Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18747Fiche technique110755 caractères110755
Temps de lecture estimé : 62 mn
24/12/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ce soir, comme souvent, Léa et moi recevons Émilie et Étienne, un couple de nos amis que je fréquente depuis le lycée. Étienne, il était dans la même classe que moi, et déjà un sacré déconneur. Quant à Émilie, j'avoue que c'est un flirt de cette époque...
Critères:  fh couplus vacances plage jalousie exhib fellation pénétratio fouetfesse
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Switch à Saint-Tropez

Chapitre 01 / 03
Arrivée

Première section d’une petite histoire en 3 parties, juste pour la détente…



Avant de commencer, rectifions tout de suite un point de détail : le titre est faux (oui, rien que ça). En effet, ce fut à Gigaro, La Croix-Valmer, que ça s’est passé. Néanmoins, Saint-Tropez est distant de quelques kilomètres, quinze/vingt selon la route qu’on prend. Et puis Switch à Gigaro, ça sonne moins bien que Switch à Saint-Tropez. :)

Installez-vous confortablement que je vous narre la chose.




Repas entre amis



Ce soir, comme souvent, Léa et moi (Axel) recevons Émilie et Étienne, un couple de nos amis que je fréquente depuis le lycée. Étienne, il était dans la même classe que moi, et déjà un sacré déconneur. À l’époque, je reconnais avoir « flirtouillé » avec Émilie, mais ça n’a pas été trop loin, enfin tout dépend par ce qu’on entend par là. Et j’en ai toujours éprouvé quelques regrets. De plus, hélas pour Étienne, un peu plus tard, j’ai mis la main (et pas que la main) sur Léa avant lui… Je sais pertinemment que mon ami ne déteste pas ma femme, loin de là.


Peut-être que nous nous sommes trompés de femmes…


Le lycée, ça va faire bientôt vingt ans ! Comme le temps passe vite, mine de rien. Hélas pour nous, Léa et moi n’avons pas pu avoir d’enfants, et du coup, nous sommes les parrains-marraines de ceux d’Émilie et Étienne. Aujourd’hui, les trois enfants sont chez les parents d’Étienne. Nous aimons bien les voir, mais ils sont quand même turbulents.


Étienne est resté bon vivant, tandis que sa femme s’obstine dans le BCBG, parfois couleur « prout ma chère  ». Mais dans son cas, ce serait plutôt le « beau cul belle gueule  » que le « bon chic bon genre  », même si elle sait être très chic ; mais pour le genre, c’est moins ça. Si je devais exprimer le fond de ma pensée et de ma libido, Émilie est une belle petite garce qu’on a envie de baiser à fond et à qui on doit adorer faire des tas de cochonneries peu avouables !


Mais voilà, elle est devenue assez prude…


À l’époque, j’appelais Émilie « Bébé Cyanure » à l’image de l’héroïne de l’unique album de BD, un ouvrage peu connu de Forest, mais que j’avais (et que j’ai toujours) dans ma bibliothèque. Pas ce qu’il a fait de mieux, mais qu’importe. Au fur et à mesure des années, je trouve que cette ressemblance de plus en plus marquée. Peut-être que j’avais projeté certains de mes fantasmes d’une fille de papier vers une fille de chair…


Léa est plus grande et plus nature, et parfois un peu trop nature, n’ayant pas une notion de la diplomatie très ancrée en elle. Du coup, je dois parfois arrondir les angles. Ma femme porte bien son prénom avec sa chevelure de feu, une vraie rousse ! Et une vraie lionne quand elle le veut. C’est une adoratrice du fait-maison et de la médication à base de plantes. Pas tout à fait une écolo pure et dure, car elle adore trop sa belle et grosse voiture et déteste le vélo, ainsi que la marche à pied.


Une fois de plus, comme les enfants sont absents, la conversation roule sur le sexe, Étienne adore en parler. Sa femme fait la moue, mais elle n’est pas la dernière à nous raconter des anecdotes croustillantes en les concluant inévitablement par un « c’est dégoûtant, n’est-ce pas ? ».


Après une anecdote bien sentie, Étienne s’adresse directement à moi :



Toujours aussi subtil, mon ami insiste :



Léa vole à mon secours :



Et il soupire à cette évocation… Mais c’est de courte durée, car il me demande :



Depuis quelque temps, j’ai cette idée dans un coin de ma tête, je prévois de m’en servir comme base pour un futur ouvrage. Sereinement, je lâche :



En voyant sa tête ahurie aux grands yeux ronds, je constate avec plaisir qu’il ne s’attendait pas à une telle réponse. Néanmoins, il réagit aussitôt :



Devant son air rêveur, sa femme s’offusque :



Puis il se tourne vers moi, puis il regarde avec insistance ma femme assise à mes côtés :



Émilie s’exclame aussitôt :



Celui-ci réplique derechef :



Curieusement, Émilie ne répond pas, mais rougit. Un petit silence s’installe entre nous, je cherche dans mon cerveau une bonne idée pour relancer la conversation. Sortant d’une sorte de songe éveillé, Étienne annonce :



J’ignorais cette info, même si je savais qu’il avait une partie de sa famille loin d’ici. Je prends la balle au bond :



J’abonde dans le même sens :



Sa femme rectifie :



En effet, ça ouvre des perspectives…



Il laisse passer un bref instant avant de continuer, tel un gros ours devant un pot de miel :



Sans me démonter, jouant toujours le jeu, je réponds :



Nos deux femmes nous regardent d’un air un peu effaré. Léa doit se demander jusqu’à quel point nous plaisantons. Quant à Émilie, elle est carrément choquée. À ma grande surprise, c’est Léa qui prend le relais :



Bouche bée, Émilie ne répond pas. Avec une étincelle dans les yeux, Léa enchaîne :



Et sous mon nez et celui d’Émilie, ces deux-là se content plus ou moins fleurette. J’ai l’impression de regarder un film en 3D. C’est une sensation étrange. Néanmoins, je reconnais que si ça me permet de coucher en toute quiétude avec Émilie, je ne dirais pas non. En parlant de mon ex-petite copine, je vois qu’elle essaye de garder pied, mais elle n’arrive à trouver le bon moment.


