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n° 18673Fiche technique24840 caractères24840
Temps de lecture estimé : 15 mn
22/11/18
Résumé:  Aujourd'hui, je dois négocier le plus important contrat de ma vie avec une redoutable acheteuse. J'espère que je ne vais pas y laisser ma chemise et finir en caleçon.
Critères:  fh inconnu collègues travail voir intermast cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Perdita      Envoi mini-message

Série : Négociation

Chapitre 01
Négociation

Je veux ce contrat ! Je veux ce client ! Au moment de sortir l’ascenseur, je ne pense qu’à ça. Je ne pense que motivation, enfin, je veux dire, je veux montrer ma motivation. Un homme grand et brun me tire de mes pensées.



Nous traversons un open space, très éclairé, très moderne, avec coussins Fat Boy, coin cuisine et des cliquetis des claviers d’ordinateur. Pas d’autres sons que ce cliquetis d’ailleurs, l’épaisse moquette étouffe le bruit de nos pas. Les bureaux sont tous occupés et l’ambiance est effectivement très studieuse. Les écrans aux murs diffusent des slogans en grandes lettres « Le futur, c’est aujourd’hui », « Construisons l’avenir maintenant ». Au fond de l’open space, le grand brun me fait rentrer dans une salle de réunion aux murs vitrés. Avant de partir, il me désigne la machine à café.



Je n’ai pas le temps de répondre qu’il a déjà fermé la porte. Déjà quatre cafés pris ce matin et il n’est pas encore midi, si j’en prends encore un autre, je ne vais plus me maîtriser.

Après cinq minutes, la porte s’ouvre sur Madame Lempereur. J’avais déjà observé son profil et sa photo sur Viadea, et là je vais dire qu’elle est mieux en vrai. Petite, brune, queue de cheval, grosses lunettes noires, un sourire ravageur, une robe noire surmontée du foulard bleu autour du cou, des bottes grises, un dossier sous le bras.



Elle s’assoit à l’autre bout de la table et ouvre son dossier.



Un vent de bonheur souffle en moi. Sans même discuter, elle me propose un contrat à l’année. Tous ces efforts enfin couronnés…



Et là, coup de massue.



Oups, sous le coup du choc, j’ai parlé sans réfléchir.



Mon acheteuse lève ses yeux bleus de son dossier. Ils se posent sur moi durant quelques secondes. Quel regard ! Elle prend son stylo et note.



Son stylo effleure ses lèvres, un éclair de gourmandise dans le regard. Estomaqué par la réponse ou plutôt sous l’emprise de son regard, je ne sais que répondre. Pendant quelques secondes, ses longs doigts fins et agiles jouent avec le stylo. Finalement, elle le pose sur la table, recule sa chaise, croise les jambes et les bras.



C’est à moi, je dois défendre mon prix, ma société, mes employés ! Je ne compte plus les appels d’offres remportés et les redoutables négociations face aux acheteurs les plus retors ! Tel un boxeur sur un ring, je lance la première riposte. Je parle de qualité de service, d’excellence opérationnelle, de synergie et de partenariat à court ou long terme ! Je parle de réactivité, de produits français et de la fiabilité de nos engagements. Madame Lempereur répond pied à pied, point sur point. L’échange dure et est intense. Satisfait de ma performance, je guette ses réactions, ses yeux, ses sourcils, ses gestes. Mais rien de transparaît et elle reste reculée, les bras et jambes croisés.


À la fin de l’échange, je reprends mon souffle et j’observe ma cliente. C’est vrai qu’elle a beaucoup d’élégance. En plus d’avoir un joli minois, elle m’a l’air plutôt pas mal. De ses doigts manucurés, elle pose son stylo sur la table. Elle se lève et s’approche de moi.



Debout devant elle, à vingt centimètres, je reste toujours assis. Je sens un léger bouquet, un léger parfum doux et suave. Peut-être de la fleur d’oranger. Elle s’assoit sur la table, croise ses jambes, ses mains sur la table.



Ses bottes noires effleurent mes genoux. Son regard autrefois dur et distant s’est maintenant adouci. Je ne sais pas du tout à quoi elle joue, mais ce que je peux dire est qu’elle est bien plus jolie que de loin. Elle doit avoir trente ans, trente-cinq ans, pas plus, très peu de rides, un très joli charme et un parfum envoûtant. Je ne sais pas où on va, mais qu’une jolie fille se rapproche de moi comme ça rend la situation très intéressante.


Je reste, quoi qu’il en soit, sur mes gardes.



