n° 18502 | Fiche technique | 53072 caractères | 53072Temps de lecture estimé : 31 mn | 06/08/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Les trois amis-amants font l'amour et font tomber toutes les barrières. Mais aussitôt après, c'est l'aboutissement tragique de cette parenthèse enchantée. | ||||
Critères: ffh fbi extracon hépilé fépilée vacances amour fellation cunnilingu anulingus 69 double fsodo init mélo | ||||
Auteur : Penn Sardin Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les 50 limites de l'amitié H/F Chapitre 15 / 15 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent :
Véronique et Stéphane sont maintenant des amants sans ambiguïté. Ils ont passé la journée à se caresser et à faire l’amour sans réserve.
Le soir, Valérie les a rejoints pour une soirée sensuelle pleine de confidences, de séduction et de serments pour sanctuariser une relation à trois éternelle. Mais après ces préambules, le trio veut concrétiser cette longue préparation à l’amour.
**********
Je rentre dans la chambre, enjoué, le ventre rentré et le torse bombé. Mes compagnes m’accueillent en me reprochant d’avoir tant tardé :
Je ressens aussi que les deux mètres qui me séparent des deux amantes sont frustrants et je m’introduis sans délai dans le lit pour les prendre contre moi délicieusement. Nous nous caressons et nous embrassons tous les trois indifféremment. Il n’est pas question d’homosexualité ou d’hétérosexualité, il s’agit d’exprimer une tendresse par des douceurs sensuelles sans tabous. Je suis sûr que si notre groupe comprenait un autre homme, je n’aurais pas plus de réserve dans mes câlins, c’est très étonnant !
La tension sexuelle monte progressivement. Valérie d’abord, puis tous les trois commençons à vouloir plus d’intensité dans nos échanges. Les souffles se font plus courts, et nous nous lançons finalement à corps perdu dans des ébats licencieux.
Véronique a pris mon dard dans sa bouche avec avidité et Valérie se masturbe en frottant sa chatte glabre sur ma bouche. Je sais, sans le voir, que Valy doit caresser aussi sa compagne. La joute sexuelle est lancée, nous irons au bout de la nuit sans fatigue et sans considération pour nos activités érotiques de la journée.
La variété des combinaisons qu’offre un trio est telle que nos préliminaires durent longtemps en nourrissant une envie dont l’intensité monte inéluctablement. J’apprends à différentier le satiné de la peau de mes deux maîtresses, à reconnaître le goût et l’odeur de leur cyprine. Mes mains, mes lèvres identifient maintenant à coup sûr chaque partie des deux corps féminins qui s’offrent à moi. Je mémorise pour la vie, mille tableaux sensuels sous les angles de vue les plus intimes. Jamais aucun de nous n’est laissé pour compte : nous avons trop peur de perdre un instant de cette joute triangulaire.
Pour encourager le côté lesbien de nos jeux, qui est si nouveau pour Véronique, je m’investis à fond quand elles se lancent dans un soixante-neuf qui devrait m’exclure. Véronique est dessus la première fois et me présente son petit trou fripé. Je lui fais alors une feuille de rose mouillée et pénétrante sous les yeux de sa brouteuse de gazon sans gazon qui n’en revient pas. Un gémissement lascif de la suppliciée prévient Valérie que mon baiser scabreux complète idéalement la caresse qu’elle lui fait sur le sexe. Les deux bouches dévouées à son plaisir enchantent Véro qui se déhanche et ne cesse d’exprimer son plaisir par des gémissements et des encouragements salaces.
Valérie ne connaît peut-être pas cette pratique très coquine, mais dans son souci d’harmonie Véronique décide de renverser la situation en faisant rouler leurs deux corps imbriqués et je comprends qu’elle veut que je fasse la même caresse à son amante. Qu’à cela ne tienne, Valérie va découvrir à son tour le plaisir de se faire lécher le petit trou par une bouche dévouée dotée d’une langue pénétrante tout en se faisant dévorer le sexe par une bouche féminine tout aussi inquisitrice.