Alors qu’Étienne est en train de vanter depuis dix minutes sa villa du sud et les alentours, Émilie ajoute son grain de sel :



Ma femme répond tranquillement :



Étienne rigole franchement :



Et il regarde avec insistance ma femme qui rougit un peu. Puis il se tourne vers sa moitié qui en est bouche bée pour lui asséner :



C’est dans cette atmosphère irréelle que la plupart des points de détail furent mis au point. Un beau jeu de rôle, grandeur nature. Même Émilie participe, prise au jeu, pensant sans doute que c’est un jeu croustillant. Moi, je suis en train de me demander si je rêve ou si je suis parti dans la trente-sixième dimension. J’aurais préféré le septième ciel. En attendant, moi aussi, je prends goût à cette étrange conversation.


À ce moment, j’ignorais que je n’étais pas dans la trente-sixième dimension et que quinze jours plus tard, ce serait la réalité.




Samedi matin - Une maison dans le sud



Après presque douze heures de route effectuée de nuit en nous relayant tous les quatre au volant, nous venons d’arriver devant la maison en question. L’heure est assez matinale, nos femmes sommeillent sur les sièges arrière. Étienne part ouvrir le portail. Puis il engouffre la voiture dans une allée recouverte d’une tonnelle de verdure. Il gare la voiture après d’un muret, déclarant :



Quelques instants plus tard, l’air frais réveille nos femmes, et tous les quatre, nous gravissons un chemin pentu qui serpente sur une vingtaine de mètres. Quand je découvre la maison en question, je siffle d’admiration :



Et sans vergogne, il capture ma femme par la taille. Il m’adresse un sourire carnassier :



Et il s’éloigne avec sa pseudo-femme, ma femme à moi. Je m’incline vers Émilie dont les yeux lancent des éclairs en les voyant s’éloigner ainsi :



Elle sourit, mais ses propos restent acides :



Mais à son air, je vois bien qu’elle apprécie le compliment. Ceci étant, je vois bien qu’elle ne digère pas que son légitime ait une nouvelle femme, et sous son nez. Elle persifle :



Lui faisant face, je m’approche d’elle, très près :



Je pose délicatement mes mains sur le haut de ses bras, près de ses épaules :



Je vois bien qu’elle ne sait pas sur quel pied danser. Elle articule :



Ben voyons, la belle excuse ! Je l’approche un peu plus de moi :



Elle ronchonne, mais elle ne se dégage pas de mon emprise :



Je la plaque presque contre moi, je sens le bout de ses petits seins agressifs contre mon torse. Je ne constate pas une forte résistance de sa part, ce qui me confirme dans mon idée générale :



Je la plaque contre moi, puis je pose voracement mes lèvres sur les siennes. Malgré ses grands airs et son hypocrisie latente, cette petite mijaurée m’a toujours excité, c’est ainsi. D’un côté, il y a les femmes avec qui on aime vivre, et de l’autre, les femmes avec qui on aime baiser. Et ce ne sont pas forcément les mêmes. On devrait avoir le droit légal de posséder deux femmes dans sa vie.


Je constate au passage qu’elle ne m’a pas balancé de claque, ni de griffure, ni de morsure, et qu’elle est justement en train de répondre à mon baiser. Je ne saurais dire si Émilie n’attendait que ça de ma part, ou si elle est juste une femme qu’il convient de prendre dans tous les sens du terme. Je remise ma réflexion pour plus tard, j’ai plus jouissif à faire maintenant.


Peu après, elle se dégage :



Et elle me fait visiter la maison, alors que j’aurais préféré visiter autre chose. Mais je pense que c’est juste partie remise.




Deux plus deux




Inutile de préciser qu’Étienne et sa nouvelle femme ont étrenné très vite les joies de leur chambre. À peine les valises défaites, ils ont disparu tous les deux. Par contre, si nos yeux ne les voyaient plus, nos oreilles sont mises à contribution depuis quelques minutes !


Ma nouvelle femme râle :



Ses yeux lançant des éclairs, elle s’énerve :



Vu comme ça, c’est moins poli et fun. Néanmoins, j’essaye de lui faire comprendre le point de vue particulier de notre actuel séjour :



Si toutes les cinq minutes, je dois convaincre à nouveau ma nouvelle femme, je sens que ça ne va pas être triste. Néanmoins, je trouve que ma chère vraie femme s’est facilement prêtée au jeu. Trop facilement. Mais bon, c’est quand même moi qui ai introduit le loup dans la bergerie.



Un peu calmée, elle dodine de la tête :



Elle fait un petit geste de la main :



Eh bé ! Quelle réaction ! N’empêche qu’elle est belle quand elle se fâche. Je me demande à l’instant ce qu’aurait pu être ma vie avec cette femme si nous étions restés ensemble. Avec des « si », on refait le monde.


En rage, elle marche à grands pas vers la chambre où s’ébat l’autre couple. Je la rattrape illico presto par le poignet, je ne tiens pas à ce que ça dégénère ! Elle se retourne vers moi, tentant de débattre. Je capture tant bien que mal ses deux bras, mais surpris par sa vivacité, je recule sans toutefois la lâcher.



Je bute sur quelque chose situé derrière moi, je tombe à la renverse pour choir dans un canapé. Poussant un petit cri, Émilie suit le mouvement, et elle s’aplatit sur moi. Mû par un réflexe, je referme mes bras autour d’elle, et excité par la situation et son corps chaud sur le mien, je cherche ses lèvres. Surprise, elle se laisse faire avant de réagir un peu tardivement en me mordillant, mais pas très méchamment.


