Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18500Fiche technique55342 caractères55342
Temps de lecture estimé : 32 mn
04/08/18
Résumé:  Véronique et Stéph vivent enfin une journée d'amants accomplis dans une nature luxuriante. Mais, pour la soirée, leur couple accueille avec joie Valérie pour former un trio coquin.
Critères:  fh ffh copains collègues hépilé fépilée vacances bain danser voir exhib nudisme noculotte vidéox fellation cunnilingu
Auteur : Penn Sardin            Envoi mini-message

Série : Les 50 limites de l'amitié H/F

Chapitre 14 / 15
Amis-Amants

Résumé de l’épisode précédent :

Lors de leur soirée à trois, tous les tabous étaient tombés, sauf un. Le lendemain au réveil, Stéph et Véronique sont enfin devenus pleinement amants dans l’intimité d’un lit et dans l’ambiance sereine d’un matin de vacances. La force de leur plaisir et de leurs sentiments amoureux a été à la hauteur de cette attente si longue et si frustrante. Ils veulent maintenant vivre les derniers moments de leurs vacances volées en amis-amants assumés.




**********




La douche et le petit-déjeuner sont effectivement expédiés rapidement. Nous nous partageons les tâches efficacement et nous nous retrouvons sur le chemin en une demi-heure.


Véro a choisi une tenue piropo sans hésiter et j’en suis heureux. Je suis toujours aussi séduit par la plastique de ma partenaire, mais il n’y a plus d’ambiguïté : je peux la désirer, la regarder et même la caresser sans que cela n’enfreigne le moindre tabou et je ne m’en prive pas.


Nous sommes amants, mais, hors d’un lit, nous sommes d’abord des grands amis. Nous parlons beaucoup de son avenir sur l’île de La Réunion : Véro a une idée précise de ce que sera sa vie, mais elle en a une vision bien triste. En parler lui fait du bien, elle peut exprimer ses craintes et cela l’aide à nuancer ses peurs. L’existence de Valérie et sa présence là-bas qui se concrétise en en parlant, lui apporte un espoir nouveau qui lui permet d’envisager de construire quelque chose de sympa.


Quand nous arrivons à l’étang, il n’y a personne, mais il peut arriver quelqu’un n’importe quand, aussi je propose à Véro que nous nous installions sur un rocher en corniche. Ce sera un plongeoir naturel de deux mètres et nous y serons à l’abri du regard des arrivants impromptus.


Je n’ai pas envie d’inciter ma complice à faire quoi que ce soit, je la veux portée par ses inspirations. Notre séjour au camp naturiste a dû lui en donner le goût de la nudité dans la nature et la tranquillité des lieux y inspire naturellement : c’est donc sans hésitation qu’elle se met nue sur la natte pour mon plus grand plaisir.


On s’installe donc sur la grosse pierre en plein soleil. Véro est câline. Notre nudité, la langueur induite par la chaleur et la poésie des paysages créent une ambiance sensuelle et sereine à la fois. De notre promontoire, la transparence de l’eau est vertigineuse et après dix minutes à la regarder en discutant, sans nous concerter, nous nous levons et nous plongeons dans l’abîme rafraîchissant. La froideur de l’eau nous incite vite à nous étreindre, la chaleur du corps de l’autre et l’émotion que son contact nous apporte sont des remèdes miracles aux morsures de l’onde glacée.

Nous remontons malgré tout sur notre promontoire après un quart d’heure pour retrouver la chaleur intense du soleil et du rocher qui se prête à la langueur.


Nous sommes dans l’eau pour la seconde fois, quand un petit groupe de promeneurs se présente à l’autre bout de l’étang. Ils s’installent de leur côté, loin de nous qui sommes juste en dessous de notre refuge. Ce sont des jeunes, mais ils ne sont pas naturistes. Cela correspond à la situation qui déplaît fortement à Véro, il nous faut battre en retraite le plus discrètement possible. Il n’est pas possible de rejoindre notre base sans montrer notre tenue peu académique, mais la distance et la brièveté de notre exposition rendront la manœuvre convenable.


