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Temps de lecture estimé : 16 mn
07/12/18
Résumé:  Comment ma belle-mère prend des initiatives dans nos massages...
Critères:  fh fplusag alliance fmast massage intermast -bellemere
Auteur : Eric Jakin      

Série : Ma belle-mère aime les massages

Chapitre 02 / 05
Une belle-mère attentionnée

Résumé du premier épisode : « Ma belle-mère aime les massages »


Veuve à cinquante-deux ans, ma belle-mère Louise avait promis à son mari sur son lit de mort une période de cinq années d’abstinence. Vers la fin de sa quatrième année, je lui ai fait découvrir l’art du massage, ce qui lui a permis de contourner cette promesse. Car pour elle un massage, même érotique et sensuel, restait quand même un massage… Elle avait alors cinquante-six ans et moi, son gendre, trente-cinq ans.




Une belle-mère attentionnée




Durant le mois de mai, personne n’aurait pu deviner qu’il s’était passé trois soirées d’une telle intensité sensuelle entre ma belle-mère et moi. Ma femme m’a tout de même signalé un jour qu’elle trouvait sa mère moins agressive vis-à-vis de moi, ce à quoi je lui répondis que le fait que je lui ai monté ses courses le soir où elle était KO devait y être pour quelque chose. Cela dit, comme d’habitude, nous faisions en sorte de ne pas avoir à nous croiser en public trop souvent, ce qui nous arrangeait tous les deux. Et quand cela arrivait, elle continuait à me faire ses bises de pestiféré…


Je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là, je me suis posé la question de savoir si j’étais capable d’aller avec Louise au-delà d’une relation simplement visuelle, au cas où cela se présenterait bien sûr. Notamment vis-à-vis de ma relation de couple avec Sophie, sa fille.


Il se trouve que j’avais découvert par hasard, quelque temps auparavant, que ma femme continuait à entretenir une relation avec un de ses anciens amants. Après une scène assez difficile, autant pour elle que pour moi, elle m’avait avoué que ces quelques « coups de canifs dans le contrat » étaient uniquement sexuels, et que cela lui procurait un équilibre qui lui permettait de mieux m’aimer… Ce fut difficile pour moi d’intégrer cela, surtout que nous faisions l’amour régulièrement avec toujours autant de passion. Mais vu le nombre d’amis qui divorçaient autour de nous, je me suis dit alors que cela méritait réflexion. Et au final, vu l’équilibre que nous avions acquis ensemble, et surtout que nous nous aimions réellement, j’avais accepté cela en lui disant quand même que si de mon côté un jour j’en ressentais l’envie et le besoin, je m’autoriserais aussi cette liberté sexuelle. Je n’avais jusqu’à cette époque pas utilisé cette clause établie entre nous…


Environ dix jours avant la fin du mois, il s’est passé un événement qui mérite d’être relaté ici.


Un samedi après-midi, alors que ma femme et moi étions chez ma belle-mère et les enfants chez leurs copains, nous préparions le repas d’anniversaire de ma fille, petite cérémonie que nous partagions généralement avec Louise, chez elle. Elle était partie à la piscine communale ce jour-là, comme tous les samedis après-midi, car même si elle avait une piscine chez elle, elle aimait « faire des longueurs » dans les lignes réservées aux semi-professionnels.


Alors que je revenais en maillot de bain du solarium extérieur, ma femme me dit :



Et elle me quitta, me laissant seul chez Louise.


À peine cinq minutes plus tard, j’entendis la porte s’ouvrir et Louise entra dans la cuisine où je prenais un café. Elle était habillée d’une petite jupe de tennis très courte et d’un tee-shirt très léger, celui-ci lui collant au corps comme une deuxième peau.



Un peu surpris de cette arrivée inattendue, alors que j’étais vêtu uniquement de mon maillot de bain, je répondis à sa réponse concernant ma femme :



Elle se figea alors, hésita sur la conduite à tenir, visiblement décontenancée. Puis elle posa son sac de sport à terre et me regarda fixement. Si un silence lourd s’établit entre nous, petit à petit je vis son visage devenir plus ouvert, presque souriant. Et elle se dirigea vers moi, planté comme un piquet au milieu de la pièce.