Je la presse puissamment contre moi, je sens ses seins fermes contre mon torse, sa chaleur contre ma peau, son parfum m’enveloppe, la douceur et l’humidité de ses lèvres. Nous échangeons un baiser assez étrange, puis Émilie se redresse un peu :



Ses lèvres à quelques centimètres des miennes, elle s’exclame :



Et je l’attire à nouveau à moi. Elle répond à mon baiser, et celui-ci dure longtemps, très longtemps, à la fois vorace et tendre. Quelques minutes plus tard, elle reprend son souffle :



Elle se relève un peu plus, me toise de sa hauteur, les yeux étincelants, les cheveux défaits :



Je rassemble toutes mes forces, tout mon savoir en la matière, il ne faut pas que je me loupe sur ce coup-là. Le défi est important, mais la récompense est belle. De plus, je sens confusément qu’Émilie est en train de basculer, mais c’est à moi de ne pas me tromper de côté.




Samedi après-midi - Bascule




Un peu plus tard, en tout nettement plus que les dix minutes proposées par Émilie, elle et moi, nous reprenons notre souffle. C’est elle qui rompt le silence :



Nous n’avons pas vraiment fait l’amour, mais notre étreinte sur le canapé a été furieuse et passionnelle. D’ailleurs, elle est complètement nue et moi aussi. J’en ai profité pour lui faire une longue démonstration de ma science des préliminaires, je l’ai dégustée de la tête aux pieds, côté pile comme côté face, sans rien oublier. Et pour faire bonne mesure, je lui ai offert de la jouissance sur la forme de plusieurs cunnis, chose dont la plupart des femmes raffolent.


Je me suis même offert le petit luxe de lui procurer une feuille de rose tandis que je la masturbais délicatement.


Au début, Émilie était plutôt passive. Puis elle s’est prise au jeu. Elle m’a même offert deux fellations. La première était un peu maladroite, mais le cœur y était. La seconde fut nettement plus réussie, j’ai alors senti qu’elle avait rompu une amarre.


Se redressant un peu, elle secoue la tête :



Elle suspend sa phrase, rougissante. Amusé, je lui demande :



Je réponds doctement :



Elle me regarde d’un drôle d’air, elle tergiverse, puis elle finit par se décider :



Délicatement, je l’allonge sur le ventre, une jambe sur le canapé et l’autre en dehors, pour mieux avoir accès à son petit trou. Je me positionne pour être au mieux et disposer aussi sous mes doigts de sa fente bien humide. Ma langue commence une série de caresses autour de la cuvette de son anus, tandis que de l’autre côté, j’agace petit à petit un clitoris que ne demande que ça.



Ah, on dirait que son vocabulaire se relâche. Je retrouve un peu la jeune fille du lycée qui avait un vocabulaire plus leste. Alors je continue ma double caresse, et visiblement, elle apprécie puisque je l’entends gémir tout doucement.


Écartant plus encore ses fesses, j’ose m’insinuer délicatement à l’entrée de son puits sombre ; elle se laisse faire. J’accélère l’exacerbation de son clitoris en feu. Je sens qu’elle vibre, que sa jouissance ne va pas trop tarder à éclater. Je constate qu’elle réagit de plus en plus vite à mes stimulations. Tant mieux si j’arrive à la faire jouir à la chaîne, elle n’en sera que plus épanouie et comblée.



J’entends des petits cris rauques sortir de sa bouche. Implacable, j’accentue l’attaque de son clitoris et de son sombre petit trou. Je constate avec amusement que son anus se desserre, acceptant l’intrusion de ma langue. On dirait bien qu’Émilie soit partisane de jouir du cul, ce qui arrangerait bien mes affaires, car j’adore la sodomie, mais je ne peux pas la pratiquer aussi souvent que je ne l’aurais voulu. Mais quelque chose me dit que je rattraperai peut-être mon retard prochainement…


En attendant, ma compagne est en train de jouir comme pas possible sous l’action conjuguée de mes doigts et de ma langue. J’adore voir son anus palpiter au rythme de ses vagues de jouissance…




Samedi soir tard - Une nouvelle étape




Nous sommes allongés tous les deux dans le lit, la chambre reste plongée dans une semi-obscurité. La journée s’est passée en quelques rangements, et surtout dans nos chambres, à la fois pour nous reposer du voyage et aussi pour profiter de l’autre. Léa et Étienne ont sans doute fait connaissance des moindres recoins de leurs anatomies respectives. Il en est de même pour Émilie et moi, même si j’avais déjà eu une petite approche de sa géographie, il y a bien des années…


Tandis que je caresse son dos et aussi ses fesses, Émilie me confie :



Elle marque un temps d’arrêt :



Narquoise, elle désigne mon sexe alangui :



C’est alors qu’elle change de position, pivotant et se retournant, et sans que je m’y attende, elle dépose un preste baiser sur ma verge endormie. Le résultat ne se fait pas attendre, Émilie exulte :



En effet, ma bite se redresse petit à petit, lentement mais sûrement ! Puisque je suis à nouveau en forme, profitons-en ! Et je me jette sur ma compagne pour une suite bien méritée !



Sans passer par divers préliminaires, je la bascule sur le dos, pour aller illico m’enfoncer en elle, sans plus de circonvolutions. Elle proteste mollement :



Aussitôt, je me retire de ses profondeurs, pour venir me frotter lascivement contre ses lèvres intimes et surtout contre son clitoris déjà bien exacerbé. Elle apprécie beaucoup cette caresse un peu insolite que je lui prodigue quelques secondes, avant de replonger en elle une nouvelle fois. Je m’amuse à cet aller-retour plusieurs fois, et elle ne proteste pas du tout :



Ah, c’est la première fois qu’elle m’appelle ainsi, mais ça me plaît bien. Je la lime copieusement, dedans, dehors, me frottant voluptueusement contre elle. Je vois bien que ça lui fait beaucoup d’effet, alors j’accentue mon frottement contre son clitoris en divers amples mouvements, allant de mon gland à la base de ma verge, me chargeant au passage de cyprine. Je la vois qui vibre, qui tressaille. Je continue, encore et encore. Elle agrippe furieusement mes bras, je sens que sa jouissance n’est plus très loin.