Comme sa consœur précédemment, Valérie se donne sans façon à nos deux langues. Elle nous encourage à brûler les étapes pour lui offrir des plongeons impétueux dans ses deux trous secrets. Après avoir longuement exploré les avantages du plaisir buccal, nous revenons à des caresses plus manuelles qui ouvriront la voie à ma queue impatiente. Quand enfin mon vit se retrouve à caresser longuement la vulve inondée de Valérie, la pénétration tellement attendue se produit naturellement. Valérie pousse alors un gémissement de contentement total, il n’est plus question de lui refuser cette caresse.
Véronique qui voyait l’événement arriver, avait encapuchonné mon vit quelques minutes plus tôt au cours de sa dernière, et d’ailleurs très profonde, fellation. Comme hier, je suis au-dessus de ma seconde amante et je la prends voluptueusement. Valérie a saisi ma hanche d’une main et m’attire au plus profond d’elle. Valérie serre les jambes pour bien sentir mon sexe en elle. Je l’emprisonne sous moi pour la sentir pleinement.
Mon amante m’attire en elle par à-coup, elle veut des sensations fortes.
Je pistonne ma petite Valérie avec fougue et cela lui plaît. Elle m’encourage de « Oui !», avec ses mains, avec ses gémissements. Elle témoigne du climax qui enfle en elle en me mordant dans le cou et soudain… hurle son plaisir à mon oreille. J’adorerai jouir de cette merveilleuse femme qui vient de me donner son corps avec tant de passion, mais je sais que cela ne me permettrait pas de continuer cette nuit que je veux interminable. Je m’abstiens donc et je me retire, à contrecœur, de cette grotte aux délices. Je donne un baiser à ma victime abandonnée et me tourne vers Véro :
Je ne peux pas résister, je me lève et m’approche d’elle pour l’enlacer et l’embrasser.
Nous nous installons près de Valérie qui nous observe avec amusement et je couvre ma nouvelle amante de baisers. Véro est pressée, elle ne veut pas de préliminaires, elle veut du concret tout de suite. Elle me retourne sur le dos et empoigne mon sexe raide.
J’ai toujours la capote qui n’est plus très bien en place. Elle m’en débarrasse d’un geste ample et la remplace par sa bouche enveloppante. Je suis sucé de divine façon deux minutes, puis ma partenaire adorée me chevauche fièrement et enfonce mon vit en elle avec détermination, mais aussi avec douceur.
La Walkyrie se déhanche avec frénésie sur mon vit à la recherche de toutes les sensations fortes qui seraient à la hauteur de son envie. C’est très intense et satisfaisant pour nous deux, mais Véro ne veut pas s’en contenter. Elle se couche sur ma poitrine et écrase ses seins sur moi. Nous échangeons un baiser brûlant et elle entreprend de m’attirer sur elle pour passer aux choses sérieuses. Je l’accompagne dans son mouvement et nous nous retrouvons, moi sur elle, sans que mon sexe ne quitte son antre ruisselant.
Je n’en reviens toujours pas que nous soyons amants, Véro et moi. C’est un rêve éveillé, un renversement délicieux après tant d’années à se désirer tout en respectant scrupuleusement l’interdit. Je ne veux pas penser à la suite tragique de notre histoire, je goûte seulement la sensation incroyable et bouleversante de faire l’amour à mon amie-amante de toujours et pour toujours.
Véronique m’accueille entre ses cuisses écartées et je suis fiché profondément en elle. Nous nous regardons avec gourmandise pendant que je vais et viens avec force. C’est une position sauvage qui ne nous amènera pas au zénith, mais c’est une expérience partagée fantastique.
Je sais que nous finirons cette joute dans une étreinte tendre et très étroite comme celles qui nous ont apporté tant de plaisir depuis ce matin et avec la complicité de Valérie qui découvrira ainsi notre vraie façon de faire l’amour Véro et moi… Mais pas tout de suite, nous avons le temps.
Je renverse mon amante et dans ce mouvement de roulade, l’entraîne à s’offrir en levrette. Je me positionne derrière elle et l’embroche de mon vit sans coup férir. Véronique, très excitée par nos premiers jeux, m’accueille en manifestant son plaisir. Elle écarte ses cuisses, se cabre et surtout ondule sa croupe pour exprimer son envie de cette partie de sexe débridé. Valérie nous observe avec ostentation en portant sa main à son sexe :
Pour toute réponse, Véro se redresse sur ses genoux et entreprend de caresser et d’embrasser notre spectatrice sans complexe, mais sans cesser de s’offrir à mes coups de boutoir qui lui arrachent des ahanements de plaisir. Le tableau de leur baiser est joli, mais celui des fesses voluptueuses que je secoue en les frappant de mon aine est encore plus bouleversant.
