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Temps de lecture estimé : 25 mn
19/06/18
Résumé:  Au réveil, les deux amis franchissent des barrières interdites... mais pas celles qu'on pouvait prévoir.
Critères:  fh extracon collègues vacances cérébral fmast fsodo -amiamour
Auteur : Penn Sardin            Envoi mini-message

Série : Les 50 limites de l'amitié H/F

Chapitre 06 / 15
Des nouvelles limites franchies : ultimes mais inattendues

Résumé de l’épisode précédent :

Véronique a révélé que ces vacances ont été voulues par leurs deux conjoints pour solder définitivement leur amitié. Stéphane a été le seul à être dans l’ignorance de ce complot. Il accepte le sacrifice de Véronique pour exorciser sa rage contre cette manipulation : il lui donne une fessée qu’elle accepte de bonne grâce. Cette fessée se transforme en une joute sexuelle intense mais sans pénétration.


oooo0000oooo


Nous nous sommes séparés dans la nuit de quelques centimètres. Je me réveille comme hier à cause du soleil à travers les volets qui m’envoie un rayon laser dans les yeux. Il doit être tard, le soleil est fort et chaud. Un coup d’œil au réveil : 9 h, c’est bon mais il ne faut pas trop se prélasser, il me faut préparer un nouveau petit-déj de reine, ce sera une des marques de fabrique de ces vacances et il nous faut du temps pour parler avant que Véro ne s’envole vers sa nouvelle amie.Véro semble encore endormie, je vais me lever sans la réveiller mais avant il faut que je mette un peu d’ordre dans mes pensées.


Je n’arrive pas à comprendre complètement ce qui s’est passé hier mais pour ce qui concerne la révélation de Véro, sa manipulation et son départ, j’ai perdu tout ressentiment. Je ressens encore de la colère contre le sort qui va détruire la si belle aventure de notre amitié devenue si intense et si ambiguë. D’y penser de nouveau, au calme, fait renaître la douleur. C’est moins vif qu’hier mais c’est très fort quand même. Je me souviens combien l’offrande de Véro pour me soulager a été spontanée, belle et terriblement efficace.


Par contre, je sais maintenant que la tranquillité apparente d’Audrey, quand je suis parti, était feinte. Elle devait être à la fois rassurée de savoir que Véronique ne serait bientôt plus une menace pour son couple et angoissée de savoir que l’hallali de notre amitié pourrait provoquer une relation sexuelle entre nous. Le fait qu’Audrey ait accepté la possibilité d’une parenthèse unique n’excuse pas les dérives auxquelles je me suis livré ces trois jours : je n’ai pas d’excuse à ses yeux et elle peut ne plus pouvoir continuer sa vie avec moi. Mais surtout je crains qu’elle soit en train de vivre un enfer ce moment même et j’en suis le seul responsable.


Ce matin, maintenant que je sais, je suis lâche et coupable de ne pas rentrer immédiatement. Mais un retour prématuré, en refusant d’aller au bout de ce que Audrey a construit en en connaissant l’enjeu, et de ce que Audrey m’a même imposé en me cachant la raison de sa décision, créerait une situation encore plus difficile à vivre pour elle. Je suis dans une nasse, il n’y a pas d’autre issue que de continuer… Une nasse incroyablement agréable… mais une nasse sans autre issue. Le vin est tiré, il faut le boire… aussi bon soit-il… et advienne que pourra.

Cette sentence est peut-être un peu guidée par mon envie de vivre quelque chose de fort avec Véro mais elle est solide pour ce qui est de mon engagement avec Audrey. Je vais donc laisser le marteau du juge tomber sur ce choix de rester et vivre le reste de ces vacances improbables pour ce qu’elles sont : une parenthèse dans nos vies voulues et acceptées par tous les quatre mais aussi le bouquet final d’un attachement qui devenait incompatible avec nos couples parce qu’il devenait aussi important que ceux qui nous unissent à nos conjoints.


