n° 18562 | Fiche technique | 62202 caractères | 62202Temps de lecture estimé : 35 mn | 20/09/18 |
Résumé: Comment l'art du massage rapproche un gendre et sa belle-mère... | ||||
Critères: f h alliance voir exhib fmast hmast massage nopéné -bellemere | ||||
Auteur : Eric Jakin |
DEBUT de la série | Série : Ma belle-mère aime les massages Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
Je vais vous présenter ici une série d’événements qui se sont déroulés il y a environ une vingtaine d’années. Petite remarque en préambule : j’ai conscience que certains lecteurs trouveront sans doute trop longs les propos préliminaires. Cela dit, comme il s’agit là de situations réellement vécues, ces propos introductifs sont pourtant nécessaires.
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Je m’appelle Éric, et si aujourd’hui j’ai cinquante-quatre ans, je vais vous parler de l’époque où j’avais trente-cinq ans (années 1998-1999) et ma belle-mère, Louise, cinquante-six. Informaticien de formation, j’étais cadre dans une grande entreprise nationale, détaché alors sur une fonction de syndicaliste à plein temps dans un établissement de province, à environ deux heures de TGV de Paris. À mon entrée dans la vie active, recruté facilement vis-à-vis de mes diplômes universitaires, j’étais passé assez rapidement sur cette mission syndicale, car je me suis rapidement rendu compte que j’aimais la gestion des relations humaines. J’ai toujours conçu ma mission syndicale « à l’allemande », en étant d’abord force de proposition avant d’envisager d’être en situation d’opposition. Et globalement, mes employeurs et mes mandants se retrouvaient dans mon action reconnue comme conciliatrice.
À la sortie de mes études, je me suis marié avec Sophie, la copine que je fréquentais depuis deux années, et nous avons deux enfants. Professeur d’anglais, mon épouse exerçait à cette époque son métier dans un lycée de notre ville, et nous menions une vie assez classique, sans problème particulier. Si aujourd’hui elle est une belle « quinqua » dynamique et agréable à vivre, à l’époque elle savait bien alterner entre sa vie de mère de famille (nos enfants avaient huit et dix ans) et sa vie de femme sensuelle et désirable qui me comblait complètement. Et si la gent féminine m’a souvent fait remarquer discrètement que j’étais « bel homme » avec plein de sous-entendus, je n’avais jamais cherché d’aventures ici ou là.
Petite ombre au tableau, ses parents étaient des entrepreneurs du domaine de l’électro-ménager, et ils vivaient plutôt mal le mariage de leur fille unique avec un syndicaliste. Quand mon beau-père restait mesuré dans ses propos, ma belle-mère Louise était, elle, incisive vis-à-vis de moi et ne se privait pas de me reprocher mon engagement syndical avec moult clichés d’un autre siècle :
Ou, alors :
Si je laissais souvent dire pour ne pas envenimer nos rapports déjà très tendus, notamment lors des repas et des cérémonies familiales, quand elle allait trop loin, je lui répondais vigoureusement en haussant le ton, ce qui cassait l’ambiance et qui désespérait mon épouse. D’où le fait que les repas et rencontres avec la belle-famille s’espaçaient de plus en plus… Et le pire, c’est qu’elle et moi avions deux passions communes : le golf et la voile. Cela dit, alors qu’elle fréquentait les « greens » 18 trous des châteaux-palaces et les luxueux ports de la Côte d’Azur, moi j’étais le plus souvent sur les 9 trous communaux et les clubs de voile associatifs !
Parfois, certains de mes amis me disaient que j’avais de la chance d’avoir une belle-mère aussi « canon » ! De taille moyenne et blonde aux cheveux mi-longs, en charge de la gestion administrative de l’entreprise familiale, elle faisait de son physique une arme de communication qui était très utile dans une période de récession industrielle. Il faut dire qu’elle entretenait son corps régulièrement dans sa salle de gym, et faisait en sorte de juste montrer ce qui pouvait se montrer, mais sans provocation pour autant. Avec ses seins lourds, mais de bonne tenue, ses cuisses parfaites et ses fesses juste rebondies à souhait, elle faisait fantasmer tous les hommes qui la croisaient dans la vie quotidienne… mais pas moi, loin de là ! Si j’avais pu la gifler parfois, sans que cela ne provoque un esclandre, je crois que je ne m’en serais pas privé.
Quelques années avant l’époque dont je vais vous parler, un événement grave est intervenu : mon beau-père est décédé brutalement.
Grand amateur de cheval, il a chuté malencontreusement lors d’une chasse à courre en Sologne, sa tête heurtant un bloc de pierre de plein fouet. Et malgré tous les experts du corps médical sollicités sur notre ville puis sur Paris, il est décédé rapidement, en une semaine. Ma femme fut très affectée de ce décès, car elle était beaucoup plus proche de lui que de sa mère avec qui elle entretenait des relations courtoises, mais assez distantes.
Cette période fut assez dramatique. Même s’il était connu que ma belle-mère avait eu pas mal d’amants avant de se marier, elle était très attachée à son mari et l’a accompagné jour et nuit durant toute sa dernière semaine de vie tragique. Il me faut bien reconnaître que même si je n’aimais pas cette femme à cette époque, la classe qu’elle a eue dans cette période difficile et sa rectitude dans les questions de succession l’ont fait remonter (un peu) dans mon estime.
Par la suite, elle a repris seule la direction de l’entreprise avec efficacité dans le style « main de fer dans un gant de velours ». La question que l’on se posait tous alors était : « quid de sa vie sentimentale désormais, elle qui continuait encore plus à entretenir un corps qui pouvait rivaliser avec de nombreuses jeunesses ? ».