Nous nous rassasions de cette relation forte et puis je change à nouveau de registre. Je me retire et je retourne ma poupée de plaisir et me love contre elle pour la prendre avec la tendresse et la douceur qu’elle m’inspire. Véro est toute petite sous moi, ses jambes serrées pour ressentir mon sexe avec force dans sa chatte détrempée. Je fais un signe à Valérie pour qu’elle nous rejoigne pour ressentir la volupté de notre étreinte.
Quand Valérie est contre nous, sa tête dans le cou de Véro, son corps contre mon côté, elle peut ressentir nos moindres mouvements et nos moindres sensations. J’enlace les deux femmes pour nous unir dans un triple coït.
Véro me guide dans ma façon de servir son plaisir. Elle serre plus ou moins dans ses cuisses ; elle appuie parfois sur mes fesses ; elle nuance ses baisers et ses gémissements dans mon cou ou alors elle crispe les muscles de son vagin sur ma queue. C’est fantastique de jouir à trois. Progressivement Véro monte vers la grande extase et Valérie et moi l’accompagnons, éperdus de tendresse.
Les deux filles se donnent alors un baiser de feu. Véro montre les signes d’une jouissance imminente. Elle m’attire encore plus en elle, j’amplifie mes mouvements et elle exprime son envie de grimper toujours plus haut. Au sommet de son délire, elle se tétanise de plaisir en nous serrant contre elle. Je ne cesse pas de posséder son sexe profondément et sans qu’elle reprenne ses esprits, je suis moi aussi emporté dans une jouissance bouleversante. Mon sperme monte dans mon vit et inonde le sexe de ma Véronique adorée.
Nous restons tous les trois enlacés, comme un seul corps, unis par nos peaux trempées de sueur qui se touchent de toute part. Je reprends doucement mes esprits et me sépare de mes deux nymphes. Valérie, alerte, regarde mon sexe humide de la cyprine de son amie et de mon sperme.
Sans attendre ma permission qu’elle lui sait acquise, elle se penche pour prendre ma queue dans sa bouche. Quelle douce caresse ! Je commençais à débander, mais la pipe de Valy entretient ma tension. Je vais être capable de garder une queue tendue si elle continue.
Valérie parle d’amour facilement alors que nous ne nous connaissons pas depuis longtemps. Avec Véro nous ne prononçons toujours pas le mot en « A » aussi directement. Cette précipitation ne nous paraît pas incongrue, tellement nous nous sentons bien ensemble !
Valérie ne m’abandonne que pour nettoyer de sa langue le sexe dégoulinant de Véro et se délectant de toutes ces saveurs musquées. Et une fois nos deux sexes assez propres et sûrement plus insipides, elle se lève et nous propose de prendre un café près du feu : cette joute débridée nous a fait oublier la fatigue qui nous avait conduits dans la chambre. J’approuve cette idée, mais je veux prendre une douche avant.
Valérie s’éclipse aussitôt, et nous la suivons en traînant un peu sous le poids de la fatigue. Sous la douche, Véro n’est pas en manque de confidence :
Nous nous séchons mutuellement avec moult signes de tendresse puis nous rejoignons le salon où un café-tisane est près sur la table basse devant le feu. La décontraction et la bonne humeur nous font apprécier ce moment volé au temps. Quand Valérie nous abandonne quelques minutes pour prendre sa douche, il y a des caresses osées entre Véro et moi, mais c’est juste pour agrémenter le script de la soirée.
Nous la comblons de caresses tous les deux pour lui donner raison.
Véro, semble à nouveau étrangement émue, elle a une révélation à faire à son amie.