La présence de Véro nue près de moi me fait sortir de mes pensées éthérées. Le drap dessine la courbe délicieuse de sa hanche et cette magnifique croupe me rappelle la scène intense de la fessée. Je me souviens que seule la première claque sur ses fesses a été guidée par la colère et que les autres ont été un partage où j’acceptais que Véro se sacrifie pour moi. La composante érotique ne s’est amplifiée que très progressivement, pour moi au moins, parce que Véro a eu l’air d’avoir vraiment envie de continuer par des caresses assez tôt dans son supplice.


Je suis maintenant capable de gérer ma peine. Je ne permettrai plus à mon amie de faire une offrande aussi intime et dévouée mais je suis heureux d’avoir été sauvé par elle. Je suis heureux qu’elle ait pu se donner pour moi au nom de ses sentiments, heureux que nous partagions maintenant une fusion aussi forte.


J’ai encore ma trique du matin, je suis incorrigible et indigne de cette femme guidée par ses sentiments ! Mes sentiments, les souvenirs intenses de la veille, l’image des fesses rougies de Véro et sa présence nue près de moi rendent cette bandaison plus intense que jamais. Irrésistiblement, je me love pour un court instant contre Véro et mon sexe prend sa place entre ses fesses. Place douce et accueillante qui lui convient si bien. Véro ne témoigne pas d’envie de se réveiller, mais elle se recule imperceptiblement pour me sentir plus fort contre elle. Elle veut reprendre notre position du coucher, comme si c’était maintenant la seule position qui nous correspond à tous les deux. Cela me va parfaitement aussi, je me vois très bien passer la journée ainsi. Comme un amant, que ne suis pas, je l’embrasse dans le cou, je la caresse de tout mon corps pour sentir le sien de tout son long.


Je sens ses talons qui se lovent dans le creux de mes coups de pied ; je sens ses mollets doux contre mes tibias ; le creux de ses genoux qui enveloppent les miens, ses adorables cuisses dont la voluptueuse douceur caresse ma peau ; je sens ses fesses se caler contre mon aine et envelopper délicieusement mon dard ; j’aime son dos courbé contre mon ventre et ma poitrine ; le creux de son cou qui abrite mon menton et l’arrière de son oreille qui attire mes baisers. Je n’ai pas une attitude amicale, mais définitivement celle d’un amant.


Nous sommes étreints depuis de longues minutes, notre contact étroit est une merveilleuse caresse immobile. Néanmoins, au bout d’un moment, sans doute pour relâcher une petite tension gênante, Véro bouge un peu sa cuisse, ce qui écarte un peu ses fesses. Cela permet à ma queue dardée de s’insérer plus profond entre ses deux globes troublants. C’est un coup au but, mon sexe est maintenant prisonnier dans un antre merveilleux dont il ne veut s’échapper sous aucun prétexte.


Tant pis pour les croissants, je ne suis plus capable de combattre cette tentation fantastique. Je bouge un peu les hanches et c’est merveilleux : les fesses de Véro sont une machine diabolique pour caresser mon vit débordant d’envie. Véro ne s’arrête pas là, elle serre et desserre et ondule ses fesses pour masser ma bite et se rendre encore plus la maîtresse de mon corps. J’enlace un peu plus Véro contre moi, nos deux corps se pressent pour se sentir au maximum. Mon sexe est enfoncé pour sentir la caresse la plus forte qui soit. Nos mouvements sont imperceptibles mais suffisent à irradier des ondes de plaisir intense par ma peau et par mon sexe.


Je glisse une main entre nous pour appuyer sur mon sexe pour qu’il s’immisce plus encore entre les fesses et que le gland atteigne les lèvres douces du sexe de ma Véro. Elle se cambre beaucoup plus, j’ai maintenant ses fesses complètement contre mon ventre. Elle descend aussi sa main pour remplacer la mienne et décider elle-même de ce qu’elle m’offrira. Si elle m’offre son sexe, je ne le refuserai pas cette fois, je n’ai plus la force de garder nos principes, elle a détruit ma volonté.