Et elle me passa ses bras autour du cou et déposa d’abord un léger baiser sur mes lèvres, avant de forcer ma bouche avec sa langue pour me rouler un patin comme elle seule savait faire… Quel régal que cette langue collée à la mienne, m’emplissant complètement pour que je la mordille et la suce en même temps ! Ceci alors qu’elle poussait des petits feulements de plaisir… Hummmm, quel délice ! Elle me baisait la bouche…


Et comme son corps vint se coller contre moi, cela bien sûr provoqua un peu de remue-ménage dans mon maillot !


En se décollant d’un seul coup, elle baissa son regard sur la bosse qu’elle avait provoquée et donna une petite tape dessus en disant :



Et devant ma mine un peu déconfite, elle éclata de rire.

Elle se tourna alors vers la fenêtre ouverte de la cuisine, et regarda dehors sans rien dire.


Après quelques secondes d’hésitation, je m’approchai doucement et posai mes mains sur ses hanches. Elle sursauta un peu, mais ne dis rien et ne bougea pas pour autant. Puis j’enlaçai sa taille et vins poser ma tête contre la sienne. Je l’entendis alors souffler légèrement en disant des mots inaudibles, tout en reculant ses hanches et en collant à nouveau son corps contre le mien. La serrant fortement dans mes bras, sa tête contre la mienne et ma bouche dans ses cheveux, c’était un moment fort de tendresse entre nous, une sorte de déclaration que nous nous faisions l’un à l’autre. Et nous restâmes ainsi quelques instants, nos cœurs battant la chamade à l’unisson.


Mais bien évidemment, si nous appréciions alors ce moment de romantisme et de tendresse, il y avait une certaine « émotion » pour moi de serrer ses fesses contre moi…


Je l’entendis dire :



Quel sens de l’humour la belle-mère !



Et elle se pencha légèrement en avant, sa jupette remontant alors en découvrant sa sublime petite culotte blanche, et fit de petits mouvements de hanches pour bien caler complètement ma bite à l’intérieur de sa raie culière. Puis une fois fait, elle se redressa alors que je commençais à aller et venir très doucement entre ses fesses. Et même si nous avions gardé elle, sa culotte, et moi, mon maillot, l’élasticité des très fins tissus permettait que je plonge ma queue profondément à l’intérieur de son cul. C’était divin ! De plus, alors que j’avais glissé mes mains sous son tee-shirt et soulevé son soutien-gorge pour caresser ses seins, elle tourna sa tête vers moi et m’embrassa en me fourrant à nouveau sa langue dans la bouche. C’était très bon, très sensuel, très romantique aussi.


Nous nous régalâmes ainsi, ma bite allant et venant doucement dans son cul de rêve, alors que mes mains malaxaient ses seins durcis de plaisir et qu’elle avait glissé une main dans sa culotte pour se caresser… Le plus pur des bonheurs.


Nous restâmes ainsi un long moment à savourer ce cadeau imprévu et exaltant que nous nous sommes offert. Jusqu’à ce que nous entendions les cris des enfants revenant de chez leurs copains.


Nous nous rajustâmes alors rapidement, puis elle me dit :



J’avais dit ça au hasard, mais ce mot « amour » prit alors entre nous une connotation forte. Elle se retourna vers moi et me regardant dans les yeux dit :



Et elle m’embrassa rapidement une dernière fois avec fougue.


La veille de mon départ pour Paris début juin, je reçus un court mail d’elle, ce mail disant simplement :


« À demain 19 h 30 pour continuer nos travaux… »




* * *




Le lendemain j’étais à Paris comme prévu, et à 19 h 30, je sonnai chez Louise.


Dès que la porte s’ouvrit, elle m’accueillit en me faisant une longue bise appuyée sur les lèvres puis me prit par la main pour m’amener dans le salon. Je me souviens bien que ce soir-là son corsage largement ouvert laissait apparaître ses seins lourds et voluptueux, et que son caleçon de sport lui collait au corps comme une deuxième peau. Et cela ne devait rien au hasard…



Ma réponse la fit sourire…



Toujours me tenant par la main, elle m’amena vers la table dressée où elle avait préparé un poulet aux olives qui sentait délicieusement bon. Décidément, ma belle-mère faisait tout pour me gâter !


Alors que nous dégustions ensemble mon plat préféré, je l’écoutais me parler de diverses petites améliorations qu’elle voulait faire dans son appartement, car elle envisageait de créer une salle réservée à ce qu’elle appelait un « espace zen ». Et tout naturellement, nous en sommes venus aux massages.


