Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
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Temps de lecture estimé : 9 mn
29/09/18
Résumé:  Dans la première partie de ce récit, je vous invitais à jouer. Dans cette seconde partie, vous découvrirez la solution du jeu.
Critères:  fh ffh inconnu collègues travail revede exhib intermast fellation fdanus fsodo
Auteur : Rosebud      Envoi mini-message

Série : On joue ?

Chapitre 02 / 02
Deuxième partie

Résumé de la première partie :

Au mois d’août, dans la première partie de ce texte, j’ai eu le plaisir de vous raconter une histoire vous invitant à découvrir à partir de quel moment la fiction prenait le pas sur la réalité. Si ce n’est déjà fait, je ne peux que vous inviter à la lire avant de vous lancer dans cette seconde partie qui lèvera le voile sur cette question.



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Mais avant de mettre fin au suspense, laissez-moi vous conter la suite pour le moins inattendue de cette histoire qui aurait pu – aurait dû – s’arrêter là si le destin n’avait décidé de se jouer de nous.


Par le plus grand des hasards, il se trouve que Laetitia (ce n’est toujours pas son vrai prénom) est une fervente lectrice de Rêvebébé! Et, parmi la multitude de nouvelles présentées sur ce site, il a fallu qu’elle tombe sur la mienne. Bien entendu, le changement des prénoms n’a pas été suffisant pour l’empêcher de trouver de nombreuses similitudes avec nos dernières rencontres…


Elle aurait pu choisir de ne jamais me le dire ou me reprocher cette mise en scène de notre « histoire » somme toute bien innocente, peut-être même contacter mon épouse et lui faire découvrir mon jardin secret. Elle n’en fit rien et préféra me tendre un piège et me faire découvrir, de fort belle manière je dois l’avouer, qu’elle était bien la coquine que son « etc. » pouvait laisser présager et qu’en matière d’imagination, elle n’avait rien à m’envier…


Trois semaines après la parution de mon texte sur le site et les commentaires dont je vous remercie du fond du cœur, Laetitia m’envoya un mail. Le ton était très différent du message posté le soir qui avait suivi le salon. Très professionnel. Formel. Presque distant.


« Salut. Ça te dirait de faire une séance de dédicaces à la librairie samedi ? Bye. Laetitia. »


Même si les quatre jours restants avant la date annoncée ne laissaient que peu de temps pour la préparation et la publicité de « l’évènement », j’acceptai avec joie et lui retournai ma réponse affirmative par mail en tentant de garder la distance qu’elle avait instaurée.


« Salut Laetitia. Avec plaisir. Comment on s’organise ? »


Je passe ici sur les divers mails qui ont suivi et qui n’ont aucun intérêt pour qui n’est ni le libraire, ni l’auteur, pour en venir à la conclusion de cet échange : un rendez-vous préparatoire le lendemain, mercredi, après la fermeture de la librairie.


Sans imaginer le moins du monde que Laetitia pouvait avoir lu mon texte et donc savoir le désir que son petit cul m’inspirait, je laissais libre cours à mes pensées et espérais que, peut-être, entre deux commandes de bouquins sa main glisse malencontreusement sur mon jean ou que sa robe fleurie largement décolletée me permette de plonger les yeux entre ses seins. Autant dire que la nuit précédant le rendez-vous fut agitée, et que c’est fébrile et un poil excité qu’à l’heure convenue je frappai à la porte de service qu’elle m’avait indiquée ; me proposer d’emprunter l’entrée de service aurait dû me mettre la puce à l’oreille…


Aussi est-il facile d’imaginer ma surprise quand ce ne fut pas Laetitia qui vint m’ouvrir la porte, mais son adjointe Mélanie. Aussi brune que sa patronne est blonde, aussi plantureuse que Laetitia est svelte, Mélanie était tout aussi jolie mais dans un style très différent. Chez elle, pas de robes à fleurs ou de décolleté plongeant. Jamais je ne l’avais vue habillée autrement qu’en noir des pieds à la tête. Gothique jusqu’au bout des ongles. Percée, je l’imaginais, jusqu’au bout de ses seins XXL.