Nous restons tranquillement devant le feu à nous caresser et au bout d’un moment, Valérie se glisse au bas du canapé et reprend la pipe qu’elle avait interrompue :
Véronique se place près de la canaille pour coopérer à son entreprise :
Les deux jeunes femmes se donnent alors un baiser tendre et sans séparer leurs bouches, elles absorbent mon gland. Commence alors une pipe magistrale, baveuse, enveloppante, caressante. J’ai déjà eu mon compte de plaisir ce soir et je me croyais rassasié, mais ces bacchantes sont redoutables. Deux bouches et quatre mains s’activent sur mon sexe et sur mes boules avec une douceur incomparable tout en associant toutes mes zones érogènes sans tabous.
Quand Valy suce avec avidité mon gland, sa partenaire fait virevolter sa langue partout entre mes cuisses, de mon cul à mes bourses. Et quand la lécheuse remonte le long de mon membre, la suceuse lui abandonne mon vit pour m’enculer d’un doigt fin et mouillé tout en me faisant un suçon appuyé à l’endroit le plus caché de mon corps.
Très vite, la sève monte en moi. Je n’ai pas à décrire ce qui se trame, les deux filles ont un sixième sens : quand mon plaisir explose, elles s’en partagent le maigre jus avec un délice apparent. Je suis vanné, assouvi, repu. Je suis affalé dans un canapé moelleux et j’ai deux merveilleuses femmes nues à mes pieds comme pour me rendre grâce : je suis un prince comblé.
Dans le lit, je suis placé d’autorité entre les deux sabines. Elles se collent à moi et posent leur tête sur ma poitrine. Il est très tard, mais nous voulons malgré tout profiter de notre trio intime encore et encore. C’est au tour de Valérie de s’interroger :
Nous restons silencieux encore un moment avec la lumière, le temps que la torpeur s’installe. Je sens le sommeil me gagner quand Valérie reprend la parole :
Les deux filles sont certainement aussi fatiguées et repues de sexe que moi. Elles me font un bisou sage et se tournent. Nous nous endormons bien vite.
**********
Je suis réveillé avant mes deux amantes. Je ressens une lassitude physique après les abus de la veille et je serais satisfait d’une journée d’abstinence pour me refaire une santé. Je me sens rassasié sexuellement !
Aujourd’hui est notre dernier jour de vacances et il faut qu’il soit dans la lignée de ce miracle et ne soit surtout pas le premier jour d’après. Il sera toujours temps de recouvrer mes forces et mes envies. Valérie a manifesté un désir bien coquin et bien intéressant hier soir. Je serai heureux de l’exaucer. D’un autre côté, je veux aussi faire l’amour à Véro aujourd’hui : ce sera une dernière fois pour toute notre vie. Après je la verrai comme une amie, l’interdit reviendra intact sans regret. Je suis content d’avoir l’occasion de faire le point dans ma tête tranquillement à l’aube de la conclusion de cette grande parenthèse.
Valérie se manifeste la première des deux filles. Elle se retourne vers moi, et encore dans les limbes du sommeil, pose sa tête sur ma poitrine. Elle se pelotonne contre moi pour capturer ma chaleur, je sens ses cuisses, son sexe, son ventre contre moi. Elle se réveille encore un peu, puis négligemment elle saisit ma queue toute molle pour jouer avec. Valérie n’a aucun tabou, le corps d’un homme ne l’impressionne pas le moins du monde. Sa manipulation devient progressivement une caresse, puis elle n’a qu’à se baisser un peu pour prendre ce petit appendice sans aucune raideur complètement dans sa bouche tout en enveloppant mes boules dans sa paume. Une jolie jeune femme qui s’approprie mon sexe par tendresse, c’est une sensation agréable physiquement, mais aussi émotionnellement. C’est un acte qui témoigne d’une grande confiance mutuelle et d’une proximité totale. Mon corps ne reste pas inerte bien longtemps. Je ne sais pas exactement qu’elle est la situation au bas de mon être, mais je sens que ma bite devient plus sensible et plus fringante en réponse à ce déploiement d’attention.