Elle met les mains à ses cheveux, défait sa queue de cheval, secoue ses cheveux, me regarde à travers les mèches et en coince d’autre derrière les oreilles avec ses doigts. Je ne sais pas pourquoi elle décide de changer de coiffure maintenant, mais sa nouvelle coupe lui va à merveille. Elle se penche vers moi, son talon effleure encore ma cuisse.



Sa main active une télécommande, les stores du bureau commencent à descendre. La vache, j’ai compris. J’ai entendu parler d’acheteur véreux qui demandait des billets au black ou encore de client lubrique qui ne savait plus réfléchir devant un décolleté. Mais une acheteuse qui fait des avances, c’est une première. Piège ou pas piège, ça ne sent pas bon, il vaut mieux que je quitte les lieux le plus vite possible. Je rassemble mes affaires.



Je me lève et elle se saisit de ma cravate.



Elle rapproche son visage. C’est vrai qu’elle est mignonne et son parfum est un véritable piège à mec… il faut que je parte. Je recule.



Je recule un peu plus et elle semble me laisser partir, je me retourne, je tourne la poignée… la porte est fermée. Seul dans ce bureau, les stores baissés, face à une jolie fille qui veut clairement profiter de ces charmes pour négocier, je suis effectivement piégé.



Elle défait son foulard autour du cou, on peut maintenant voir le début de sa poitrine. Elle se lève et se rapproche de moi :



Quel canon ! Quel style ! Cette fille me fait le grand numéro de charme, mais je ne sais si c’est un piège. Je doute, je ne sais pas, mais il ne faut pas que je baisse la garde. Je n’ai pas envie de finir au tribunal devant un juge ou je ne sais quoi.



Elle est juste en face de moi et caresse mon visage avec ses longs doigts fins. Mon dieu, quelle est belle. Elle ne répond pas à ma question.



Putain, ne me dis pas qu’elle est… Ma tentatrice suit mon regard vers son décolleté :



Son parfum toujours son parfum…



Je ne dois pas céder, mais elle est beaucoup trop canon. Je reste interdit quelques secondes, je ne sais quoi dire. Soudainement, elle prend mon membre à pleines mains sans détacher son regard,



Oh putain, je bande, je n’avais même pas réalisé.



Je regarde son décolleté. Un fin collier en argent autour du cou, sa gorge dénudée, le début d’une poitrine qui semble beaucoup plus généreuse que ce que j’avais imaginé jusqu’à alors. Enfouie entre ces deux globes parfaits, je vois la pointe d’un objet métal. Pendant que la main droite de ma ravisseuse commence à caresser doucement mon sexe, sa main gauche se pose sur mon épaule, elle se penche vers moi et me murmure à l’oreille :



Je commence à apprécier ses caresses et les yeux plongés dans ce décolleté.



Sa main ouvre ma fermeture éclair et plonge dans mon pantalon, juste le tissu de mon slip en coton sépare ses caresses de mon dard qui ne cesse de se tendre.


Elle me regarde en prenant un air faussement innocent.



Ma ceinture défaite, mon pantalon tombe à mes chevilles. Je suis en train de céder, il faut que je fasse quelque chose. Je me retire en faisant un pas de côté. Je vois ma ravisseuse de plain-pied, ses cheveux lâchés et décoiffés, son haut dévoilant le début d’une magnifique poitrine, sa jupe, ses collants, ses bottes sexy. Je lève les yeux, je vois que dans son regard l’imperturbable acheteuse est devenue une femme cruellement en manque de sexe. La bouche entrouverte, ses yeux sont allumés par le désir. Madame Lempereur est horriblement sexy et désirable. La situation n’est pas si déséquilibrée que ça. J’ai très envie d’elle, je peux profiter de la situation et je ne vais pas en profiter. Le seul problème c’est que ce n’est pas la tête qui commande à ce moment.



L’accord conclu, elle enlève son haut puis sa jupe. Je peux voir la clef du bureau accrochée dans la dentelle entre ses deux seins. Cette femme est là devant moi avec ce corps de dingue, ses cheveux noirs, en soutien-gorge noir, collant noir et bottes noires. J’ai passé un contrat avec la veuve noire et je ne sais pas si j’ai bien fait.