Elle m’invita à entrer. J’imaginai qu’elle était sur le départ et qu’elle allait profiter de mon arrivée pour sortir, mais elle referma la porte derrière moi et me proposa de la suivre dans un dédale de cartons qui couvraient tous les murs jusqu’au plafond.



OK… Je la suivis et ne pus m’empêcher de mater ses fesses moulées dans un pantalon qui ne laissait que peu de place à l’imagination : j’aurais été capable de dessiner avec précision les formes de son slip, et pour un peu, j’aurais pu en deviner la marque. Quand nous atteignîmes le magasin, le rideau de fer était tiré. Rien de plus normal puisque la librairie était fermée. Lunettes sur le nez, Laetitia était penchée sur le comptoir et semblait plongée dans de savants calculs. Je m’approchai pour la saluer de deux bises comme nous le faisions toujours, mais elle m’arrêta d’un geste de la main sans lever le nez de son ordinateur portable.



Mélanie était elle aussi passée derrière le comptoir et s’approcha de l’écran. Face à elles, je voyais des images se refléter dans les lunettes de Laetitia sans pour autant qu’il me soit possible de voir nettement de quoi il s’agissait. De toute évidence, ce n’était cependant pas un logiciel de compta. Après cinq longues minutes passées à feuilleter machinalement le rayon des nouveautés littéraires et devant le peu d’intérêt qu’on me témoignait, j’hésitai à rebrousser chemin. Ayant sans doute perçu mon agacement, Laetitia leva enfin les yeux vers moi.



Un porno ? J’aurais pu imaginer deux femmes libraires s’adonner à diverses activités après leur journée de travail : commenter leurs lectures du moment, boire un verre de vin ou même se donner du plaisir mutuellement à grands coups de langues expertes. Mais regarder un porno… je dois bien admettre que jamais je n’y aurais pensé.



Le rose aux joues, Mélanie acquiesça. Je ne pus contenir un éclat de rire.



Elle marchait lentement, comme pour attirer mon regard et attiser mon désir. J’avais la curieuse impression d’être entré dans une autre dimension. Et quand elle dépassa le bord du meuble et que je la vis entièrement, ma surprise redoubla et mon cœur parut s’arrêter. Ce que j’avais pris pour une robe n’était qu’une chemise et je découvrais qu’elle ne portait ni jupe ni pantalon. Avec ce qui me sembla être un string pour seul vêtement sous la ceinture, elle s’avança avec innocence, m’embrassa avant de faire volte-face et de se pencher avec une extrême lenteur pour ramasser un stylo au sol.



En fait, je ne savais que dire, ni que faire. Ce petit cul que j’avais si souvent imaginé était là, face à moi, plus beau et désirable que dans tous mes rêves. Le temps de reprendre mes esprits, je détournai le regard. Comme si tout cela était naturel et que Laetitia avait simplement oublié de se couvrir les fesses, je ne pouvais être trop insistant. Mes yeux se posèrent alors sur Mélanie qui, sans que je m’en rende compte, obnubilé que j’étais par le fessier de la libraire, avait tombé le haut et déambulait en soutien-gorge entre les étagères. Je me rendis compte alors que « plantureuse » était en-dessous de la vérité et qu’il manquait au moins deux ou trois X à mon estimation préalable de la taille de sa poitrine ! Sans toujours faire attention à moi, elle dégrafa son soutien-gorge et libéra ses seins. Par un miracle que la pesanteur ne devrait pas permettre, ils restèrent parfaitement dressés ! Cette fois, je ne pus résister et, sans vraiment en avoir conscience, glissai une main sur eux.