Elle me parla d’abord des recherches quelle avait réalisées sur internet, puis en bibliothèque, enfin auprès des masseuses de son club de gym. Elle s’interrogeait sur certains massages, dont ceux du yoni et du linga.


En matière de massage, le massage du yoni est le massage du sexe de la femme, et celui du linga du sexe de l’homme. Ils se pratiquent dans le cadre de massages tantriques approfondis et, si ce ne sont pas en théorie des pratiques sexuelles, ils s’en rapprochent beaucoup dans les faits. Il s’agit d’une part de palper, pétrir et étirer les lèvres du sexe de la femme avant de pénétrer son vagin avec les doigts pour en masser les parois, et d’autre part de prendre en main le sexe de l’homme, le caresser, le faire durcir avant d’en faire autant avec les testicules…



Après une courte hésitation, je n’hésitai pas à lui répondre :



Pas dupe de mon « élève », je me disais que finalement il était bon de lui laisser prendre des initiatives nouvelles, afin de voir exactement jusqu’où elle voulait aller dans ces pratiques tantriques. Cela dit, je reconnaissais que cela m’excitait aussi terriblement…



* * *



Le massage se déroula sans trop de changements par rapport à ce que j’avais pratiqué le mois d’avant. Pendant une grosse heure, mes mains prirent complètement possession de son corps, et ceci désormais sans tabous, car je commençais à le connaître parfaitement.


Pour terminer en beauté, je lui susurrai à l’oreille :



Je lui demandai de se remettre sur le ventre, puis à quatre pattes. Je pris alors deux gros coussins, les lui mis entre les cuisses que j’écartai, et lui demandai ensuite de mettre son buste, ses bras et sa tête à plat. Le haut du corps collé à la table, elle avait alors les fesses surélevées par les coussins, vision très sensuelle mettant en valeur sa voluptueuse croupe que j’avais le privilège de contempler et d’admirer entièrement… Un cul de déesse, une véritable œuvre d’art !


Je fis couler un peu d’huile dans sa raie culière, puis commençai d’une main à masser une première fesse, et de l’autre à descendre très lentement à l’intérieur de sa raie. La main qui massait palpait, pétrissait, modelait, et l’autre petit à petit se trouva enfoncée dans la raie, puis vint se poser à la fois sur son sexe et sur la porte du temple sacré : sa rosette sublime. Surprise dans un premier temps, elle se crispa un peu puis se relâcha pour finalement ouvrir au maximum ses cuisses pour ressentir les bienfaits de cet exquis massage intime …


Et bien sûr, assez rapidement, ma main qui massait son cul descendit aussi tout le long de son sexe et commença à devenir humide, très humide, cette humidité ne provenant pas uniquement de l’huile de massage… Elle feulait doucement et je l’entendis dire dans un souffle :



La voyant très réceptive, je m’appliquai à ce qu’elle ressente le plus de douceur et le plus de plaisir possible… Le temps s’était arrêté, nous étions en communion parfaite, elle, subjuguée dans une sorte de nirvana et moi, conscient de la chance que j’avais de l’avoir complètement à ma disposition… C’était encore une fois que du bonheur !


Puis je changeai de fesse pour elle et donc de main pour moi. Elle commença alors à doucement remuer sa croupe d’avant en arrière pour se frotter contre ma main qui massait l’intérieur de ses fesses d’une part et sa sublime chatte qui devint complètement trempée d’autre part… Il faut bien dire les choses telles qu’elles étaient alors, voguant dans une sorte d’extase très sensuelle, en remuant sa croupe par des petits mouvements saccadés, ma belle-mère Louise se masturbait contre ma main…


Au bout de quelques minutes de ce massage intime, je retirai mes mains et lui dis toujours très doucement :



Il lui fallut un certain temps pour redescendre sur terre. Elle s’assit alors sur la table tout en me fixant sans dire un mot, avec une expression de plénitude sur son visage épanoui…


Je me levai alors et lui dis en souriant :





* * *



Quand je revins en peignoir dans la pièce commune où nous avions pris l’habitude de nous retrouver pour lire nos mails, je vis qu’elle l’avait aménagé de manière différente. Elle avait remplacé les fauteuils par deux petits lits collés l’un contre l’autre, avec des gros coussins sur la partie haute pour pouvoir nous permettre d’y être assis. Au final, son installation nous permettait d’être côte à côte, comme dans un grand lit. Elle était déjà installée de son côté, elle aussi en peignoir avec son ordinateur sur les genoux.