Véro appuie mon sexe contre son clitoris et, de petits mouvements en rond ou en d’avant en arrière, elle le masse avec force. Par moments, elle présente sa vulve sur le bout de mon sexe, le fait presque franchir le seuil de l’antre interdit comme pour tester ma détermination. Elle doit bien sentir que je n’ai plus de volonté, alors elle renonce et remet mon gland contre son petit bout saillant entre ses lèvres. Mon sexe est inondé de la liqueur du plaisir naissant de mon amie, il glisse voluptueusement entre les chairs secrètes. Le jeu dure longtemps. Véro peut m’utiliser pour son plaisir comme elle le veut et aussi longtemps qu’elle le veut, cela me va ! À ce moment, sans signe annonciateur, Véro se dégage de mon étreinte et sort du lit :



Et aussitôt, avec légèreté et impudeur elle disparaît vers la salle de bain. Je respecte sa consigne à la lettre : son envie de reprendre la situation merveilleuse dans laquelle nous nous trouvions me convient parfaitement. Et effectivement après quelques minutes sans suspens, Véro se glisse dans le lit par le mouvement inverse qui l’en avait extraite et reprend strictement la même position. Y compris en guidant mon vit dans sa situation scabreuse.


La distraction provoquée par sa courte disparition s’évanouit très vite et nous retrouvons l’intimité intense de ce réveil sensuel avec juste en plus une fraîcheur bienvenue de ses chairs intimes et une concentration plus totale encore sur nos sensations. Nous avons conscience de partager la même envie, profiter de ce moment volé au destin pour atteindre les sommets de volupté que nous savons à notre portée. Je sens que mon sexe glisse merveilleusement entre ses cuisses, Véro aurait-elle profité de son tour à la salle de bain pour lubrifier son entrecuisse ? Quoiqu’il en soit, la nouvelle situation me donne des sensations encore plus magistrales.


Maintenant Véro alterne de plus en plus vite le haut et le bas de son sexe, chaque fois elle attire mon vit plus loin en elle sans que cela ne devienne vraiment une pénétration. Son jus et son supposé gel ont inondé mon sexe sur toute sa longueur, sa main et ses fesses, la caresse est glissante est voluptueuse pour nous deux. Cela dure merveilleusement, je bande toujours plus, je suis convaincu que notre délivrance à tous les deux ne pourra plus venir maintenant que de la pénétration qui nous est interdite : tant pis je suis vaincu !


Véro doit sentir qu’elle est la scénariste de notre joute, elle étend nos mouvements comme elle l’entend, selon ses sensations. Mais cette caresse, toute merveilleuse qu’elle soit, ne semble pas capable de l’emporter au sommet. Son autre main vient à la rescousse pour masturber fébrilement son clito tandis qu’elle utilise mon sexe comme un sextoy pour masser sa vulve.


Ce n’est pas encore assez, elle appuie mon sexe à l’entrée de son antre inondé de cyprine et l’agite sans l’enfoncer. C’est imminent, son sexe appelle le mien, par des petits va-et-vient nous sommes à l’orée de faire l’amour en cuillère comme de vieux amants. C’est une sensation merveilleuse qui en annonce de plus grandes encore mais ne seront possibles que si j’enfonçais mon sexe plus profondément. Véro mène la danse sans s’occuper de moi, c’est elle qui fait cette ronde infernale aux portes du paradis. Elle ne peut que ressentir la même frustration que moi. Comme je n’ai résisté à aucune des petites transgressions de nos règles qu’elle a déjà faites ce matin, elle sait que je ne la protègerais pas de ses élans si elle décidait de céder.


Elle se cabre encore un peu plus, les dés sont jetés ! Je sens mon sexe s’enfoncer un peu plus que jamais entre ses lèvres. Son désir d’être pénétrée est impérieux : elle le manifestait de tout son corps chaque fois que mon gland s’était glissé entre ses lèvres intimes. Mais au lieu de franchir enfin la barrière invisible, elle repousse ma queue et caresse son périnée. Mon gland est pressé par ses doigts pour caresser fortement la séparation entre ses deux orifices secrets. Et contre toute attente, en bougeant ses hanches imperceptiblement, Véro présente ma queue longue et dure contre son petit trou trempé de sa mouille abondante. Elle appuie fort comme pour l’introduire, elle veut le sentir le plus fortement possible.