Nous nous retrouvons sur nos serviettes, serrés l’un contre l’autre, à vingt mètres d’un groupe d’inconnus dont nous pouvons écouter les conversations, mais hors de leur vue.

La situation est plaisante, nous avons une excuse pour rester enlacés, sans parler.

Nous profitons pleinement de ce contretemps. Nos baisers sont torrides, nos caresses entreprenantes et très vite nous savons l’un et l’autre que nous allons faire l’amour sans bruit à l’insu de nos voisins. Véro, coquine à souhait, prend une initiative craquante. Elle me chuchote :



Aussitôt, elle prend mon vit dans sa bouche. Elle en apprécie la froideur qu’elle fait disparaître rapidement en l’enveloppant profondément dans sa bouche. Ses mains accompagnent divinement sa pipe : elle est définitivement une très grande courtisane. Par moment elle prend ma queue profondément dans sa gorge, mais le plus souvent elle préfère dévorer voluptueusement le sexe, les boules et toute la région rendue glabre par sa seule volonté.


Malgré la perfection de ce moment, et après en avoir longuement profité, je l’interromps pour passer aux choses sérieuses. J’installe Véro sur le dos et la couvre de baisers à mon tour. Sa peau est fraîche, c’est un délice de la faire frissonner en la faisant courir ma bouche chaude et mes mains sur tout son corps. Nous avons tout notre temps, les intrus rigolent bruyamment en dessous de nous et semblent installés pour quelque temps encore. Mais Véro m’attire sur elle, et signifie son désir s’offrir entièrement.


Mon corps épouse le sien sans l’écraser : nos mouvements légers nous font ressentir l’un à l’autre des caresses multiples, nous faisons l’amour de toute notre peau. Mon dard trouve naturellement sa place entre les cuisses fermées de mon amante et commence un massage délicat sur son petit clito encapuchonné. Véro écarte un peu ses cuisses et prend ma queue pour se masser la chatte comme elle l’entend.


Elle se masturbe avec ma queue raide longuement et finalement la présente à l’entrée de sa chatte. Sans un mot, mais avec une confiance totale dans mes futures initiatives, elle lâche mon vit pour prendre mes fesses en se contentant d’écarter les cuisses. L’invitation ne peut se refuser, et pourtant je me sauve de son emprise. Je me glisse le long de son corps en la couvrant de baisers. Je joue avec son nombril et avec les creux de son ventre musclé. Mes mains frôlent sa peau partout, entourent ses genoux, se glissent partout entre les cuisses, dans chaque recoin sur le côté, et dessous : j’adore ses jambes comme des idoles. Quand je suis rassasié de ses jambes, je reviens à son ventre et à ses seins, mais Véro manifeste encore son envie de quelque chose de plus consistant.


Nous ferons l’amour tranquillement cet après-midi, il n’y a pas de suspens, ni pour moi ni pour mon amante, mais auparavant nous devons explorer toute une vie de relation sexuelle variée et exigeante dans les quelques moments d’amour qui nous sont offerts. Véro est à ce moment totalement ouverte et disponible à une fusion de nos corps et de nos envies et je veux lui faire vivre une expérience inédite de plaisir dans ce lieu magique. Ma main gauche glisse sur son ventre et sa vulve jusqu’à découvrir ses lèvres déjà ruisselantes de son envie. Je ne vais pas la faire languir plus longtemps, mes deux doigts continuent, lentement, mais sans hésitation, leur course pour investir sa caverne du plaisir. Véro ne semble pas surprise de cette intrusion, elle voulait du solide en elle, ce préambule lui va bien.


Tout en dévorant ses seins, je fléchis mes doigts enfoncés dans son vagin pour masser cette zone si sensible que je découvre au toucher déjà toute gonflée. Véro est surprise, elle a un mouvement de recul, mais aussitôt s’offre à nouveau à mon inquisition. La sensation a été vive, mais visiblement aussi a été plaisante. Mon aimée écarte encore les jambes pour s’offrir et me rassurer sur son envie que je continue. Je reprends mes pressions successives de mes doigts, lentement d’abord, et de plus en plus rapidement.