Louise était chez nous un soir que je rentrais du travail et, m’entendant déposer mes affaires dans l’entrée, elle se mit immédiatement à s’affairer pour partir, nos relations ne s’étant que peu améliorées depuis le décès de son mari. Attendant dans le couloir en faisant du bruit pour montrer que j’étais là, et donc que j’attendais son départ, j’ai quand même entendu la fin de la conversation douce-amère qu’elle avait avec sa fille.
Comme j’arrivais vers elles, la discussion s’arrêta immédiatement et ma belle-mère se leva, me fit deux bises du bout des lèvres, comme si j’étais un pestiféré, puis rentra chez elle rapidement. Vis-à-vis de ma femme, comprenant l’intimité de la discussion qu’elle avait eue avec sa mère, je fis celui qui n’avait rien entendu.
Ma femme m’avait déjà parlé de cette promesse faîte à son mari. Mais je ne pensais pas que, quatre années après, elle persistait dans ces années d’abstinence… Cela dit, son engagement concernait le fait qu’un homme ne la touche pas sexuellement durant ce délai… Ce qui n’est pas tout à fait pareil qu’une pure abstinence, comme vous allez le constater.
Année 1998
En 1998, donc année de mes trente-cinq ans et des cinquante-six ans de Louise, c’était la quatrième année du respect du contrat moral passé entre ma belle-mère et son mari défunt.
À cette période, souhaitant me repositionner professionnellement, je m’étais engagé dans une formation continue qui devait me faire évoluer en matière de management. Cette formation, qui concernait des cadres ressources humaines, était cependant ouverte à quelques syndicalistes dont je faisais partie. J’étais donc amené à me rendre sur Paris une fois par mois pour trois jours. La question de mon logement se posait alors pour les nuitées.
Comme ma belle-famille possédait un appartement parisien et un studio mitoyen, il fut convenu que j’habiterai durant ces périodes parisiennes dans le studio. En fait, cela ne devait pas trop gêner ma belle-mère qui utilisait rarement son appartement pour des périodes de travail, notamment ses conseils d’administration. Dans les faits, et jusqu’au mois d’avril de cette année-là, elle fit tout pour ne pas être parisienne quand j’y étais. Ce qui nous convenait parfaitement à tous les deux.
Pourtant, lors de la semaine de début mai, nous n’avons pas pu éviter d’y être présents en même temps. Ce qui ne devait en principe pas poser de problèmes, car les deux appartements étant indépendants, chacun pouvait « vivre » ses occupations sans même savoir ce que faisait l’autre.
Le lundi en fin d’après-midi, jour de mon arrivée habituelle lors de mes périodes de formation, ma femme me téléphona avec la demande suivante :
L’argument étant de poids, je me suis donc engagé à remonter quelques courses pour belle-maman…
J’en ai profité pour prendre aussi une salade pour moi, quelques brioches, une bouteille de jus d’orange et une bouteille de rosé.
À 19 h, je sonnai chez elle.
Elle m’ouvrit, et… fut très surprise de me voir là. Elle était en tenue d’intérieur, pantalon de jogging et corsage d’été largement échancré. Puis, voyant les courses que j’avais avec moi, elle comprit de suite que ma femme m’avait sollicité sans l’avoir prévenue. Un peu gênée, elle me fit mes deux bises (de pestiféré !), et me demanda tout de même d’entrer.
Puis, retombant rapidement sur ses pieds :
Ayant la volonté d’être un peu aimable ce soir-là, je lui répondis :
Je me mis sur son ordinateur et trouvai de suite ce qui n’allait pas. Je fis exprès de laisser traîner un peu la réparation, ce qui l’amenait à se pencher vers moi… J’avais alors une vue superbe sur ses seins libres sous son cordage, vision de gorge profonde, car elle n’avait pas de soutien-gorge ! Cela dit, elle comprit vite mon petit manège. Mais je fus surpris de voir qu’elle revenait quand même de temps en temps se pencher au-dessus de moi « pour voir si tout allait bien », et repartait ensuite avec un demi-sourire en coin. Finalement, je remis l’ordinateur en fonction après dix minutes de tâtonnements, sans grande difficulté, l’informatique étant mon métier de base.
C’était assez troublant, jamais dans notre ville elle n’aurait gardé une telle tenue aussi « décontractée », tenue qui me permettait de voir assez largement ses seins. Comme si, pour la première fois de sa vie, elle me fut réellement (un peu) reconnaissante de mon aide.
Puis, voyant que j’avais moi aussi une salade, elle ajouta :
Cela semblait une proposition de principe, que j’aurais pu décliner facilement. Mais face à ce qui me semblait un effort « d’ouverture », un peu hésitant en ne voulant pas casser l’ambiance, j’ai accepté sans trop savoir pourquoi…
Et un quart d’heure plus tard, nous étions dans sa cuisine, à faire dînette autour des salades de l’épicier du quartier… Si on m’avait dit ça quelques heures avant !
Lors de ce repas, pour moi mémorable, je lui demandais ce qui n’allait pas. Elle me répondit :
J’ai hésité un peu, mais dans la lancée de l’amélioration de nos relations je lui ai fait une proposition :
En fait, j’ai de tout temps continué à faire quelques massages de temps à autre, histoire de ne pas perdre la main. Et ce soir-là, n’ayant pas massé depuis plusieurs mois, en faisant cette proposition à ma belle-mère je voyais surtout l’avantage de me réentraîner à masser un nouveau corps, qui plus est, particulièrement attirant, ce qui me changerait des copains du club de voile !