Véro se cambre, écarte sa cuisse gauche pour dégager sa rosette, serre vigoureusement ses doigts sur ma tige et elle presse fort le bout de ma queue pour le faire entrer un peu, pour sentir un début de pénétration. Puis elle refait glisser ma tige vers son sexe en la pressant sur sa vulve pour l’amener à l’entrée de sa chatte et jouer encore à la fausse introduction. Elle fait bouger ma queue entre les grandes lèvres plusieurs fois puis se déhanche encore pour la faire remonter contre son clito toujours branlé par son autre main.


Encore une station de caresses langoureuses où toute ma queue frôle ses zones sensibles et s’inonde de son jus. La main branleuse reprend son jeu sur le petit bouton du plaisir féminin et Véro renvoie mon sexe tendu vers ses nymphes. Elle semble hyper excitée, va-t-elle cette fois-ci vouloir prendre ma queue en elle ? Effectivement, elle enfonce un peu plus ma bite à l’entrée de son sexe, et l’agite pour la sentir à plein sans la faire trop entrer. Ma queue lui sert de godemiché, elle l’utilise comme elle le veut mais toujours sans l’introduire.


Mais Véro ne veut pas aller au bout du chemin interdit. Si elle l’avait voulu, elle l’aurait déjà fait. Elle est, ce matin, le Cerbère que j’ai été hier. Je l’aime pour ce complément de ma volonté qu’elle sait avoir dans les moments intenses comme celui-là. La frustration, que nous ressentons tous les deux, c’est certain, est devenue intenable, presque pénible. Véro y met enfin un terme : ses doigts, qui s’agitaient sur le clito jusque-là, sont venus pour repousser mon chibre frustré et pénétrer spasmodiquement dans sa chatte à sa place. L’autre main, qui tient ma queue, la repousse de nouveau vers la porte de derrière pour l’appuyer aussi fort qu’elle le peut.


J’écarte la fesse haute de Véro pour lui faciliter cette caresse troublante : si Véro veut que je lui branle son anneau avec ma bite, je suis cent pour cent d’accord. Je n’ai aucune expérience de ces caresses mais elles me fascinent. Sa position ne lui permet que de presser le bout de ma bite sur son œillet : si elle veut plus, il faut que je l’aide. Véro se tourne un peu sur le ventre et je la suis pour me retrouver presque au-dessus d’elle pour que mon vit ne perde pas sa position avantageuse contre son œillet.


Je n’arrive pas à croire que Véro veuille vraiment une intromission dans son petit cul si secret et si délicat. Elle veut, c’est certain, la sensation d’un appui fort et pressant sur son petit trou pour faire écho aux sensations que sa main lui donne sur et dans son sexe. Elle libère sa main pour attraper un tube qu’elle avait dissimulé sous l’oreiller et le tend vers moi sans me regarder. Et dès que je le saisis, sans rien dire, sa main reprend sa place sur sa vulve. Elle masse avec frénésie son clito de la paume, introduit ses doigts dans sa chatte et appelle ma bite en tendant ses fesses vers moi. C’est clair, ce tube de lubrifiant m’intime l’ordre de me consacrer à son petit orifice serré. Si elle veut un appui fort, elle va l’avoir ! Elle m’excite tant. Avoir ma queue contre son cul me rend fou de désir. Je resterai maître de mes actes mais je lui offrirai tout ce qu’elle me dira qu’elle veut dans le domaine sodomite qui m’attire et me bouleverse autant. J’enduis mon vit de crème et en fait couler entre ses miches. Je lui écarte encore un peu plus la fesse de ma main et lui écarte même une cuisse.