Véro ouvre de grands yeux étonnés : cette caresse presque violente en apparence et pourtant si dévouée à son plaisir lui est inconnue. Elle est surprise, mais en confiance : elle fait tous les mouvements du bassin qui peuvent intensifier la caresse en vitesse et en force. Je réponds à sa demande implicite : mon va-et-vient devient intense, presque maltraitant, et Véro en demande toujours plus en exprimant le plaisir qui l’envahit. Ma main droite appuie maintenant sur le haut de sa vulve en opposition aux pressions de mes doigts fichés dans son con. Véro est bouleversée et même désemparée par ces sensations nouvelles qui l’assaillent : elle semble ne plus savoir si elle veut aller plus loin ou tout arrêter. Mais son sexe lui en redemande en se projetant pour augmenter la force des pressions intimes.


Et puis l’extase la submerge : Véro jouit dans un râle et serre les cuisses et bloque mes mouvements tout en étant prise de tressaillements. À peine a-t-elle repris ses esprits et libéré ma main de l’emprise de ses cuisses, que je recommence à maltraiter sa chatte dégoulinante. Elle aurait pu refuser ce nouveau combat, mais non, elle reprend aussitôt la joute dont elle connaît l’issue éreintante, mais si délicieuse. Et comme la première fois, mais plus vite encore, l’orgasme trivial emporte sa conscience dans des limbes de plaisir.


Je suis un technicien au service de son plaisir, j’ai la responsabilité des opérations puisque l’actrice principale est totalement concentrée sur son rôle. Je dois décider si je continue notre exploration de ce domaine asymétrique où seule Véro est au cœur du plaisir, ou si je complète cette merveilleuse masturbation par une étreinte de plaisir partagé. Notre relation est définitivement amoureuse, la fusion de nos deux corps est indispensable pour qu’une joute sexuelle nous corresponde.


Je reprends donc ma position sur Véro et glisse mon sexe tendu dans le creux des cuisses serrées contre sa vulve. Véro prend la main : elle écarte un peu les jambes et se branle vivement avec ma queue quelques secondes avant d’en faire entrer le bout entre ses lèvres et de se caresser fortement ainsi. Peu après, elle saisit mes hanches pour me tirer en elle.


Je m’enfonce alors en elle avec lenteur. Une fois bien installé au fond de son sexe, je passe mes bras et mes jambes autour d’elle pour la protéger complètement de mon corps. Nous faisons alors l’amour totalement, divinement, mais presque sans bouger. Comme ce matin, nous prenons notre temps, nous sommes si bien totalement unis dans une vague de plaisir qui naît et se développe très progressivement.


Les rires et les cris des jeunes qui s’ébattent dans l’étang sont assourdissants, mais nous ne les entendons plus. Le plaisir grandit en nous et nous envahit inéluctablement. Les frémissements de Véro deviennent des tremblements puis des ondulations. Véro agrippe mes fesses et donne une cadence et une force toujours plus intense à l’unisson de la vague de plaisir qui l’envahit. Je suis ses ordres avec zèle et je suis récompensé par les massages merveilleux que ses muscles intimes font sur ma tige.


L’ardeur de Véro devient impérative, elle m’utilise pour son plaisir avec efficacité jusqu’au sommet qu’elle devine tout proche. Elle atteint son climax avec une maestria impressionnante : elle se tétanise et m’attirant au fond d’elle, et elle jouit en tremblant de tout son corps. Son vagin pressure ma bite merveilleusement. Je sens le corps de Véro contre le mien et quand je recommence à bouger un peu, je n’ai que quelques va-et-vient à faire pour trouver l’extase à mon tour.


Nous nous séparons sans hâte, nous allons maintenant nous laisser gagner par la torpeur sans nous inquiéter des cris tout proches. Je sens le sommeil qui prend possession de moi quand je décèle un mouvement dans les rochers au-dessus de nous. J’entrouvre les yeux, juste ce qu’il faut pour confirmer que notre étreinte a eu effectivement des spectateurs.