Valérie revient vers moi pour me donner un baiser :
Elle monte sur moi pour frotter son corps contre le mien. Après quelques minutes, elle se redresse, les lèvres de son sexe enveloppant mon dard bandé. Elle branle son clitoris sur mon gland en regardant le spectacle :
Pendant ce temps, Véro s’est tournée vers nous et écoute notre conversation sans intervenir. Je continue le dialogue avec Valérie, tout lui prenant la main de la nouvelle venue pour lui signifier que je l’accueille parmi nous sans hésiter :
Valérie a tout de suite su à quoi Véro faisait allusion. Les deux filles s’en vont main dans la main pour une préparation bien prosaïque. Véro est effectivement une femme avertie : à chacun de nos débordements sodomites, elle a su se ménager une préparation intime adéquate en toute discrétion. Elle va transmettre son savoir-faire à son amie sans aucune fausse pudeur.
Elles n’ont pas fermé la porte, j’entends quelques « oh ! » et des rires gênés, mais je n’ai aucun autre indice sur leurs pratiques si intimes. Elles reviennent après cinq minutes en plaisantant comme si elles avaient été au marché pour s’étendre sur moi de tout leur long. Je fais basculer Valérie entre ses deux initiateurs pour passer enfin à la pratique, et je prends le contrôle des évènements. Valy a les jambes écartées sans pudeur. Pour nous mettre en situation, je glisse ma queue entre ses lèvres intimes et après quelques allées et venues, je m’enfonce dans sa chatte lentement.
Faire l’amour à Valérie avec Véro collée contre nous satisferait le plus exigeant des amants. Nos caresses et nos baisers à trois sont tranquilles, mais passionnés. Mon amante sait multiplier mes sensations en pressant ma queue avec ses muscles intimes, je suis sur une pente douce vers le Nirvana. Je sens le plaisir de Valy enfler doucement et je peux suivre sa progression aux spasmes de son vagin sur mon dard. Le chemin vers l’extase semble droit et direct, mais il n’est pas dans nos plans. Je sors ma queue de cet antre délicieux sans prévenir :
Valérie s’exécute et nous la caressons tous les deux comme s’il s’agissait de la reine de Saba. Nos deux bouches et nos quatre mains courent sur son corps. Aucune partie accessible n’est laissée pour compte ! Bien sûr, son petit cul est au centre de nos préoccupations et nos langues recherchent régulièrement à fureter dans son sillon. Valérie écarte ses jambes de bonne grâce et se cabre autant qu’elle peut. Cela favorise nos incursions vers son calice fripé, mais aussi nos caresses fouineuses peuvent aussi s’égarer sous son ventre à la recherche de son petit bouton. Par des ondulations et des petits gémissements, notre victime nous encourage à toujours plus de caresses et toujours plus d’entreprises.
Au bout d’un moment, nos approches échauffantes m’amènent à planter ma langue dans l’anus vierge que Valérie me tend en se cabrant de manière très suggestive. Je lui sépare les fesses pour m’offrir l’accès au temple sacré et je l’encule avec ma langue comme préliminaire sodomite. Je lui fais des pénétrations répétées et toujours plus insistantes. Son anneau aime ma sollicitude, il se décontracte vite et recherche les sensations.
Du regard, je surveille Véronique que mes pratiques pourraient choquer. Subir une telle caresse peut surprendre, mais les sensations nuancent très vite leur apparence scabreuse. Par contre, en tant que spectatrice, cette « ex » oie blanche qu’est mon amie de toujours pourrait ne voir que l’image triviale de ma caresse osée. Il n’en est rien. Véro me jette d’abord un regard surpris, puis elle me fait très vite la mimique faussement indignée numéro 45, mais jamais elle n’exprime de dégoût ou une réprobation. Il faut dire que la suppliciée réagit très positivement à l’intromission coupable après un « oh ! » de surprise enchantée.
Véro n’est décidément pas choquée. Elle masse la vulve de Valérie dégagée par la cambrure adoptée par la suppliciée. Occasionnellement sa main se glisse vers son petit trou, je lui laisse volontiers la place. Le cul de Valérie est tellement décontracté et mouillé de salive que le majeur de Véro glisse facilement sur la rondelle. Au cours d’une de ces incursions coquines, j’appuie sur l’ongle de Véro pour l’inciter à oser une première pénétration. Mon invite est tout de suite comprise : chaque longue caresse de mon amie-amour est une occasion de planter un, puis deux, doigts dans le fondement de sa copine. Valérie lui avait demandé ironiquement de participer à son baptême sodomite. Dans les faits, elle se joint réellement à moi et c’est bien ses deux amis qui la prennent de concert pour cette première fois.