Je replace mon dard et enfin j’appuie progressivement et par petits coups de plus en plus forts sur son petit trou fripé en écartant ses fesses de mes deux mains. Véro se branle de plus en plus frénétiquement et elle me tend son cul pour m’encourager à lui donner plus de sensations encore. Le bout de ma queue a déjà repoussé les muscles tendus de son rectum pour se glisser à l’entrée. À ce stade, elle doit se sentir suffisamment forcée, pénétrée à la limite de la douleur mais pourtant elle continue à appeler ma queue en elle. J’ai peur de lui faire mal, notre position n’est pas si favorable et ma tige hyper excitée est plutôt grosse.


Elle s’agite toujours plus, elle va jouir de ses caresses incessamment. Cette introduction partielle est déjà un cadeau merveilleux pour moi qui n’ai jamais sodomisé une femme et qui étais certain de ne jamais le faire qu’en rêve. Sa jouissance n’arrive pas malgré sa branlette démente. Elle tend du cul de manière éhontée m’enjoignant sans un mot d’aller plus loin de lui donner plus de sensations. Je rajoute sur ma queue un peu de gel et j’appuie un peu plus encore et je sens le bout de ma queue s’enfoncer progressivement dans son petit trou.


Véro a suspendu la caresse de sa chatte mais maintient ses fesses tendues vers moi avec fermeté. Elle est, comme moi, attentive à ce qui se passe dans son cul mais n’exprime rien pour changer le cours de cet envahissement. J’écarte encore plus ses fesses pour faciliter l’intromission. Je crains vraiment de lui faire mal mais je sais aussi qu’elle désire autant que moi cette possession incroyable.


Mon gland est maintenant entré. C’est une sensation de pression incroyable que son anneau exerce sur la partie la plus sensible de mon sexe. Une caresse forte et prégnante comme je n’en ai pas encore jamais connue. C’est une impression de possession animale et tendre à la fois de cette femme que j’aime tant. C’est une offrande fantastique qu’elle me fait. C’est un moment incroyable.


Je fais des mouvements imperceptibles d’avant en arrière mais je n’ose plus bouger : je ne voudrais pas sortir de son petit trou du cul pour tout l’or du monde et elle doit être au seuil entre l’envie de sensations fortes et la douleur. Je lui souffle mes craintes dans l’oreille pour qu’elle sache que je suis attentif à ce qu’elle ressent :



Je sens qu’elle bouge, elle a repris ses caresses sur son sexe, sa supposée douleur n’a pas éteint son excitation. Elle tend de nouveau ses fesses pour relancer le mouvement de ma queue dans son fondement. Je mets encore un peu de gel pour huiler ma bite et son trou dilaté que je caresse pour l’attendrir. Je pousse encore et, sans forcer beaucoup, je sens mon sexe glisser lentement dans son anus. Le mouvement est lent, progressif mais inéluctable, ma bite s’enfonce enfin en elle à fond.


Véro continue à tendre fermement ses fesses vers moi et à se masturber de plus en plus fort. La sensation est aussi forte que je l’imaginais dans mes rêves les plus fous. Sensation multipliée par l’émotion de l’interdit et de l’union hyper-intime avec cette femme que je désire plus que tout. Je ne sais pas traduire ses gémissements, ses halètements, ses tremblements, ses petits cris : Est-ce de la douleur, de la frustration ou du plaisir ? Je suis enfin au fond d’elle, c’est délicieux de sentir ses fesses sur mon ventre, ma queue enserrée de tout son long dans son étroit fourreau, de sentir ma Véro offerte et possédée.


Ma tige est maintenant pressée fortement à sa base et voluptueusement et uniformément sur toute sa longueur, c’est une sensation fantastique et nouvelle de plaisir physique mais aussi de possession psychologique totale et mutuelle entre moi et mon amante aimée. Le bout de mon sexe, si sensible et si profondément fiché dans mon amie, m’apporte la sensation qu’une partie de mon corps est aussi à elle. Grâce à mon gland, je peux ressentir ses sensations physiques à elle.