Elle explose, elle jouit, les yeux fermés, ses ongles dans ma chair tandis que je continue mon vicieux frottement contre elle. Elle se cabre, elle gémit, elle rugit. Sa respiration est courte, son corps est secoué de spasmes, des doigts développent une force surhumaine, sa bouche grande ouverte pour aspirer tout l’air de la chambre. Elle rayonne, elle irradie, je la trouve terriblement belle dans cet abandon au plaisir, ça me trouble profondément !


N’y pouvant plus, n’ayant plus le temps d’aller m’enfouir en elle, au plus profond de son corps accueillant, j’éjacule sans répit sur son pubis, sur son ventre, la souillant de mon sperme bien chaud, marquant ainsi ma possession et mon territoire…




Dimanche – Petit déj’



Ce matin, nous nous levons très tard, la nuit a été assez agitée et nous avons aussi du sommeil en retard. Léa et Étienne sont déjà dans la cuisine en train de déjeuner. Je vois bien qu’Émilie hésite entre deux attitudes : enguirlander son vrai mari, ou faire comme si c’était moi son mari. Léa semble un peu gênée en me voyant. Tout en me servant un café, je décide de prendre la parole avant que quelqu’un ne dise une bêtise :



Étrangement, c’est Léa qui répond :



Émilie nous regarde, Léa et moi, d’un air curieux. Elle a du mal avec la parenthèse, même si elle a profité de la situation avec moi depuis hier. J’en profite pour boire mon café, puis de croquer dans un croissant. Un peu provocateur, Étienne s’adresse à Émilie :



Je juge utile d’intervenir :



Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine, Étienne décide de la ramener :



Mon ami couine un peu :



Sur ces mots, il serre ma femme légitime contre lui et lui plaque un baiser sonore sur la joue. Je n’ai pas le temps de réagir qu’Émilie m’embrasse sauvagement sur la bouche !




Dimanche – Au-dehors



Émilie et moi sommes de sortie au marché. Nous déambulons dans les allées, nous imprégnant de la couleur locale. Main dans la main, nous discutons de tout et de rien. Nous faisons divers achats, puis nous flânons le long de diverses devantures de boutique.


Soudain je m’arrête devant l’une d’elles, je viens de découvrir dans la vitrine un « boomerang », un jeu de société auquel je jouais étant enfant et que je n’ai plus jamais réussi à dénicher par la suite. Une sorte de Reversi avec des pièces rouges d’un côté et blanches de l’autre. De plus, le prix demandé n’est pas excessif. Je ne cherche pas à comprendre, je rendre dans la boutique, tirant Émilie par la main.


Un homme assez âgé s’avance vers nous, je le salue :



L’homme s’éloigne. Émilie me demande à voix basse :



L’homme revient avec trois boîtes. Tandis qu’il s’occupe de la vente, il discute un peu avec moi de jeux de société. Voyant que je suis amateur, il me propose d’autres jeux dont certains me tentent. Tant pis, je vais faire chauffer ma carte Visa, mais il est des opportunités qu’on ne laisse pas passer. Il me demande si ma femme joue, elle aussi. Aussitôt, je réponds :



Ça me fait quand même un peu étrange de prononcer ces mots. Dans les minutes qui suivent, je me comporte avec elle comme un vrai mari, et elle en fait de même pour moi, de façon naturelle. Un peu plus tard, quand nous sortons du magasin, une fois dans la rue, je lui dis, tout en marchant :



Je n’ai pas vu les choses sous cet angle-là. Je réponds :



C’est quand même une sacrée chipie dans son genre ! Je l’attrape prestement et je l’embrasse goulûment. Elle se laisse faire sans problème. Alors que nos corps se séparent, elle ajoute :



Elle me regarde d’un drôle d’air :



Je soupire :



Je laisse aller à rêver. Ma compagne suggère, taquine :



Elle devient très mutine et coquine :



Puis se ravisant un peu, elle me demande carrément :



Décidément, ma nouvelle femme change ! Elle se libère et pas qu’un peu. Amusé, je rétorque :



Et elle s’enfuit en riant.




Dimanche soir – Égérie et écrivain



Inutile de dire que le reste de la journée fut long. Nous sommes revenus à la villa pour y déposer nos achats. Aucune trace de nos conjoints respectifs. Alors, nous sommes ressortis pour passer la journée dehors comme deux amoureux, en jouant avec conviction le couple officiel, ce qui fut facile. Puis le soir est tombé petit à petit.



Durant toute la journée et sur le chemin du retour, elle n’a pas soulevé d’objection à ce que je l’embrasse plusieurs fois et que je glisse mes mains un peu partout. Ce qui est un très bon point pour la suite. Après quelques déambulations, nous nous dénichons un petit resto dans lequel nous dînons en tête à tête. J’ai la curieuse impression d’être revenu en arrière, au temps où j’étais étudiant, ce qui n’est pas désagréable.


Main dans la main, nous revenons à pas lents vers la villa. Toujours personne à notre arrivée. Nous nous dirigeons vers notre chambre. Mais je sens que ma compagne me fuit et qu’elle repousse à plus tard la conclusion sexuelle de notre journée. Je suis vite fixé quand elle me demande :



Elle prend la table qui est contre le mur et la déplace un peu. Ayant pris mon ordinateur en main, je m’installe, j’ouvre mon instrument d’écriture :



Elle se penche par-dessus mon épaule pour regarder l’écran :



Lentement, elle contourne la table, puis me demande :



Alors je joue le jeu, je commence à écrire une première phrase, puis une autre. Émilie sourit en me voyant rédiger succinctement ce qui s’est passé depuis hier. Elle me félicite :



Et prestement, elle se glisse sous la table. Avec dextérité, elle ouvre ma braguette pour en extirper un sexe déjà en forme. Elle le dégage bien, et sans hésitation, elle l’enveloppe de ses lèvres pour débuter une fellation particulièrement suave. Là-haut, je commence à avoir des petits soucis de concentration, mais jouant le jeu, je continue à écrire.