Après une courte hésitation, elle me répondit :
Et un quart d’heure plus tard, après avoir pris une douche, je poussai la porte de son appartement et la trouvai allongée sur la table de massage en maillot de bain plutôt sexy, ce qui ne m’étonna pas d’elle. Avant que je ne commence, elle a tenu à me préciser un point qui lui semblait très important :
Je m’attendais un peu à cette réserve…
Je l’ai sentie alors complètement soulagée et me lançai dans ce massage qui restera désormais inoubliable pour moi.
Je commençais par le dos en allant et revenant sur tous les muscles, en pressant doucement et en étirant parfois. Les épaules, sources de beaucoup de tensions, furent particulièrement concernées ainsi que la partie au-dessus des fesses. Et je passais et repassais doucement et lentement le long de la colonne vertébrale, jusqu’à la nuque.
Pour mieux la masser, je lui dégrafai le soutien-gorge et reposai les attaches sur le côté en lui disant à l’oreille « C’est mieux pour que vous soyez complètement dénouées »… Elle ne réagit pas et me laissa faire.
Au bout d’un quart d’heure de ce traitement, je la sentis plus relaxée et commençai des mouvements enveloppants qui partaient du haut du dos, descendaient jusqu’au-dessus des fessiers, puis remontaient naturellement jusqu’à la partie de la poitrine accessible sur le côté.
Le contact de mes deux mains sur le bord de ses seins la fit sursauter, et elle se mit les coudes au corps… Délicatement, je lui écartai les coudes et lui dit doucement à l’oreille :
Elle se relâcha, laissa mes mains aller et venir entre son dos et ses seins, et je dois dire que j’y prenais un plaisir certain… Incroyable, me dis-je, en deux heures de temps me voilà en train de masser ma belle-mère quasiment nue, elle qui jusqu’à présent ne m’adressait la parole que quand il neigeait !
Après une demi-heure de ce traitement, je commençais le massage des jambes que j’avais écartées pour mieux remonter le long des cuisses. Là aussi, mes mains allaient et venaient partout, en faisant attention de ne pas appuyer trop chaque fois que j’étais près de son sexe.
Enfin, pour mieux terminer son massage, je lui demandai toujours doucement à l’oreille si elle voulait que je lui masse les fessiers. Dans un souffle, elle me répondit de « faire ce que je pensais être bon pour elle »…
Alors, délicatement, avec délectation, je baissais sa culotte de maillot en haut des cuisses. Découvrant son fessier, je ne puis m’empêcher de penser quel cul splendide ! Rebondi à merveille avec une raie culière particulièrement ombrée et profonde ! Une croupe de déesse ! Une véritable œuvre d’art !
Et je commençai un massage tournant de chaque fesse, en appuyant parfois sur le nerf sciatique puis en relâchant pour prendre sa peau entre mes doigts et faire un palpé-roulé. Je fis cependant très attention de ne pas descendre dans la raie… Et je me régalais de la vue de ses fesses nues libres et généreuses, complètement à ma disposition…Un vrai bonheur !
Tout cela nous amena à une bonne heure de massage. Pour terminer, je lui remontai sa culotte puis réagrafai son soutien-gorge. Et, comme dans tout massage, je l’ai laissée reprendre conscience doucement…
Au bout de quelques minutes, elle s’étira longuement, puis tourna sa tête vers moi sans rien dire. Nos regards se croisaient… Je lui souris. Et désireux de maintenir encore cette ambiance de bien-être, je me penchai vers elle et ajoutai :
Je posai mes deux mains sur l’arrière d’une de ses cuisses, et commençai des rotations en prenant soin de bien appuyer puis de relâcher la pression, tout en élargissant les cercles. Puis je descendis jusqu’au mollet que je pinçai un peu, tout en finissant par un palpé-roulé.
Après quelques minutes, elle s’étira longuement en sortant de son état de zénitude où visiblement elle était bien. Elle s’assit sur la table et me dit alors :
« Mon petit Éric » ! Alors là, j’étais scotché ! On était loin du vilain syndicaliste…
J’acceptai sans me poser de questions. Au point où j’en étais…
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Après une nouvelle douche rapide, je m’enroulai dans mon peignoir et me dirigeai vers la petite pièce où je venais consulter mes mails, le soir avant de me coucher, avec mon ordinateur portable. Cette petite pièce, où la réception était la meilleure, était mitoyenne avec l’appartement de Louise. En fait, les deux appartements étaient séparés par une cloison mobile en accordéon qui avait été conçue à l’origine pour agrandir, si besoin était, le salon central de l’appartement qu’occupait Louise. Quand je m’y rendis, je vis que cette cloison de séparation était restée ouverte. C’était sans doute la femme de ménage qui ne l’avait pas refermée. Je m’installai donc dans un fauteuil, tout près de cette cloison.
Quelques minutes plus tard, Louise entrait dans son salon, vêtue aussi d’un peignoir de bain. Elle constata de même que la cloison de communication n’était pas fermée, et pensa sans doute la même chose que moi vis-à-vis de la femme de ménage. Elle hésita d’abord. Puis, elle s’installa dans le canapé, elle aussi avec son ordinateur. Nous étions assis quasiment face à face, à environ deux mètres l’un de l’autre.
Et nous nous penchâmes sur nos ordinateurs.