Je ne bouge pas depuis quelques instants, mais cela ne lui convient pas. Elle entame d’elle-même un lent va-et-vient qui fait glisser ma queue dans ses entrailles. Les premiers mouvements sont petits mais augmentent progressivement. C’est Véro qui donne la mesure et la posture par les mouvements de ses hanches. Elle recherche et maintient une position précise qui doit correspondre aux sensations idéales que cette intromission immorale peut lui donner. Elle est recroquevillée sur elle-même, ses doigts doivent être profondément dans sa chatte, je les sens bouger à travers la fine paroi qui les séparent de ma bite. Ma bite va-et-vient, glissant facilement dans le cul lubrifié et dilaté de mon aimée, je frappe ses fesses douces et fraiches en cadence, c’est divin !


C’est tellement bon, heureusement que la pression de son anus sur la base de ma tige est forte, cela me préserve d’une éjaculation précipitée. Ma tendre enculée se donne du plaisir sans précipitation avec sa main et en se massant le trou du cul sur mon godemiché naturel. Je synchronise mes mouvements en miroir sur les siens et nous atteignons un rythme qui nous apporte à tous les deux les sensations optimum. Ma queue me donne un plaisir qui irradie dans tout mon corps, et les faibles tremblements spasmodiques de ma complice quand mon vit s’enfonce à fond m’indiquent qu’elle partage cette sensation. Je frise l’apoplexie, mais je maîtrise quand même mes pulsions.


Cela aurait pu ne jamais finir, mais, mais, un moment, sans signe annonciateur, Véro se crispe et amplifie d’un coup nos mouvements. Elle enfonce ses doigts au plus profond de sa chatte, enserre ma bite avec son cul comme pour l’écraser de tout son long et presse ses fesses sur mon bassin. Elle tremble, se cabre encore pour avoir ma queue plantée avec force dans son cul, mais ne bouge presque plus, tétanisée dans un spasme. En miroir j’ai saisi ses hanches et je me maintiens fermement tout au fond d’elle. J’écrase ses fesses, ma queue projette mes sensations en elle, je ressens pleinement la possession virile et son emport de tout mon être vers des sommets inconnus du plaisir. Et enfin, Véronique aussi se fait emporter : elle pousse un cri étouffé et reste ainsi crispée de tout son être. Elle a joui intensément…


La pression sur ma bite immobile enfichée au fond de ses fesses est une caresse d’une force incroyable. C’est l’étincelle nouvelle, inattendue qui met le feu à ma jouissance : le flux de ma semence remonte dans ma verge oppressée et inonde les entrailles de ma tendre aimée. C’est une sensation époustouflante, nouvelle et incroyablement intense. Je sens couler ma semence par salves dans le cul de ma Véro adorée. Ma verge est prise de spasmes qui la font grandir encore dans l’antre interdit et projette mon jus au plus profond d’elle. C’est une émotion nouvelle, un baptême qui me rend à jamais uni à cette femme merveilleuse. Je perds la conscience de mon corps, de nous, de mon être, je ne suis plus qu’un sexe éperdu de plaisir.


Véronique se relâche doucement, ma queue, moins dure, ressent la pression plus fortement et c’est bien agréable. Je goûte avec délice le contact voluptueux de Véro, de son dos, de son corps nu et de ma tendresse pour celle qui vient de m’offrir le plus intime d’elle-même. Je l’enserre d’un bras pour appuyer ma poitrine contre elle. Je suis bien dans et contre son corps, sans bouger. Une grande lassitude me gagne. Véro ne bouge plus que pour étendre un peu les jambes, elle doit ressentir le même relâchement paisible que moi.


Nous restons ainsi longtemps. Ma queue perd sa raideur et grâce au lubrifiant de sa cyprine et au sperme dont je l’ai inondé, le petit trou de Véro fait sortir doucement et gentiment l’intrus ramolli. Je n’ai plus ma fringante vigueur pour me maintenir enfoncé en elle. C’est une sacrée aventure, une aventure complètement inattendue que nous venons de vivre. Une merveilleuse aventure que nous avons vécue à deux dans une communion parfaite.