La cambrure de Valérie est divine ? Je m’éloigne une seconde du théâtre pour prendre quelques photos. Quand je zoome sur le majeur féminin fiché dans le cul offert, je fais les photos les plus cochonnes de ces vacances !
Mon éloignement exige que Véronique prenne le relais pour continuer à échauffer les sensations de Valérie. Alors qu’elle a affiché une indignation feinte il y a trois minutes en voyant ma bouche se délecter de cet orifice réputé sale, elle entreprend de faire à son tour une feuille de rose à ce petit cul délicieusement offert. Je filme l’acte autant que possible et en zoomant au maximum et je peux voir que la langue de Véro est largement aussi envahissante que la mienne. Véro est maintenant une convertie de l’Ass-Licking et cela promet pour leur relation future. Je suis content d’avoir été un Pygmalion qui a fini de transformer ma tendre amie en libertine, efficace dans les plaisirs lesbiens qui l’enchanteront à l’avenir. Véro écarte des deux mains les deux miches de son amante et enfonce son visage profondément entre elles pour dévorer ce cul comme elle le ferait de la plus crémeuse des pâtisseries.
Mais il ne faut pas perdre de vue l’objectif de cette matinée. Je m’approche à nouveau pour installer Véro sous sa compagne dans un parfait soixante-neuf. Les filles sont chaudes et se broutent alors le minou avec gourmandise. Je me couvre d’une capote et je me présente à genoux derrière Valérie. Je suis les ondulations de son derrière animé pour pouvoir masser son anneau plissé avec mon gland.
Véro, qui a la bouche plaquée sur la moule de sa copine suit mon attaque de près. Je sens que le petit orifice n’est pas assez huilé, je glisse ma queue plus bas pour récupérer la lubrification nécessaire. Je me glisse une première fois dans la bouche de Véro, qui m’accueille malgré un angle peu favorable. Elle lubrifie volontiers mon vit avant de m’envoyer masser le petit trou avec une insistante grandissante. Je reviens chercher plusieurs fois le gel lubrificateur naturel de la bouche de Véro et de la chatte dégoulinante de Valy pour pénétrer chaque fois un peu plus ce cul vierge et complaisant. Valérie est excitée et s’offre volontiers à cette joute. Mes pénétrations fugaces dans son vagin, mais surtout le cunnilingus dévorant de Véro l’ont mise dans un état de désir total.
Elle a peut-être un peu mal à chaque intromission, mais n’en laisse rien paraître. Ce petit jeu rend son cul si accueillant que mon gland entre et sort maintenant avec facilité. Il n’est plus question de jouer : la nouvelle pourfendue s’empare elle-même de ses fesses pour les écarter et pour me signifier de lui porter l’estocade.Je rajoute toute la salive dont je dispose, masse l’orifice sacrifié, qui est maintenant bien souple, et enfin…
Je m’enfonce alors d’un seul long et lent mouvement au fond de son mignon petit cul.
Je retrouve le plaisir particulier et intense de la pression forte de cet antre étroit à la base de mon vit surtout, mais aussi voluptueusement tout au long de ma tige. Je suis ému aussi par l’interdit, l’offrande ultime de la femme au mâle pourfendeur, la caresse de ses miches sur mes hanches qui s’écrasent sur des fesses douces au moment où ma queue est au zénith de son emprisonnement licencieux. Je ressens à nouveau ce plaisir ineffable que Véro m’a fait découvrir, il y a seulement deux jours !
Véronique suce la moule de sa consœur avec véhémence. C’est visiblement bien venu pour Valy qui ondule le bas de son corps au rythme de la brouteuse. Je me soumets à leurs imprécations païennes et je pistonne ce petit trou en m’accordant à leur cadence.
Au cours de ce chemin vers la félicité, je sens les doigts de Véro à travers la fine paroi qui sépare son anus et son vagin. Valérie subit donc une double pénétration pour sa première sodomie, elle brûle les étapes. Notre trio devient endiablé. On ne sait plus qui est le chef d’orchestre, mais le plaisir de Valérie est le moteur de l’intrigue.