Au bout de quelques minutes, je la vis bouger doucement. Elle se cambra un peu dans le canapé, puis doucement défit la ceinture de son peignoir. Celui-ci s’ouvrit dégageant le haut de ses épaules. Elle commença alors à y poser ses deux mains, et lentement commença des mouvements circulaires tout autour. Bonne élève, elle commençait un automassage.
Pendant quelques instants, elle s’occupa surtout de ses épaules, les pressant et les pétrissant. Je regardais discrètement du coin de l’œil. Puis elle s’enfonça dans les coussins, et descendit petit à petit au niveau de la poitrine, son peignoir s’ouvrant alors jusqu’à la taille. La poitrine entièrement dénudée, elle commença à se masser les seins… Évidemment, je faisais toujours semblant de ne pas regarder, mais je ne ratais rien de cet automassage…
Hummm, superbes seins que j’avais effleurés pendant son massage, et qu’elle me dévoilait alors. Sans doute du 90 ou du 95D, juste ce qu’il faut de lourd et un peu tombant, avec de larges aréoles marron et des tétons visiblement durs et dressés, un pur délice visuel !
C’était très excitant et j’avoue que ce spectacle était loin de me laisser indifférent, même si je faisais semblant de ne rien voir en continuant à lire mes mails… Je bougeai quand même un peu les jambes pour être plus à l’aise, ce qui fit ouvrir mon peignoir et par là même découvrir mon corps. Je la vis alors regarder attentivement la petite bosse bien située dans mon slip, bosse qui grossissait petit à petit… Et plus elle prenait ses seins en main en les écrasant, en les pétrissant, en les étirant, plus la bosse de mon boxer grossissait… le bas de mon ventre commençant alors à faire des petits mouvements d’avant en arrière…
Elle n’était pas dupe de ma prétendue lecture de mails, car même si je semblais obnubilé par mon ordinateur, ces légers mouvements de hanches et la barre qui désormais apparaissait dans mon slip montraient bien que mon attention était tout ailleurs… ! Un petit sourire aux lèvres, elle se pencha alors vers moi en s’approchant le plus possible de mon fauteuil.
Après avoir massé sa poitrine par des mouvements circulaires, elle me regarda fixement en mettant ses mains en coupe sous ses seins et en les dirigeant vers moi. Magnifiques obus dont les pointes dressées me semblaient très dures sous l’excitation de la caresse… Puis, toujours en me regardant, elle se mit à les presser l’un contre l’autre, tout en titillant et en pinçant les mamelons. Et elle commença à faire des mouvements de haut en bas avec ses seins, cadencés sur le rythme d’avant en arrière de mon corps.
Séparés de moins de deux mètres, tacitement, nous avions trouvé l’accord parfait : lorsque j’avançais mes hanches dans sa direction, elle avançait ses seins compressés vers moi, lorsque je reculais, elle les relâchait… comme si elle me massait la bite entre ses seins, me faisant ainsi à distance une exquise « cravate de notaire »… Et plus j’allais vite avec mes hanches, et plus elle suivait mon rythme. C’était terriblement érotique et sensuel, un délicieux moment d’intimité. Une douce sensualité s’était installée entre nous… Nous étions bien.
Après quelques minutes intenses et voluptueuses de ce spectacle-action partagé, il nous fallait revenir à la réalité de l’heure tardive. Elle referma très lentement son peignoir, en faisant un petit sourire dans ma direction, et j’en fis de même. D’un commun accord, nous éteignîmes nos écrans et elle me dit :
Elle eut alors une sorte de demi-sourire…
Avant de m’endormir, je repensais à ces trois dernières heures complètement incroyables. Décidément, je découvrais ma belle-mère sous un nouveau jour !
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Le lendemain matin, à 7 h 30 pile, je sonnai à sa porte.
Elle m’ouvrit aussitôt et me fit deux bises chaudes et parfumées, qui ne ressemblaient en rien à celles qu’elle me faisait habituellement.
Je me suis dit qu’un tel accueil était quand même presque surréaliste, surtout quand elle me prit par la main pour m’amener dans le salon où le café était déjà tout chaud.
En déjeunant, elle ajouta :
Il faudrait être bien bête pour refuser une telle proposition…
Nous finîmes de déjeuner tranquillement, puis juste avant que je ne la quitte elle reprit « le » sujet qui semblait lui tenir à cœur.
Je souris intérieurement : le côté professionnel de ma compétence kiné avait bon dos. Mais bon, je lui répondis sans hésiter :
Et elle ajouta :
Et je repris :
Visiblement, nous étions complètement en phase. Et pour sceller notre accord, elle me refit deux bises longuement appuyées, avant que je ne la quitte ensuite pour la journée.
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Si ma journée se passa normalement, je me suis quand même interrogé sur ce qui s’était passé la veille au soir. En fait, je m’étais déjà rendu compte que, sans être un grand professionnel dans ce domaine, je transmettais souvent aux femmes que je massais une énergie douce et sereine qui diffusait une harmonie forte. Cette énergie, apaisante, relaxante, et parfois même sensuelle, créait une communion des corps tout autant que de l’esprit. Dans le cas de ma belle-mère, si l’on rajoute à ça les courses que je lui ai faites, le dépannage de son ordinateur, et le fait que nous étions à ce moment libres et sans contraintes sur Paris, tous les ingrédients étaient réunis pour qu’il se déclenche quelque chose de positif entre elle et moi. Et je m’interrogeais aussi sur son automassage final : était-ce un jeu ? Ou une invitation à aller plus loin ? À ce moment-là, je n’avais pas d’explication…
À la pause, j’appelais ma femme pour lui dire que j’avais bien fait ce qu’elle m’avait demandé.