Il va falloir que nous en parlions ?

Cette pratique licencieuse ne nous correspond pas. En toute extrémité, elle n’a que le sens de nous permettre de nous posséder l’un l’autre sans franchir la porte du « faire l’amour ». Porte qui est interdite à des amis H/F sans transformer leur amitié en statue de sel. Cet acte sodomite, laid pour certain, mais si beau à mes yeux, n’est pas dicté par la construction d’une amitié ou de rien du tout. Il est advenu naturellement de notre intimité coupable, de notre désir ; de la force de ce qui nous unit et qui est indéfinissable ; de la certitude du plaisir brut que nous avons le pouvoir de nous donner l’un à l’autre sans tabou et sans donner des sens universel à nos actes. Il va falloir que nous en parlions, Véro a dû souffrir physiquement, au moins au début, et elle a voulu malgré tout que nous allions jusqu’au bout.


Elle a eu un plaisir intense et étrange qu’elle acceptera peut-être de me raconter. J’ai envie de comprendre comment est né cet abandon, cette offrande, ce cadeau époustouflant que m’a fait mon amie de toujours. Elle l’a fait pour elle aussi, comme je l’ai fait, pour mon plaisir mais aussi pour répondre à ses sensations et à son envie. Nous ne nous mentons pas, je veux croire qu’elle n’a pas feint, qu’elle a eu vraiment du plaisir, un plaisir particulier, spécial, mais un vrai plaisir. Qu’elle ait ressenti un plaisir miroir du mien serait vraiment merveilleux. Nous avons décidément beaucoup de choses à nous dire, il doit être bien tard et la lassitude nous a gagnés. Nous n’aurons peut-être pas beaucoup de temps pour parler ce matin, c’est dommage…


Pendant notre forfait, le rai de lumière s’est déplacé de ma place vers celle de Véro que nous occupons tous les deux dans notre étreinte. Nous sommes tous les deux en plein jour dans une chambre sombre et dans une douce chaleur radieuse. C’est un peu comme si un projecteur était braqué sur nous pour concentrer les applaudissements du public après notre prestation hors du commun exécutée de main de maître. Ces sunlights ont évité que je plonge dans un sommeil profond. Je peux profiter du doux contact du corps de Véro et garder un peu le cap sur ce que nous avions prévu pour cette journée. Après un dernier baiser dans le cou de mon aimée je me sépare d’elle à regret et je me lève.


Je passe sous la douche, je m’habille d’un rien et je pars pour la boulangerie après avoir lancé la machine à café. Quand je reviens, Véro est dans la salle de bain, et comme hier, je prépare un petit-déj de princesse. Après quelques minutes, Véronique sort toute nue de la salle de bain. Elle est si belle dans la lumière vive de ce matin sans nuage. J’ai très envie de la prendre dans mes bras de nouveau et de l’étreindre mais j’ai une meilleure idée encore.


L’image est fantastique ! Je prends mon appareil photo qui est en permanence sur la table et d’un regard interrogateur je lui demande l’autorisation d’immortaliser le beau tableau de sa nudité dans la lumière. Mon amie acquiesce d’un regard de renoncement bienveillant comme une comtesse qui concèderait un geste tendre à son prétendant. J’immortalise la scène en mitraillant autant que mon appareil l’autorise en quelques secondes : je ne garderai qu’une seule photo mais je la veux parfaite. Véronique prend quelques poses très sobres mais, aussitôt après, limite la scène en me tournant le dos par une gracieuse pirouette. Je peux faire ainsi de belles photos de son dos et de ses fesses inondées de soleil, c’est un beau point de vue, ma foi ! Après quelques secondes, elle quitte la pièce en me lançant avec un dédain feint :