Valérie, qui quémande, qui exige toujours plus de force, de vigueur, de profondeur dans son supplice. Elle ne suce plus la chatte qui est devant sa bouche, elle se consacre tout entière à son plaisir coupable. Je suis plaqué sur son dos avec ses fesses moulées dans mon aine et j’ai la tête enfouie dans son cou : notre étreinte scabreuse est une fusion totale de nos deux corps.
Notre union guerrière et jouissive s’intensifie sans cesse jusqu’à ce que Valérie rende les armes : elle se tétanise en se levant sur ses bras et en lançant son cul pour le planter sur ma dague et elle crie son plaisir ultime. J’ai attrapé ses hanches pour m’enfoncer profondément dans son cul et sentir les convulsions de ses muscles sur ma queue. Je pousse de toutes mes forces écrasant ses fesses sur mon aine, la sensation est divine. Je jouis dans son cul interminablement, c’est trop bon !
Tout le monde se relâche sur le lit sans rien dire. Nous venons de transgresser tous les tabous, de jeter notre morale bourgeoise au feu et nous sommes repus de luxure et de fornication. Valérie, la star de notre aventure, se retrouve entre nous et nous donne tour à tour des baisers reconnaissants. Après quelques minutes de demi-sommeil, elle se retourne sur Véronique pour l’enlacer dans une étreinte amoureuse bouleversante.
Les deux filles restent longuement enlacées sans bouger et enfin, Véro s’anime la première pour proposer un petit-déjeuner réparateur. Nous nous levons tous les trois pour une douche commune bien nécessaire. C’est bien sûr l’occasion de caresses, mais pas trop.
Nous nous partageons les tâches et nous sommes bientôt tous les trois sur la terrasse pour un repas réparateur qui est aussi un repas d’adieu. Nous nous sommes rassasiés « physiquement » de notre trio, cet adieu n’est pas lourd.
Pour les filles, c’est un au revoir. Nos plaisirs coupables ont ouvert en grand une page licencieuse entre elles, qu’elles choisiront ou non de refermer. Même si elles reviennent dès demain à une amitié plus chaste, ce qui m’étonnerait beaucoup, cet intermède sera pour elles un souvenir de plaisirs partagés qu’elles se sont données exceptionnellement : souvenirs partagés qui ne feront qu’affermir leur amitié. Si elles décident de construire une amitié émaillée de plaisirs lesbiens, cette matinée aura été la révélation de leur goût pour les caresses féminines les plus débridées.
Pour moi, cet adieu commence à me déchirer de l’intérieur. Je ne veux pas y penser. Je me concentre sur le bonheur d’être avec mes deux amantes au soleil à plaisanter et sur l’avenir radieux qui s’ouvre pour mes amies. Je les aime toutes les deux et leur attachement sera aussi le mien : par procuration.
L’heure de partir est arrivée pour Valérie.
Elle prend son amie dans ses bras pour lui donner un baiser intense. Les deux corps s‘épousent sans tabou et sans réserve. Elles se séparent à peine pour que Valérie glisse dans mes bras sans transition. Et puis, notre étreinte se relâche et Valy recule en nous dévorant des yeux. Valy s’éloigne alors, sans se retourner… elle n’aura pas réussi à éviter les larmes : elle sourit comme pour s’excuser de cette faiblesse adorable… Après dix pas, elle se retourne enfin. Les soubresauts de ses épaules laissent penser qu’elle pleure alors sans réserve. Je prends Véro sous mon bras et nous regardons notre précieuse amie partir au loin.
Véronique et moi devons tout ranger pour rendre le chalet, mais nous avons largement le temps. Nous nous regardons sans un mot, essayant de lire dans les yeux de l’autre le sentiment dominant. Je serais surpris que Véro décrypte les miens parce que, moi-même, je ne suis pas en mesure de les trier. Le regard de mon amie s’obscurcit alors, je la connais trop bien pour ne pas savoir qu’elle veut brutalement instituer une gravité inattendue :
Je n’ajoute rien, comme la fois précédente : tout ce que je pourrais dire serait sot et n’aiderait pas Véro.
que, après notre escapade, quoiqu’il s’y passe, nous n’ayons plus jamais de contact, toi et moi. Plus jamais. Et par quelque moyen que ce soit.