Elle ne pensait pas si bien dire…
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19 h 30, je sonnai chez Louise, mon huile de massage dans les mains.
Habillée décontracté d’un tee-shirt et d’une petite jupe d’été, ma belle-mère m’accueillit alors en me faisant les deux bises, désormais bien appuyées, et me prenant tout de suite pas la main. Elle m’amena vers son salon où elle avait déjà mis la table.
Et d’ajouter :
Nous dînâmes comme deux amis proches, en évitant les sujets professionnels, en parlant des prochaines vacances, de mes études, et de ses projets immobiliers à la montagne. Et bien sûr, à moment donné, elle me dit :
Très subtile, la belle-mère… Et quand je voulus l’aider à faire la vaisselle, elle me dit que la bonne s’en occuperait très bien toute seule, et me demanda d’aller dans mon studio pour revenir plus tard avec mon huile de massage.
Un quart d’heure plus tard, je poussai la porte de son appartement. Dans la pièce désormais consacrée au massage, un lecteur de CD diffusait de la musique zen, deux grosses bougies aux senteurs d’ylang-ylang embaumaient la pièce, et les volets étaient baissés, créant ainsi une légère pénombre.
En m’approchant de la table où elle était allongée sur le ventre, je vis qu’elle n’avait pas de « haut », et que le bas n’était qu’une mini culotte noire en dentelle. En fait, cette culotte se résumait à un petit triangle de tissu très léger avec deux liens de chaque côté qui tenaient par un nœud sur chaque hanche. Des nœuds qui ne demandaient qu’à être défaits sans doute… Me sachant là, elle me dit doucement sans me regarder :
Je commençai d’abord par le même massage que la veille, en lui faisant le dos jusqu’au-dessus des fesses, sur les côtés en passant sur les seins, le tout en appuyant ce qu’il fallait pour accompagner sa respiration.
Une fois le dos fait, délicatement je saisis les deux nœuds de la culotte et les défis… Je baissai ensuite le petit triangle de dentelle et le nichai entre le haut de ses cuisses, en faisant attention de ne pas trop toucher son sexe. Là, son corps nu était entièrement à ma disposition.
Et je commençais de grands mouvements qui allaient d’une jambe au dos en passant par les fessiers, puis revenais de l’autre côté pour finir sur l’autre jambe. Puis je remontais sur une jambe en venais saisir une fesse pour un palpé-roulé, puis refaisais de même sur l’autre fesse en redescendant. À plusieurs reprises mes mains venaient frôler le haut de l’intérieur de ses cuisses ainsi que son sexe, mais sans appuyer cependant. Je gardais en tête la promesse faite par Louise à son mari qu’un homme ne la toucherait pas sexuellement avant cinq années…
Je prenais possession d’elle complètement, à ces moments-là, ne m’autorisant aucun interdit, passant sur toutes les parties accessibles de son corps, mais en évitant de le faire de façon ostentatoire sur le côté des seins, sur les fesses et sur le sexe. Je me suis même permis de descendre le long de sa colonne vertébrale et de pénétrer doucement dans sa raie culière, frôler la rose secrète, déboucher sur son sexe le long des lèvres et finir le long de ses cuisses jusqu’aux pieds. Fait de manière fluide avec une certaine vélocité, ce mouvement n’apparaît pas alors comme sexuel, mais plutôt comme profondément sensuel et relaxant. Cela dit, j’ai bien senti qu’elle appréciait particulièrement cela, puisqu’au deuxième passage elle ouvrit le plus possible ses cuisses pour mieux ressentir le passage de mes mains sur son intimité…
Puis je finis la partie dos par les pieds, et la laissai quelques instants récupérer.
Après avoir récupéré sa culotte entre ses cuisses, j’en refis les nœuds sur les hanches et lui dit doucement à l’oreille :
Elle s’étira, se retourna et me dit dans un souffle :
Et je commençai alors la deuxième partie du massage.
Il faut quand même que je dise que le tableau qui s’offrait à moi était particulièrement troublant. Ses seins lourds aux magnifiques courbes généreuses étaient légèrement aplatis par la position sur le dos, son ventre plutôt plat et bien dessiné s’ornait d’un nombril adorable, sa mini culotte laissait deviner son sexe et ses lèvres intimes, et ses cuisses fuselées étaient en harmonie parfaite avec l’ensemble de son corps. En fait, une œuvre d’art !
Mes mains parcoururent d’abord le haut du corps des épaules au ventre, en tournant autour des seins. Après quelques appuis au milieu du thorax qui me permirent de lui rythmer sa respiration, j’attaquai les seins.
Je posai mes mains dessus, les comprimai doucement et les massai par des petites allées et venues. Je les avais alors bien en main. Je les sentis se raffermir au fur et à mesure que je me rapprochais des mamelons que je palpais du bout des doigts, mais sans les pincer pour autant. Je percevais alors nettement les pointes durcir petit à petit sous mes paumes. Visiblement ce massage plaisait à Louise qui ne pouvait cacher de petits souffles de plaisir…
Sans trop m’attarder, je descendis sur le ventre et fis quelques rotations avant d’appuyer pour en libérer les tensions. Enfin je repris un mouvement tournant ventral qui m’amena sur son pubis à peine caché par sa culotte. Je laissais ma main quelques instants posée sur son mont de Vénus, et l’entendis soupirer doucement alors qu’elle écartait lentement les cuisses pour mieux me laisser faire… Là aussi, sans trop m’attarder, je fis une descente rapide sur l’ensemble de son sexe avant de repartir sur l’intérieur de ses cuisses que je massais de haut en bas.