Devant mon interrogation, elle me dit, un petit peu gênée :



Jouant l’ingénu, mais souriant quand même intérieurement, je répondis :



Il est parfois des initiatives qu’il faut savoir encourager, me dis-je, assez hypocritement…


Je m’installai donc de mon côté, et commençai la lecture de mes mails.


Durant quelques minutes, nous semblions très occupés par nos écrans d’ordinateur. Puis doucement, je la vis bouger un peu, ouvrir son peignoir et commencer son auto massage. Elle se massa d’abord les épaules puis, ouvrant carrément son peignoir, elle saisit ses seins qu’elle palpa et modela avec une attention toute particulière. C’était très excitant, elle n’avait gardé qu’une culotte très mini… Et bien sûr, en faisant cela, plus elle massait le haut de son corps et plus son bras touchait mon corps, compte tenu de notre proximité dans nos deux petits lits collés. Alors, tout en faisant semblant d’être absorbé par mon écran, j’ouvris moi aussi mon peignoir pour que son bras entre en contact avec mon torse…


Et petit à petit, ce qui devait arriver arriva, en se mettant légèrement de côté « pour être plus à l’aise », sa main se posa sur ma hanche. Ce contact, pourtant relativement banal, avait là une forte connotation érotique vu que Louise était quasiment nue et que ses seins touchaient désormais mon bras. Alors, j’ouvris complètement mon peignoir, ce qui dévoila mon slip et la bosse qu’il avait du mal à contenir, bosse que ma belle-mère regardait fixement avec une attention toute particulière…


Sa main commença alors à bouger, et se dirigea lentement vers mon ventre qu’elle massa d’un mouvement circulaire, avant de descendre à la limite du slip… La bosse était devenue une barre longue et bien visible… Toujours sans un mot, elle se lança et fit descendre sa main qui arriva sur le devant de mon slip, passa sur mon sexe, s’y arrêta, et très lentement se mit à le masser, le prit en main et commença à le branler doucement… Louise commençait le massage de mon linga…


C’était réellement divin. Et pour être plus à l’aise, tout en tenant toujours mon ordinateur d’une main, j’étendis mes jambes pour qu’elle puisse aller et venir à sa guise. À travers le tissu de mon slip, Louise tournait autour de ma bite, puis la prenait, la branlait de haut en bas avec des mouvements doux, s’attardait sur le gland avec deux doigts, puis elle me rebranlait tout en peaufinant mes testicules qu’elle serrait doucement…


À moment donné, elle remonta au-dessus de la ceinture de mon slip, la souleva et sa main se glissa à l’intérieur en venant se poser sur ma queue qui n’attendait que cela… Quel bonheur de sentir la main de ma belle-mère sur ma queue ! Quelle sensation de la sentir bouger doucement, descendre tout du long, puis venir la prendre fermement en main… Je devins alors très dur, car elle commençait à me branler avec attention, et elle s’y connaissait, la bougresse ! Et ceci alors qu’elle s’était approchée de moi et que ses seins lourds suivaient le mouvement en s’agitant à quelques centimètres de mon visage…


Pendant qu’elle commençait à me « masser », je me dis que nous venions de passer un cap dans notre relation de massage, qui de visuelle et cérébrale devenait réelle, tactile et érogène. Et si nous faisions semblant parfois de continuer à lire nos écrans, nous avions conscience que nous entrions dans un domaine tabou, sensible, mais exaltant à la fois.


Je lui dis alors :



Message compris. Je mis ma main sur son ventre, fis quelques rotations autour avant de descendre doucement sur son sexe que je massai à travers sa culotte. Bien sûr, dans mes massages précédents, j’avais déjà approché sa magnifique chatte. Mais là, à travers le tissu, je collais carrément à son abricot que je sentais fondre littéralement dans ma main. Et mes doigts allaient et venaient le plus loin possible que me le permettait le tissu de sa mini culotte. Quel bonheur intense !