Un jeune couple nous regarde avec un intérêt non dissimulé : ils oublient de se cacher, cela doit faire un bout de temps qu’ils nous observent. Grand bien leur fasse, je m’endors en pensant que je vais raconter cela à Véro sur le chemin du retour. Je suis réveillé un peu plus tard par le bruit particulier de nos colocataires de lac qui plient bagage. Je suis leur progression à l’oreille et, dix minutes après, j’ai la garantie que le lac est à nous seuls à nouveau.


Véronique a un œil ouvert, je lui confirme notre solitude retrouvée dont elle devait se douter.



Après un rapide baiser sur ses lèvres pulpeuses et fraîches, je me lève pour la prendre en photo. Véro m’offre un magnifique plongeon et une chorégraphie aquatique très érotique et puis une sortie du bain digne de Marilyne Monroe.



Je me prête au jeu de Véro avec la même complaisance que celle dont elle a fait preuve. Elle prend beaucoup de photos, mais cela sera nécessaire pour en extraire quelques-unes qui seront plaisantes à conserver.



Tout en s’affairant dans l’œilleton de l’appareil photo, Véro accède à ma demande.



Mais au lieu d’en rester à la boutade, Véro s’approche avec professionnalisme, se penche et embouche ma queue flasque. Avec naturel, elle se délecte de mon membre, non sans caresser efficacement mes boules avec sa main libre et le résultat est là en trois minutes : je bande fièrement.


Un dernier baiser asséchant, et Véro, toujours aussi pro, se recule pour faire les clichés promis. Mon adorable photographe nue est très séduisante, je n’ai pas besoin de faire d’effort pour maintenir le priapisme recherché pour cette dernière série de prises de vue donc beaucoup sont concentrées sur mon anatomie intime. Nos jeux et nos bavardages nous ont vite amenés à l’heure de descendre. Nous avons tous les deux la nostalgie des vacances qui finissent, nous ne reviendrons plus ici ! C’est donc en silence que nous rangeons les affaires et que nous entreprenons la descente.


Arrivés au village, nous avons des courses à faire et un repas agréable à trois à organiser. Nous sommes tous les deux pressés de retrouver notre trio. Valérie doit nous raconter ses aventures teutonnes et la soirée va être la dernière que nous passerons tous les trois. Nous prenons notre douche à deux pour ne pas perdre une seule occasion d’être ensemble et de nous aimer, mais nous restons sages, il y a trop à faire.


Nous œuvrons à préparer au mieux cette soirée de fête. Dans cette animation nous nous communiquons une excitation d’adolescents. Notamment Véro sort de son armoire magique une nouvelle tenue inattendue. À peine moins courte que sa robe du premier restaurant, mais beaucoup plus chaude, parce que moulante à la limite du correct.



Je n’ai pas emporté une garde-robe aussi variée que Véro, je dois remettre mon costume clair d’hier. Il est vrai que les fines robes n’ont pas dû prendre beaucoup de place dans sa valise !


Je suis dans ma chambre quand j’entends frapper à la porte laissée ouverte. C’est Valérie qui est plus précoce que prévu. Elle a une bouteille et un gâteau dans les bras qu’elle me tend aussitôt. En voyant sa consœur magnifiquement sexy, elle s’exclame :



Je la retiens, notre intention n’était pas de donner une note recherchée à cette soirée :



Elle tourne les talons avant que nous ayons pu la retenir. Je ne suis pas mécontent : la robe de Véronique aura donc fixé le scénario de cette soirée. Celui d’un chemin chaud et inéluctable vers une partie de sexe à trois. Il n’était pas exclu que cette soirée finisse aussi chaudement que celle d’hier, mais maintenant c’est déjà devenu certain. Cela nous laisse le temps de peaufiner quelques détails, mais nous sommes déçus d’avoir perdu notre hôte.


Après une demi-heure, il n’y a pas de Valy à l’horizon.

Cela nous contrarie bizarrement exagérément tous les deux. Nous avons tellement envie de cette soirée précieuse entre mille parce que cela nous rend hyper sensibles à tout contretemps. Nous sommes aussi angoissés l’un que l’autre, nous ne pouvons pas nous raisonner. Il faut impérativement que Valy arrive vite avant que notre fébrilité n’explose. C’est tellement ridicule qu’après nous être regardés l’un l’autre sans rien dire, nous éclatons de rire. Ce n’est qu’après trois-quarts d’heure d’absence que l’espérée frappe à nouveau à la porte enveloppée dans un grand manteau.