Le massage du devant des cuisses et des jambes fut fait dans les règles de l’art, sans oublier les pieds.
Arrivant en fin de massage, je remontai par de longs mouvements circulaires jusqu’à son visage que je massai avec le bout des doigts. Menton, lèvres, nez, tour des yeux, front et tympan. Un vrai massage de visage ! Et sachant que les femmes adorent cette pratique, j’y revins deux fois.
Le massage ainsi terminé, je l’ai laissée reprendre pied doucement dans le monde réel…
Après quelques minutes, elle s’étira, s’assit sur la table et me regarda fixement sans rien dire… Nos regards l’un dans l’autre, je ressentis une énergie très forte entre nous.
Elle me dit :
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Quand je revins dans la pièce mitoyenne après ma douche et vêtu de mon peignoir, je m’aperçus que la cloison de séparation était encore plus ouverte que la veille et que mon fauteuil se trouvait quasiment en face de celui de Louise, encore plus rapproché par rapport à la veille. Seul un mètre les séparait désormais. Visiblement, Louise était venue préparer cela…
Je m’installai et rapidement ma belle-mère arriva avec son ordinateur, elle aussi en peignoir comme la veille. Puis sans hésiter, elle se mit dans son fauteuil.
Et nous commençâmes à regarder nos mails silencieusement.
Et ce qui devait arriver arriva : au bout de quelques minutes, elle passa une main à l’intérieur du peignoir qui s’ouvrit, et commença son automassage du soir en dévoilant ses seins lourds que je connaissais bien désormais, et dont les pointes étaient déjà érigées comme des petits sexes. Décidé à l’accompagner dans son jeu, j’ouvris alors mon vêtement jusqu’à la ceinture… Je vis que Louise me regardait alors attentivement avec satisfaction.
Après plusieurs minutes de mouvements, rotations et pressions autour de ses seins, elle ouvrit complètement son peignoir et je vis ses mains descendre sur son ventre, puis carrément sur sa petite culotte noire qu’elle avait gardée. Et écartant largement les cuisses, elle posa une main sur son pubis, et commença un mouvement tournant sur celui-ci. Elle ferma les yeux et se laissa aller à son automassage pour le moins surprenant, surtout que plus elle se massait, plus je l’entendais respirer par saccades…
Puis sa main descendit le long de son sexe lentement, très lentement, puis s’immobilisa avant de commencer des petits mouvements de haut en bas. Ses doigts allaient et venaient sur sa chatte… Alors, elle ouvrit les yeux et tout en continuant ce qui n’était plus réellement un automassage, elle me regardait fixement…
Spectacle incroyable : ma belle-mère se masturbait devant moi !
Alors qu’elle avait gardé une main sur ses seins pour en pincer alternativement les pointes, l’autre allait et venait sur sa culotte, pendant qu’elle écartait petit à petit et de plus en plus ses cuisses… Et je voyais ses hanches accompagner les mouvements d’avant en arrière, en même temps qu’elle s’enfonçait un peu plus dans son fauteuil…
Pour tout vous dire, ayant posé mon ordinateur de côté, j’avais moi aussi ouvert mon peignoir, et mon boxer laissait apparaître mon sexe en érection qu’elle fixait avec attention… Nous étions très proches, nos pieds auraient pu se toucher.
Nous sommes restés quelques minutes ainsi, avant qu’elle ne glisse sa main dans sa culotte pour mieux se caresser, je pouvais deviner ce qu’elle faisait en l’entendant feuler comme une petite chatte… De fait, je voyais nettement le dos de sa main et savais qu’elle se doigtait d’une part et qu’elle titillait son clitoris d’autre part.
Devant un tel spectacle, où ma belle-mère la main dans sa culotte se branlait devant moi, je ne pouvais pas être de reste. J’ai commencé alors à passer ma main sur mon boxer pour caresser mon sexe qui tendait le tissu comme un mât de tente. Je vis sa satisfaction sur son visage. Puis j’ai glissé ma main à l’intérieur pour me caresser plus facilement. Ses mouvements s’accordèrent aux miens… Et elle regardait fixement ma main qui allait et venait sur cette barre dressée que mon boxer contenait à peine… Quel plaisir d’être ensemble ainsi, se caressant en regardant l’autre, sans chercher à trop accélérer les mouvements, mais juste à être en harmonie.
Nous sommes restés ainsi un long moment, en pleine communion, avec une sorte de dévotion… Ce fut un bel échange sensuel où notre complicité était très forte. Nous avions conscience tous les deux que nous étions en train d’évoluer dans un jardin secret de plus en plus sensuel… et nous l’acceptions.
Puis nous revinrent à la réalité. Doucement nous nous sommes redressés, avons refermé nos peignoirs et éteignîmes nos écrans.
Ma réponse dut lui plaire. Elle se pencha vers moi, me saisit la tête de ses deux mains et, comme pour sceller notre accord secret, tendrement déposa un petit baiser sur mes lèvres…
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Le petit-déjeuner du lendemain se passa comme la veille, un peu comme s’il ne s’était rien passé le soir d’avant. Ses bises du matin étaient appuyées et parfumées au coin de ma bouche, et nous nous quittâmes en prenant rendez-vous pour le soir à 19 h 30 « pour continuer le traitement du dos ! »
Ma journée se passa normalement, et à mon épouse que j’ai eue au téléphone et qui me demanda si ça se passait bien avec sa mère, je lui répondis qu’elle allait mieux et que je l’avais à peine vue.