Elle a les larmes aux yeux et je sens que ces mots sont ne sont pas imagés, ni pour elle, ni pour son mari. Elle hurle alors :
J’imagine le dilemme dans lequel Véronique était, mais aussi je comprends maintenant le raisonnement de Philippe. Cet homme que je connais peu m’impressionne par la finesse et la force de son jugement. Véronique poursuit :
Nous sommes tous les deux figés par les enjeux de cette fin d’aventure. L’avenir est à ce moment plus important que le présent. Je suis perdu dans mes pensées. Cette apothéose à la fois destructrice et salvatrice est incroyablement bien vue pour le couple de Véro, mais je fais aussitôt le parallèle avec le mien. Mon couple n’a pas été aussi bien protégé par le deal entre Philippe et sa femme. Je ne peux m’empêcher d’exprimer mon désarroi :
L’évocation du retour à la maison fige mon amante dans une tempête de cerveau, mais la sérénité de son expression me dit qu’elle croit aussi que cette porte favorable est bien ouverte.
Je prends Véro par la main et l’entraîne par la main vers la chambre. Là, je lui retire les quelques vêtements qu’elle a mis et nous nous couchons, nus sur le lit. J’ai voulu cette situation sensuelle qui est l’aboutissement de l’évolution de notre relation au cours de ces vacances, mais il n’est pas question que nous fassions l’amour. Et je sais que Véro a parfaitement compris.
Après quelques minutes à nous regarder, je l’enlace et sers mon corps contre le sien. Nous nous couvrons de baisers et de caresses, les derniers de notre vie ! Nous n’avons pas envie de faire l’amour, juste de nous sentir le plus intimement possible. Cette étreinte sensuelle n’appelle pas de prolongement, elle nous contente par elle-même. Elle n’est pas fatigante, elle n’a pas de point d’orgue qui deviendrait le bout du chemin, elle peut donc durer jusqu’à satiété. Nos caresses varient pour goûter l’autre complètement avec toute la sensualité dont nous sommes capables, mais sans sexe.
Le désir s’immisce en nous sans que nous l’ayons invité : Véronique masse de plus en plus sa vulve sur mon aine ; je pétris de plus en plus fort les fesses merveilleuses qui s’offrent à mes mains ; nos corps s’épousent de plus en plus pour rechercher chaque étincelle de désir de l’autre. Quand nos attentions ont trop dérivé vers des prémices sexuelles, nous savons tous les deux que nous allons faire l’amour une dernière fois. Sans avoir recherché le désir, mais en l’ayant trouvé dans notre corps à corps ultime.
Nos lèvres se trouvent pour un baiser passionné interminable et en même temps ma queue tendue se glisse entre les cuisses de mon amante. Sans mouvements autres que les caresses que nos corps se donnent en glissant l’un sur l’autre, mon dard s’immisce dans le sexe caché entre les cuisses jointes qui s’ouvrent à peine. Sans aucun mouvement perceptible, je pénètre ma Véronique, je la possède une dernière fois, sans la passion débordante de ces derniers jours, mais, peut-être pour la première fois, sans culpabilité. J’ai l’énergie du désespoir qui se mélange à la pulsion de la prendre pour toujours.
Quand je suis fiché en elle profondément, Véro serre les cuisses fortement. Elle ressent pleinement mon vit en elle. Nous fusionnons comme nous l’avons déjà fait, mais sans artifices, sans préparation : juste l’union de nos corps. Nous faisons l’amour longtemps, en ne bougeant presque pas, nous écoutons le désir de l’autre et nous synchronisons pour grimper les marches du plaisir ensemble une à une. Nous prenons tout notre temps et avec quiétude et assurance notre envie monte de notre sexe pour nous envahir tout entier.
Quand nous jouissons tous les deux, c’est le bout de notre chemin. Nous sommes des amants tranquilles, sûrs de nous et de l’autre, sûrs d’avoir eu raison de vivre nos sentiments malgré notre destin qui nous séparera tout à l’heure pour toujours.