Véro lui ouvre, la prend dans ses bras avec soulagement et lui donne enfin le baiser passionné sur la bouche qu’elle se promettait de lui donner : son invitée n’est pas étonnée, elle lui rend son baiser sans hésitation et sans avoir peur pour son rouge à lèvres. Elles se tournent toutes les deux alors vers moi avec un air de vainqueur et Véro précise :



Elle me donne un doux baiser sur la bouche. Cette entrée en matière a déjà chauffé l’ambiance, mais il nous faut maintenant découvrir ce qui a retenu notre invitée aussi longtemps. Valérie sent que nous sommes en attente d’une merveille et cela la rend timide :



Valérie prend le commandement et récrimine aussitôt :



Je m’installe dans le canapé avec mon appareil photo. Je sers trois flûtes, mais je n’en donne qu’à Valy : Véro doit avoir les mains libres pour son défilé. Véro joue le jeu en passant doucement entre moi et le feu en se déhanchant de manière sensuelle.

Il ne manquait que la voix off, mais Valy, déhanchée, sa flûte de champagne à la main, s’en charge avec une voix exagérément suave :



Je ne sais pas comment Véronique pourrait être plus lascive que la bombe atomique qui est passée la première fois. Mais elle ne se dégonfle pas et continue la mise en scène en se retournant d’une pirouette. Véro revient vers moi, toujours aussi délicieuse. Cette fois-ci elle me regarde dans les yeux avec une douceur contenant tout l’amour du monde. C’est moins chaud que le premier passage, mais c’est beaucoup plus émouvant.


Valérie reprend son commentaire :



Le petit comité c’est vous ? dit l’impertinente en haussant les épaules.


Elle finit par une pirouette qui lui donne l’occasion de relever l’arrière de sa robe brièvement pour nous exposer ses jolies fesses



Elle se place à un bout de salon pendant que Véro se pelotonne contre moi. Elle couple son téléphone sur mes enceintes et lance une musique orientale qu’elle avait préparée. Une fois la mise en scène fin prête, elle se place au plus loin de nous et elle ouvre tranquillement les boutons de son manteau en le gardant fermé. Enfin elle annonce :



L’ambiance de cette soirée est survoltée de sensualité. Elle ouvre son manteau, le fait tomber derrière elle et apparaît dans un pantalon de princesse arabe en tulle noir très transparent. Elle porte un boléro minimaliste travaillé de fils dorés qui cache à peine ses seins. Elle a des hauts talons et un bijou très brillant au nombril et porte un string fin et transparent avec un diamant qui appelle le regard sur son minou que l’on distingue.



Et elle a un vrai talent pour les danses orientales. Elle continue ses explications sans cesser de danser :



Tout son corps ondule lascivement alors que son regard langoureux nous fixe tous les deux pour exprimer une envie de nous dévorer avec délice. Son visage change d’expression au rythme de la musique : tantôt joyeux et enjôleur, puis mystérieux, ensuite timide et apeuré et en enfin séducteur et accueillant.

Elle vient tourner doucement devant nous, nous montre ses fesses distinctement, ses jambes fines et élancées. Elle se déhanche avec grâce, le spectacle est ravissant. Je ne rate rien, ni avec les yeux ni avec mon appareil photo. Je prie que ces garces ne me demandent pas de choisir quelle est la plus belle ou la plus envoûtante, je ne saurais le dire.


Le spectacle dure très longtemps, mais il varie tellement qu’il ressemble à un récital de toutes les émotions que Valérie sait exprimer. Par ses mouvements sensuels, elle sait faire durer une tension émotive intense. Quand la musique s’arrête, la Mauresque nous fait une révérence très appuyée en croisant ses jambes et se penchant très bas, ce qui nous met sous le nez sa poitrine rehaussée par son petit-haut genre push-up. Nous applaudissons tous les deux à tout rompre en la dévorant du regard. J’enchaîne pour apporter ma contribution à ce climat de joie :



Je me lève, entraîne Véro avec moi, nous sommes tous les trois debout devant le feu et nous levons nos verres…



Leur baiser est interminable, et le spectacle me plaît vraiment, mais je l’interromps volontairement pour garder le rythme prévu à cette soirée.