Bien sûr, j’ai bien repensé à ces deux soirées, notamment la dernière, et je me suis interrogé sur le comportement de ma belle-mère. En fait, je pensais que pour elle, ce que nous avions pratiqué dans notre cheminement érotique, relevait plus du jeu sensuel que de l’acte sexuel. Et je me dis qu’après quatre années d’abstinence, Louise commençait à s’éveiller aux jeux de l’amour, sans se sentir en porte à faux vis-à-vis de sa promesse.
Certes, tout cela était un peu « faux cul », en permettant d’avoir bonne conscience. Cela dit, j’avoue que de mon côté, le jeu m’intéressait et que je commençais sérieusement à y prendre goût.
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19 h 30, je sonne chez Louise pour le dernier soir de ma session de formation du mois de mai. Tout se passa à peu près comme la veille, et je ne vais pas redire ici la qualité de son accueil et du petit repas qu’elle nous avait concocté.
Le massage a eu une légère variante, quand je l’ai trouvée allongée sur la table de massage, elle n’avait rien sur elle, pas même la petite culotte noire de la veille.
Et je lui répondis que « c’était une excellente idée »… Mon massage fut quasiment identique au précédent, mis à part que j’avais désormais accès facilement à son sexe que j’effleurais régulièrement de manière plus ou moins appuyée.
Il faut dire que sa chatte était sublime. Presque complètement épilée, elle avait conservé juste quelques poils sur le devant en « ticket de métro ». Ses belles lèvres cachaient à peine le clitoris qui ne demandait qu’à sortir quand mes doigts frôlaient (par hasard ?) cet espace sacré et si beau. Et force m’était de constater que ce véritable écrin se tendait vers ma main systématiquement quand je massais le haut et l’intérieur de ses cuisses. La meilleure preuve, c’est que quand j’ai eu terminé le massage recto verso, et que je lui demandai à l’oreille si elle souhaitait que je lui « refasse » une partie du corps, elle me répondit dans un souffle :
Et je ne me suis pas fait prier… À la fin de ce massage, son exquise chatte n’avait plus de secret pour moi…
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Le rituel des mails évolua encore ce soir-là. Une fois installés dans nos fauteuils, qui s’étaient encore plus rapprochés, car désormais moins d’un mètre les séparait, nos pieds se touchant presque, nous lûmes nos mails et rapidement Louise commença son « automassage », si j’ose encore le qualifier ainsi !
Sauf qu’après s’être massée soigneusement les seins et qu’elle ouvrit complètement son peignoir, elle était complètement nue dessous. Puis quand elle commença son « massage du bas », en me regardant dans les yeux, elle ouvrit très largement ses cuisses en me donnant une vision complète sur sa chatte. C’était d’un érotisme torride… Et là, je la vis d’abord caresser son pubis, descendre sur ses lèvres intimes, et commencer une sublime masturbation en se doigtant du majeur d’une main et en tournant autour de son clitoris de l’autre main…
C’était assez troublant de la voir ainsi face à moi dans son fauteuil, les cuisses totalement ouvertes, se caressant en me regardant fixement, un petit sourire aux lèvres. Et si je rajoute la lumière légèrement tamisée, je me serais crû dans un peep-show de Pigalle ou de la rue Saint-Denis…
Bien sûr, j’avais une belle érection qu’elle regardait fixement, la barre qu’elle voyait dans mon slip ne débandait pas, loin de là. J’avais écarté mon ordinateur depuis longtemps, et je me dis que je pouvais raisonnablement me mettre à l’aise moi aussi, et que c’était sans doute ce qu’elle attendait…
Je descendis mon slip, ce qui fit jaillir mon sexe. De belle taille et d’une grosseur tout à fait honnête, il avait tout pour lui plaire ! Je le compris facilement, car j’entendis le petit « flac-flac » de ses doigts sur sa chatte mouillée… et elle mouillait beaucoup… Humm… Elle regardait fixement mon sexe que je pris en main et que je commençai à branler face à elle. Nous restâmes quelques belles minutes ainsi, à nous regarder nous caresser suavement, en sentant petit à petit la vague du plaisir monter en nous.
Puis ses mouvements s’accélérèrent de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle ne puisse retenir des sursauts et des petits cris tout en refermant ses cuisses et en se mettant légèrement de côté, moment de plaisir où elle se lâcha alors complètement en feulant littéralement sous la déflagration exquise qui l’emportait.
Quel plaisir de voir un tel spectacle… ma belle-mère qui m’offre une prestation de pute de peep-show !