Après quelques bonnes suçouilles, elle retire mon sexe de sa bouche pour me demander :



Et elle recommence son petit manège sur ma queue frémissante. Cette fois-ci, elle s’offre le luxe d’enfourner ma tige plus profondément, et plus longuement, ce qui est très efficace sur mon envie de tout lâcher dans sa bouche ! Je dois faire un certain effort pour continuer à rédiger mes lignes, et un effort encore plus grand pour ne pas me laisser aller !


Je me demande si Étienne a déjà eu droit à ce genre de traitement. Je le lui souhaite. En tout cas, je constate que ma femme de vacances est douée pour l’art de la sucette. Elle y va de bon cœur, comme si elle dégustait une véritable glace, et ma bite est mise à sérieuse épreuve sous son action sensuelle et suave ! Ma frappe ralentit de plus en plus, j’ai beaucoup de mal à aligner correctement les mots.



Momentanément, elle cesse de me sucer afin de répondre, une intonation très vicieuse dans la voix :



Elle ne répond pas, elle me reprend en bouche et continue sa fabuleuse fellation. À prime vue, le but du jeu est d’aller jusqu’au bout, alors je ne vais pas faire la fine bouche ! Je laisse sa langue me caresser, sa bouche me pomper, ses doigts me branler, en tentant de juguler le flot qui monte irrésistiblement en moi. Puis ce qui devait arriver arrive : dans un grand soupir d’aise, un premier jet envahit la bouche suave qui me procure tant de plaisir !


C’est dingue, c’est dément, on dirait que je me vide totalement sous une multitude de jets puissants et visqueux, mon cerveau se liquéfie, mes membres se tétanisent, je suis ailleurs, flottant, par-dessus les cieux ! Ce n’est pourtant pas la première fois qu’on me fait une belle sucette et encore moins la première fois que je jouis, mais là, c’est intense, voire paranormal !


Alors que je suis transporté dans un cycle de tourbillons, je comprends qu’elle avale tout ce dont je l’inonde, ce qui augmente encore d’un cran ma jouissance !


Le blanc, le chaud, la douceur ouatée… Ailleurs…


Puis je redescends sur terre petit à petit, tandis que ma verge est toujours dans sa bouche chaude et humide. Je constate qu’Émilie me suçote distraitement, par jeu, par plaisir, par vice…


Je caresse délicatement ses cheveux, en soufflant :



Elle arrête son petit jeu vicieux :



Elle rosit, ce qui m’étonne, mais ce qui ouvre d’autres nouveaux horizons…




Lundi – Une petite plage



Émilie et moi, nous décidons d’aller à la plage, elle n’est pas loin à pied, à peine dix minutes. Arrivés sur place, je constate qu’effectivement, j’ai connu plus grand. Il doit y avoir quatre mètres maxi entre le bord de la route et l’eau. Et sur ce mince ruban jaune sableux, des tas de corps quasi dénudés bronzent.


Nous réussissons à nous dénicher un coin libre. Tandis que j’étends les serviettes sur le sable, ma compagne ôte son T-shirt. Elle est déjà seins nus, et quelques voisins la matent déjà. Je pensais qu’elle avait au moins un haut. De plus, son bas est assez riquiqui. Devant, un simple triangle de tissu pas bien large, et derrière, ça se limite à une simple ficelle !



Et elle se penche vers moi, ajoutant à voix basse à mon oreille :



Je réponds de même :



Terrain glissant, passons à autre chose. Je m’écarte d’elle, je lui prends la main :



Je la tire vers la mer dans laquelle il y a peu de monde :



Telle la petite vicieuse qu’elle sait être, elle se colle à moi, frottant impudiquement son ventre légèrement rondouillet contre la bosse de mon maillot :



C’est à présent tout son corps qui est plaqué contre le mieux, ses seins en poire bien écrasés contre mon torse. Elle peut devenir une sacrée allumeuse quand elle le souhaite. Je proteste mollement :



Elle minaude :



Mon visage se fend d’un grand sourire :



Je crois voir où elle veut en venir, alors je reprends à voix feutrée :



C’est vrai qu’on ne s’ennuie pas avec une telle chipie. Je me penche sur ses lèvres pour les capturer, tandis que mes mains s’emparent de ses fesses sous l’eau. Ce qui n’arrange pas mon érection, mais je m’en fous !


Après avoir fait trempette, nous retournons sur la plage. Elle s’allonge pour se faire dorer un peu, recto, verso. Je surprends plus d’une fois des regards envieux ou concupiscents sur son mignon corps dévoilé. C’est flatteur, c’est indéniable… Les chipies sexy ont leurs avantages…


Au retour, je lui raconte tous ces regards sur elle, et ma fierté d’être avec elle. À ces mots, elle se tortille de plaisir :



Elle fait la moue :



Et nous nous embrassons. Notre petit séjour sur la plage est idyllique… Nous allons et retournons dans l’eau plusieurs fois. Et à chaque fois, nous sommes accompagnés du regard, elle surtout, ce qui flatte agréablement mon ego. Alors que nous dégustons chacun une glace achetée à un vendeur itinérant, je lui demande :



Elle rigole franchement, mais elle s’abstient de répondre. Je viens de tomber une fois de plus sur un grand mystère féminin. Nous les hommes, en comparaison, nous sommes d’une simplicité désarmante.


Que dire du reste de la journée, si ce n’est… sea, sex and sun…




Mardi – Retour miniature à la plage



Comme la veille, Émilie et moi, nous décidons d’aller profiter de la plage. Aujourd’hui, son corps est enveloppé d’un paréo assez opaque, j’ignore donc ce qu’elle a par-dessous. Elle décide d’aller un peu plus loin, à l’écart, vers les rochers, je l’accompagne.