Effectivement, le restaurant du village nous a livré un menu de fête dans des caisses isothermes.


La lumière douce des bougies sur une table brillante de mille feux ; un vin capiteux ; des mets festifs ; une ambiance à la rigolade ; Ce repas se passe merveilleusement bien. Mes deux charmantes convives sont irrésistibles et je leur dis ma fascination avec tous les égards et tous les compliments qu’elles méritent.


Valérie peut enfin nous raconter sa journée avec son moniteur courroucé :



Véro veut en savoir plus :



Véro précise alors :



Au dessert, je recentre la conversation sur les deux films mystérieux qu’elles m’ont cachés :



Véronique que l’alcool a peut-être rendue plus coulante qu’à la normale rend les armes très vite :



Véro me donne la carte mémoire que je mets dans l’ordi pour la visionner sur son grand écran :



Je lance d’abord les deux premiers films que j’avais vus sur le petit écran du téléphone. C’est beaucoup plus impressionnant en grand et en haute définition. Ce ballet de cuisses et de minous féminins est torride. J’entame aussitôt la vision du troisième film. Cette fois-ci le thème est celui de mains féminines qui caressent des cuisses nues sous une table de restaurant. C’est tout en douceur, en délicatesse. Les mains de chaque propriétaire restent sagement sur les cuisses correspondantes pendant la première partie. Par contre, à la fin du film, deux mains se sont croisées : il s’agit maintenant d’un échange de caresses, c’est tout autre chose !


Je reste rêveur et je repasse le film :



Je lance le quatrième film avec fébrilité, les filles semblent bien plus intéressées par ce dernier malgré la qualité et le côté sulfureux des trois premiers.


Les mêmes cuisses apparaissent sur l’écran dans le même cadre. Cette fois-ci les mains se croisent tout de suite et reprennent leur ballet caressant. Après une minute, les cuisses se sont écartées encore et les caresses se sont concentrées sur les minous qui apparaissaient nettement. Les mains décrivaient des volutes harmonieuses et la zone s’habillait d’une brillance évocatrice d’une humidité émue. Le film suivant est plus tendancieux encore : les doigts de Valy branlent littéralement le clito de Véro qui ne s’oppose aucunement. Au contraire, ses cuisses s’ouvrent de manière impudique pour offrir le mont glabre et mouillé à la caresse lesbienne.


Je n’en revenais pas : l’expérience entre filles que le rasage et l’intimité du chalet avaient provoquée plus tard n’était donc pas une première. Les filles avaient donc franchi le Rubicon de l’homosexualité pour le jeu et sans vergogne plus tôt, toutes seules, sans ma caution !




Véronique découvre comme moi, toute la complexité du jeu qui s’est joué dans le restaurant :



Je provoque alors Valérie :



Véro confirme avec véhémence :



Le dernier film est plus soft, mais montre une sensualité totalement assumée et symétrique. Véro n’est plus passive comme dans la phase débridée et montre qu’elle pourrait, elle aussi, jouer le rôle de la branleuse émérite.


Il est temps de retrouver un peu de sérénité, j’invite les filles à passer au salon et je nous prépare un déca relevé d’un peu de crème et de whisky.



Je regarde les filles se diriger vers l’âtre. Elles sont ravissantes et terriblement attirantes. Avec le reflet de flammes, la robe moirée de Véro met plus en valeur ses formes qu’elle ne les cache. Les fesses de Valérie, révélées totalement par le tulle léger sont dignes du Moulin Rouge. J’admire longuement le spectacle profitant que les filles font des messes basses apparemment hilarantes qui les maintiennent exposées dans un tableau spectaculaire.


Je prends quelques photos, mais je crains que le flash ne démotive les filles à se montrer ainsi. Il n’en est rien, elles sont tellement habituées à être flashées qu’elles le considèrent comme faisant totalement partie de mon regard de mâle.