Je prends la salle de bain aussitôt, pour finir ma toilette, tout en réalisant ce qui vient de se passer. En me rasant, je réfléchis à tous les sujets que je devrais aborder avec Véronique pour reprendre pied « à deux » dans cette aventure, mais nous n’en avons plus le temps ce matin. Mais d’abord, il faut que je rassure Véro sur Valérie si c’est nécessaire, pour qu’elle vive cette journée pleinement et qu’elle garde toutes ses chances de s’en faire une grande amie. En plus, il faut que je lui parle rapidement des Parisiennes. J’accompagnerai sûrement ces charmantes jeunes femmes un moment là-haut. Je n’envisage pas d’abuser de ces trop jeunes femelles, elles n’en ont certainement pas envie et je n’ai que Véro en tête. Ma libido a été mise à plat par l’intensité de ce que j’ai vécu ce matin. Je serai galant avec ces femmes pour être cohérent avec la prévenance que j’ai eue pour elles hier et pour signifier à Véro qu’elle est définitivement libre de partager une nouvelle relation avec Valérie.


Voilà deux sujets qui épuiseront, à eux seuls, le temps imparti si je ne veux pas la harceler. Je m’en veux d’être calculateur ! Je devrais être spontané, Véro et notre relation franche et simple le méritent, mais tout cela est décidément trop important et trop compliqué. Je suis surpris dans mes réflexions par Véro qui frappe à la porte de la salle de bain :



Je suis resté perdu dans mes pensées plusieurs minutes avec la mousse sur mes joues et le rasoir à la main.



Je finis mon rasage en un tour de main et rejoins mon amie assise devant un thé fumant. Elle a remis sa tenue d’aventurière, elle est craquante. Elle est enjouée et m’accueille d’un large sourire.



Véro hésite, se mord la lèvre avec un éclair malicieux dans l’œil et enfin, avec un sourire de coquine, elle me révèle ce qui lui tient à cœur tout en l’amusant beaucoup :



Je ne trouve rien à ajouter. Véro est devant moi, concentrée dans ses pensées. Elle revit la situation cochonne qui lui a donnée un plaisir intense et retrouve ainsi une partie de ce bonheur. Et sans le savoir elle me remmène aussi au cœur de ce moment magique. Et comme pour revivre mieux la scène elle ajoute :



Elle est toujours concentrée sur sa rêverie coquine, je ne l’interromps pas.



Mon amante est lumineuse, son visage m’en dit plus sur le plaisir qu’elle a ressenti que toutes les descriptions par des mots.



Nous continuons notre petit-déj en rigolant et en nous moquant l’un de l’autre, mais nous restons sans le dire l’un et l’autre dans l’intimité de cette révélation. Je ne sais plus ce que je m’étais promis de lui dire mais cette communion de nos corps est bien plus importante et ne laisse la place à aucune autre émotion. En fin de repas, Véro a une répartie qui me ramène à mes objectifs :



En disant cela, elle se ravise, elle a peut-être peur de m’avoir blessé ? Je veux encore une fois la rassurer :



Cette provocation digne de Véro ne restera pas impunie. Je me lève d’un geste en la regardant fixement sans émotion pour la tromper sur mes intentions. Je fais le tour de la table, la saisis et la prends sans ménagement dans mes bras. Je l’étreins sans cesser de la fixer avec une rage apparente. Très vite cette colère feinte est vaincue quand elle me fait son plus beau sourire. Je l’embrasse passionnément comme dans un film des années trente. Elle se serre aussi contre moi et notre baiser se prolonge longtemps. Je la garde contre moi et je l’emmène sur la terrasse que le soleil haut baigne très chaudement. Je prends un ton grave pour aborder le sujet qui me préoccupe le plus. Je regarde Véro dans les yeux, il est tard, il faut qu’elle parte rejoindre Valérie :



Un dernier baiser et je relâche mon étreinte à regret. Véro s’éloigne, d’un pas alerte, vers l’autre côté du village en me faisant un petit signe sans même se retourner. Je l’admire s’en allant loin de moi, elle est craquante aussi de dos. J’admire sa silhouette déhanchée par la marche, ses cuisses bronzées, sa chevelure libre sur ses épaules nues et sa taille fine ceinte de son short de baroudeuse, et elle me plaît vraiment beaucoup !