Quoi qu’il en soit, son regard de braise, ses seins fermes, son grain de peau et son parfum qui revient encore et toujours m’excitent au plus haut point. Attendant la suite, je m’assois sur le bureau, la jolie fille s’approche de moi d’un pas chaloupé. Sa poitrine est maintenant au niveau de mon visage. Elle saisit ma cravate et approche sa bouche. Je sens son souffle léger avec un zeste de fruit sucré, d’orange ou peut-être de bergamote. Elle ouvre les lèvres et m’embrasse doucement. Sa langue charnue joue avec la mienne, je goûte ce moment. Jamais je n’aurais pensé que cette négociation allait finir de la sorte, mon cœur accélère. Elle me prend des deux mains, sa respiration change de rythme, sa langue s’active de plus en plus. J’incline la tête, Faustine fait de même. J’ouvre les yeux, les siens sont clos, elle savoure cet instant.


Au fait, je crois que j’ai envie d’elle, je crois que j’ai envie de la prendre, mais je ne veux pas perdre l’avantage de cette négociation. Je la saisis par la hanche, je me lève sans rompre le baiser, la soulève, elle glisse ses jambes derrière moi et se pose sur le bureau à la place où j’étais. Notre étreinte continue, je sens toujours ses lèvres au goût de bergamote, maintenant j’en suis sûr. Sa langue et son souffle ne diminuent pas le rythme. Je me redresse et casse le baiser. Elle me regarde un peu décontenancée, ses yeux pleins de désir.



Sur ses mots, je déchire son collant, je m’agenouille, écarte sa culotte blanche. Quel bijou ! Son abricot là, bien épilé, ses lèvres ouvertes sont trempées de mouille. Je vois le trou de son vagin et au-dessus son clitoris gonflé par le désir, il semble que cette négociation ne l’a pas non plus laissée de marbre. Je contemple ce temple de la féminité avant que deux mains m’attrapent par le crâne et me pousse plus en avant.



J’obtempère et je glisse ma langue entre ses lèvres chaudes, je déguste le suc du fruit de mon acheteuse. À peine ma langue a-t-elle touché son corps que je sens que ses mains, ses hanches, ses cuisses se crispent. Qu’est-ce qu’elle a bon goût ! Ma langue masse ses nymphes et l’entrée de sa vulve, son jus ne cesse de couler dans ma bouche. Il a un goût incertain, sucré et salé, amer et doux, c’est un parfait délice. Au moment où mes coups de langue montent jusqu’au bouton de plaisir. J’entends Faustine crier. Je m’arrête.



Je retourne à la tâche et redouble d’efforts en léchant, en suçant et en tournant sa framboise. Je ne veux pas que ça s’arrête et il en est de même pour Faustine, à la vue de la pression de ses mains sur l’arrière de mon crâne. Ma langue est infatigable, son clitoris continue de gonfler, de se déployer. En haut, j’entends des gémissements. On est sur la route de l’orgasme et je vais emmener ma belle jusqu’au terminus de la jouissance. Ma bouche se colle de plus belle à son abricot, sa mouille coule à flots, son clitoris est maintenant rouge et brûlant, prêt à exploser de plaisir. J’insère un doigt dans sa fente, et je commence à la branler. Les gémissements s’accélèrent au rythme de mes doigts, de ma langue. Soudainement, comme arrivée au dernier palier, elle jouit. Un long cri retentit dans tout le bureau. Son clitoris se contracte en secousses, ses mains ne laissent plus bouger ma tête.


Quelques instants passent où ma conquête reprend son souffle et desserre son emprise. Je me relève après avoir léché ses lèvres une dernière fois.

Le soutien-gorge dégrafé, j’observe son collier d’argent accroché autour du cou entre deux magnifiques seins. Leurs extrémités pointent maintenant de plaisir vers moi. C’est une sacrée belle paire et je compte bien profiter de la situation. Je caresse le visage de Faustine et nous joignons encore nos lèvres.


Le goût de bergamote dans ma bouche. De ma main droite, je descends mon boxer par terre. Je quitte ma veste, mon amante m’aide à défaire ma cravate et enlever cette chemise. Il faut être nu, il faut sentir nos corps ensemble, il faut sentir notre peau se frotter l’une à l’autre. Nous sommes maintenant un couple excité par le désir, l’envie de jouir. Nous allons faire l’amour. Ma maîtresse reprend ma bouche, m’embrasse de plus belle. Dénudés l’un et l’autre, mon vit dressé rentre en contact avec son clitoris gonflé, j’entends un gémissement de plaisir.



Elle esquisse un sourire et écarte ses cuisses, son regard me supplie de la prendre. J’enfonce lentement mon sexe dur entre ses lèvres mouillées par le désir, Faustine écarquille les yeux « Oh putain », me prend par les épaules, encroise ses jambes dans mon dos. Elle est étroite, chaude, mouillée. Je sens son abricot se distendre pour laisser place à ma verge tendue de désir. Je bute enfin jusqu’au bout, jusqu’à la garde de mon dard. Quel plaisir, quel pied !