Une fois le café prêt, j’apporte un plateau bien achalandé sur la table basse et je m’installe dans le canapé. Mes deux nymphes n’ont pas fini leur spectacle. Ma présence, toute proche, leur inspire maintenant une chorégraphie lente sur les rythmes arabes apportés par Valérie : C’est divin.


Après quelques minutes de déhanchements torrides, elles abandonnent la pince et le tison pour danser ensemble. Ensemble, mais sans se toucher. Elles ont choisi, sans se consulter, de faire un flamenco langoureux où chacune met l’autre en valeur. Leurs mains décrivent des volutes sensuelles à quelques millimètres du corps de l’autre.


Par moments c’est Valérie qui se fait petite entre les bras de sa compagne qui souligne sa nudité voilée par des mouvements gracieux de ses doigts. Quand Valy est de face, Véro désigne surtout le bijou qui met en valeur son minou visible à travers le string. Quand sa partenaire est de dos, Valérie suit, sans les toucher, les courbes vertigineuses qui relient ses épaules menues à ses fesses et ses cuisses enjôleuses.


À d’autres moments c’est ma meilleure amie qui s’offre timidement à l’écrin des bras virevoltants. Elle me sourit et n’a d’yeux que pour moi tout en ondulant en symbiose avec sa complice. Quand elle s’accroupit les jambes fugitivement écartées dans son mouvement de danse lascive, j’ai une vue plongeante entre ses cuisses : c’est divin. Véronique maîtrise bien sa provocation et lit sur mon visage l’effet dévastateur de sa chorégraphie sensuelle. À la troisième exposition de son minou glabre dans son écrin, je me ressaisis et immortalise la scène. Je serai très heureux d’en garder un souvenir, mais les filles aussi assurément.


Les deux femmes alternent plusieurs fois et je ne sais lequel des deux tableaux m’émeut le plus.


Quand elles s’assoient enfin tout contre moi je suis presque soulagé : la tentation de les prendre dans mes bras devenait irrésistible, mais je ne pouvais me résoudre à briser l’enchantement de leur performance.


Nous avons parlé alors longtemps, avec plaisir et insouciance : je les sens toutes les deux serrées sur mes côtés à regarder le feu. Depuis le début du spectacle improvisé, il y a dans l’air de l’érotisme, de la beauté avec une sensualité exacerbée, mais il n’y a pas eu de basculement dans une scène orgiaque. Il est déjà une heure du matin, nous sommes si bien tous les trois que je veux proposer de prolonger notre intimité. J’aurais préféré que ce soit Véro qui le suggère, en tant qu’homme, je suis suspect d’être un obsédé sexuel. Je sais que les deux femmes le désirent autant que moi, mais elles tardent à le dire.



Les deux filles se regardent. Elles savent aussi qu’il n’y avait pas encore de sexe assumé ce soir. Le prolongement de nos jeux dans un lit est lui, par contre, est un appel à la luxure.


Elles se regardent, se mordent la lèvre inférieure en miroir et éclatent de rire.



Je comprends que Véro ne veuille pas briser la délicieuse harmonie de ce moment précieux, mais je sais aussi que l’ambition de contrôler toute dérive sexuelle sera soit hypocrite, soit trop frustrante :



Je me tourne vers Valérie :



Elle ajoute en regardant Véronique avec timidité :



Cette confession change beaucoup de choses : les filles ont prétendu que leur relation n’était pas sexuelle, mais elles apportent la preuve du contraire : elles sont amantes autant qu’amies, au moins quand je participe à leurs ébats.



Valérie se lève et suspend son mouvement en mettant sa main devant sa bouche :



Véronique éclate de rire :



Les deux jolies femmes, si aguichantes, se prennent par la main pour aller dans la salle de bain.


J’entends la douche et des rires pendant que je m’affaire. Les deux furies hilares ceintes chacune d’une serviette ne tardent pas à passer à la chambre.


Je peux me rendre à mon tour dans la salle de bain.

Peu après, je me présente derrière la porte de la chambre en caleçon ; je ne veux pas imposer ma nudité d’emblée à ces blanches colombes puisqu’elles ont cru bon de me cacher la leur, mais cela n’a pas grand sens.