Quand elle laisse tomber son paréo, j’ouvre de grands yeux, ce qui fait visiblement plaisir à ma fausse femme et vraie petite salope en puissance :



Pour être riquiqui, c’est riquiqui ! Comment décrire la chose ? Un ticket de métro en tissu attaché à un anneau métallique sur lequel s’attachent deux cordelettes ! Et ce ticket de métro ne couvre que sa fente, révélant tout le reste de son pubis. Si elle écarte un peu trop les jambes, je parie que ça disparaît entre ses lèvres intimes ! Une vision qui donne chaud ! De plus, comme hier, elle n’a pas mis de haut, elle est donc seins à l’air. Tout ceci réveille quelque chose dans mon maillot de bain ! Et Émilie le remarque aussitôt, elle me dit en pouffant :



Je jette un rapide coup d’œil autour de nous, et j’ajoute :



Mettant ses mains sur ses hanches, ce qui la rend encore plus provocante, elle sourit :



Amusée, elle en profite pour soupeser sous mon nez ses mignons seins en poire :



Et elle s’enfuit vers la plage pour se jeter dans l’eau. Tandis que je suis en train de la rejoindre, un homme un peu plus âgé que moi, allongé en bord de mer, me confie :



Cet homme possède une certaine prestance, c’est indéniable. Caressant fugacement son bouc, il se redresse un peu :



Il m’adresse un clin d’œil complice tandis que je m’enfonce dans l’eau pour rejoindre ma pseudo femme, mais vraie allumeuse. Une fois que je l’ai rejointe, elle me demande :



Elle jette un furtif coup d’œil par-dessus mon épaule :



Elle fait la moue, me regardant bien droit dans les yeux :



Son visage mutin se fend d’un large sourire canaille :



L’eau au nombril, Émilie met ses mains dans son dos, ce qui met bien en avant ses seins sexy en poire, et visiblement, elle le fait exprès, ce n’est plus une jeune communiante.



Avant de répondre, je pose mes doigts avides sur ses mignons seins afin de bien les sentir ; elle rit de mon impertinence. Tandis que je m’offre le luxe de caresser voluptueusement ses beaux lolos, je réponds à sa question :



Elle rit de bon cœur et j’en fais de même.




Mardi – Solution de remplacement



Nous sommes allés plusieurs fois dans l’eau, puis nous nous sommes étendus sur nos serviettes pour que le soleil nous sèche. Nous parlons un peu de tout et de n’importe quoi.


Soudain, l’homme qui se proposait de me remplacer s’approche de nous. Il nous adresse un sourire tandis que ses yeux s’égarent sur les formes impudiquement dévoilées de ma compagne de jeu. Je ne peux lui en tenir rigueur, d’autant qu’Émilie déballe vraiment tout ou presque. Il s’annonce :



Avant que je ne réponde, c’est Émilie qui demande :



Ma pseudo-femme rougit un peu. Visiblement, la situation lui plaît. Autant la laisser jouer à sa guise. Je n’interviendrai que si ça dérape, mais quelque chose me dit que ce Martial sait se tenir, donc je laisse aller. Le nouvel intervenant semble comprendre que je ne me mêlerai pas trop à la conversation, mais il demande pour la forme :



Je réponds placidement :



Émilie me jette un rapide coup d’œil étonné. En retour, je lui souris, essayant de lui faire comprendre muettement que si ça l’amuse de flirtouiller avec le nouveau venu, elle le peut. N’est-elle pas dans une réalité alternative comme elle le dit si bien ?


En tout cas, Martial semble loucher plus que de raison sur les deux délicieux seins en poire, sans parler des autres courbes. Je le comprends parfaitement. Par acquit de conscience, je regarde si le ticket de métro est toujours à sa place et s’il cache toujours l’essentiel de l’essentiel, ce qui reste le cas, mais c’est quand même limite-limite. Je vais donc jouer au spectateur et je verrai comment tout ça se déroule.


Ça va faire quelques minutes que ces deux-là discutent, batifolent. Ma pseudo-femme s’amuse beaucoup à se faire galamment courtiser par un homme qui sait y mettre les formes, tout en sachant glisser divers sous-entendus pimentés. Je reconnais que ce Martial doit avoir une certaine expérience en la matière, vu la façon dont il mène la conversation, et vu comment réagit ma compagne qui s’amuse vraiment, se glissant elle aussi dans le jeu, sans toutefois minauder bêtement. Même si parfois, elle s’offre des piques de chipie.


Martial aborde un sujet que j’estime épineux :



Elle se bouge un peu sur la serviette pour mieux lui faire face, elle se penche un peu vers lui pour lui demander :



Tranquillement, elle s’assied face à lui, ses genoux assez écartés, un de ses pieds frôlant presque Martial. Je regarde ça du coin de l’œil, car pour le ticket de métro, c’est quand même limite. Notre invité ne perd pas contenance :



Plissant un peu des yeux, il lui sourit :



Émilie lève les yeux au ciel, comme pour imaginer la chose :



Elle rougit un peu, elle est adorable ainsi, même si elle est trop provocante.



Puis elle s’adresse à moi :



Amusé, celui-ci acquiesce :



Je constate que ma chère fausse femme s’amuse à varier les positions, afin de faire goûter visuellement ses charmes à Martial. Après des années de retenue, je pense qu’elle est en train de tester sa « valeur » sur le marché. Notre visiteur ne perd rien de ses efforts, et la complimente astucieusement, ce qui plaît beaucoup à Émilie.


Sous mes yeux se déroule un sacré marivaudage, mais avec une ligne rouge que personne ne franchit. Du moins, pas aujourd’hui…


Un peu plus tard, Martial nous quitte, se déclarant ravi de sa journée. Il n’a pas cherché à trop en savoir sur nous, il n’a pas non plus été insistant et lourd, mais je lui fais confiance pour que nos chemins se recroisent.