Faustine ferme ses paupières, enfonce ses ongles manucurés dans mes omoplates, plie ses jambes plus fortement, ses talons s’écrasent dans le bas de mon dos. Nos corps n’ont jamais été aussi proches, aussi serrés. Je sens encore et toujours son parfum entêtant. Son corps est tendu à l’arrêt en attendant mes coups de boutoir.



Sa chatte, ses cuisses, tout son corps se contractent à ma question. Ses yeux clos, j’en profite pour admirer toute la puissance érotique du spectacle. Debout, je la pénètre, prêt à la ramoner, le visage encore trempé par la cyprine, le torse en sueur. Elle est assise sur la table à moitié nue avec ce corps de dingue. Son collier d’argent, la poitrine dénudée, la jupe relevée à la taille, les collants déchirés, ses jambes bottées croisées dans mon dos. Je ne sais toujours pas si c’est un piège et la direction que ça va prendre, mais putain, je vais me faire la veuve noire.


Je veux profiter de ce moment. Prêt à démarrer, je commence à caresser ses magnifiques seins généreux.



Son vagin se serre autour de mon dard et renforce mon excitation. Faustine dans un souffle :



Quel plaisir de l’entendre, mais je veux me venger et ma cliente doit être plus explicite



Mes doigts caressent cette superbe poitrine et effleurent de temps en temps son téton durci par le plaisir. Elle entrouvre enfin ses paupières, ses yeux en manque de sexe m’implorent de la baiser.



C’était le signal attendu, j’active le va-et-vient. Faustine ferme à nouveau les yeux, j’entame la baise d’abord doucement. En savourant chaque mouvement, chaque poussée, chaque caresse. Aussi simple que ça, nous faisons simplement l’amour. Son corps et sa chatte se contractent à chaque butée. Ses mains caressent mon dos. Je profite de chaque instant. Je sens son ventre contre moi, ses seins généreux, sa peau chaude, son souffle brûlant. Nous sommes à l’unisson, au même rythme, dans le même désir et Faustine gémit à chaque fois que ma verge atteint les parois de son con. Après plusieurs allers-retours. J’accélère le rythme. Je vais maintenant la baiser, je vais maintenant la faire jouir.



Ma bouche attrape la sienne, nos langues se mélangent, je goûte encore une fois à ce délicieux parfum de bergamote, elle gémit, son abricot est trempé de mouille, son bas-ventre est si chaud. Elle s’allonge le dos contre la table, elle recule sous mes assauts, je monte dessus pour mieux la chevaucher.


Baiser son client à gros seins dans son bureau, comme ça, c’est un vrai rêve éveillé de petit patron de boîte comme moi. Et le petit patron va la faire jouir avec sa grosse bite. Je souris à ma phrase cliché, mais la situation m’excite de plus en plus. Ma verge glisse dans son corps, de plus en plus vite. Faustine répète ses « putain ! » à chaque coup de bite. Je lui reprends la bouche, ma langue s’enfonce dans sa bouche. Je sens sa sueur, ses cheveux collés, il fait de plus en plus chaud, de plus en plus humide. Pas besoin de clim, on est sous les tropiques dans cette salle de réunion. Mes mains sur ses hanches, ses cuisses écartées. Je lui démonte la chatte et elle adore ça. Moi aussi.


Je continue le ramonage de plus belle et à chaque fois que s’enfonce ma verge, Faustine pousse un gémissement de plus en fort. Des deux côtés l’orgasme est tout proche. Les ongles de Faustine s’enfoncent de plus en plus, je crois que mon dos saigne, mais je m’en fiche, car elle va jouir avant moi. Ou peut-être l’inverse. Je romps le baiser, elle ouvre les yeux et je me contracte, elle lance un cri, je jouis, elle jouit.



Nous reprenons tous les deux notre souffle petit à petit, elle me regarde comme si j’étais Brad Pitt ou le meilleur coup de sa vie ou les deux. Je ne suis pas en reste de mon côté, car elle est vraiment canon. Quel visage, quels yeux, quel sourire, quelle poitrine, quel sexe !


Je me couche à côté d’elle sur le dos. Nous regardons tous les deux le plafond en nous tenant par la main.



Faustine se redresse, prend la clef qui était tombée sur le table, me la tend en me disant :



Nous nous embrassons à nouveau et je goûte ses lèvres de bergamote encore une fois.