein, gorge profonde, changement de rythme et de pression.



Je compris qu’elle parlait d’hier soir. C’est étrange de parler de ce qui m’a stimulé hier. J’hésite.



Elle éclata de rire.



Je me sens mal à l’aise. Est-ce que je suis allé trop loin en lui parlant de mon trip d’hier ?



Elle me sourit et me dit que la levrette arrivera sûrement un jour. Elle reprend sa fellation encore plus motivée. D’une main, elle m’attrape le téton gauche et le fait jouer entre ses doigts. Je la préviens que je vais jouir. Elle recule sa tête en gardant ma queue dans sa bouche et me suce le gland en me regardant dans les yeux. L’éjaculation ne se fait pas attendre. Je suis surpris par la quantité de sperme, je pensais être sur la réserve, mais il en reste encore. Les giclées atterrissent sur son palais puis Marie avale avec gourmandise tout en me regardant. Elle nettoie mon sexe toujours en me regardant. Ses yeux brillent de satisfaction et les miens aussi. Elle se relève et m’embrasse. Je la saisis et l’attire sur moi. Je la serre très fort en lui donnant un baiser plein de sensualité. Nous restons un moment dans cette position à profiter du plaisir de nos corps nus se touchant…