Émilie est très contente de sa journée. Je reconnais qu’elle franchit rapidement les étapes, et je me demande si à ce tarif, je vais réussir à la suivre… Si jamais j’échoue, je parie que Martial se fera un plaisir de me remplacer, aucun doute là-dessus ! Je lui fais remarquer :



Elle me répond un peu durement puis se radoucit un peu ensuite :



Amusée, elle rit aussitôt :



Changeant complètement de sujet, nous rentrons à la villa, main dans la main, en nous volant ci et là quelques baisers. Émilie se dévergonde, ce qui n’est pas un mal, mais jusqu’où ira-t-elle ? Bonne question…


Pendant qu’Émilie se repose après sa douche, je jette sur un papier diverses idées pour un futur polard. Ça se bouscule un peu dans mon esprit, mais avec ce que j’ai vécu depuis le début du séjour, j’ai de quoi faire un roman complet. Je note donc les points les plus intéressants, les reliant par des lignes afin de mettre en évidence les interactions, une carte cognitive ou une mindmap comme diraient les Anglo-saxons, ma façon de faire. Il ne reste plus qu’à ajouter une petite intrigue policière qui tienne la route, et ce sera tout bon. Je verrais bien une compétition mortelle entre deux hommes pour la possession de la même femme fatale, un classique du genre, mais ça marche à tous les coups.



Et du bout du doigt en désignant les diverses entités dessinées de mon schéma, je lui explique mes cogitations, elle rit de bon cœur :



Après quelques embrassades plus ou moins polissonnes, nous sortons pour prendre l’air et manger au-dehors, ce n’est pas les restaurants qui manquent dans le secteur. Par contre, certains prix sont exagérés, ce qui incite à la modération. Plusieurs heures après, nous revenons dans notre chambre, bien décidés à nous offrir un autre dessert !


Après avoir dévasté les draps, nous nous endormons paisiblement. J’aimerais bien savoir à quoi peut bien rêver ma compagne. Une idée saugrenue me vient en tête : je l’imagine quasiment nue en train de gambader sur une plage paradisiaque jonchée de clones de Martial allongés sur le sable blond, bites bien dressées vers le ciel. Je chasse cette image de ma tête. Émilie est ma femme à moi, ma conquête, ma chose, il n’y a que moi qui la baise, point barre.




Mercredi matin – Une nouvelle et belle journée s’annonce



Une fois de plus, j’ai le plaisir de me réveiller dans le même lit qu’Émilie. Je ne peux m’empêcher de la caresser puis d’aller me frotter contre elle. Ma nouvelle femme alternative proteste à sa façon :



Tandis que je caresse un sein, je lui demande :



Mais elle ne se dégage pas pour autant. Tant pis pour elle !


Quelques minutes plus tard, je suis vautré sur elle, en train de la pistonner joyeusement dans un missionnaire tout à fait banal. Les grands classiques ont du bon. J’adore sentir ma queue coulisser en elle, dans son vagin détrempé, puis sortir pour venir me frotter vicieusement contre son clitoris exacerbé. Elle pousse un grand soupir de satisfaction à chaque fois que je replonge en elle. Il ne nous faut pas bien longtemps pour jouir tous les deux dans un presque parfait accord.


Alors que je récupère, mon amante me demande :



Je roule sur le côté pour mieux la voir :



Soudain, elle change totalement de sujet :



Elle devient songeuse :



Je caresse son mignon ventre :



Je commence à descendre plus bas, à la lisière de son pubis :



Ma main aventureuse posée sur son mignon pubis tout rond, mon index commence à caresser le haut de sa fente :



Moi, j’aimerais bien sonder autre chose… Se laissant toujours caresser, elle rétorque :



Je glisse un doigt dans sa fente encore bien humide pour venir taquiner délibérément un clitoris qui ne semble demander que ça :



Pour toute réponse, elle écarte ostensiblement les cuisses pour me donner un plein accès à ses lèvres intimes :



Et nous refaisons l’amour une nouvelle fois…




Jeudi midi – Proposition



Avant le repas du midi, je sors de la villa pour aller chercher du pain et voir s’il n’y aurait rien d’autre à acheter. Chemin faisant, je croise Martial Bonelli qui semble avoir eu la même idée que moi. Désignant mon cabas, il m’aborde :



Je lui emboîte le pas. Il m’explique rapidement les lieux, ce qu’on peut y trouver. Puis il bascule à un autre sujet de conversation plus sexy : ma femme, du moins, Émilie.



L’attaque est directe, je demande prudemment :



Je fais remarquer un point de détail :



Étrange question. Je réponds franchement :



C’est clair et net comme proposition !



Il me désigne un ensemble de bâtiments :



Et il s’en va. C’est alors que je réalise que j’ai totalement oublié de lui demander ce que ma pseudo-femme souhaitait savoir, concernant la grande vie. Tant pis, mais avec ce que Martial vient de m’apprendre, je pense qu’Émilie ne m’en tiendra pas rigueur…


Après le repas, une fois dans notre chambre pour la sieste, je mets Émilie au courant de la proposition que vient de me faire Martial. Elle m’écoute silencieusement jusqu’au bout en écarquillant de plus en plus les yeux au fur et à mesure de mon récit. Celui-ci achevé, je lui demande :



Elle secoue la tête :



Elle me regarde d’un œil soupçonneux :



Sadiquement, je me défausse :



Elle est très partagée. Je vois bien que ça la tente, que c’est quelque chose de nouveau, d’excitant, mais aussi de spécial. C’est aussi mettre le pied dans une terre inconnue avec ses dangers. Elle pense à haute voix :



Et sur ces bonnes paroles, commence une sieste torride ! Avec en bonus, une petite feuille de rose comme Émilie les aime…




Jeudi soir – Discussion



Après le repas du soir pris en commun, Léa, ma vraie femme, souhaite me dire deux mots en privé. De ce fait, nous nous isolons dans un coin du jardin pour être tranquilles. Tout de suite, fidèle à ses habitudes, elle balance ce qu’elle a à dire :



Je ne suis pas très étonné de ce qu’elle m’annonce, je m’en doutais un peu :



Je résume à ma façon :



Sa réponse fuse, dure, implacable :



Lissant une mèche rousse, elle s’étonne :



Amusé par cette confidence, je souris :



Première nouvelle ! Je rétorque aussitôt :



Comme je suis bon et généreux par nature, je décide de tenter d’arranger les choses :



Et sans plus de chichi, elle s’éloigne. Non, ma femme ne changera jamais, du moins, pas maintenant. Au moins, avec elle, on sait à quoi s’en tenir. Pourquoi elle n’agit pas de la sorte avec Étienne ? Peut-être qu’il n’est pas réceptif, ce qui ne m’étonnerait pas. Toujours est-il que c’est à moi de faire le boulot à sa place, elle est quand même gonflée !