Compris ! Je remontai lentement au niveau de la ceinture de son string, puis glissai ma main dessous et descendis lentement vers sa chatte que je pris en main fermement.



Alors je tournai doucement autour de son clito gonflé de désir, puis descendis doucement plus bas, et pénétrai un doigt dans sa chatte trempée en faisant des petits allers et retours. Pure merveille !


Et si elle se mit à me branler de plus en plus fort, je me mis à la doigter de plus en plus rapidement, en ajoutant un deuxième doigt. Elle haletait, ses hanches se décollant du matelas au rythme de nos caresses…


Et à ce moment-là, en me regardant droit dans les yeux, elle me dit d’une voix rauque une phrase que je ne suis pas prêt d’oublier :



Plus que les mots crus, c’est le tutoiement employé qui m’a surpris. Mais je ne me suis pas arrêté pour autant, et j’ai accéléré le mouvement. Ce qui l’a amenée à lâcher ma queue, écarter les bras et soulever ses hanches en écartant les cuisses au maximum, alors au paroxysme de son plaisir… jusqu’à ce qu’elle se mette à tressauter plusieurs fois dans tous les sens, en poussant des gémissements accompagnant son orgasme ! Elle cria alors :



Quel orgasme ! Ma main que je retirais doucement de sa chatte était complètement trempée. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle ne boudait pas son plaisir !


Elle mit un peu de temps à s’en remettre. Cela avait été si fort qu’après la vague déferlante de plaisir qui l’avait emportée, elle se calma petit à petit et resta immobile quelques instants, encore dans un autre monde.


Je ne disais rien, j’appréciais la situation et visiblement, elle aussi. Elle ouvrit les yeux, me regarda, et me sourit très tendrement. J’imaginais qu’à ce moment-là, j’étais dans son monde de sensualité. Quelle belle complicité…


Puis elle se releva, regarda ma bite toujours au garde-à-vous, la saisit brusquement et se mit à la remuer d’abord doucement, puis plus fermement… puis de plus en plus rapidement et fermement… ! Et cela devient si brusque que j’avais l’impression qu’elle me trayait. Et elle me dit alors avec sa voix redevenue légèrement rauque :



Tout autant que le fait qu’elle me branlait comme on trait une vache, les mots crus et le tutoiement quelle employait à nouveau firent rapidement monter le plaisir en moi. Cerise sur le gâteau, elle mit deux doigts de sa main libre dans sa chatte, les sortit imprégnés de ses nectars intimes, et me les approcha du visage en disant :



Sentant le plaisir monter en moi, elle approcha ses seins de ma queue. Et j’eus alors un orgasme absolument fabuleux. Surtout qu’elle me serrait les testicules d’une main et tenait ma bite de l’autre, à la manière dont elle aurait pu tenir une bombe aérosol de Chantilly ! Sauf que c’est une autre sorte de crème fouettée que je déchargeai par de longues et belles salves qui vinrent s’étaler largement sur ses seins complètement recouverts.


Quel moment extraordinaire… Une grande jouissance physique, mais aussi très cérébrale. Car je ne pouvais m’empêcher de penser que cette femme au comportement distant, hautain et dédaigneux qu’était ma belle-mère habituellement, eh bien, cette femme était la même qui était ici nue, que je venais d’abord de faire jouir, et qui ensuite venait de ma branler en me disant qu’elle était « ma vide-couille préférée »… !


Elle me regarda alors, et doucement commença à passer ses mains sur ses seins, et à les masser avec ce qu’elle venait d’appeler mon « jus de couille ». Et elle allait et revenait, les faisant se dresser comme jamais je ne les avais encore vus dressés. Beaucoup de classe !


Et reprenant sa voix douce elle me dit :



Et son massage de seins terminé, l’« huile essentielle » ayant bien pénétrée ses seins, elle sortit de sa poche de peignoir son petit mouchoir bleu et vint le poser sur ma bite. Elle la pressa bien fort, ce qui me fit un peu mal, puis remonta sa main jusqu’au gland pour faire sortir les dernières gouttes qu’elle récupéra dans son mouchoir qu’elle mit ensuite dans sa poche.


Puis elle approcha ses lèvres des miennes, et doucement m’embrassa tendrement. Un baiser qui clôturait notre divine soirée de retrouvailles.



Décidément, les massages nous rapprochaient de plus en plus…



(La suite bientôt… !)