L’une de ses mains rejoignit la mienne et malaxa sans ménagement la poitrine de Mélanie, visiblement heureuse de cette attention. Quand la deuxième main de la libraire se faufila sous la ceinture de mon pantalon, j’étais dans un tel état qu’elle lâcha un « hmm… » admiratif, invitant sa complice à découvrir à son tour ce sexe qui leur était d’ores et déjà acquis. Plus espiègle que je l’avais imaginée, Mélanie déboutonna mon pantalon et, avec une extrême douceur, baissa mon caleçon pour me libérer.



J’avais l’impression que mon pénis et moi n’étions que de vulgaires morceaux de viande. Mais devant tant de beauté et d’esprit d’initiative, je voulais bien être comparé à un rumsteak. La main de Laetitia ondula jusqu’à mes bourses qu’elle soupesa avec délicatesse tandis que celle de Mélanie entamait une lente masturbation. J’esquissai un sourire à l’idée que, finalement, la réalité pouvait être plus étonnante que ce que j’avais imaginé de notre aventure lors de ma première nouvelle.



N’étant pourtant pas au mieux de mes capacités intellectuelles, je compris néanmoins la référence à ce site d’utilité publique et la raison de ce traquenard coquin.



Mélanie se mit à genoux et commença à me lécher le gland avec application. De mon côté, je ne résistai pas au plaisir de faire glisser ma main entre les lèvres humides de Laetitia et son petit trou que je sentis vite se contracter sous la pression de mon majeur.

À cet instant, je ne regrettai qu’une chose : que ni l’une ni l’autre n’ait eu l’idée de filmer la scène. À moins que ce ne soit le cas et que cette vidéo serve de prélude à leurs jeux le lendemain à la fermeture. Je balayai du regard la librairie : il y avait mille endroits pour cacher une petite caméra. C’était encore plus excitant. Et même si cette vidéo venait un jour à être dévoilée, j’y étais plutôt à mon avantage et je me disais que peut-être, lors des prochains salons, certaines lectrices pourraient bien vouloir autre chose qu’une dédicace. Je voyais déjà cette lueur dans leurs yeux, leurs lèvres humides au moment de me tendre un livre à signer, cette main qui frôle la mienne et ce petit mot abandonné sur ma table au moment de partir : « On se retrouve dehors ? » Que de perspectives réjouissantes à venir !


Pour l’heure, Mélanie venait d’accélérer la cadence et, prouesse méritant d’être soulignée, parvenait à avaler l’intégralité de la bête ! Laetitia haletait sous mes doigts, se trémoussait de plus en plus tandis que mon majeur s’activait en elle avec une frénésie croissante. J’en aventurai un deuxième entre ses cuisses et allai à présent plus en profondeur en elle. Après encore quelques minutes de préparatifs intenses, elle serait prête à accueillir ma queue frémissante de désir pour ce petit cul tant convoité et qui serait bientôt mien.


Comme si nous étions tous trois sur la même longueur d’onde, Mélanie retira ses lèvres et me guida vers l’anus de Laetitia. J’y pénétrai sans difficulté et progressai lentement en elle. Le spectacle de mon sexe gonflé allant et venant en Laetitia était de toute beauté. Mélanie commençait à se trémousser sous les caresses et les baisers dont je couvrais sa poitrine. J’entrai de plus en plus profondément en Laetitia et elle jouit presque aussitôt après que mes cuisses eurent touché ses fesses. Impatiente de subir elle aussi les assauts de mon gourdin, Mélanie me présenta son cul, et je ne me fis pas prier pour commencer avec elle les préparatifs que je venais d’achever avec Laetitia.


Un doigt dans l’anus de Mélanie et le sexe dans celui de Laetitia, j’étais sur le point d’éjaculer quand je m’aperçus que j’allais atteindre les douze mille signes – minimum requis par Rêvebébé pour une série – et qu’il était temps de prendre congé, non sans avoir félicité Oli-13 pour sa perspicacité et vous avoir révélé, qu’à l’instar de tous les paragraphes suivant le neuvième de la première partie, ce second opus n’était, bien entendu, que pure fantaisie…