Lentement, je reviens à la maison. Arrivé sur place, Émilie me tombe illico dessus :



En parlant de rentrer quelque chose, j’ai une grosse envie qui monte en moi. Émilie me voit venir, elle tend le bras pour m’arrêter :



Elle me répond d’un air sérieux et préoccupé :



Elle me sourit, caressant ma joue :



Elle m’adresse un sourire ambigu :



Ne pas chercher à comprendre les femmes et leur logique ! Je capture sa main, je dépose un chaste baiser dessus, puis je pars faire un petit tour dans le jardin de la villa.




Jeudi soir tard – Discussion bis



Quand je reviens, Émilie est déjà en tenue de sortie, un mignon petit ensemble bien sexy. Elle m’entraîne au-dehors sans perdre de temps. Alors que nous déambulons sous les arbres, pas trop loin de la plage, ma compagne me relate la teneur des SMS qu’elle a envoyés :



C’est une belle comparaison. Égayé, je presse ma compagne contre moi, elle se laisse faire. Prenant ma voix la plus grave, j’affirme péremptoirement :



Levant les yeux vers moi, elle pouffe de rire :



Sans rien dire, l’un contre l’autre, nous marchons durant quelques minutes. C’est Émilie qui reprend la parole, tandis que nous continuons d’avancer :



Elle ralentit le pas :



En riant, je dépose un baiser sur son front :



Je me rappelle qu’elle était surtout fâchée contre l’infidélité flagrante de son mari. C’est peut-être cet état d’esprit qui m’a permis d’en faire ma maîtresse. Émilie revient sur le sujet initial :



Elle acquiesce :



Je m’exclame :



Toujours blottie contre moi, elle frissonne :



C’est ainsi que nous nous retrouvons derrière un amas de rochers, à l’abri des regards enfantins. Sans attendre, à peine assis, je la bascule prestement sur mes genoux, elle n’oppose pas de résistance. Illico, je soulève sa jupette, puis j’abaisse aussitôt sa petite culotte soyeuse. Elle rit…


Je la fesse doucement, puis j’accentue. Longuement, alternativement, une fesse après l’autre, ma main s’abat sur elle. Émilie gémit doucement, plus de plus en plus fort. À ma grande surprise, je constate que quelques gouttes de cyprine s’évadent de sa chatte. Ma compagne semble savoir jouir sous la fessée ! J’imagine alors qu’elle devienne fontaine, rivière, vaste fleuve, son liquide qui ruisselle le long de ses cuisses…



J’alterne claques et caresses, parfois doucement, parfois fortement. Elle se cambre, oscille, se liquéfie de plus en plus. Son cul rougit, c’est étrange de voir ses fesses changer de couleur de la sorte. Étrange et excitant. Tout ceci me remue le sang ! Il faut que je me la fasse, ça urge !


J’arrête la fessée et je déclare :



Sans lui laisser le temps de réagir, je me lève, tout en la portant à moitié, puis je la couche sur le ventre contre le rocher sur lequel j’étais assis. Ceci fait, je relève sa jupette pour dégager ses belles fesses rougies.



Ah quel beau cul de garce ! Ce n’est pourtant pas la première fois que je baise mon ex-petite amie et actuellement pseudo-femme, mais je bande à mort ! Je ne sais pas pourquoi, mais cette petite mijaurée m’excite à fond, pour un oui ou pour un non, je ne me l’explique pas. Mijaurée ? Pas vraiment. Chipie, oui.



Elle pousse un petit cri à la fois de surprise et de satisfaction. En effet, sans prévenir, ma queue bien raide vient d’entrer en elle, au plus profond de sa chatte détrempée. À peine arrivé en elle, je la pistonne férocement, fougueusement. Elle réagit :



Elle commence à se masturber, je sens le bout de ses doigts qui frôle parfois mes couilles qui battent ses cuisses ; ce contact n’arrange rien, ça m’excite encore plus ! Je me laisse complètement aller, goujatement, bestialement, comme si je baisais la dernière des putes dans un bouge infâme.


Émilie gémit, se tortille, le traitement que je lui inflige semble beaucoup lui plaire ! Tant mieux, nous serons deux !


Quand je pense que la semaine dernière, Madame était franchement coincée du cul ! Je ne vais pas me plaindre qu’elle aime à présent le sexe avec moi. Mais à peine convertie, elle se tâte d’aller partouzer avec des inconnus ! Elle va vite, la petite salope ! À ce tarif, dans moins d’un mois, elle deviendra la plus grande putain accueillante de France et de Navarre ! Mais quelle allumeuse !


Mais que ça m’excite ! Mais que ça me fait bander à mort ! Mais que ça m’échauffe le zob !


C’est vautré sur ses fesses rougies que, n’y pouvant plus, j’éjacule au plus profond d’elle ! Une sacrée jouissance pour une sacrée garce ! Je ne suis pas mieux, je le sais, mais quel pied ce genre de petit jeu ! Je n’imagine même pas claquer le cul de Léa de la sorte, pas même une seule petite claque. Quant à la baiser comme je vais de le faire avec Émilie, n’en parlons pas ! Je commence à mieux comprendre ce que ma vraie femme m’a avoué tout à l’heure…


On ne fait pas forcément à sa femme ce qu’on ose faire à sa maîtresse…



C’est sur cette constatation que j’arrête la narration du début de ce séjour.

Il faut bien en laisser un peu pour la suite…

S’il y a des amateurs et amatrices, bien sûr… :)