Puis, elle reprit ses esprits, revint à une respiration normale, se redressa et regarda mon sexe dressé que je branlais de plus en plus vite. Elle me sourit, et rouvrit ses cuisses pour me présenter sa chatte bien humide que je regardai avec un regard trouble et intense… Elle descendit alors sa main sur son sexe, le pénétra avec son majeur en le plongeant bien au fond, puis me regardant fixement, le ressortit très lentement, me le montra bien luisant et dégoulinant, l’amena à sa bouche et doucement se mit d’abord à le sucer, puis à le lécher avec application…
Whaouuuuuu… l’effet fut immédiat : je jouis intensément en déchargeant de longues salves de sperme en pensant quel merveilleux spectacle de salope ! et quelle belle prestation de pute…
Mon sexe très dur se vida complètement et tressauta encore quand elle remit deux doigts dans sa chatte et qu’elle recommença à les lécher avec avidité, toujours en me fixant droit dans les yeux…
Mon torse et mon ventre étaient couverts de sperme…
Nous avions atteint là un degré de complicité extrême, car en jouissant quasiment ensemble sans nous toucher, nous avions franchi des limites que seuls un homme et une femme en harmonie parfaite sont capables d’atteindre. Une extase rare…
Après quelques instants de récupération, je redescendis de mon nuage de plaisir, et je la regardai qui me fixait toujours. Elle sortit alors un petit mouchoir bleu de sa poche de peignoir, s’approcha de moi et, le posant sur mon ventre, elle m’essuya doucement, en tournant autour de mon sexe pour récupérer tout ce qu’elle pouvait récupérer. Fermant les yeux, je sentis même qu’elle me serrait le sexe délicatement, puis qu’elle remontait le long pour en faire sortir le sperme qui restait, geste qu’elle recommença plusieurs fois comme si elle me trayait la queue consciencieusement, avant de m’essuyer finalement… C’était divin, ma belle-mère qui récupérait ma liqueur dans son mouchoir !
Elle plia, le remit dans sa poche, se leva et me dit :
Elle me saisit le visage, et comme la veille déposa un baiser très tendre sur mes lèvres puis me quitta visiblement enchantée de sa soirée.
Quelle belle-mère !
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Le petit-déjeuner du lendemain se passa normalement. C’était le dernier jour de ma formation de mai, je devais prendre un TGV le soir pour rentrer en province. Et comme je devais passer à l’appartement récupérer ma valise en fin d’après-midi, Louise me dit qu’elle serait là et qu’elle me préparerait un café avant de partir.
En quittant le salon pour rejoindre mes cours, je passai devant sa chambre à coucher entrouverte et, y glissant un regard, je vis que le petit mouchoir bleu était posé sur son lit défait, près de l’oreiller… Son précieux contenu l’avait-il aidée à passer une bonne nuit ? Mystère…
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17 h. Après avoir bouclé ma valise, je dégustai le café et la brioche que Louise m’avait préparés. Visiblement, elle voulait me parler de quelque chose, mais je la sentais hésitante. Tranquillement, je laissais venir.
Puis je me levai pour lui dire au revoir. Alors elle se lâcha et me dit :
Fichtre ! Une décision à prendre rapidement. Mais je n’hésitai pas, je crois même que j’attendais plus ou moins cette demande…
Son visage fut alors rayonnant. Elle se leva, se dirigea vers moi et me dit :
« Massage partagé de visage » ? Je ne voyais pas trop ce dont elle voulait parler, mais le compris rapidement.
Elle me poussa doucement contre le mur de l’entrée, posa ses mains sur mon visage, et commença à le caresser doucement de haut en bas, de droite à gauche, en étirant la peau ici ou là. C’était très tendre et apaisant, et je fermai les yeux en la laissant faire. Cela dura une minute ou deux, et effectivement son massage était très agréable. Mais alors que je ne m’y attendais pas, elle posa une main sur ma nuque pour que je ne puisse plus bouger la tête, puis se colla à moi…
Ne pouvant remuer, je laissai faire et sentis ses lèvres se poser sur les miennes, me les mordiller doucement, me les lécher, puis s’immiscer lentement entre elles et finalement les forcer… Alors elle m’embrassa sur la bouche et me roula une pelle comme on ne me l’avait pas fait depuis longtemps. Elle me remplit la bouche complètement avec sa langue (que je découvris alors plutôt longue et large), me forçant à la sucer, ma bouche étant alors complètement comblée par cette langue douce et envahissante à la fois, remuant dans tous les sens. Me tenant fermement par la nuque d’une main et me serrant contre elle de l’autre, nous étions complètement scotchés. Elle me baisait la bouche avec sa langue… Quel délice suave… Hummmmmm ! Et nous restâmes ainsi au moins cinq minutes, nos bouches se buvant l’une l’autre. Et si j’ajoute que ses seins étaient plantés dans mon torse comme deux obus, un tel « au revoir » était pour moi une belle fin de semaine parisienne.
Pourtant, le temps passait et il me fallait partir pour ne pas rater mon TGV.
En me rendant à la gare, je repensais à tout cela. Ce que j’avais pressenti la veille se confirmait : le massage était pour elle l’occasion de se déculpabiliser vis-à-vis de sa promesse d’abstinence, le massage n’étant pas pour elle vécu comme une relation sexuelle. Le dernier « massage de visage » le démontrant bien… C’était très « borderline », c’est sûr, mais il est vrai qu’elle a toujours été très cérébrale. Indirectement, je lui avais ouvert la voie vers un épanouissement que, finalement, elle attendait.
Bien sûr, je me suis aussi posé la question de savoir en quoi ce jardin secret partagé avec ma belle-mère pouvait concerner, ou pas, sa fille… qui était aussi ma femme quand même ! Réflexion faite, il m’a semblé alors qu’il y avait là plus d’aspects positifs que négatifs, dans la mesure où la sortie de sa léthargie sensuelle ne pouvait au final qu’avoir des retombées positives dans sa relation avec sa fille et plus largement sur son entourage. De plus, concrètement, nous n’avions rien fait de mal… Je décidai donc alors de rester sur la promesse que j’avais faite à Louise.
Et effectivement, je n’ai pas regretté de revenir en juin…
Mais ça, chers lectrices, chers lecteurs, c’est une autre histoire, à lire bientôt, promis !